Véritable carrefour ouvert sur l'économie du Sud-Ouest,

Pôle 21 est une terre d'accueil et d'excellence pour développer vos projets.

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Actualités

Ce mardi 18 avril au Laboratoire d’Innovation Rurale à Fleurance, Florence JOUAS, Principale du collège Hubert Reeves, et Xavier BALLENGHIEN, Président de la Lomagne Gersoise, ont signé une convention de partenariat pour intégrer dans le conceptcube les projets modélisés en 3D par les élèves de 4e en présence d’Alain SCUDELLARO, Vice-président au numérique, Bruno CABARROU, professeur de technologie du collège, et Jean-Luc BANDET qui représentait Virtuelconcept.
Le Conceptcube, c’est ce système de réalité virtuelle augmentée développé par Virtuelconcept dans le Gers, qui offre un important potentiel d’applications, notamment en termes de formation et de développement de nouveaux usages numériques envers des publics variés. La communauté de communes, animée par la volonté de contribuer à l’appropriation de ces usages, a fait l’acquisition de cet équipement innovant, et l’a installé au sein du Fablab communautaire. Cette démarche est inscrite dans le projet global du Laboratoire d’Innovation Rurale, dans le cadre des investissements réalisés au titre du pacte métropolitain depuis 2017 (Toulouse Métropole – PETR Portes de Gascogne). La convention définit les modalités de coopération entre les services communautaires et le collège pour l’intégration des projets modélisés en 3D par les élèves de 4e au sein du conceptcube.
Dans le cadre d’une activité pédagogique proposée en cours de technologie, les élèves de 4e du collège Hubert Reeves ont conçu l’aménagement d’un espace limité en 3D. Ce travail a pour objectif de permettre aux élèves de comprendre les principes de la conception assistée par ordinateur pour modéliser des objets en 3 dimensions et d’appréhender leurs représentations dans l’espace. Le conceptcube permet de projeter les travaux réalisés par les élèves dans un environnement commun à l’échelle 1x1. L’intérêt pour cet outil a déjà été démontré à l’occasion de différentes actions de coopération à l’initiative de la Lomagne Gersoise lors d’évènements ouverts aux collégiens comme les semaines de l’industrie et option innovation. Cette convergence entre projet pédagogique et environnement technologique se traduit par l’accompagnement de la communauté de communes et la mise à disposition ponctuelle de l’outil au service des collégiens du territoire, objet de cette convention de partenariat.
La Lomagne Gersoise mobilise ses agents au service de ce projet pour assurer l’intégration des réalisations des élèves (une centaine de projets) dans le système référentiel du conceptcube et organiser l’accès à l’outil et la conduite des visites virtuelles pour les 6 groupes d’élèves concernés, encadrés par leur professeur de technologie, du 30 mai au 5 juin 2023.

Le 12 avril, la Communauté de communes de la Lomagne Gersoise et Enedis ont signé une convention de partenariat consacrée à un projet d’autoconsommation collective, au service des entreprises implantées sur la zone d’activités de Fleurance.

Dans un contexte d’accélération de la transition écologique, les équipes d’Enedis accompagnent au quotidien les collectivités locales dans leurs projets énergétiques en leur proposant des solutions sur mesure. C’est dans cet état d’esprit que la Communauté de communes de la Lomagne Gersoise et Enedis ont mis en place un partenariat pour faciliter le développement d’un projet d’autoconsommation collective en relation étroite avec les entreprises locales. Les acteurs économiques intéressés et regroupés pourront à terme consommer et produire de l’électricité à partir de panneaux photovoltaïques implantés sur leurs toitures.

Cette expérimentation initiée par la Lomagne Gersoise a vocation à pouvoir être reproduite, dans la méthodologie d’accompagnement et dans la faisabilité juridique, technique et économique, sur d’autres périmètres communautaires et territoires. Elle pourra également s’inscrire dans des réflexions liées aux futures mobilités territoriales dans une approche de sobriété énergétique, de désenclavement, et d’attractivité démographique.

Par ce partenariat, les équipes d’Enedis mettent à disposition de la Communauté de communes des outils de cartographie permettant de simuler les raccordements électriques et de connaitre les capacités des réseaux. Deux agents de la Lomagne Gersoise seront ainsi formés pour s’emparer de ces outils interactifs qui permettront de localiser, en fonction de la puissance électrique souhaitée, le meilleur emplacement pour installer les panneaux solaires et produire localement de l’électricité.

En France, Enedis compte aujourd’hui 187 opérations actives d’autoconsommation collective (28 en Occitanie), pour une puissance de 11 237 kVA, avec un total de 2 569 participants. En moyenne, cela représente 2 producteurs et 12 consommateurs par opération.

Enedis est une entreprise de service public, gestionnaire du réseau de distribution d’électricité qui emploie 39 000 personnes. Au service de ses 37 millions de clients, elle développe, exploite modernise 1,4 millions de kilomètres de réseau électrique basse et moyenne tension (220 et 20 000 volts) et
gère les données associées. Enedis réalise les raccordements des clients, le dépannage 24h/24, 7j/7, le relevé de compteurs et toutes les interventions techniques. Elle est indépendante des fournisseurs d’énergie qui sont en charge de la vente et de la gestion de fourniture d’électricité.

Communiqué de presse

Plus de 250 offres pour l’édition 2023 du Forum du recrutement à Fleurance L’emploi Une édition 2023 toujours autant plébiscitée par les entreprises du territoire qui recrutent. Le Forum du recrutement se tiendra le jeudi 30 mars 2023 de 14h à 17h à l’Espace Culturel et Sportif de Fleurance. Cette année encore, les lycéens et/ou étudiants, pourront venir consulter les offres « JOBS D’ETE » disponibles sur la période estivale, à un horaire adapté jusqu’à 18h. L’objectif de ce rendez-vous est de pouvoir proposer sur un même lieu des opportunités d’emplois, de formation, d’apprentissage... afin de répondre au mieux aux attentes des demandeurs d’emploi et des entreprises.
Organisé par la Communauté de communes de la Lomagne Gersoise en partenariat avec la Ville de Fleurance, le CCAS de Fleurance, le Point Info jeunes de Lectoure, les services de l’emploi du Gers, et les services de l’Etat, ce forum va réunir en un seul et même lieu plus d’une 50aine de stands.

Une demi-journée pour se rencontrer et échanger.

Un forum ouvert à tous

Que vous soyez demandeurs d’emploi, en reconversion professionnelle, lycéens ou étudiants, cet événement maintenant bien installé sur le territoire de la Lomagne Gersoise sera pour chaque visiteur une opportunité de rencontrer en un même lieu l’ensemble des chefs d’entreprises ou des représentants d’entreprises, d’organismes et d’institutions qui recrutent, ainsi que les partenaires reconnus pour la recherche d’emploi.

Ce rendez-vous est ouvert à tous, en accès libre et gratuit.

Plus de 40 exposants

Cette année et pour sa 8ème édition, la diversité de notre tissu économique sera une nouvelle fois représentée par une 40aine d’entreprises (industrie, commerce, services aux entreprises, artisanat, BTP, Intérim et agriculture...).
Des espaces réservés :

  • Services de l’emploi (Pôle Emploi, Mission Locale, CAP EMPLOI)
  • Accompagnement création/reprise d’entreprises (BGE, Chambre de métiers et de l’artisanat, CCI),
  • Maison de la formation et de l’apprentissage (L’Ecole des métiers, la CCI Point A, le CFA Agricole du Gers LAVACANT, le GRETA, la CMA avec le CEP – conseil en évolution professionnelle)

Une nouveauté cette année avec un espace dédié aux métiers de la Petite Enfance.
Des professionnels pourront répondre aux interrogations de formation : Comment devenir assistante maternelle ? Quel parcours pour devenir éducateur de jeunes enfants ? Quels professionnels former ? A quel métier de la petite enfance se former ? ...
Pourront répondre à vos questions : les responsables des Relais Petite Enfance de la Lomagne Gersoise, la MFS de Cologne, l’IFSI d’Auch.....

Partout en France, le secteur de la Petite Enfance fait face à une pénurie de personnel, des offres bien identifiées sur le territoire seront proposées sur le forum. Ce rendez-vous est l’occasion pour de nombreuses entreprises de rencontrer de futurs candidats à l’embauche de profils différents et de recruter de nouveaux collaborateurs. Des offres à la fois locales mais aussi au niveau national (essentiellement Gendarmerie, Armée de Terre) seront proposées aux visiteurs.

Des permanences au Laboratoire d’Innovation Rurale pour les demandeurs d’emploi Pour rappel et en complément du forum du recrutement des offres en ligne toute l’année. La Lomagne Gersoise propose depuis un an un service supplémentaire, gratuit, en dédiant sur inscription préalable l’ouverture du LIR (97 rue Pasteur) le samedi matin de 9h à 12h aux demandeurs d’emploi. Des ordinateurs sont mis à disposition afin de pouvoir permettre la consultation des offres sur le territoire de la Lomagne Gersoise. Un accompagnement pour les personnes moins à l’aise avec l’outil informatique sur la recherche d’emploi est aussi proposée.
La Lomagne Gersoise, à travers ce service, souhaite continuer à répondre le plus possible à ses entreprises qui recrutent mais aussi aux demandeurs d’emploi et/ou salariés souhaitant se reconvertir. Les offres sont regroupées et mises à jour toutes les semaines sur http://pole21.com/offres-demploi

Contact développement économique : Valérie AMADO-TAGLIAFERI 06 16 01 02 66 / 05 62 67 07 50 / service-economie@lomagne-gersoise.com

Ce jeudi 26 janvier, Véronique MOREAU, sous-préfète de l’arrondissement de Condom, David TAUPIAC, député et conseiller régional représentant Madame la présidente de la Région Occitanie, Xavier BALLENGHIEN, maire de Lectoure et président de la communauté de communes de la Lomagne Gersoise, Ronny GUARDIA-MAZZOLENI, maire de Fleurance et président du PETR Pays Portes de Gascogne, et Valérie MANISSOL, 1e adjointe au maire de Lectoure et vice-présidente de la Lomagne Gersoise, ont signé la convention cadre Petites Villes de Demain des communes de
Fleurance et Lectoure, lauréates du dispositif.
Cette convention précise le contexte de cet engagement, les modalités de son déploiement ainsi que les actions envisagées dans 4 grands domaines :

  • « Mobilité(s) et déplacements » où sont notamment répertoriés les projets qui participent à la requalification douce et fonctionnelle des espaces publics tant en termes d’études (établissement d’un plan de référence sur chacune des 2 communes, étude d’aménagement des berges du Gers entre Fleurance et Lectoure...) qu’en phase opérationnelle (requalification de voies et d’espaces publics, problématiques des entrées de ville).
  • « Art de vivre et spécificités locales » qui vise, dans une dynamique contemporaine, à valoriser toutes les facettes du patrimoine local : sélection de la friche Gersycoop à Fleurance comme site EUROPAN dans le cadre de la session 17 de ce concours d’idées européen dont le thème est « Villes vivantes : réimaginer des architectures en prenant soin des milieux habités », définition d’une stratégie globale de réinvestissement des bâtiments communaux à Lectoure.
  • « Habitat et logement » qui tend à diversifier le parc de logements afin de favoriser la mixité sociale, qui inclut la mise en œuvre d’une nouvelle Opération d’Amélioration de l’Habitat (OPAH) sur l’ensemble du territoire, la définition de primes locales spécifiques et l’organisation d’un réseau de conseil aux porteurs de projets, propriétaires habitants ou bailleurs.
  • « Dynamique locale – commerces et services » qui inclut notamment l’étude commerciale SHOP’IN en cours, l’extension et la réhabilitation de différents équipements et établissements communaux et communautaires ainsi que la structuration de la compétence « soutien à la parentalité » récemment transférée à la communauté de communes.

Le programme Petites Villes de Demain de l’Agence Nationale de Cohésion Territoire bénéficie du soutien de l’Etat « L’Etat s’engage pour l’avenir des territoires », de la Caisse des Dépôts et Consignations, de l’Etablissement Public Foncier d’Occitanie, de la Région Occitanie, du Département du Gers et du Pays Portes de Gascogne.

Contact : Ninon Lachaux, 05 62 64 28 27, pvd@lomagne-gersoise.com

Suite au beau succès rencontré pendant les fêtes de fin d‘année, et consécutivement au développement de son activité suivie par le service économie de la Lomagne Gersoise, Virginie DESPAX de VI EN FIL a sollicité la poursuite de sa résidence au Laboratoire d’Innovation Rurale (LIR), afin de tester sur un plus long terme son activité de couture et d’ateliers « Do it Yourself » en basculant sur le dispositif « poussinière commerciale ».
Le Président Xavier BALLENGHIEN, accompagné de Jean-Louis CASTELL et Dominique GONELLA, Vice-présidents au développement économique et au commerce, étaient ravis de pouvoir signer ce vendredi 13 janvier la convention d’occupation. La « poussinière commerciale » est destinée à être louée temporairement (sur une durée maximum d’un an) aux porteurs de projet qui souhaitent s’installer sur le territoire de la Lomagne Gersoise, pour tester leur activité en amont. En proposant cet espace de travail, la Lomagne Gersoise encourage l’émergence de nouveaux commerces et/ou activités sur le territoire, répondant aux nombreuses demandes identifiées, et permettant de lutter contre la vacance commerciale en intégrant au final un local commercial du parc privé.

Le projet de poussinière commerciale bénéficie du soutien financier de l’État via la DETR (dotation d’équipement des territoires ruraux).

VI EN FIL est ouvert du mardi au vendredi de 9h30 à 12h et de 14h à 18h et le samedi de 9h30 à 13h.

Contact développement économique / Laboratoire d’Innovation Rurale : Valérie AMADO-TAGLIAFERI - 06 16 01 02 66 / 05 62 67 07 50 - lir@lomagne-gersoise.com

En collaboration avec le SDIS du Gers, Guillaume Parache et Laura Frucot ont développé une application destinée à faciliter les activités péri-opérationnelles des chefs de centre et sapeurs-pompiers. Explications avec Guillaume.

Il est passionné par le web, Laura, sa compagne, par la création graphique. Les deux Gersois ont mis leurs compétences en commun pour créer Moon SP, une application mobile pour Moderniser, Optimiser les Outils Numériques des Sapeurs-Pompiers, dont la phase d’expérimentation verra le bout d’ici cet été.

« Enyoko, installée au LIR de Fleurance, est à la base notre agence de communication digitale. Laura s’occupe de la création graphique, mon approche est plus technique, avec le développement et l’expertise sur le e-commerce » souligne Guillaume.

« L’orientation vers la création d’une application mobile est assez récente. Il se trouve que depuis six ans, je suis sapeur-pompier volontaire au Centre de secours de Fleurance. Je me suis alors rendu compte qu’il y avait la possibilité de simplifier tout ce qui tourne autour de l’activité opérationnelle où nous sommes en intervention. Pour que tout se passe bien dans ces moments-là, nous devons nous entraîner, faire des formations, maintenir le matériel en état de fonctionnement… Cette partie est gérée un peu “à l’ancienne”, avec pas mal de papiers, de panneaux d’affichage, de feuilles d’inscription… Il existe des logiciels très performants, mais ils sont nombreux. Et demander aux chefs de centre de savoir tous les utiliser n’est pas toujours compatible avec leur activité professionnelle en parallèle, ils n’ont pas forcément le temps d’apprendre à s’en servir… ».

Il fallait donc trouver une solution suffisamment intelligente pour simplifier ce travail au quotidien, grâce à une utilisation simple qui permettrait de s’inscrire plus facilement à une formation avec un petit moteur de recherches, demander un nouveau pantalon, modifier un rendez-vous pour la visite médicale, signaler un changement d’adresse… Des “petites” choses qui, mises bout à bout, pourraient faire gagner du temps, estimé entre 60 à 80%, aux chefs de centre. 

Le jeune couple s’attelle à la tâche, avec un travail de réflexion en amont et une étude de faisabilité qui vont durer plus de deux ans. Depuis le mois de juin dernier, leur application Moon SP prend forme, au point que la version définitive sera prête au plus tard en septembre 2023.

« 90% des besoins seront alors couverts, avec l’objectif de 100% pour le Gers en fin d’année. Le but est de continuer à l’améliorer constamment, qu’elle évolue en fonction des besoins des autres SDIS, des nouvelles fonctionnalités plus spécifiques pour certains sapeurs-pompiers, comme les plongeurs, les cynophiles, ceux engagés dans les recherches de déblaiement, les feux de forêt, etc., qui demandent des manœuvres supplémentaires ».

Sorte de guichet unique sur Smartphone et ordinateur, cette application se veut également être un outil de pérennisation du volontariat, en donnant de la visibilité sur la perspective d’évolution, en envoyant des messages de congratulations et d’encouragements après une formation, une intervention. De quoi regonfler le moral, et donner envie de progresser.

Marielle Fourcade Pres'Lib

Le Président Xavier BALLENGHIEN et le Vice-président au développement économique Jean-Louis CASTELL ont rendu visite ce mardi 29 novembre à Virginie DESPAX de VI EN FIL installée depuis quelques jours au Laboratoire d’Innovation Rurale (LIR) dans la « poussinière commerciale » située à Fleurance 97 rue Pasteur à Fleurance face à l’église. Virginie vous présente jusqu’au 24 décembre dans sa boutique éphémère sacs, lingettes en fibres de bambou, essuie-tout, coussins, bouillottes sèches... et peut confectionner sur mesure tout ce que vous pourrez lui demander. Grâce au partenariat entre la Lomagne Gersoise et la Chambre de Métiers et de l’Artisanat du Gers, Virginie a été labellisée cette année entreprise Zéro déchets ; label qui soutient et valorise les efforts écoresponsables qu’elle effectue au quotidien. Dans ce même esprit, elle propose également des ateliers « faire soi-même » (Do it yourself) pour fabriquer savons, dentifrice, liquide vaisselle, lessive...

VI EN FIL est ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 12h30 et le dimanche de 10h à 12h.

Pour le marché de Noël organisé par les commerçants de la ville de Fleurance, la boutique sera ouverte le dimanche 18 décembre toute la journée de 9h à 18h. Cet espace « poussinière commerciale » est destiné à être loué temporairement aux porteurs de projet qui souhaitent s’installer sur le territoire de la Lomagne Gersoise, pour tester leur activité en amont. En proposant cet espace de travail, la Lomagne Gersoise encourage l’émergence de nouveaux commerces et/ou activités sur le territoire et répond aux nombreuses demandes identifiées. Un accompagnement « insitu » du porteur de projet par le service économie de la communauté de communes permet un suivi tout au long de cette phase de test et de développement.

Ce projet de poussinière commerciale bénéficie du soutien financier de l’État via la DETR (dotation d’équipement des territoires ruraux).

Contact développement économique / Laboratoire d’Innovation Rurale : Valérie AMADO-TAGLIAFERI - 06 16 01 02 66 / 05 62 67 07 50 - lir@lomagne-gersoise.com

L’année 2022 a vu la livraison du Laboratoire d’initiative rurale (LIR). Un projet immobilier d’ampleur et ancré dans son temps au cœur de la bastide.

Projet immobilier d’ampleur et ancré dans son temps, situé en centre-ville de Fleurance, le Laboratoire d’initiative rurale (LIR) rassemble une conciergerie touristique, un incubateur d’entreprises innovantes et un FabLab. Il se positionne en cœur de bastide, au nord de la halle et face à l’église. La communauté de communes de la Lomagne Gersoise (CCLG) a choisi de créer un espace public en cœur d’îlot, qui invente un urbanisme futur pour l’architecture des bastides.

La genèse du projet. En 2014-2015, la commune souhaite sauver cet ensemble immobilier particulièrement dégradé : l’ancienne salle de bal et tout l’arrière du bâtiment étaient en péril. En parallèle, la CCLG réfléchit sur les nouvelles formes de travail. Elle postule au grand projet régional pour l’attractivité des territoires, et l’État double l’enveloppe de la Région. En 2018, des réflexions sont menées autour d’un FabLab et des imprimantes 3D. D’où la proposition de la CCLG de l’aménagement complet de l’ensemble immobilier. À la base, il s’agit réellement de réhabiliter un îlot urbain et de sauver un patrimoine qui s’effondre. Ce dispositif en cœur de ville favorise une économie locale. De l’avis général : un chantier multidimensionnel passionnant et remarquable dans sa réalisation.

Un tiers-lieu d’activité économique en cœur de ville

Au rez-de-chaussée se trouve l’office de tourisme de manière transitoire, le temps qu’un espace s’ouvre directement sur la place. Plus tard, cela deviendra un espace de médiation numérique. Au premier étage, le LIR est un tiers-lieu d’activité purement économique, c’est aussi l’endroit où divers publics sont accueillis : télétravailleurs, indépendants, entreprises innovantes. Les espaces communs se trouvent au second étage.

À noter qu’un travail rigoureux sur l’existant a été mené en lien avec l’architecte des Bâtiments de France. De fait, certains éléments remarquables ont été conservés et mis en valeur.

En intérieur, les espaces sont d’une grande flexibilité et offrent des plateaux libres facilement appropriables en fonction des types d’activités. La volonté de porosité déployée en extérieur (entre la rue et l’espace public de cœur d’îlot) se retrouve en intérieur : les espaces ouverts encouragent les échanges, l’émulation collective mais aussi le bien-être.

Ce jeudi 13 octobre, à l’occasion de la semaine nationale « Option Innovation », le Président Xavier BALLENGHIEN et le Vice-président à l’économie et l’innovation Jean-Louis CASTELL ont procédé à la signature de la convention d’incubation avec la société BEKILLE, qui devient donc la 2e entreprise
innovante après ENYOKO (systèmes et services informatiques) à intégrer la formule incubation du Laboratoire d’Innovation Rurale, situé à Fleurance, après seulement une année d’ouverture. Cyril COINTRE et Céline PACINI, qui développent un équipement dédié aux nouvelles formes de mobilités en lien
avec le commerce local en milieu rural, se sont dits très satisfaits d’intégrer cet équipement, et de contribuer, ensemble, à inventer la ruralité de demain. Ils ont fait part de leur étonnement également d’avoir pu mesurer le dynamisme du territoire communautaire, et plus largement sur le département du Gers, des différents acteurs autour de cette thématique.
Le Président et le Vice-président les ont assurés de toute l’attention qui leur sera apportée par les équipes du service économique de la Lomagne Gersoise, et plus globalement des différents partenaires de l’équipement (l’Etat à travers le dispositif Territoire d’Industrie, la Région Occitanie avec l’agence régionale AD’Occ, la CCI du Gers, et également des partenaires propres au LIR (Crédit Agricole Pyrénées-Gascogne et Airbus Développement).

Contact développement économique / Laboratoire d’Innovation Rurale : Valérie AMADO-TAGLIAFERI - 06 16 01 02 66 - lir@lomagne-gersoise.com

15 artisans en Lomagne Gersoise ont reçu le label Ecodéfi, pour leur action vers la transition écologique. Engagés dans l’aventure depuis un an, ces artisans ont obtenu le label Eco-défis en récompense de la mission qu’ils viennent d’accomplir : réaliser au moins 3 défis en faveur du développement
durable : déchets, technologies propres, réparation – réemploi, économie verte et locale.
A l’issue de l’accompagnement par la chambre de métiers et de l’artisanat du Gers, les défis ont été validés par un jury de labellisation organisé par la Lomagne Gersoise. Xavier BALLENGHIEN, Président de la Lomagne Gersoise, et Philippe ARCHER, Président de la chambre de métiers et de l’artisanat, ont accueilli les lauréats au LIR, nouveau Laboratoire d’Innovation Rurale, situé à Fleurance.
Une palette d’entreprises aux métiers variés récompensée

  • Institut Les Fées Zen à Fleurance
  • Boulangerie Debruyne à Fleurance
  • Biscuiterie Croc et Miam à Fleurance
  • Institut Marjorie à Lectoure
  • L’atelier de reliure à Lectoure
  • Atelier Au Renouveau à Lectoure
  • L'Étuverie à Cadeilhan
  • Coopérative de nettoyage MPS à Fleurance
  • Pizzéria la Gersoise à Lectoure
  • Coiffure et A mesure à Fleurance

Les entreprises renouvelant leur engagement :

  • Brasserie du Vaillant Fourquet à Miradoux
  • Duckprint à Lectoure
  • Maison Ligardes (Brico Elec) à Lectoure
  • Bleu Pastel de Lectoure à Lectoure
  • Charcuterie Mazzonetto à Lectoure

Ces entreprises ont mis en place des actions concrètes pour réduire leur impact environnemental :

  • Actions zéro déchet : lingettes réutilisables, dons alimentaires, actions anti gaspi
  • Achats de proximité bio ou écolabelisés : synergies avec des producteurs de Lomagne, produits de nettoyage
  • Démarches de production durables : Imprim’vert, certification bio
  • Production d’énergie renouvelable et sobriété énergétique

A cette occasion, le prix de L’ENTREPRISE ZERO DECHET a été remis à Virginie DESPAX, de l'atelier Vi_en_fil en mode du faire soi même, première entreprise gersoise à s’engager dans cette démarche unique en Région Occitanie, qui organise depuis quelques mois et régulièrement des ateliers au Laboratoire d’Innovation Rurale.
Écodéfis n’est qu’une première étape pour ces entreprises qui ambitionnent des projets vertueux pour les années à venir : production d’électricité renouvelable, rénovation durable de leur commerce, actions Zéro déchet... Le label éco-défis est proposé dans le cadre du programme France Relance de l’Etat, destiné à soutenir et à développer les entreprises du commerce, de l’artisanat et à les accompagner vers la transition écologique.

Contacts : Lomagne Gersoise - Valérie AMADO TAGLIAFERI - 06 16 01 02 66 - service-economie@lomagne-gersoise.com
Chambre de Métiers et de l’Artisanat du Gers - Perrine CROCHET – 05 62 61 22 62 – p.crochet@cma-gers.fr

Communiqué de presse LOMAGNE GERSOISE

Communiqué de presse de LA DEPECHE

Le forum de l’emploi aura lieu jeudi 2 juin, de 14 heures à 17 heures, dans l’espace culturel et sportif. Les organisateurs annonceront une nouveauté.

Il s’agit d’une permanence qui aura lieu les samedis, de 8 h 30 à 12 h 30, au Laboratoire d’initiative rural (LIR) rue Pasteur. Cela permettra aux demandeurs de pouvoir consulter les offres en ligne toute l’année, avec la mise à disposition d’ordinateurs prévus à cet effet. Du personnel pourra répondre aux différentes interrogations et accompagner les personnes moins à l’aise avec l’outil informatique sur la recherche d’emploi.

La communauté de communes compte également pouvoir nouer des partenariats avec les acteurs de l’emploi pour donner encore plus de corps à ces permanences. Pour cela, il est demandé de contacter le service du développement économique, où Valérie Amado-Tagliaferi se tiendra à disposition (06 16 01 02 66, service-economie@lomagne-gersoise.com).

Cette 8e édition du Forum du recrutement se déroulera donc jeudi. Elle est organisée par la communauté de communes de la Lomagne Gersoise (CCLG), en partenariat avec la ville et le CCAS de Fleurance, le point info jeunes de Lectoure, les services de l’emploi du Gers et les services de l’État. Ce forum va réunir en un seul et même lieu une quarantaine de recruteurs pour plus de 250 emplois à pourvoir sur le territoire.

Un créneau pour les lycéens et étudiants

Nouveauté aussi cette année, les lycéens et ou étudiants pourront venir consulter à un horaire adapté de 17 heures à 19 heures les offres de jobs d’été disponibles pour la prochaine saison estivale.

Comme chaque année, ce rendez-vous a pour objectif de proposer une opportunité majeure pour les jeunes et demandeurs d’emploi et de rencontrer sur une demi-journée les professionnels qui recrutent (entreprises ou institutions publiques…).

Ce forum s’adresse à tous, demandeurs d’emploi, en reconversion professionnelle, lycéens ou étudiants. Il est ouvert à tous, en accès libre et gratuit.

Source La Dépêche

C’était la reprise des afterworks, soirées à destination des acteurs économiques de la Lomagne Gersoise, ce mardi 19 avril au Laboratoire d’Innovation Rurale. Cette première rencontre avait pour thème « Sortie de crise : rôle et accompagnement de la Banque de France ».
Le président de la Lomagne Gersoise, Xavier BALLENGHIEN, a accueilli une douzaine de chefs d’entreprises, venus échanger avec la Banque de France autour de l’accompagnement des TPE/PME et des différentes missions de celles-ci. Estelle POIROT, directrice de la Banque de France, et Nathalie IVETON, chargée de relations avec les entreprises, ont présenté les différentes missions de la Banque de France au service des entrepreneurs, les différents outils mis à disposition des TPE/PME comme le portail national de l’éducation économique et financière des entrepreneurs www.mesquestionsdentrepreneur.fr, facilement accessible et regroupant les informations gratuites, actualisées, neutres et pertinentes sur des sujets liés à la gestion financière de leur entreprise.
La question de la médiation du crédit a également été abordée afin d’informer les chefs d’entreprise sur les moyens d’agir rapidement face à des difficultés avec sa banque, son assurance-crédit, un fournisseur...
Jean-Louis CASTELL, Vice-président au développement économique, à l’emploi et l’innovation, s’est appuyé sur le propos des intervenantes en insistant sur l’importance pour les entreprises de réagir rapidement dès qu’une difficulté surgissait afin de mettre toutes les chances de son côté pour la résoudre.
Le prochain rendez-vous est programmé le jeudi 23 juin à 19h au Laboratoire d’Innovation Rurale. Cette soirée économique de la Lomagne Gersoise aura pour thème « Comment mieux travailler avec la presse ».

http://www.lomagne-gersoise.com/

Tout récemment, les membres de la SCOP MPS se sont réunis pour leur assemblée générale. Une satisfaction unanime en résulte car cette réunion a consolidé le bon développement de la société. Rappelons que cette entreprise, qui a vu le jour en 2014, dont les salariés sont actionnaires, est inscrite dans une démarche solidaire basée sur le respect de l’environnement, le développement des compétences, expériences et savoir-faire, une proximité et une disponibilité pour la clientèle. Ces six années d’activité ont ainsi vu une progression constante, signe de la qualité et du sérieux des prestations.

L’activité concerne la propreté et les services associés aussi bien pour les professionnels que pour les particuliers via la structure COXI’NETT. L’entreprise intervient dans tout le département en utilisant bien entendu du matériel professionnel. Il faut bien souligner que les techniques et les produits sont fort soucieux de l’environnement car l’objectif essentiel est de préserver l’hygiène et la propreté de l’environnement. Et comme toute entreprise performante, MPS recherche des personnels compétents qui souhaitent s’investir dans la durée.

Les nouveaux locaux se situent donc au 4, avenue Clément-Fayat à Fleurance (dans la ZI).

Contact : mps.la.cie@gmail.com ou au 06 89 08 11 23.

Source La Dépêche

Des offres locales pour une édition digitalisée

Cap sur l’emploi

La Lomagne Gersoise avait pour habitude depuis 2015 d’organiser le forum du recrutement à l’espace culturel de la ville de Fleurance. Cette année, la crise sanitaire impose de faire preuve d’adaptation tout en maintenant cette manifestation qui a pris date désormais.
Toujours plus proche de ses entreprises, la Lomagne Gersoise a souhaité répondre aux besoins de recrutement en mettant en place « LA SEMAINE DU RECRUTEMENT » du lundi 7 au vendredi 11 juin, sous un format digitalisé sur son site internet www.pole21.com.

Cet évènement est toujours organisé dans le cadre d’un partenariat privilégié avec les services de l’emploi du Gers (Pole emploi, Mission Locale et Cap Emploi), les services de l’Etat, le CCAS de la ville de Fleurance et le Point Info Jeunes de la ville de Lectoure.

Cette  nouvelle formule permet d’enrichir le territoire d’un service supplémentaire pour les demandeurs d’emploi en créant une «CVTHEQUE», sur le site internet, afin que ceux-ci puissent y déposer leur CV tout au long de l’année. Leurs profils, dans le respect de la règlementation RGPD, pourront être mis à disposition dès lors qu’une entreprise en fera la demande et qu’elle sera dans une démarche de recrutement en dehors de la période de la semaine du recrutement.
Les objectifs de cette démarche restent les mêmes que lors des précédentes éditions du forum du recrutement : répondre aux besoins des entreprises du territoire et proposer des opportunités aux demandeurs d’emploi.

Plus de 200 offres d’emploi sur la Lomagne Gersoise seront proposées au cours de cette semaine.

Une semaine pour tous
Que vous soyez demandeur d’emploi, en reconversion professionnelle, lycéen ou étudiant, cet événement unique sur le territoire sera pour chacun une opportunité pour la recherche d’emploi.
Ce rendez-vous est ouvert à tous, il suffit juste d’une connexion internet.
Toute la semaine les demandeurs d’emploi sans connexion et/ou en difficulté pour postuler pourront se rendre au Laboratoire d’Innovation Rurale au 97 rue Pasteur à Fleurance, de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h afin de pouvoir consulter les offres en ligne et effectuer leur démarche de recrutement.
Afin d’accompagner les demandeurs d’emploi qui en auront le plus besoin, deux permanences seront assurées : par le point Info Jeunes de Fleurance avec Géraldine CUILHE, au Laboratoire d’Innovation Rurale, lundi 7, mercredi 9 et vendredi 11 de 13h30 à 17h, et par le point Info Jeunes de Lectoure avec Ludovic BAYART à la pépinière d’entreprises, ZI la Couture à Lectoure, mardi 8 de 13h30 à 17h, mercredi 9, jeudi 10 et vendredi 11 de 9h à 12h30.
Plus de 30 entreprises qui recrutent
Cette année, pour cette édition connectée, la diversité de notre tissu économique sera représentée par des entreprises des secteurs d’activité suivants : industrie, commerce, services aux entreprises, artisanat, BTP, tourisme, Intérim et agriculture…

Les entreprises qui recrutent et qui souhaitent que leurs offres soient référencées sur la semaine du recrutement peuvent, si cela n’est pas déjà fait, se rapprocher du service développement économique de la Lomagne Gersoise : Valérie AMADO 06 16 01 02 66 – service-economie@lomagne-gersoise.com

Avec les nouvelles mesures sanitaires, les restaurants qui font de la vente à emporter ont changé leurs horaires :

  • Le XIII, du lundi au vendredi, de 7 heures à 15 heures (05.62.28.93.75 ou 06.07.09.08.04) ;
  • Chez JB Station, du lundi au samedi, de 12 heures à 16 heures (05.62.68.89.37) ;
  • Le Bastion, du lundi au vendredi, de 11 heures à 14 heures, le samedi, de 10 heures à 19 heures, et le dimanche, de 10 heures à 17 heures, à emporter et sur place pour les employés du BTP et les paysagistes (05.62.28.32.25) ;
  • Le Bouillon du Midi, du lundi au vendredi, de 9 heures à 14 heures (06.95.50.27.75) ;
  • la pizzeria la Conviviale, tous les jours sauf les mercredis, de 10 heures à 14 heures et de 16 heures à 19 heures (05.62.68.76.85) ;
  • La Gersoise, du lundi au samedi, de 10 heures à 19 heures (05.62.68.26.56) ;
  • Le Gourmet, du mardi au samedi, de 12 heures à 14 heures (06.78.57.16.82) ;
  • Lou Barbot, les lundis, jeudis, vendredis, samedis et dimanches, de 9 heures à 14 heures (05.62.28.15.69) ;
  • Le Café des Sports, les vendredis, samedis et dimanches midi (06.78.68.08.60).

Source La Dépêche

"La nature commande. Il faut faire avec". Jacques Castelli est d’un naturel optimiste et s’adapte à toutes les circonstances. Exploitant viticole avec son épouse Chantal et son fils Florent, fort de son expérience dans cette profession qu’il exerce au domaine des Capots (route de Sainte-Radegonde), il vient de subir de plein fouet les premières gelées. Exceptionnellement, les dégâts, chez lui, ne sont pas aussi importants que dans d’autres lieux du territoire, mais les basses températures ont tout de même grillé les bourgeons qui étaient sur le point de débourrer dans certaines parcelles, surtout dans les bas-fonds de la propriété qui est également plus humide et à proximité d’un lac. "Mon grand-père avait fait le bon choix quand il a planté ces vignes. Il avait choisi les coteaux les plus hauts et ici, "aux Capots", nous sommes sur le point culminant de la commune. De ce fait, nous sommes moins frappés par les gelées printanières, ni par des courants d’air qui peuvent faire des dégâts sur les jeunes plants ou des cépages fragiles comme le marcellin", commente Jacques Castelli. Il fait remarquer qu’il peut y avoir une différence de deux degrés entre chez lui et le centre ville.

Et aussi la sécheresse

Aujourd’hui vient s’ajouter une autre catastrophe naturelle : la sécheresse. En effet, depuis plusieurs semaines, il n’est pas tombé une goutte d’eau en Lomagne et la terre est devenue du béton. "Pour l’instant, il n’y a pas lieu de s’affoler, dit le vigneron, mais ce n’est pas bon pour les plantes. La sécheresse de printemps est logiquement sans conséquence directe pour la vigne, c’est surtout l’été que celle-ci a besoin d’eau pour faire grossir les grappes de raisin. On voit bien que les plantes souffrent, les cultures d’hiver sont les plus impactées, certains agriculteurs arrosent déjà les champs de blé. Si, en avril, on manque d’eau… alors", s’interroge Jacques Castelli. Les propriétaires des lieux ont fait visiter l’exploitation au conseiller régional et maire Ronny Guardia-Mazzoléni. Celui-ci a pu constater l’ampleur des dégâts et a confirmé que la région allait apporter une aide aux sinistrés suivant les directives de l’Etat.

Source La Dépêche

Claude Carté et Frédéric Dardenne sont les exploitants d’une jardinerie située à hauteur des anciens bureaux de l’ERDF, avenue du Corps-Franc-Pommies. Tous deux ne sont pas touchés par la crise sanitaire actuelle, bien au contraire. Ils sont satisfaits des ventes qui, en cette période printanière, devance fortement celle de l’an passé d’une bonne quinzaine de jours. Ils expliquent: "Au printemps dernier, les gens avait été pris de court lors du premier confinement. Cette fois, ils ont devancé l’événement en trouvant un autre loisir, celui du jardinage et l’entretien de leur maison. Ainsi, ils ne sont pas bloqués dans leur intérieur et, de ce fait, nous avons une forte clientèle, certaines que ne nous connaissions pas, venir chez nous se ravitailler en plantes de toutes sortes", souligne Claude Carté. Les conditions climatiques sont favorables pour pratiquer cette activité. "De ce fait, ajoute Frédéric Dardenne, notre filière est débordée au point de manquer de marchandise. Au départ, la production ne suit pas et l’on va se trouver rapidement à court de fleurs et autres plantes de saison qu’il faut mettre en terre maintenant pour un fleurissement dans les prochains mois. Nous sommes tout de même chanceux...", sourit-il. Avant d’ajouter: "Avec un printemps précoce, nous conseillons à notre clientèle de ne pas trop se presser dans les plantations car il y a encore des risques de gel, les nuits sont froides et peuvent endommager les plantes fragiles comme les tomates ou autres légumes sensibles aux basses températures. Nous sommes aussi en période de sécheresse et il est bon de faire régulièrement des arrosages tout en ajoutant un peu d’engrais". Si les journées se réchauffent, les nuits sont encore fraîches. Il est ainsi conseillé d’attendre que la date des "saints de glace" (du 11 mai au 13 mai) soit passée pour pouvoir planter en pleine terre des fleurs qui, cet été, embelliront les devantures des maisons.

Source la Dépêche

Olivier Sichel, directeur de la Banque des Territoires partenaire du projet, a visité hier le site de la future chocolaterie Ethiquable qui fabriquera ses premières tablettes au mois de juin.

Ce n’était pas une inauguration – la mise en route de la chocolaterie est prévue pour le mois de juin – mais cela y ressemblait beaucoup… Autour des trois fondateurs de l’enseigne Ethiquable, un aréopage d’élus a accompagné la visite officielle du directeur de la Banque des territoires, partenaire à hauteur de 43 % de l’ambitieux projet fleurantin. La chocolaterie de 5 500 m2, aux murs extérieurs fraîchement peints et ornés de slogans, en impose dès l’arrivée des visiteurs.

180 tablettes par minute

À terme, sa capacité de production sera portée à 2 500 tonnes de chocolats par an : pour la marque Ethiquable, très bien implantée dans la grande distribution, 50 % des ventes sont liées au cacao (à côté du café, des jus de fruit, thés…). 25 % du chocolat bio vendu en grande distribution est déjà distribué par la société coopérative fondée en 2003.

Dès le mois de juin, la matière première, le cacao, y sera broyée et transformée sur place, au rythme de 180 tablettes par minute… « Nous allons embaucher 8 personnes dans deux semaines, toutes en CDI, qui seront formées à la fabrication du chocolat. Nous sommes aussi à la recherche d’un responsable commercial. Nous atteignons 150 salariés. C’était difficile à imaginer lorsque nous avons lancé notre petite Scop », sourit Rémi Roux. Olivier Sichel et le préfet du Gers, Xavier Brunetière, ont vanté les mérites d’un projet qui répond « aux enjeux de réindustrialisation à forte valeur ajoutée ».

Eco-construction

Cloisons en terre crue, isolant en laine de bois, récupération de l’énergie, panneaux photovoltaïques (lire aussi ci-contre)… Les porteurs du projet ont évidemment joué la carte de l’éco-construction. L’impact environnemental et sociétal a guidé les choix… à Fleurance et au-delà des océans.

« Le cacao continuera à être torréfié sur place : c’est moins de poids à transporter et c’est surtout plus de valeur ajoutée pour les pays producteurs, souligne Christophe Eberhart lors de la visite des ateliers en cours d’aménagement. Le prix mondial du cacao ne permet pas aux producteurs de vivre correctement. L’accompagnement de la filière dans les pays reste fondamental. »

Haïti 72 %, Nicaragua 75 % ou encore Madagascar 85 % : bientôt les tablettes de chocolat auront aussi une saveur gersoise...

Electricité : le choix d'Enercoop

La Scop Ethiquable se fournira en électricité « verte » auprès d’Enercoop. D’ici la rentrée 2021, la toiture de la chocolaterie sera aussi recouverte d’une centrale photovoltaïque de 280 kWc en autoconsommation. Plus de 760 panneaux solaires produiront 317 MWh par an, dont la quasi-totalité sera directement consommée sur site afin notamment de faire fonctionner les outils : fondoirs, à beurre, pétrin, broyeur, conches, décristalliseur… Environ 25 % de la consommation électrique de l’usine (qui comptera aussi une chaudière à bois) sera couverte par la centrale photovoltaïque, et les 75 % restants par Enercoop.

Source La Dépêche

Les viticulteurs de notre secteur viennent de subir de plein fouet le retour des températures négatives. Un autre coup de gel est attendu pour la nuit du 12 au 13 avril, compromettant fortement la récolte de l’année 2021.

Au domaine d’Embidoure, Nathalie et Sandrine Menegazzo sont très inquiètes face au retour des températures qui descendent sous zéro degré. Après deux nuits (le 7 et 8 avril) les cépages les plus précoces ont subi de lourds dommages lors du retour de ces basses températures, gelant les bourgeons qui étaient en plein débourrement. Un nouveau coup de gel est attendu , et là "ça va être la "catastrophe" annonce Sandrine responsable des chais et de la vinification.

L’on comprend l’inquiétude de ces deux viticultrices déjà frappées par une première vague qui a fait des dégâts sur les parcelles situées face au soleil couchant , causant de 30 à 40 % de pertes avec des pointes de 100%. Un nouveau gel va tuer les contre-bourgeons qui ne pourront pas redémarrer et qui devraient normalement sauver une partie de la future récolte. "Le froid était sévère à partir de 5 h, la température était de moins 3 à moins 4° . Plusieurs passages faits avec les tracteurs surélevés d’une turbine et d’un brumisateur pour brasser l’air au dessus des champs de vignes ont permis de minimiser les dégâts. La quantité ne sera pas au rendez-vous pour cette cuvée surtout le "colombard" qui produit du vin blanc", déplore l’œnologue forte de son expérience professionnelle.

Bien que cet épisode hivernal intervienne un peu plus tôt que les autres années, les conséquences seront lourdes, de plus que la conjoncture sanitaire ne permet pas d’écouler facilement la récolte précédente.

"Tous les salons sont annulés depuis un an, les protocoles sanitaires sont très drastiques et il faut donc s’adapter à cette situation commerciale mais aussi climatique" surenchérit Nathalie qui s’occupe essentiellement de la partie commerciale de l’exploitation.

Chez les sœurs Menegazzo, on garde le moral et toutes deux savent qu’il faut se lever tôt pour protéger le vignoble qui sera bientôt centenaire afin de sauver un héritage familial.

Source La Dépêche

Depuis le début du mois, AGOREA, installée à Lectoure, recrée de nouvelles montres à partir des composants de bijoux recyclés. Cette société est la première entreprise adaptée gersoise.

 

Les caisses de montres collectées sont posées entre les postes de travail de Marie-Carmen et Annie. Les deux employées de l’entreprise adaptée AGOREA piochent dans les boîtes et procèdent au démontage des bijoux : "Nous testons d’abord les mécanismes, pour voir s’ils fonctionnent encore, explique Marie-Carmen. Puis nous démontons chaque élément et nous trions en fonction de la matière : le laiton avec le laiton, le verre avec le verre, etc.".

Les différents composants sont ensuite, pour la plupart, recyclés par l’entreprise Eco Tempo. Mais environ 15 à 20 % sont réutilisés – une proportion qui devrait augmenter dans les prochains mois – dans la fabrication de nouvelles montres. Ainsi, dans la salle attenante, Corinne et Jean-Pierre travaillent sur le remontage. "Tout d’abord, je polis le fond du cadran, détaille Corinne. Il doit être lisse pour que je puisse coller la nouvelle étiquette."

Puis, Jean-Pierre réinstalle les mécanismes. "Ensuite, nous les plaçons dans des boîtes et nous attendons une semaine, pour s’assurer que le mécanisme tourne bien, explique-t-il. Nous remettons un bracelet et quelques jours après, les montres sont terminées".

Écologie et solidarité

Ces bijoux sont ensuite commercialisés sous la marque eHo, pour éco-Horlogerie. Une nouvelle gamme pour une nouvelle société. Créée en septembre 2020 du partenariat entre Eco Tempo de la Manufacture générale horlogère (MGH) et l’association de réinsertion professionnelle auscitaine AG2I, AGOREA s’est installée à Lectoure dans les locaux de MGH. Elle est une entreprise adaptée et engagée : "Outre la démarche écologique, qui consiste à recycler des montres inutilisées, AGOREA est aussi la première entreprise adaptée dans le Gers, explique Jean-Louis Geze, directeur de la société. L’ensemble de nos salariés sont des personnes avec handicap. Le but est de réinsérer les employés dans la vie sociale et donc professionnelle."

Après quelques semaines de formation, les quatre collaborateurs, dont aucun n’était spécialisé dans l’horlogerie, participent pleinement à l’aventure eHo. "Nous aimerions passer à une dizaine de salariés d’ici l’année prochaine, assure Jean-Louis Geze. L’idée est de nous adapter et de créer des outils afin que d’autres personnes avec handicap, souvent oubliées dans le monde du travail, puissent apprendre et intégrer les équipes de l’entreprise."

Des montres dans le vent

La fabrication a commencé au début du mois d’avril. En une quinzaine de jours, près de 50 montres ont été élaborées dans les ateliers. L’objectif visé est de créer environ 1 000 montres par mois à la fin de l’année.

D’autant plus que le concept innovant plaît déjà beaucoup. "La société cherche de plus en plus des produits uniques, avance Jean-Luc Bernerd, directeur de MGH. Comme nous utilisons les composants d’anciennes montres pour en fabriquer de nouvelles, elles sont uniques."

En décembre dernier, une cinquantaine de bijoux avait été mise en vente au Comptoir solidaire à Auch. Vendus à moins de 50 €, tous les modèles avaient trouvé preneurs en quelques jours. Des enseignes de grandes marques ont d’ailleurs déjà contacté AGOREA. Mais pour l’instant, Jean-Louis Geze prévoit "de privilégier internet et les boutiques occitanes" pour diffuser ce produit unique 100 % gersois.

Le collecteur Eco Tempo

Créée en 2010, Eco Tempo est la première filière à collecter les anciennes montres et bijoux auprès de grandes enseignes et des particuliers. "Environ 80 % d’une montre est recyclable, assure Jean-Luc Bernerd, directeur de MGH. En 2020, nous avons collecté près de cinq tonnes de montres." Avec comme engagement que celles-ci sont remises sur le marché. Eco Tempo travaille à créer une "économie circulaire. Nous récoltons le produit entier et nous en refaisons une matière première." Démontés, les composants peuvent être vendus en pièces détachées ou encore fondus pour être réutilisés. Désormais, avec eHo, certains sont réutilisés : "Ce n’est pas une montre d’occasion, mais bien une seconde vie."

 

Source La Dépêche

 

La société lectouroise d’horlogerie Lip a relancé un nouveau modèle, la montre de Winston Churchill. La fabrication du calibre "type 18" a débuté juste avant la guerre 39-45. Durant ce conflit, l’entreprise déménage dans le centre de la France, puis au sud, à Valence. A la fin de la guerre, Lip revient à Besançon et reconstruit son usine. La "T18" sort alors de ses ateliers. Un modèle tout en or a été offert à Sir Winston Churchill en 1948. Ce fut à l’occasion du 75e anniversaire du débarquement de Normandie que la maison horlogère Lip a rendu hommage à cet événement historique avec une édition spéciale de ses modèles "Général de Gaulle" et "Churchill". Ces garde-temps mythiques de la maison bisontine devenue lectouroise ont été édités avec une gravure spécifique, "6 juin 1944", sur la tranche. C’est en 1935 qu’a débuté la production du modèle "T18" de la collection "Lip Churchill", qui s’est poursuivi jusqu’à la fin des années cinquante. Pièce rectangulaire emblématique de la marque, appréciée pour sa très grande précision, la "T18" était équipée d’un des premiers calibres possédant un compteur petites secondes. Cela constituait pour l’époque une révolution puisque l’usage voulait que la trotteuse soit placée sur l’axe central.

Source La Dépêche

Ce nouveau confinement a un côté positif: du temps pour la lecture. Ce que confirme Laetitia Fabbri, de la librairie Le Cochon Bleu, qui peut ainsi suggérer quelques nouveaux conseils de livres à lire : "Les librairies sont des commerces essentiels, ce qui nous permet de rester ouverts pendant toute cette période de confinement. Nous en sommes très heureux mais nous tenons à rappeler que de nombreux commerçants de Lectoure n’ont pas cette chance. Une fois de plus, ils sont les premiers à être impactés, malgré toutes les mesures prises pour accueillir les clients en toute sécurité. Ce sont encore les grandes surfaces qui l’emportent. Venez en ville, pratiquez le click and collect, vos commerçants résistent, résistez avec eux". En attendant, elle donne quelques conseils de lecture en faisant, "pour une fois la part belle aux bandes dessinées". Tout d’abord, "Les Damnés de la Commune", une bande dessinée en trois volumes de Raphaël Meyssan, qui retrace les événements tragiques de l’année 1871 à Paris. "Le texte est précis, les illustrations en noir et blanc sont splendides. On apprend ou réapprend sur cet événement qui a marqué au fer rouge notre histoire de France". Elle propose ensuite "Valhalla Hôtel", de Fabien Bedouel et Patrice Perna. "En route pour un championnat de ping-pong, un joueur taciturne et un entraîneur un peu bizarre se retrouvent coincés dans un motel miteux du nouveau Mexique suite à une panne de voiture. La panne dure et ils se retrouvent confrontés aux habitants de la ville qui ont tous un comportement suspect". Enfin, Laetitia Fabbri conseille "Imaginer la pluie", de Santiago Pajares. "Après un cataclysme, une mère et son enfant se retrouvent seuls dans le désert où ils survivent grâce aux pièges à lézards et au puits creusé dix ans plus tôt. L’enfant n’a jamais connu que le désert, il ne connaît pas la pluie ; et comment imaginer la pluie ?". Renseignements au 09.50.53.22.90.

Source La Dépêche

Malgré la crise sanitaire, l’Association des commerçants, artisans et professions libérales de Lectoure (ACAL) reste très active. Elle accueille actuellement un stagiaire : "Je m’appelle Romain Micots, je suis né à Toulouse le 2 décembre 2000. Je suis actuellement en deuxième année de DUT Information Communication option communication des organisations à l’université Paul-Sabatier de Toulouse. Et pour les deux prochains mois, depuis le 6 avril jusqu’au 11 juin je suis en stage à l’ACAL 32 afin de les aider à communiquer autour de leur plateforme d’e-commerce ainsi que pour diverses missions. Je dois m’occuper de mettre à jour leurs contacts pour ainsi passer sur un format numérique, réfléchir à des moyens de communiquer plus efficacement que ce soit via des newsletters ou les réseaux sociaux, comment apporter des méthodes plus modernes pour faciliter le travail de l’association comme un nouveau support de carte de fidélité par exemple. Il m’a aussi été demandé de réfléchir à organiser un nouvel événement commercial dans l’année."

ACAL : 94, rue Nationale, 32700 Lectoure, tél. 05 62 28 70 85 ; courriel : acal32.lectoure@gmail.com

Source La Dépêche

Ce samedi 17 avril, le Bastion propose un menu gourmand : foie gras mi-cuit, magret sauce au miel ou sauce roquefort, et le fameux tiramisu aux spéculos de Lucie Brasseur (35 €).

Pour tenter de gagner ce menu gourmand, les consommateurs sont invités à liker, commenter et partager la vidéo mise en ligne sur les réseaux sociaux afin de participer au tirage au sort qui aura lieu ce samedi matin et gagner un menu "ras-le-bol du confinement" : www.facebook.com/LeBastionLectoure /videos/810339593191565.

Pour obtenir plus d’informations ou pour faire vos réservations n’hésitez pas à appeler au 05 62 28 32 25 ou à adresser un message privé sur Facebook.

Source La Dépêche

Jusqu’à l’annonce du nouveau confinement, Monique Lapeyre, alias "Mone Sala" sur les réseaux sociaux, sculptrice et artiste peintre, Lectouroise depuis 78 ans, a maintenu assidûment sa boutique ouverte, l’atelier Terre et Bois installé au 61, rue Nationale, "pour montrer que nous sommes vivants et c’est important d’agir. Je vis mal certaines contraintes. Et cela permet de montrer aux gens que nous avons envie d’avancer. Il ne faut pas se laisser aller et succomber à certaines intoxications. J’ai ouvert le jeudi et le samedi après-midi et par nécessité puisque nous avions le couvre-feu, j’avais adapté mes horaires, de 14 h à 17 h."

Monique peut présenter des nouveautés artistiques : "J’ai beaucoup travaillé depuis le premier confinement et j’ai eu de la chance car j’ai eu des commandes de gens qui sont venus, soit pour faire faire un buste, un portrait, des œuvres sur discussions et commandes ; j’ai travaillé chez moi dans mon atelier auscitain. Cela m’a permis de tenir le coup et de continuer mon œuvre avec la Ligue contre le cancer puisque mes ventes, une fois retirés mes frais, se font au profit de cette association. Cela me stimule et je peux continuer à créer selon mes lubies, les moments. Je fais de la sculpture et de la pein ture ; je viens de terminer un joueur de trompette de jazz avec lequel je me suis bien amusée. Et j’avais terminé une série de chats, un clin d’œil à La Romieu : j’ai fait un chat moine, un chat-rtagnan puisque nous sommes en Gascogne, un second chat moine, moins rond que le premier et peut-être que j’en pondrai encore quelques autres ! Dans mon travail, je m’amuse encore comme les gosses".

Contact : 06 07 84 02 33.

Source La Dépêche

Emmanuel Lucas est ferronnier à Lectoure depuis 13 ans : "Je travaille à 98 % pour des particuliers, des balustrades, des portails, des escaliers, des marquises, des tonnelles, etc., tout en métal et uniquement des pièces uniques." Il vient d’obtenir une distinction professionnelle, la reconnaissance de la qualité d’artisan en métier d’art en tant que ferronnier-forgeron, délivrée par la chambre de métiers et de l’artisanat du Gers. Emmanuel Lucas est également conseiller municipal de Lectoure et membre de l’Association des commerçants, artisans et professions libérales de Lectoure (ACAL) où il s’occupe en particulier des marchés estivaux, "les Nuits du lundi".

Source La Dépêche

Suite aujourd’hui de notre saga des familles vigneronnes au Domaines de Réjaumont, où la famille Baurens récolte et vinifie depuis plusieurs générations.

Sur les vallons de Réjaumont, à quelques centaines de mètres du village, l’équipe des 3 Domaines récolte et vinifie depuis plusieurs générations, sur des parcelles particulièrement adaptées à la production de vins, qui sont sur des terrains calcaires semi-argileux, que l’on appelle dans la région « les boulbènes ». C’est là que sortent tous ces vins, rouge, blanc ou rosé, qui sont d’une qualité saine et d’une saveur franche. Armagnac, floc-de-gascogne, vins côtes-de-gascogne n’ont eu aussi aucun secret pour la famille Baurens qui est sensible au respect de l’environnement et apporte le plus grand soin à la culture de ses vignes.

 

L’histoire commence en 1970 avec Maurice Baurens

La ferme de Lassalle, qui est aujourd’hui le lieu de vinification, était une ancienne salle du hameau de Martissens, dont l’église fut détruite en 1793. Il n’en reste aujourd’hui qu’un seul vestige : une grosse croix de pierre. L’histoire de ce domaine viticole commence en 1970 lorsque Maurice Baurens, le grand-père, s’associe avec Jean Suiffet, Jean Rebeil et Paul Esquiro, trois autres viticulteurs, pour commercialiser le vin en bouteille sous le nom de « Birocap » à la cave de Montestruc. C’était une sorte de cave indépendante.Quelques années après (1973-1974), chacun décide de s’orienter vers des vins de qualité et d’agrandir leur domaine. La propriété de Maurice Baurens était jusqu’alors une ferme agricole, typique de la région, avec élevage de vaches et culture de céréales. C’est en 1980 qu’avec son fils Francis, ils décident d’agrandir la surface du vignoble pour donner une plus-value à l’exploitation. Au total, 32 hectares de vignes sont travaillés en cabernet, merlot, sauvignon, colombard et manseng. Aujourd’hui, Thomas, le petit-fils, est venu renforcer l’équipe familiale après une formation viticole. Dans son travail, il est aidé par un œnologue, un salarié permanent et 3 saisonniers.

25.000 hectolitres de vins

Ainsi, les 3 Domaines produisent chaque année 25.000 hectolitres de vin, qui sont à 80 % commercialisés sous le label côtes-de-gascogne dans les salons de renom de l’hexagone, les petites et moyennes surfaces et sur les marchés locaux lors des périodes estivales. Francis Baurens est fier d’annoncer que son exploitation est titulaire en floc rouge d’une médaille d’or et en floc blanc d’une en argent. Il produit également des armagnacs hors d’âge et des VSOP (8 ans d’âge). En ce moment, la taille de la vigne est finie, les ceps commencent à bourgeonner et toute la famille se consacre à la commercialisation des vins avant l’arrivée de la période estivale et des marchés fermiers qui sont d’un bon apport économique.

Visite dans les chais

Les 3 Domaines sont dotés d’un savoir-faire très particulier en matière de production et de vinification. Dans leur chai, on trouve : « La Croix Blanche » « Cupidon », « Magnum rouge ou rosé », « La Hune », « Le secret de Nola ou de Léna », « Le sorbier », « Martisseurs (cuvée prestige) », « Grand Juan (cuvée émotion) ».

Un diplôme pour le domaine

Le diplôme de « Haute valeur environnementale », que la famille Baurens a reçu il y a déjà quelques jours, correspond au niveau le plus élevé d’un dispositif de certification environnementale des exploitations agricoles. Pour les 3 Domaines, cette démarche mise en œuvre par la famille Baurens vise donc à identifier et à valoriser les pratiques qui respectent l’environnement. Comme l’a expliqué Thomas Baurens, le petit-fils de Maurice, tout cela s’appuie sur des indicateurs et exigences de résultats qui portent sur l’intégralité de l’exploitation fondée sur des thématiques-clés : prévention de la biodiversité, insectes, arbres-haies, bandes enherbées et stratégie phytosanitaire. Cette certification permet de réduire la pression des pratiques agricoles sur l’environnement.

En pratique

Heures d’ouverture. Le domaine est ouvert au public du lundi au samedi, de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures.
Pour les contacter. Un site internet (http://www.3domaines.com), une adresse (au lieu-dit « Lassalle », 32390 Réjaumont), deux numéros de téléphone (05.62.65.28.83 ou 09.77.82.75.99) ou un mail (3domaines@3domaines.com) sont disponibles pour joindre les 3 Domaines.

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Mercredi, s’est déroulée la première session consacrée à la culture du cornichon bio. Un événement organisé conjointement par la chambre d’agriculture et la conserverie les Vergers de Gascogne, dont le projet mûrit depuis 2 ans au sein des ateliers de cette PME gersoise. Son ambition : relancer la culture de cette cucurbitacée dans le Gers, en structurant une filière reposant sur un partenariat pérenne entre les producteurs et Vergers de Gascogne, qui assurera la transformation des récoltes et la commercialisation auprès d’enseignes spécialisées dans les produits bios.

Pour ouvrir cette séance, Christiane Pieters, élue à la chambre d’agriculture, reconnaît que cette démarche arrive au bon moment. Aujourd’hui, les consommateurs s’informent et regardent les étiquettes avant d’acheter. Si elle reconnaît que cette culture, dont elle est familière, est très technique et nécessite des compétences, elle souligne que la demande existe et que des enseignes sont déjà intéressées.

Face à des profils variés, Lise Laporte-Riou, conseillère en agriculture biologique au sein de la chambre d’agriculture, rappelle que "le cornichon que vous consommez a plus voyagé que vous", car victime de la délocalisation.

Bruno Mattel, directeur des Jardins de Cocagne, a apporté son témoignage (lire encadré). L’association avait accepté l’année dernière de se lancer dans ce projet, en menant des essais avec certaines variétés sur une petite parcelle. Il reconnaît le caractère fastidieux de la récolte puisque deux passages peuvent être nécessaires chaque jour. A l’initiative de ce projet de relocalisation est Pascal Lafont, dirigeant des Vergers de Gascogne, mais également cofondateur et adhérent d’ASAN Bio. Son souhait est de rencontrer les personnes intéressées, de lancer les premières pistes de réflexion et de travailler, avec l’aide de la chambre d’agriculture, à structurer tous ensemble la filière et ainsi valoriser un cornichon bio, équitable et local. Cette démarche s’inscrit dans la suite logique des nombreux projets initiés par la PME fleurantine ces dernières années, qui, par le biais de sa marque Cap Bio, élabore des recettes aux légumes bios cultivés en France.

Source La Dépêche

La Covid-19 n’a pas eu raison du dynamisme des producteurs bios lectourois. Une dizaine d’entre eux vient de créer l’association Les Locabios, dont le but affiché est d’organiser des marchés de producteurs bios et locaux, tous les lundis en fin d’après-midi, de mai à septembre, sur le parvis de la halle de Lectoure, généreusement mis à disposition par la municipalité. Initié et porté par l’énergie de Maxime Suiffet, paysan boulanger à Pauilhac, très aidé par le Domaine du Mirail, domaine viticole bio bien connu des Lectourois, le marché proposera légumes, pain, bières, poulets, fromages et autres produits, évidemment tous bios. Pour toute information vous pouvez joindre Maxime Suiffet au 06 89 72 86 38 ou Nicolas Sarraf au 06 16 77 30 20.

Source La Dépêche

La pépinière d’entreprises de Lomagne est une pépinière généraliste qui a vocation à accueillir des projets de tous les types et secteurs d’activité (artisanat, commerce, industrie, services, etc.). Elle a pour mission l’accueil, l’hébergement, l’appui logistique et l’accompagnement personnalisé de porteurs de projet, créateurs d’entreprises ou jeunes entreprises du territoire de la communauté de communes de la Lomagne gersoise. Elle s’adapte aux nouvelles formes de travail et ouvre ainsi son nouvel espace de coworking et télétravail. Des entreprises locales ont contribué à organiser cet espace. Pour faciliter l’accueil des personnes intéressées du lundi au vendredi, de 9 heures à 17 heures, il convient de contacter le service économie de la Lomagne gersoise, par mail (service-economie@lomagne-gersoise.com) ou d’appeler à la pépinière (au 05.62.29.52.40). Ce service s’articule avec l’offre du laboratoire innovation rurale (LIR), à savoir incubateur de start-ups, espace coworking, salles de réunion et lieu de vie. Renseignements par mail (lir@lomagne-gersoise.com).

La conserverie fleurantine Vergers de Gascogne et la chambre d’agriculture organisent ce mercredi, à 14 heures, à la conserverie Vergers de Gascogne (26, boulevard du Biopôle) à Fleurance, un après-midi d’information et d’échanges autour de la culture du cornichon bio avec des producteurs gersois afin de relancer la filière dans le département. Au programme : présentation de la filière et des itinéraires techniques, visite de la conserverie, intervention de producteurs déjà engagés dans ce projet comme les Jardins de Cocagne de Fleurance, une exploitation maraîchère biologique et chantier d’insertion qui a réalisé sa première récolte l’an passé.

Il y a vingt ans, le Gers était l’un des plus gros producteurs

Chaque année, ce sont 30.000 tonnes de cornichons consommés en France mais, lorsqu’on s’intéresse de plus près aux étiquettes, 80 % arrivent tout droit d’Inde et le reste des pays de l’Est. « Nous sommes pourtant nombreux à penser que nous achetons des cornichons français, Mais saviez-vous que le département du Gers était l’un des plus gros producteurs de cornichons français il y a de cela encore vingt ans ? S’il a depuis déserté nos champs, le Gers, premier département français en termes de surfaces engagées en bio, dispose du savoir-faire pour relancer cette filière », explique une technicienne spécialiste de cette culture.

Accompagnés par la chambre d’agriculture

Pour faire rayonner durablement le « petit croquant bio made in Gers », les producteurs engagés dans ce projet seront accompagnés par la chambre d’agriculture. Vergers de Gascogne et ses producteurs partenaires s’entendront en amont sur les volumes et prix d’achat. La PME gersoise en charge de la préparation et de la mise en bocaux des récoltes référencera les cornichons gersois auprès de distributeurs nationaux. Il se murmure d’ailleurs que des enseignes spécialisées dans le bio affichent déjà un intérêt certain. Inscriptions gratuites et obligatoires par téléphone au 05.62.61.77.54 ou par mail (lise.laporte-riou@gers.chambagri.fr).

Source La Dépêche

Jeanne Delécluse est graphiste et photographe indépendante, installée récemment à Lectoure. Entretien.

Qui êtes-vous ?

"Graphiste depuis 2000, j’ai débuté salariée à Paris chez Team Créatif, agence de packaging de grande consommation, pendant 6 ans, pour ensuite m’installer en free-lance. J’ai travaillé pour de grandes marques françaises et internationales, via des agences parisiennes (Feria, C’Capital, etc.). Mes premières prestations professionnelles de photo ont lieu en 2013, en parallèle de mon travail de graphiste."

Quelles sont vos prestations ?

"La communication visuelle. Tout d’abord du design graphique : création d’identité visuelle, dépliants, sites web, affiches, packagings, faire-part, pochettes de disques, etc. Et aussi de la photographie : portraits, reportages, pack shots, mode et bijoux de créateurs, grossesses, immobilier, etc."

Pour quel public ?

"Des passionnés. Entrepreneurs, PME, artisans, créateurs, artistes."

Quel est votre rapport à la photo ?

"La photographie est mon médium d’expression artistique. Ma photographie est lente, rare et instinctive. J’aime faire rêver le spectateur, voir apparaître son sourire. Mes influences : Bernard Plossu, pour sa tendresse, son grain, sa désuétude apparente. Rinko Kawauchi, pour ses histoires faites d’un assemblage surprenant, et la belle qualité de ses nombreux livres. J’ai réalisé plusieurs séries ("Silence", "Passage", "Tu m’es cerf"), et "l’Univers" est ma dernière création. J’ai publié plusieurs livres en autoédition, l’un d’eux, "Tu m’es cerf", est visible à la librairie du Bastion."

Contact courriel : jedelecluse@gmail.com – Site internet : www.jeannedelecluse.com – Facebook : www.facebook.com/jeannedeleclusephoto

Lorsqu’on entre dans la boutique du 30, rue Alexandre-Laffont, c’est une agréable sensation qui envahit le visiteur : du vécu, du vu, du ressenti, tout cela antérieurement mais avec ce sentiment de plaisir retrouvé. Vêtements et accessoires accrochent irrésistiblement l’œil. Hors du commun, ils ont une histoire, celle principalement des années 80-90, celle des années "pop". Passionnés de ces années et de leur culture, Rachida et Guillaume viennent ainsi d’ouvrir cette boutique qui rappelle tant de souvenirs de cette époque. Concrètement, le visiteur va y trouver des vêtements de seconde main, c’est-à-dire que ces vêtements ont déjà été portés une fois, éventuellement dirigés sur le couturier ou le teinturier, ainsi remis en parfait état et à la vente. Un vêtement abîmé est rejeté. Guillaume s’est fixé sur ces années 80-90 car, ainsi qu’il le dit, "c’étaient les années folles, avec de la joie, un peu d’insouciance". Les vêtements sont achetés en majorité aux particuliers, aux ventes aux enchères – notamment pour les bijoux fantaisie – et sont basés sur des matières nobles : la soie, la laine vierge, le lin, le cuir véritable. Tous ces produits viennent exclusivement de France, d’Italie ou d’Angleterre. Si on souhaite quelque chose de particulier, Guillaume le trouvera, sa boutique se veut un lieu de rencontre, d’échange, d’appréciation sur cette époque "pop".

Ouvert du mardi au samedi, de 10 heures à 13 heures et de 14 h 30 à 17 h 30.

Source La Dépêche

a "Haute Valeur Environnementale" (HVE) correspond au niveau le plus élevé d’un dispositif de certification environnementale des exploitations agricoles. Pour les Trois Domaines, cette démarche volontaire mise en œuvre par la famille Baurens vise à identifier et valoriser les pratiques plus particulièrement respectueuses de l’environnement. Comme l’explique Thomas Baurens, tout cela s’appuie sur des indicateurs et une exigence de résultats qui portent sur l’intégralité de l’exploitation qui est fondée sur quatre thématiques-clés: la préservation de la biodiversité, insectes, arbres, haies, bandes enherbées, fleurs…; la stratégie phytosanitaire; la gestion de la fertilisation et la gestion de la ressource en eau. Cette certification permet donc de réduire au minimum la pression des pratiques agricoles sur l’environnement qui sont air, climat, eau, sol, biodiversité et paysage.

Un logo de valorisation auprès des consommateurs

Comme l’a présenté Eliane Baurens, le logo (HVE) accompagne la mention valorisante et peut être apposé sur les produits bruts et sur ceux transformés si ces derniers contiennent moins de 95 % de matières premières d’exploitation de Haute Valeur Environnementale.

Le logo sur les produits indique donc aux consommateurs les efforts des exploitations engagées dans ce dispositif. "C’est une demande volontaire qui répond aux besoins des consommateurs à la recherche de produits sûrs et aux attentes des citoyens demandant des pratiques respectueuses de l’environnement", tient-elle à préciser.

Les Trois Domaines, c’est avant tout une famille

Il y a Thomas, Eliane, Francis et une salariée Sandy. L’exploitation fait 95 ha dont 35 en vigne. Tous trois exploitent ce domaine où ils élaborent des vins IGP côtes-de-gascogne (rouge, rosé, blanc sec et moelleux), des flocs de Gascogne ainsi que de l’armagnac. Pour la Saint-Valentin, ils proposent "le Cupidon", un vin blanc moelleux composé des cépages gros manseng et petit manseng qui peut être dégusté, bien frais, avec du foie gras ou des desserts. En cette période, la vente et la visite du chai peuvent se faire dans les normes sanitaires imposées, du lundi au samedi, de 9 heures à 12 heures. Renseignements au 05.62.65.28.83.

Source La Dépêche

Nicolas Glévard (/Photo reprod. ;)fait le point sur le bilan et les projets de la Brasserie du Vaillant Fourquet : "Le bilan 2020 est dommageable : la progression s’est trouvée tronquée de quasiment quatre mois et pourtant nous avons fait le même chiffre d’affaires que 2019 ce qui est le côté positif de notre progression imaginable. La brasserie continue d’investir de façon écoresponsable. La production de la bière nécessite du chaud et du froid en permanence, nous investissons dans un procédé qui permet de récupérer la chaleur produite par le système de froid pour la réutiliser dans le processus de fabrication. Nous investissons également dans du matériel de récupération d’eau froide transformable en eau chaude, ainsi on minimise au maximum la perte sèche d’énergie et le besoin d’eau nécessaire aux nettoyages sanitaires. Notre entreprise est directement liée aux restaurants, bars et associations, il est certain que nous subissons de plein fouet cette crise, mais notre optimisme est toujours là, on est des paysans, on sait faire le dos rond pour attendre des jours meilleurs. Pour autant, on n’est pas dans l’attente du "mieux" pour cette année, la stratégie commerciale 2021 sera différente mais on en a une, ce qui psychologiquement est un atout pour ne pas se perdre dans ce brouillard économique. Avec l’épicerie du foirail du village de Miradoux et ses nouveaux locaux prévus pour le printemps, on va faire en sorte que le magasin officiel de la brasserie soit l’épicerie. Avec des prix plus attractifs, des idées locales et engagées se mettent en place, le sourire en prime. À suivre !". Contact : Brasserie du Vaillant Fourquet, Petit Rounac, route de Poupas, 32340 Miradoux ; Tél. : 06 86 37 09 89.

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L’Auberge des Bouviers, 8 rue Montebello à Lectoure, fait partie des restaurants de cuisine traditionnelle qui ont droit à un avis positif du guide Michelin, grâce à sa cuisine de qualité et l’utilisation de 60 % de produits locaux (dont un maximum de bio). On peut lire : "Au cœur de cette localité gersoise, l’établissement préserve si bien l’esprit "auberge" qu’il faudrait en classer la recette : des murs chaleureux (poutres et pierres), un accueil convivial, et surtout une cuisine généreuse et savoureuse, concoctée par un chef très engagé ! L’avenir appartient encore aux auberges de France…".

Pour plus d’informations, Tél. 05 62 68 95 13.

Source La Dépêche

L’on peut trouver désormais l’azuki, le petit haricot rouge sec qui vient d’Asi, sur le marché du mardi et du samedi matin. Le producteur qui en propose n’est autre que Frédéric Gissot qui a une petite exploitation à Goutz (14 hectares) et qui, pour la rendre plus rentable s’est lancé dans la vente de légumes secs qu’il produit et stocke sur ses terres.

"Ces graines ont très peu de choses en commun avec le haricot rouge qui est une spécialité mexicaine ou antillaise. Sa petite taille le rapproche de nos pois cassés et nos lentilles, il est d’ailleurs tout aussi digeste que ces derniers, n’a aucune odeur forte à la cuisson, est peu visqueux et est bourré de vitamines. Bref, il a tout pour plaire" explique ce jeune agriculteur.

A la Ferme d’En Soulès tout est bio

Fradéric Gissot ne se contente pas de cultiver des haricots rouge, il cultive également des lentilles, des pois chiches et bien d’autres légumes qui sont intéressants dans le monde de la gastronomie et plus particulièrement de la pâtisserie.

Ce jeune agriculteur ne fait pas que cela sur ses terres goutzoises, tout ce qu’il cultive est transformé et conditionné uniquement sur La Ferme d’En Soulès, en bio. Lentilles vertes, pois chiches pois carré flageolets et divers haricots, des pâtes de blé dur et sans gluten des farines et des huiles de tournesol colza et cameline se retrouvent sur son étal du marché fleurantin. La vente se fait directement au particulier, magasin restaurateur et même des livraisons en gros se font dans certains collèges du département. Ainsi, dernièrement, au repas du lundi, l’équipe de cuisine du collège avait proposé aux pensionnaires de cet établissement des lentilles vertes et des pois carrés bios provenant de cette exploitation accompagnés d’un rôti de veau Label rouge provenant lui aussi du Sud-Ouest.

Source La Dépêche

Geoffroy Sénat, traiteur à Préchac, rénove une ancienne grange pour en faire une salle de réception prisée des mariés. Un projet ambitieux alors que la situation reste incertaine pour ce secteur d’activité.

Le dossier avait été déposé à la banque quelques jours avant l’annonce du confinement de mars. Et a alors été victime de l’épidémie. Mais Geoffroy Sénat, traiteur à Préchac, ne s’est pas découragé pour autant : il s’est tourné vers un financement privé. Ce sont donc des investissements locaux de particuliers qui lui ont permis de boucler son budget de 500 000 €.

Son projet : la construction et l’ouverture en 2021 d’une salle de réception. "J’avais cette idée en tête depuis un moment déjà, précise Geoffroy Sénat. Il y a une grosse demande." Le lieu était tout trouvé : le hangar attenant à son domicile et à son laboratoire. "Le but est de rénover cette grange qui date probablement de 1914, d’après des inscriptions trouvées, tout en gardant l’identité du bâtiment", précise le chef de chantier de 28 ans.

Garder le charme originel

Mur en pierres, poutres et voliges apparentes ou encore parquet en chêne massif, le charme originel sera conservé. Mais avec une touche de modernité. "Nous allons installer une grande verrière sur tout le long du bâtiment, décrit le cuisinier du Fou Gascon. Elle pourra complètement s’ouvrir pour profiter du parc, qui sera lui aussi complètement réaménagé". Les travaux finis, l’espace de 180 m2 pourra accueillir près de 160 convives. L’extérieur sera lui aussi harmonisé avec le bâtiment : des plantes traditionnelles devraient être installées par les paysagistes afin de conserver l’esprit gersois. Les berges du lac permettront également aux mariés de célébrer leur union en plein air.

Si cette salle sera ouverte à tous les évènements, avec notamment un espace technique pour les traiteurs et un vestiaire, elle est faîte sur-mesure pour les mariages : "De nombreux couples sont à la recherche de salles avec un air gersois, un esprit de cépage, affirme Geoffroy Sénat. Et les lieux de réception sont souvent complets deux ans avant, avec des prix parfois exorbitants." Le cuisinier prévoit lui de fixer son prix de lancement à 2 500 €.

Une année difficile

L’année 2020 a été compliquée pour le traiteur, pour qui "les mariages représentent 80 à 90 %" des événements pour lesquels il cuisine. "Les cérémonies se sont tenues en juillet et en août mais en octobre, tout a été annulé malgré de nombreux reports du printemps, se rappelle Geoffroy Sénat. Niveau gestion, c’était très difficile".

Pourtant, malgré la situation sanitaire incertaine, il reste optimiste quant à la tenue des cérémonies pour 2021. Et espère bien accueillir les premières réceptions dès cette année dans cet ancien corps de ferme familial. La salle devrait en effet être prête d’ici deux mois.

D’ailleurs, le Préchacais profite que son activité soit au ralenti, pour suivre le projet de près. "Je suis vraiment partie prenante du chantier. Cela me permet d’être plus actif et d’apprendre de nouvelles choses", assure-t-il. Les entreprises locales amènent les solutions techniques pour l’aider à réaliser son souhait : conserver au mieux l’esprit originel du bâtiment.

De la Lomagne à la Nouvelle-Zélande

Le terroir gersois, Geoffroy Sénat connaît bien. Originaire de Lomagne, il fait ses premières armes en tant qu’apprenti chef cuisinier à Condom à la Table des Cordeliers. Diplômé et récompensé de la médaille régionale des Meilleurs apprentis de France, il s’envole pour la Nouvelle-Zélande, où il travaille pendant plusieurs mois auprès d’un chef maori. De retour en France, il effectue plusieurs saisons dans des restaurants de Haute-Savoie, avant de finalement poser ses valises dans son Gers natal. C’est ainsi qu’en 2015, il s’installe à Préchac pour y ouvrir son entreprise de traiteur événementiel, le Fou Gascon. Toujours à la recherche de nouveaux projets, il y construit son laboratoire et désormais sa salle de réception.

Source La Dépêche

2021 sera l’occasion pour Pierre Capdecomme de transmettre son cabinet d’assurances et de prendre sa retraite. Son successeur n’est autre que son fils, Mathieu qui, après une expérience de 7 ans au sein de l’agence familiale mais aussi auprès de plusieurs agences du Sud-Ouest, a passé avec succès les différentes épreuves auprès de la compagnie Generali pour obtenir à son tour le titre d’agent général. Il y a exactement trente-huit ans que l’aventure de cette agence commençait (le 1er janvier 1982) et, durant toutes ces années, elle a permis d’obtenir une notoriété et une expérience solides et reconnues. En restant au cœur de la ville de Lectoure, Mathieu Capdecomme, accompagné d’Elodie tout nouvellement recrutée, confie qu’il souhaite "maintenir ce service de proximité auquel la population est très attachée". C’est donc un passage de témoin professionnel et familial entre deux générations qui est en train de se faire sur Lectoure. Pierre Capdecomme a pris sa retraite le 31 décembre dernier.

Source La Dépêche

Xavier Chiari travaille sur la ferme "d’Arnautot" à Pauilhac. Il a pris la relève de son père Jean-Marc qui fait du bio depuis 15 ans. Xavier a donc toujours vécu dans ce milieu de culture et aujourd’hui il continue cette méthode non seulement par conviction mais aussi par plaisir ce qu’il nous explique.

Pourquoi le choix du bio ?

"J’ai toujours baigné dans ce milieu. Je connais donc parfaitement cette technique de culture surtout que la ferme y était déjà préparée lorsque j’ai pris la suite de mon père Jean-Marc. C’est aussi par conviction pour la sauvegarde de ma santé, celle des consommateurs et par respect pour l’environnement. Je ne suis pas un productiviste. Je récolte sans trop en demander à la terre. Ce n’est pas de la production intensive. Il y a des rotations dans les plantations, et j’essaie de limiter l’arrosage surtout en cette période de sécheresse. Dans notre famille nous avons une démarche philosophique sur le bio."

Que produisez-vous ?

"Du classique, melons à cette saison, tomates, fraises, ails, je dispose de 80 hectares et depuis quelque temps mon frère Fabien est venu prêter main-forte sur la ferme. Ainsi nous avons pu ajouter, toujours en bio, deux bâtiments pour la production des poulets chair qui sont très demandés."

Votre parcours ?

"J’ai été artisan maçon pendant 5 ans, deuxième ligne à l’équipe seniors de l’ASF rugby, la vie a fait que j’ai dû arrêter cette activité et reprendre l’exploitation".

Etes-vous associé à une boutique bio ?

"Effectivement je livre des produits frais dans les "biocoop" et dans certains magasins locaux. Je fournis surtout aux particuliers."

Faites-vous les marchés ?

"Le mardi je suis à Fleurance, le jeudi à Saint-Clar, le vendredi à Lectoure, ainsi que le dimanche et le samedi matin à Fleurance qui a un joli petit marché et en cette période accueille beaucoup de vacanciers".

Votre plus belle satisfaction ?

"Quand les gens ont goûté mes légumes et mes fruits, c’est de savoir qu’ils y reviennent."

Source La Dépêche

Lancée en novembre dernier, la librairie La Méridienne entame son premier été pour accompagner ses lecteurs dans des voyages, après quelques mois marqués par la crise du Covid.

"Ainsi, que vous ayez opté pour rester cette année chez vous ou que vous décidiez de partir pour changer d’air, que vos vacances soient encore loin, ou que vous prépariez dès maintenant vos baluchons,… la Méridienne étend ses services pour vous aider à passer un bel été" informe la responsable Julie Têtue.

Optimiste et sereine pour les prochains mois, Julie, la gérante, a en effet choisit de continuer à proposer toujours plus de lectures d’été et de produits de qualité : "nous avons collectivement besoin de nous distraire, mais aussi de prendre du recul par rapport aux derniers mois. Pour beaucoup d’entre nous, le confinement a marqué une pause dans nos vies, notamment pour les enfants. Il va falloir se rouvrir au monde, à la découverte, et à l’autre"

Alors, pour s’évader le temps d’une lecture, ou échanger en famille ou entre amis le temps d’un moment commun, les visiteurs de La Méridienne pourront trouver : Jeux de société pour petits et grands (jeux de plateaux, de stratégie, d’aventure, de cartes), large sélection de revues culturelles, belle papeterie de voyage, cartes postales, mais aussi loisirs créatifs et puzzles… il y en a pour tous les goûts.

La partie salon de thé est là pour accueillir, également pour tester, autour du buffet les jeux de société que l’on retrouve dans les rayons. Bel été à tous!

Source La Dépêche

Depuis les pêches blanches entières pelées à la main, devenues un must dans les milieux de la haute restauration internationale, la conserverie lomagnole a le don de faire pousser les belles idées…

Au point qu’aujourd’hui, sa gamme Cap Bio propose plus de cent cinquante recettes pour nous accompagner dans un quotidien parfois chahuté.

Les soupes de légumes que viennent relever plantes et huiles essentielles par exemple, viendront naturellement à la rescousse des organismes stressés, raplapla, à la recherche d’un bon plan détox. Choux, poireaux, asperges, carottes, tomates, etc. s’associent délicieusement avec menthe, sauge, lavande, camomille… De quoi donner envie de vivre de soupes et d’eau fraîche !

D’autant qu’ici, tout ce qui entre dans la composition des produits est issu de coopératives, groupements ou producteurs bio, locaux, régionaux, mais toujours français. Et les idées novatrices ne manquent pas.

« En 2019, nous avons lancé notre nouvelle série de produits lactofermentés, obtenus selon les principes très anciens d’une fermentation naturelle, remise au goût du jour grâce à ses bienfaits au niveau de la flore intestinale. Choux, carottes, radis noirs, betteraves entre autres sont utilisés dans de fines recettes mêlant épices, graines, ail noir… Elles sont élaborées dans notre laboratoire de recherches, en tenant compte des avis de nos clients ».

« Nous avons sorti également depuis trois mois une gamme pasteurisée, qui permet d’obtenir des produits à durée de vie plus longue par rapport aux aliments frais » commente Pascal Lafont, PDG des Vergers de Gascogne depuis 2013.

En quête perpétuelle de revalorisation d’anciennes traditions, un nouveau condiment vient de faire de son come-back après plusieurs années d’oubli : le Cucumis sativus, plus connu sous le nom de cornichon.

« Il y a vingt ans, l’importante usine de transformation Bésiers était basée à Castelsarrasin. Le Tarn-et-Garonne et le Gers – notamment Lectoure et Fleurance – étaient alors des régions très productrices. Mais petit à petit, tout a été exporté en Inde ; au point qu’aujourd’hui, 99% des cornichons que nous consommons en France proviennent de là-bas. Sachant qu’il existe ici un terroir propice et toute une culture autour de ce légume, nous avons souhaité le réintroduire ».

« Ce qui a suscité beaucoup d’enthousiasme auprès de personnes qui, spontanément, nous ont aidés à retrouver des variétés, les méthodes de plantation, les recettes… Tous les cornichons seront bien entendu bio, et transformés dans nos locaux à Fleurance » ajoute Pascal Lafont. De quoi donner au passage un joli coup de pouce à l’emploi et l’économie locale, y compris du côté des producteurs.

Petits et croquants, ou gros et sucrés, la première production-test cet été sera limitée à 2 à 3 tonnes. Avant de passer à une quantité beaucoup plus importante d’environ 50 tonnes, qui permettra alors d’assurer les ventes sur tout le territoire.

Un projet en accord total avec la philosophie de l’entreprise qui souhaite relocaliser légumes et fruits français, tout en valorisant au juste prix le travail des producteurs, transformateurs et distributeurs.

Du beau et bio travail des Vergers de Gascogne, qui permet à sa marque d’être présente aujourd’hui sur tout le territoire, et en constante progression aux Etats-Unis, en Australie, au Japon, à Hong-Kong, Taïwan, Singapour, en Europe, et, depuis peu, en Espagne, séduite par la gamme de produits lactofermentés.

Source Presselib

 

 

Quand William Texier, Nouceta Khedi, cofondateurs de l’entreprise GHE, et Jean-Louis Castell, président de la Lomagne gersoise, se rencontrent, les projets germent à la même vitesse que les plantes que cette PME fleurantine cultive en hydroponie. Invités à une rencontre de travail, Jean-Louis Castell et Raymond Vall ont pris connaissance des nouveaux projets de GHE, des investissements qui vont être réalisés à Fleurance et des emplois qui seront créés. La PME prévoit la création d’un centre de recherche sur la production de plantes et leur transformation, ainsi que l’implantation d’une nouvelle serre hydroponique destinée à la culture de plantes alimentaires. L’ensemble représente un investissement d’environ 1,2 million d’euros et la création progressive d’une dizaine d’emplois. Depuis trente ans, GHE développe des méthodes de cultures biologiques, économes en eau et en terre. Le savoir-faire de l’entreprise et de ses collaborateurs est désormais reconnu dans le monde entier, en témoigne son chiffre d’affaires à l’export vers l’Australie, le Japon ou l’Afrique du Sud. Autre développement à haute performance environnementale : les supports de culture en plastique sont produits et recyclés en interne selon les principes de l’économie circulaire. Jean-Louis Castell a pris l’engagement de soutenir l’intégration du projet du centre de recherche dans la démarche Territoires d’industrie, ce qui facilitera sa réalisation et permettra de compléter le travail engagé pour structurer la filière plante depuis 2015 avec les membres de l’association Asan Bio. Cette association réunit, entre autres, les Vergers de Gascogne-Cap Bio, le laboratoire Maurice-Mességué, Fleurance Nature, les Herbes d’Hélios, Bioccitanie, le laboratoire Altho, Ethiquable, La Panacée Bio, GHE, qui représentent ensemble plus de 200 emplois et ont déjà permis la relocalisation de certaines productions.

Source La Dépêche

La Lomagne gersoise ayant reçu les validations nécessaires pour lancer son programme d’aide spécifique à destination des secteurs économiques particulièrement touchés par la crise Covid 19, son territoire dispose désormais d’un nouveau dispositif d’accompagnement des loyers et emprunts immobiliers des entreprises. Les modalités de ce dispositif, prévu à l’article L 1511-3 du Code général des collectivités territoriales, prévoient, sous conditions, une aide représentant 80 % des loyers ou emprunts immobiliers, dans la limite de 1.000 € (soit un plafond mensuel de 800 €). Y sont éligibles les entreprises de 10 salariés ou moins, créées ou reprises depuis moins de 3 ans, ou en extension immobilière ou d’activités depuis moins de 2 ans (et pour toutes, ayant constaté une baisse de chiffre d’affaires d’au moins 40 % ou ayant été contraintes à une fermeture administrative). Cette aide couvre la période de mars et avril pour l’ensemble des entreprises éligibles et également sur le mois de mai pour les entreprises soumises à fermeture depuis. Autre fonds spécifique sur la Lomagne gersoise, la réorientation des fonds FISAC devrait permettre rapidement d’accompagner les associations de professionnels dans leurs actions de communication destinées à la reprise de l’activité, ainsi qu’au financement des dépenses de mises aux normes sanitaires des commerçants et artisans.

Ces nouveaux dispositifs de la Lomagne gersoise en faveur de l’économie restent strictement encadrés dans les capacités juridiques d’intervention de la communauté de communes, mais renforcent l’ensemble des actions engagées depuis avril pour l’enjeu désormais majeur du déconfinement : le soutien à l’économie du territoire.

Ces actions propres à la Lomagne gersoise complètent son engagement à financer par conventionnement les initiatives de la région Occitanie-Pyrénées-Méditerranée qui seront validées par cette dernière, à savoir :

  • le fonds de solidarité exceptionnel Occitanie (ou volet 3)
  • et l’OCCAL (à destination des acteurs du tourisme, du commerce et de l’artisanat de proximité).

Renseignements sur hubentreprendre.laregion.fr, au 05.62.29.52.40 ou par mail (economie@lomagne-gersoise.com).

Source La Dépêche

Basée à Fleurance, l’entreprise coopérative est pionnière du commerce équitable en France. Son dirigeant est prêt à accompagner des entrepreneurs du territoire…
Pour rappel, la démarche « Entrepreneurs solidaires », lancée par PresseLib’ a pour but de permettre à des dirigeants démunis face à cette situation exceptionnelle de se faire accompagner, bénévolement, par des chefs d’entreprise expérimentés.
La plateforme de mise en relation des entrepreneurs du bassin Adour Gascogne va être ouverte. En attendant, Rémy Roux nous livre sa motivation.
« Nous avons de la chance, car notre Scop [entreprise coopérative, où les salariés détiennent le capital de l’entreprise] continue son activité. En Midi-Pyrénées, 80% des structures comme la nôtre ont fermé à cause du Coronavirus », explique Rémi Roux, l’actuel gérant et l’un des fondateurs de la Scop Ethiquable.
Bien sûr, la structure a dû s’adapter aux mesures de confinement (télétravail, rotation des équipes…) mais Ethiquable fonctionne (à peu-près) normalement. « On fait comme tout le monde : on s’adapte », confie Rémi Roux.
Lorsque PresseLib’ l’a contacté pour lui présenter la démarche, le chef d’entreprise a tout de suite répondu présent. « Lors de la création d’Ethiquable, des professionnels ont pris le temps de nous aiguiller, de nous transmettre leur expérience. Sans eux, notre structure n’en serait probablement pas où elle est aujourd’hui »…

Source Press'Lib

Créée il y a 40 ans, l’entreprise Cogex, avec un chiffre d’affaires de 37 millions d’euros, est un des acteurs principaux du rayon bricolage en distribution spécialisée (grandes surfaces de bricolage, enseignes d’équipement de la maison et autres grandes surfaces alimentaires).

Comme nombre d’entreprises en relation avec la distribution spécialisée, une grande partie de l’activité, notamment celle en relation avec les magasins, s’est arrêtée le 17 mars. Uniquement cinq personnes ont continué à travailler sur le site pour maintenir les services RH, de direction et de comptabilité.

Le service achat, lui, a été opérationnel en télétravail, pendant toute la période de confinement. Cela a permis à l’entreprise de ne pas avoir de rupture d’approvisionnement et ainsi mieux organiser la reprise. Le reste de l’effectif a bénéficié des mesures de chômage partiel.

Ce n’est pas pour autant que l’entreprise n’a anticipé la reprise d’activité. Elle a ainsi pris les devants, en redémarrant une activité partielle avec une vingtaine de salariés dans les entrepôts dès le 14 avril.

Le but était de préparer aux mieux les opérations prévues avant le confinement sur les mois de mai et juin. Cette reprise partielle s’est faite dans le plus strict respect des mesures sanitaires. Progressivement, le personnel est revenu dans les entrepôts pour atteindre 80 % de l’effectif au 11 mai.

Les personnes à risque ainsi que celles étant obligées de rester à domicile pour garde d’enfant ont continué à bénéficier des mesures de chômage partiel.

Au niveau du siège, la reprise s’est aussi faite petit à petit.

Ce sont tout d’abord les services commerciaux qui sont revenus début mai afin de reprendre contact avec les clients et préparer aux mieux la période estivale. Toutes les mesures sanitaires ont été appliquées.

Des parois en plexiglas ont aussi été installées dans les bureaux où le respect de la distanciation n’était pas possible. Toutefois, le télétravail a été favorisé pour l’ensemble des personnes du service achat.

Aujourd’hui, après trois semaines de reprise, Patrick Buros, dirigeant de la Cogex, estime que l’entreprise a su faire face sereinement à cette situation inédite et se félicite de l’engagement de ses salariés.

La Cogex en chiffres

Cogex est une filiale du groupe Benton qui emploie plus de 500 personnes dans le Gers. La PME fleurantine compte 150 salariés répartis sur deux sites. Le siège à Fleurance regroupe les services administratifs, commerciaux et la direction (80 personnes) et le site d’Agen est dédié à l’entrepôt logistique (70 personnes).

Cogex a participé à son niveau au soutien des équipes soignantes dans les hôpitaux locaux avec le don de masques chirurgicaux tout au long du mois d’avril.

Source La Dépêche

Pascal Lafont, PDG des Vergers de Gascogne – Cap bio, se félicite d’avoir choisi Fleurance pour implanter, en 2017, la nouvelle usine de son entreprise. "C’est grâce à la volonté, au soutien et aux aides obtenues par Jean-Louis Castell que j’ai pu rapidement trouver un terrain et engager la construction de notre conserverie qui répond aux normes européennes et a permis à l’entreprise historique de conquérir de nouveaux marchés, dans la grande distribution comme la gastronomie haut de gamme, en France et à l’international."

Aujourd’hui, le chef d’entreprise, toujours avec le soutien du président de la communauté de communes de la Lomagne gersoise Jean-Louis Castell, engage sa PME dans un nouveau défi pour relocaliser, à Fleurance, la production, la transformation et la commercialisation du cornichon bio français.

Ce condiment, fleuron du Tarn-et-Garonne il y a encore quelques années, était produit à hauteur de 25 tonnes par jour mais sa culture en France, fortement concurrencée par l’Inde, s’est progressivement éteinte au cours des 25 dernières années. Aujourd’hui, 80 % des 60 millions de bocaux de cornichons vendus chaque année dans notre pays viennent d’Inde, 20 % des pays de l’Est et sont produits en agriculture conventionnelle.

C’est donc un vrai challenge pour Pascal Lafont ainsi que les entreprises et producteurs locaux impliqués avec lui dans ce projet.

Pour Jean-Louis Castell, "c’est la mission même d’un élu local que de faciliter, sécuriser l’installation d’entreprises sur son territoire et d’accompagner les entrepreneurs comme Pascal Lafont. Les Vergers de Gascogne emploient aujourd’hui 35 personnes. La croissance remarquable de cette conserverie, sa capacité d’innovation et l’intégration parfaite de son dirigeant dans la vie économique et sociale locale sont une vraie récompense à mes yeux. Elles me permettent d’espérer que les Fleurantins trouveront bientôt de nouveaux emplois sur notre territoire".

Juste avant le confinement s’est ouvert au 55, avenue Corps-Franc-Pommies une structure de vente de matériels et de produits destinés non seulement aux professionnels de santé mais aussi et surtout aux particuliers. Ce magasin fait partie d’une enseigne nationale, Distri Club Médical, forte de 75 unités. Les gérants de cette entité fleurantine sont Isabelle et Etienne Collière, Gersois d’adoption, acteurs dans le domaine de la santé depuis longtemps et profondément attachés à la notion de ruralité. Ce sont justement ces notions de terroir, de bien-vivre ensemble qui les ont poussés à s’installer ici. Par ailleurs ils n’ont pas souhaité amplifier la désertification médicale et soucieux d’être cote à cote avec le personnel de santé local -médecins, kinés, infirmier(e)s, ils ont écarté l’idée d’une installation dans une grande ville et privilégiant un emplacement au centre d’un triangle Agen-Montauban-Auch.

Leur commerce complète l’offre de service dans la santé et concernant l’offre aux particuliers, Etienne n’hésite pas à se déplacer chez ces derniers pour un diagnostic de matériel, un conseil ou des décisions collégiales à prendre en compte. Le magasin conçu est vaste, aéré, avec une surface de 285 m2 dont 150 m2 de vente. Isabelle et Etienne sont sensibles à la notion de service et de dévouement, conscients qu’ils travaillent pour de "l’humain".

Distri Club Médical est ouvert du lundi au vendredi, de 9h à 18h, sans interruption, et le samedi de 9h à 12h, mais en cas de besoin, on peut vous y accueillir à l’issue. Toujours cette notion de proximité. Contact au 05 67 24 81 24.

Source La Dépêche

Comme chacun d’entre nous a à le subir, nous vivons actuellement une crise sanitaire inédite et exceptionnelle.L’état d’urgence sanitaire décrétée en France nous fait craindre une crise sociale sans précédent lorsque la reprise et le dé-confinement seront effectifs.Pour tenter de limiter les effets irrémédiables auxquels nous allons devoir faire face, il est indispensable qu’un soutien à l’économie, principale compétence de la Lomagne Gersoise, puisse être engagé d’ores et déjà pour d’une part, prévoir une solidarité financière rapide envers les acteurs touchés de plein fouet par cette crise, et d’autre part engager les conditions d’une reprise dans les moins mauvaises conditions possibles.C’est la raison pour laquelle, en concertation avec Mme la Sous-préfète de Condom depuis plusieurs semaines maintenant, et que je remercie à cette occasion pour son soutien sans faille, j’ai proposé au Bureau communautaire et àla commission «économie» de la communauté de communes de prévoir la mise en place d’un dispositif de solidarité propre au territoire de la Lomagne Gersoise.

L’objectif de ce dispositif est de permettre d’abonder les moyens engagés par l’Etat et la Région Occitanie en débloquant :

  • une enveloppe de 150.000 € au sein du fonds FISAC à destination principalement des commerçants et artisans-commerçants (partagéeentre l’Etat et la communauté de communes),
  • une autre enveloppe de 150.000 € entièrement financée par la Lomagne Gersoise pour les TPE et indépendants.Sans aucun dossier et critères supplémentaires queceux demandés par l’Etat, la Lomagne Gersoise abondera de 500 € les aides pour les indépendants ou 0 salariés (portant l’aide globale d’Etat et régionale à 3.000 € au maximum), et de 1.000 € pour les entreprises de 1 à 10 salariés (portant l’aide globale maximale à 3.500 €).

Si la crise venait à se poursuivre, nous envisagerons naturellement de poursuivre cet effort légitime de solidarité. Je remercie l’engagement de nos collaborateurs mobilisés à cet effet, la coordination avec les services de l’Etat (DIRECCTE et Trésorerie départementale). Le service économie de la Lomagne Gersoise reste à la disposition de tous les acteurs pour apporter toutes précisions utiles sur ce dispositif (permanence téléphonique le matin, et constitution des pièces l’après-midi).

CONTACTS :

Pour le secteur de Fleurance: contact Lorna STEINMEYER: 05.62.64.28.29 economie@lomagne-gersoise.com

Pour le secteur de Lectoure: contact Cyril LEPACHELET: 05.62.29.52.40 economie@lomagne-gersoise.com

Communiqué de presse Lomagne Gersoise

 

En raison du confinement, certaines entreprises sur le territoire d’Occitanie ont vu leur activité se réduire. Pourtant, de nombreuses sociétés coopératives ont choisi de se réinventer ou de

s’adapter à cette situation inédite. Les initiatives sont nombreuses et variées, dont celle des Sociétés coopératives et participatives (Scop) et Sociétés coopératives d’intérêt collectif (SCIC) qui se mobilisent de manière alternative. Au nombre de ses sociétés qui apportent leur soutien aux entrepreneurs en difficulté, Ethiquable à Fleurance. Son gérant, et président de l’Union régionale des Scop et Scic d’Occitanie Pyrénées, Rémi Roux a participé à la démarche "entrepreneurs solidaires" initiée par PresseLib’. L’objectif ? Permettre à des dirigeants démunis face à cette situation exceptionnelle de se faire accompagner, bénévolement, par des chefs d’entreprise expérimentés. Rémi Roux a souhaité aider les entrepreneurs et leur faire bénéficier de son expérience. "L’économie sociale et solidaire permet de nouer des liens très forts entre les différentes Scop, donc cette démarche solidaire colle parfaitement avec nos valeur, indique Rémi Roux. Si par notre expérience, nous pouvons aider d’autres entrepreneurs, leur permettre d’avoir une vue d’ensemble, alors il n’y a aucune hésitation à avoir."

L’Union Régionale des Scop Occitanie pôle Pyrénées fédère les Scop (Sociétés coopératives et participatives) et les SCIC (Sociétés coopératives d’intérêt collectif) de Midi-Pyrénées, présentes dans tous les secteurs d’activité. Structure d’accompagnement à la création, reprise et transmission d’entreprises en coopératives, l’Urscop propose un service complet aux adhérents et aux porteurs de projet.

Source La Dépêche

Dans le cadre des différentes démarches et actions engagées depuis le début de la crise sanitaire, la question de l’approvisionnement en solutions de protection, et notamment en masques sanitaires, est centrale pour les maires.
Différentes collectivités se sont mobilisées dès mi-avril pour être en mesure de distribuer des masques grand public dès que possible. En Lomagne Gersoise, plusieurs communes ont commandé des masques sanitaires, notamment via un groupement d’achat auprès de Ligardes Brico Elec et l’entreprise MGH Lip à Lectoure pour les masques lavables réutilisables, en complément des deux masques par habitant fournis par le département, pour lesquels la communauté avait répondu favorablement à la démarche initiale sollicitant la participation financière des EPCI (Établissement public de coopération intercommunale), et financés finalement exclusivement par la Région et le Département, et auprès du département pour les masques à usage unique destinés aux services.
Les masques réutilisables grand public achetés par les mairies ont été reçus ce mercredi 20 mai et remis aux communes concernées depuis ce vendredi 22 mai. Leur répartition aux habitants est du ressort des équipes municipales qui doivent maintenant gérer leur distribution dans les meilleures conditions sanitaires.

Source La Dépêche

Distribution de masques pour les commerçants de la Lomagne Gersoise

Depuis le début de la crise sanitaire, la Lomagne Gersoise essaie activement de se mobiliser dans un cadre très réglementé et contraint, pour apporter tout le soutien possible à son économie. Dans le cadre des différentes démarches et actions engagées, et pour envisager une reprise dans les moins mauvaises conditions, Jean-Louis CASTELL, Président de la Communauté de communes de la Lomagne Gersoise, a informé récemment les représentants des associations de commerçants du territoire de sa volonté d’accompagner les commerces recevant à nouveau du public en leur fournissant, pour leur clients, des masques sanitaires. Dans l’attente de la distribution des masques grands publics par les différents collectivités, annoncée à partir du 20 mai, et conscient que le sas de déconfinement ouvert depuis lundi peut engendrer certaines crispations pour l’accès aux commerces (contraints de veiller au respect des exigences sanitaires), ce sont ainsi 6.000 masques commandés à l’entreprise M.G.H. à Lectoure qui vont être urgemment dispensés en cette fin de semaine par les 2 associations de commerçants du territoire, et pour l’ensemble du territoire communautaire. Ces masques, répartis pour moitié respectivement sur les cantons de Lectoure et de Fleurance, seront distribués par Fleurance Action et l’ACAL (association des commerçants, professions libérales et artisans du Lectourois), chaque association s’organisant de manière autonome pour cette distribution. Sur Lectoure, à l’occasion de la réception de ces masques, c’est Daniel LIGARDES, président de l’ACAL qui a pris en charge cette dotation et a précisé prévoir plusieurs points de distribution sur la commune, avec une distribution d’ores et déjà de 10 unités par établissement. A cette occasion, Jean-Louis CASTELL a également fait état de l’avancement des négociations avec les services de l’Etat, particulièrement disponibles, sur les modalités d’évolution du programme FISAC (fonds d’intervention pour les services, l’artisanat et le commerce), qui devraient permettre rapidement de financer les démarches de communication et d’actualisation numérique des associations de commerçants. En cette période de crise les services communautaires restent mobilisés au bénéfice de l’ensemble des administrés du territoire, et le service économie reste notamment à la disposition des entreprises pour toute démarche utile ou urgente (contact : 05.62.64.28.29 – economie@lomagne-gersoise.com).

POUR LA DISTRIBUTION DES MASQUES A DESTINATION DES PROFESSIONNELS, LES CONTACTS :

Pour le secteur de Fleurance, contacter Fleurance Action : 06.64.28.18.65 - fleurance-action@orange.fr

Pour le secteur de Lectoure, contacter l’ACAL : 05.62.28.70.85 - acal32.lectoure@gmail.com

Communiqué de presse Lomagne Gersoise

Comme chacun d’entre nous a à le subir, nous vivons actuellement une crise sanitaire inédite et exceptionnelle.L’état d’urgence sanitaire décrétée en France nous fait craindre une crise sociale sans précédent lorsque la reprise et le dé-confinement seront effectifs.Pour tenter de limiter les effets irrémédiables auxquels nous allons devoir faire face, il est indispensable qu’un soutien à l’économie, principale compétence de la Lomagne Gersoise, puisse être engagé d’ores et déjà pour d’une part, prévoir une solidarité financière rapide envers les acteurs touchés de plein fouet par cette crise, et d’autre part engager les conditions d’une reprise dans les moins mauvaises conditions possibles.C’est la raison pour laquelle, en concertation avec Mme la Sous-préfète de Condom depuis plusieurs semaines maintenant, et que je remercie à cette occasion pour son soutien sans faille, j’ai proposé au Bureau communautaire et àla commission «économie» de la communauté de communes de prévoir la mise en place d’un dispositif de solidarité propre au territoire de la Lomagne Gersoise.L’objectif de ce dispositif estde permettre d’abonder les moyens engagés par l’Etat et la Région Occitanie en débloquant:-une enveloppe de 150.000 € au sein du fonds FISAC à destination principalement des commerçants et artisans-commerçants (partagéeentre l’Etat et la communauté de communes), -une autre enveloppe de 150.000 € entièrement financée par la Lomagne Gersoise pour les TPE et indépendants.Sans aucun dossier et critères supplémentaires queceux demandés par l’Etat, la Lomagne Gersoise abondera de 500 € les aides pour les indépendants ou 0 salariés (portant l’aide globale d’Etat et régionale à 3.000 € au maximum), et de 1.000 € pour les entreprises de 1 à 10 salariés (portant l’aide globale maximale à 3.500 €).

Si la crise venait à se poursuivre, nous envisagerons naturellement de poursuivre cet effort légitime de solidarité.
Je remercie l’engagement de nos collaborateurs mobilisés à cet effet, la coordination avec les services de l’Etat (DIRECCTE et Trésorerie départementale).
Le service économie de la Lomagne Gersoise reste à la disposition de tous les acteurs pour apporter toutes précisions utiles sur ce dispositif (permanence téléphonique le matin, et constitution des pièces l’après-midi).

CONTACTS :
Pour le secteur de Fleurance : contact Lorna STEINMEYER : 05.62.64.28.29 economie@lomagne-gersoise.com
Pour le secteur de Lectoure : contact Cyril LEPACHELET : 05.62.29.52.40 economie@lomagne-gersoise.com

Détail dans le communiqué de presse de la Lomagne Gersoise.

Installée dans la pépinière d’entreprises à Lectoure, Pélitool est la seule entreprise en France spécialisée dans les outils pour fabricants d’enseignes et de signalétique. L’impact des mesures de confinement a été brutal ; les ventes de l’entreprise se sont effondrées de plus de 80 %. Pourtant, Emmanuel Delor, son fondateur, reste optimiste : cette période de calme va être mise à profit pour développer les outils qui lui manquaient : un catalogue des 1 200 références proposées, une amélioration du site internet, et surtout, une action intense de communication via les réseaux sociaux. Confinement ne signifie pas isolement et Pélitool espère, dans cette période particulière, créer grâce à Facebook, Linkedin et YouTube, une vraie communauté avec ses clients pour matérialiser son slogan : "partageons nos idées pour avancer ensemble".

D’ailleurs l’entreprise propose de partager avec les établissements de santé qui en ont besoin, un millier de gants latex et son stock d’isopropanol utilisable dans la formulation de gels hydroalcooliques.

Contact Tél. : 05 36 180 180 (en semaine, de 9 heures à 13 heures et 14 heures à 18 heures).
Source La Dépêche

Jean-Louis Castell, président de la communauté de communes de la Lomagne gersoise, a mis en place une communication de crise. La collectivité se mobilise au service des 20 000 habitants du territoire.

Jean-Louis Castell, président de la communauté de communes, s’adresse aux 20 000 habitants de la Lomagne gersoise :
« La crise sanitaire que nous traversons est sans précédent et la Lomagne Gersoise a immédiatement pris des mesures pour assurer la continuité des services dont elle a la compétence tout en protégeant ses agents, ses usagers et ses partenaires.
Une permanence est assurée du lundi au vendredi de 9 h à 12 h :
- au siège de la communauté à Fleurance, Tél. 05 62 64 22 55 (administration générale, urbanisme, comptabilité)
- à la pépinière d’entreprises à Lectoure, Tél. 05 62 29 52 40 (pour toute question liée à l’accompagnement des acteurs économiques).
En dehors de ces horaires, nous vous invitons à communiquer par mail avec vos interlocuteurs habituels www.lomagne-gersoise.com/Les-services
Je remercie à cet égard la mobilisation des agents communautaires engagés pour la continuité du service public.
Concernant le transport à la demande, en concertation avec le prestataire, le service sera maintenu, sauf dispositions gouvernementales nouvelles, uniquement à destination des personnes dépendantes pour leurs déplacements encadrés.

Tarifications suspendues et chantiers à l’arrêt

L’ensemble des tarifications communautaires (maison de santé, aire d’accueil, pépinière d’entreprises, école de musique…) a été suspendu et donnera lieu à un report ultérieur.
À la demande des entreprises, les chantiers ont naturellement été mis en arrêt pour protéger l’ensemble de leurs collaborateurs et respecter les mesures que l’on impose à tous.
J’appelle de toutes mes forces à la plus grande prudence et au confinement le plus parfait, et ne saurai que de préconiser à tous d’adopter les bons gestes et réponses simples dont nous avons tous connaissance. »

 

La société de Saint-Vincent-de-Lamontjoie a investi plus d’1,3 million d’euros dans son déménagement à Lectoure. Elle a bénéficié de l’appui de la communauté de communes, tout en prenant une part active à la démarche de l’association locale ASANBio.

Les Herbes d’Helios, reprise il y a 8 ans par Christel Dupuy, est aujourd’hui une belle affaire familiale de près de 2 millions d’euros de chiffre d’affaires, qui oscille entre 15 et 25 salariés en fonction des saisons. Sa spécialité, c’est le persil, qui peut se récolter de mai à décembre et que l’entreprise cultive sur 18 hectares du côté de Saint-Vincent-de-Lamontjoie, dans le Lot-et-Garonne.

Les Herbes d’Helios commercialisent quelque 800 tonnes de persil chaque année (avec un record de 42.000 bottes expédiées en un jour avant les fêtes), tandis que feuilles et tiges de la précieuse plante servent ensuite à la confection de compost biologique.

On parle bien d’affaire familiale, car l’épouse de Christel Dupuy, Anne-Marie, en est la directrice générale, tandis que leurs deux enfants sont pleinement impliqués dans l’activité : Adrien Dupuy gère la production, la culture et les machines agricoles, tandis que sa sœur Anaïs pilote le volet commercial et les ressources humaines.

Direction Lectoure pour le persil gascon !

En ce qui concerne le patron lui-même, habitué à travailler en famille depuis longtemps (il avait bien avant cela repris un commerce de charbon familial sur Agen), il pilote l’exploitation dans son ensemble, sans hésiter à mettre lui-même la main… au persil.

Tout récemment, l’unité de production des Herbes d’Helios a déménagé dans le Gers, à Lectoure, sur la zone d’activité Jean-Pierre Joseph (ex-zone des Galis). Un investissement de plus d’1,3 million d’euros. L’entreprise a été accompagnée par la communauté de communes de la Lomagne Gersoise, « qui a particulièrement accompagné ce projet d’implantation au niveau administratif, foncier et financier », par exemple en attribuant une aide directe à l’entreprise afin « de déclencher le dispositif d’immobilier d’entreprises de La Région Occitanie et de l’inscrire dans la démarche “Territoires d’Industrie” avec le Pays Portes de Gascogne ». La nouvelle unité de production (2.100 m2) aurait permis aux Herbes d’Helios de gagner 600 m2 de surface par rapport à sa précédente implantation.

On connaissait déjà l’attachement de la société à la Lomagne gersoise. Les Herbes d’Helios participent en effet aussi à la démarche de la nouvelle association locale ASANBio (Agro-alimentaire et Santé par une Alimentation Naturelle et Biologique), lancée en 2018 et comptant 25 membres, tels les Vergers de Gascogne et Les Jardins de Cocagne.

L’idée générale de cette association est de développer la filière agrobiologique du pays de Fleurance autour d’une production relocalisée, écologique, équitable et ajustée aux besoins réels du marché, alors que 80% des plantes médicinales consommées en France seraient par exemple encore importées.

Vers une filière agrobiologique en Lomagne…

Les sociétés membres d’ASANBio mènent une réflexion commune sur la mutualisation des besoins en ressources humaines (afin de pérenniser l’emploi local), sur la recherche de solutions logistiques d’acheminement des produits ou encore sur l’innovation. Pour les Herbes d’Helios, qui assurent aussi une activité de négoce en commercialisant des produits d’autres exploitations (œufs, céleri branche, artichauts), cela pourrait conduire à des contrats avec de nouveaux producteurs locaux d’herbes aromatiques, qui bénéficieraient en retour du réseau commercial de l’entreprise.

Pour la petite société, les principaux défis sont en effet d’agréger à son activité de nouveaux producteurs extérieurs et de faire progresser son référencement auprès des grandes centrales d’achat. Elle viendrait d’ailleurs de dénicher un nouveau partenaire normand. Elle travaille aussi sur la transformation, en particulier sur le segment du persil en poudre déshydraté, qui s’obtient notamment grâce à sa déshumidification, après l’étape de séchage. Les Herbes d’Helios investiraient pour cela dans une machine, de même que dans un bâtiment de conditionnement du persil frais, avec le concours de la Région, qui lui a accordé une aide de 388.000 euros.

On l’aura compris : l’herbe semble bien un peu plus verte qu’ailleurs dans le charmant pays de Lomagne…

Plus d’informations sur lomagne-gersoise.com

Source PRESSELIB.COM

Installée dans la pépinière d’entreprises à Lectoure, Pélitool est la seule entreprise en France spécialisée dans les outils pour fabricants d’enseignes et de signalétique. L’impact des mesures de confinement a été brutal ; les ventes de l’entreprise se sont effondrées de plus de 80 %. Pourtant, Emmanuel Delor, son fondateur, reste optimiste : cette période de calme va être mise à profit pour développer les outils qui lui manquaient : un catalogue des 1 200 références proposées, une amélioration du site internet, et surtout, une action intense de communication via les réseaux sociaux. Confinement ne signifie pas isolement et Pélitool espère, dans cette période particulière, créer grâce à Facebook, Linkedin et YouTube, une vraie communauté avec ses clients pour matérialiser son slogan : "partageons nos idées pour avancer ensemble".
D’ailleurs l’entreprise propose de partager avec les établissements de santé qui en ont besoin, un millier de gants latex et son stock d’isopropanol utilisable dans la formulation de gels hydroalcooliques.
Contact Tél. : 05 36 180 180 (en semaine, de 9 heures à 13 heures et 14 heures à 18 heures).

Source LA DEPECHE

Chaque semaine dans "Sénat 360", un reportage est réalisé par un journaliste de la rédaction au cœur de l’action d’un parlementaire dans les différents territoires. Ce reportage permet de suivre sur le terrain un sénateur dans son travail sur un dossier ou des problématiques locales.

Aussi vendredi dernier, c’était au tour de Raymond Vall, sénateur du Gers, de mettre en avant un dossier sur le commerce équitable. Pour cela l’équipe de télévision "Public Sénat" s’est rendue avec le parlementaire à Monfort dans l’entreprise Qualisol qui collecte des produits sous le nom "Paysans d’ici" et qui implique sur ce territoire des jeunes agriculteurs qui produisent des lentilles, des haricots, pois chiche et du blé dont la farine est sans gluten, le tout bio. Cela apporte 30 % d’activité supplémentaire et une plus valu à l’ensemble de cette filière.

Puis, l’équipe de télévision s’est rendue en zone industrielle à Ethiquable qui est en pleine rénovation pour la construction d’une chocolaterie. Rémi Roux, directeur, et Franck Listuzzi, directeur de production, avec Raymond Vall, sénateur, ont répondu aux questions sur cette unité qui a connu un essor exponentiel et qui emploie à ce jour plus de cent personnes. Cette entreprise travaille en amont avec les pays d’Amérique, d’Afrique du Sud et Madagascar et les ventes se font dans toute l’Europe. Là aussi a été expliqué le rôle du commerce équitable qui pratique un prix plus juste pour mieux rémunérer les agriculteurs de leur travail.

Le reportage réalisé est à voir aujourd’hui lundi à 17 h 30 sur la chaîne "Public Sénat" dans l’émission "Sénateur à domicile".

Source La Dépêche

Chaque année, Jean Dupuy, l’horloger fleurantin, accepte en stage un jeune désirant se former ou découvrir le métier de l’horlogerie. Actuellement c’est Alexandre, 22 ans, originaire du nord de la France qui découvre cette profession si particulière qu’est l’horlogerie.

Bachelier, l’intéressé a tout d’abord suivi une formation en informatique. Mais s’apercevant que cela n’était pas sa voie, Alexandre décide de venir dans la Gers à Pauilhac plus précisément où demeure sa grand-mère. Pensionnaire de l’Instep d’Auch, dans le cadre de la recherche, de la découverte et de la formation d’un métier, il se dirige alors vers l’horlogerie. D’où sa venue à Fleurance.

Ce qui l’attire dans ce métier ? Il le dit spontanément : la précision, le travail minutieux, la "petite mécanique", comment cela fonctionne. Alexandre a le sentiment que l’horlogerie est un métier qui se perd. "C’est un métier de passion", dit-il sans ambages et n’en décelant pour le moment aucun inconvénient majeur. Il est heureux de cette découverte, bien dirigé par Jean Dupuy, son maître de stage et puis ajoute Alexandre : "Les clients de Fleurance sont sympathiques !"

Source La Dépêche

Sur le marché de Noël, samedi et dimanche dernier, l ’on a pu découvrir un stand inhabituel. Il s’agit de celui sur lequel prenait place de l’ail noir, qui a fait depuis quelques mois son apparition en Lomagne. C’est une culture particulière que Jérémy Vermaele a présenté aux clients ou aux éventuels acheteurs.Comme il l’a expliqué :"L’ail noir n’est pas une variété à part, mais tout simplement de l’ail blanc transformé par un processus de fermentation".
Cette recette élaborée en Asie consiste à laisser les gousses d’ail à maturation dans un lieu clos, chaud et humide, les transformant progressivement pour leur donner un nouveau goût l’"umami" (qui veut dire savoureux en japonais). Etant déjà très sensible à la médecine naturelle, l’ail étant une production phare de notre territoire, l’élaboration et la commercialisation d’ail noir se sont révélées comme une évidence pour Jérémy Vermaele qui a choisi d’en faire son métier après avoir passé quelques années dans les bureaux du service technique de la ville de Fleurance. Celui -ci a donc fait l’acquisition du matériel nécessaire aux divers traitements en installant sur sa ferme un véritable laboratoire dans lequel sont disposées toutes les machines , que ce soit pour le tri , égrenage, épluchage, séchage , le stockage dans des chambres froides, la fermentation dans des étuveset la maturation.

Située à mi-chemin entre Lectoure et Saint-Clar la ferme de Tourreille qu’exploite Jérémy Vermaele profite d’un terroir d’exception pour la culture de l’ail.Sur une petite surface de 1 à 1,5 hectares d’ail, avec sa famille, il œuvre de manière à privilégier la qualité.

Les premières gousses d’ail noir sont sur les marchés de la région et connaissent un vif succès. Comment en savoir plus « La société La Panacée Bio » est le nom qui a été donné à cette entreprise qui a été créée en mai dernier dans le but de transformer sur place des produits issus de l’exploitation agricole biologique.

Pour plus d’informations. http://lapanaceebio.fr/-Contact ASAN Bio : asanbio32@gmail.com

Source La Dépêche

La première usine en Europe qui produira exclusivement du chocolat bio et équitable verra le jour dans le Gers en 2021, a-t-on appris mardi auprès d'Ethiquable, pilier du commerce équitable en France.

Les fondateurs d'Ethiquable ont posé mardi à Fleurance (Gers) la première pierre de l'usine, un investissement de 15 millions d'euros, soutenu par la Banque des territoires de la Caisse des dépôts et consignations.

 

Un quart du chocolat bio vendu en France provient des filières d'Ethiquable au Pérou, en Equateur, à Madagascar et en Côte d'Ivoire, avec l'objectif d'installer le concept des terroirs du chocolat, comme pour les vins.

«C'est un schéma nouveau, avec une traçabilité de A à Z, et la possibilité de fabriquer des petits lots. On veut faire des chocolats d'origine. Cela va nous donner plus d'autonomie dans la production», a déclaré un des fondateurs d'Ethiquable, Christophe Eberhart.

«Le consommateur, insiste-t-il, veut un chocolat, comme les vins, avec des cacaos des terroirs, chose que l'industrie de masse a camouflé».

L'usine située à une heure et demie de Toulouse produira 60.000 tablettes de chocolat chaque jour, car la demande ne cesse de croître. Le chiffre d'affaires d'Ethiquable, dont 45% vient des ventes de chocolat dans les rayons bio de la grande distribution, a bondi de 20% en 2019.

«Avec un prix de 2,30 euros la tablette, nous offrons un produit de qualité qui rémunère justement le producteur à un prix abordable», assure M. Eberhart.

«Ethiquable achète notre production deux fois plus cher que le prix du marché», selon le directeur commercial de la coopérative Norandino, Santiago Paz, qui vend chaque année 250 tonnes de cacao et autant de café à la coopérative française.

En France, la société basée dans le Gers est le premier producteur de chocolat bio dans les moyennes et grandes surfaces, avec 25% du marché. Ethiquable vend l'essentiel de sa production en France, mais aussi en Allemagne, en Belgique et en Espagne.

La construction de l'usine française dont la production débutera en mai 2021 est doublée de la construction au Pérou d'une usine de production de masse de cacao, qui sera ensuite expédiée à Fleurance pour la dernière étape de la transformation.

«C'est un projet révolutionnaire», salue le dirigeant de Norandino qui rassemble 7.000 producteurs de cacao, café et sucre dans le nord du Pérou.

M. Paz se réjouit qu'une partie de la transformation puisse se faire en Amérique latine. Actuellement, elle se fait essentiellement en Europe.

Source La Croix

Ethiquable se lance dans la fabrication de produit phare, le chocolat, directement à Fleurance dans le Gers. Un projet de chocolaterie dévoilé ce mardi devant le chantier, qui s’accompagne d’une action vers les pays producteurs.

Ethiquable a présenté ce mardi matin sa future chocolaterie, un bâtiment qui sera livré au printemps 2021. Un outil industriel moderne, respectueux de l’environnement, au service d’une vision humaniste de l’économie, « une relocalisation de notre production ici, à Fleurance, dans le Gers », comme Remi Roux, cofondateur et gérant de la Scop, l’indiquait en introduction, et qui entraînera la création de 10 emplois dans un premier temps.
Pour la Scop fleurantine, c’est une révolution dans plusieurs domaines. En termes de site industriel déjà. « Le site actuel, qui date des années 70, n’était plus adapté, souligne Christophe Eberhart, l’un des cofondateurs d’Ethiquable. Il a fallu deux ans de travail pour la conception de ces nouveaux bâtiments, qui réunissent la chocolaterie, un entrepôt augmenté et les bureaux. » Soit 5500 m², sous la maîtrise d’œuvre d’Addenda, qui a pensé l’ensemble comme bâtiment à énergie positive. Optimisation thermique, matériaux naturels ou neutres, photovoltaïque ou récupération thermique, tout est là pour faire un bâtiment respectueux de l’environnement.
Révolution économique également. Le chocolat, à lui seul, représente 40 % du chiffre d’affaires d’Ethiquable, marque qui cumule à elle seule 25 % de la vente du chocolat bio. Auparavant, le chocolat arrivait tout fait d’Italie. Désormais, il sera livré du monde entier en « masses de cacao » directement depuis les unités de production, des blocs de 30 ou 40 kg. Ces blocs seront broyés et sucrés à Fleurance, où le produit ainsi raffiné sera également moulé et emballé. La marque envisage déjà 1300 tonnes de chocolat « made in Fleurance » par équipes, chaque année. Pour ce projet, d’un montant total de 15 millions d’euros, fidèle à ses valeurs, Ethiquable s’est entouré de partenaires de la finance solidaire et de la Caisse des dépôts.
Révolution des compétences enfin. Car cet outil va permettre à Ethiquable de concocter de nouvelles recettes, de nouveaux produits, et de développer une autre forme de relation avec les pays producteurs. La marque fleurantine compte mettre en place des projets innovants sur place, en améliorant les capacités ou les qualités des producteurs avec lesquels elle travaille. Et ils sont près de 6800. « C’est presque un nouveau métier », reconnaît Christophe Eberhart. D’ici un an et quelques mois, il flottera un parfum de chocolat au-dessus de Fleurance…
Conforter la filière Pérou
Norandino, la coopérative péruvienne partenaire d’Ethiquable pour ses crus de cacao du Pérou, était représentée ce mardi. Elle va bénéficier d’un projet de montée en gamme.Actuellement, cette coopérative fournit de la matière brute, la masse de cacao.L’idée est de relocaliser au Pérou une partie du traitement de cette masse de cacao, pour apporter une plus value à la production locale. « Un moment historique, un projet révolutionnaire pour nous », a martelé le représentant de Norandino. Face aux 4 acheteurs qui verrouillent le marché mondial, les petits producteurs se tournent vers des niches : qualité, traçabilité, bio… « Ethiquable nous paient le cacao au double du cours mondial ! » Ce type de projet est appelé à se développer avec la nouvelle chocolaterie.

Source La Dépêche

La première usine en Europe qui produira exclusivement du chocolat bio et équitable verra le jour dans le Gers en 2021, annonce Ethiquable, pilier du commerce équitable en France, ce mardi.

Les fondateurs d’Ethiquable ont posé mardi à Fleurance (Gers) la première pierre de l’usine, un investissement de 15 millions d’euros, soutenu par la Banque des territoires de la Caisse des dépôts et consignations. Un quart du chocolat bio vendu en France provient des filières d’Ethiquable au Pérou, en Équateur, à Madagascar et en Côte d’Ivoire, avec l’objectif d’installer le concept des terroirs du chocolat, comme pour les vins.

« C’est un schéma nouveau, avec une traçabilité de A à Z, et la possibilité de fabriquer des petits lots. On veut faire des chocolats d’origine. Cela va nous donner plus d’autonomie dans la production », a déclaré un des fondateurs d’Ethiquable, Christophe Eberhart.

La première usine en Europe qui produira exclusivement du chocolat bio et équitable verra le jour dans le Gers en 2021, annonce Ethiquable, pilier du commerce équitable en France, ce mardi.

Les fondateurs d’Ethiquable ont posé mardi à Fleurance (Gers) la première pierre de l’usine, un investissement de 15 millions d’euros, soutenu par la Banque des territoires de la Caisse des dépôts et consignations. Un quart du chocolat bio vendu en France provient des filières d’Ethiquable au Pérou, en Équateur, à Madagascar et en Côte d’Ivoire, avec l’objectif d’installer le concept des terroirs du chocolat, comme pour les vins.

« C’est un schéma nouveau, avec une traçabilité de A à Z, et la possibilité de fabriquer des petits lots. On veut faire des chocolats d’origine. Cela va nous donner plus d’autonomie dans la production », a déclaré un des fondateurs d’Ethiquable, Christophe Eberhart.

« Le consommateur veut un chocolat, comme les vins, avec des cacaos des terroirs, chose que l’industrie de masse a camouflée ».

L’usine produira 60.000 tablettes de chocolat chaque jour, car la demande ne cesse de croître. Le chiffre d’affaires d’Ethiquable, dont 45% viennent des ventes de chocolat dans les rayons bio de la grande distribution, a bondi de 20% en 2019. « Avec un prix de 2,30 euros la tablette, nous offrons un produit de qualité qui rémunère justement le producteur à un prix abordable », assure M. Eberhart.

« Ethiquable achète notre production deux fois plus cher que le prix du marché », selon le directeur commercial de la coopérative Norandino, Santiago Paz, qui vend chaque année 250 tonnes de cacao et autant de café à la coopérative française.

En France, la société basée dans le Gers est le premier producteur de chocolat bio dans les moyennes et grandes surfaces, avec 25% du marché. Ethiquable vend l’essentiel de sa production en France, mais aussi en Allemagne, en Belgique et en Espagne.

La construction de l’usine française dont la production débutera en mai 2021 est doublée de la construction au Pérou d’une usine de production de masse de cacao, qui sera ensuite expédiée à Fleurance pour la dernière étape de la transformation. « C’est un projet révolutionnaire », salue le dirigeant de Norandino qui rassemble 7.000 producteurs de cacao, café et sucre dans le nord du Pérou. M. Paz se réjouit qu’une partie de la transformation puisse se faire en Amérique latine. Actuellement, elle se fait essentiellement en Europe.

Source SUD OUEST

Raymond Vall souligne le talent de visionnaire de Rémi Roux, cofondateur en 2003 de la société Ethiquable.

Ce mardi, la société Ethiquable posera à Fleurance la première pierre de sa chocolaterie, dédiée au cacao équitable et bio. Un investissement de 25 millions d’euros qui conforte la Scop gersoise comme leader national du commerce équitable. Un succès extraordinaire dont Raymond Vall a été un témoin privilégié depuis 2003 comme maire de Fleurance puis sénateur du Gers.

Ethiquable est un des fleurons économiques de Fleurance. Qu’est-ce qui a fait son succès selon vous ?

Les compétences des trois associés, Rémi Roux, Stéphane Comar et Christophe Eberhart, et leur complémentarité. Le choix qu’ils ont fait d’opter pour un statut de Scop, un mode de fonctionnement très souple qui a créé une dynamique. Aujourd’hui, plus des deux tiers des salariés sont sociétaires de la Scop. Leur succès c’est aussi cette intuition qu’il était possible de faire du commerce équitable non seulement entre le Nord et le Sud mais aussi au bénéfice des agriculteurs français. Le succès de la marque Paysans d’ici, créée par Equitable avec un partenaire comme Qualisol est là pour le démontrer…

Implanter un leader national du commerce équitable à Fleurance n’allait pas de soi pourtant.
Dans l’ambiance actuelle de ce qui se passe, je constate une chose : l’implantation d’une entreprise sur un territoire, c’est l’histoire d’une rencontre. En 2003, j’étais maire de Fleurance et conseiller régional lorsque Rémi Roux est venu me voir pour me dire qu’il voulait créer une boîte de commerce équitable. Il était cadre chez Lea Nature à ce moment-là. L’histoire économique de Fleurance est riche de projets innovants portés par des cadres d’entreprise qui ont su essaimer. Rémi Roux en fait partie. En me présentant son projet, il me lance : "Dans moins de 5 ans, j’aurai besoin de 5 000 m2 de bâtiments et j’aurai créé une vingtaine d’emplois". Je lui ai répondu par une boutade : "Si tu réussis, je te ferai une statue". Sauf que cinq ans après, il est revenu pour me dire : "On y est".

Et sa statue ?

On a trouvé un compromis. Quand Ethiquable s’est installée dans les anciens abattoirs, j’ai baptisé la voie qui relie l’entreprise à la RN 21 "allée du commerce équitable". L’idée a bien plu à Rémi Roux. Aujourd’hui encore, Fleurance est la seule ville de France et d’Europe à avoir une de ses rues qui porte ce nom. Ethiquable a véritablement assis la place de Fleurance comme capitale française du commerce équitable, comme le titrait le quotidien national La Croix en 2017. Aujourd’hui, Ethiquable c’est 150 salariés dont 80 à Fleurance. La chocolaterie va créer 10 emplois supplémentaires sur notre commune. Ce projet innovant fait partie de ceux que l’Etat va aider dans le cadre des Territoires d’industrie. Ethiquable, c’est vraiment l’histoire d’une relation équitable entre une jeune entreprise et son territoire. J’aimerais convaincre d’autres élus d’être dans ce partenariat et ce dialogue permanents avec les acteurs économiques. Même dans un département rural, on peut réussir de grandes choses.

Source La Dépêche

À Cadeilhan, deux jeunes entrepreneurs lancent un produit aussi bon pour les gourmets que pour leur santé : l’ail noir bio du Gers. Un condiment qui pourrait séduire les restaurateurs, à partir d'un produit local.

Nicolas Ricau et Fabien Candelon, deux amis gersois de longue date se sont lancés le défi de populariser auprès des grandes tables gersoises : l’ail noir. Un condiment déjà très apprécié au Japon, en plein essor en Europe notamment auprès des grands restaurants français. Depuis leurs locaux situés à Cadeilhan, près de Fleurance, ils transforment depuis plus de 6 mois l’ail de Lomagne en ail noir grâce à une technique ancestrale venue d’Asie. Ils inaugurent d’ailleurs ce matin leur site « l’étuverie » en présence d’élus et de représentants des chambres consulaires. L’occasion de présenter et de faire de goûter cet ingrédient, encore peu connu du grand public, mais qui recèle pourtant d’incroyables bienfaits. « L’ail blanc est déjà très réputé pour être un très bon aliment. L’ail noir a les mêmes vertus, mais multiplié par 10 voire même par 15. Grâce à la présence d’une molécule, la S-allyl-cystéine qui est présente en très grande quantité et qui est donc à l’origine de ses nombreuses vertus (antioxydant naturel, régule le cholestérol et la tension, booste l’immunité, favorise la circulation du sang) », souligne Fabien Candelon, co-fondateur de l’entreprise, ce matin sur notre antenne. L’objectif affiché cette année par les jeunes entrepreneurs est de transformer près de 2 tonnes d’ail blanc, qui seront ensuite commercialisées dans des épiceries fines du département et sur leur site marchand : www.letuverie.com
Article du 12/12/2019 - Hit FM radio
Article du 13/12/2019 - Le journal du Gers
Article du 15/12/2019 - PresseLib’
Article et ITV du 16/12/2019 - La Dépêche

La remise des trophées de l'innovation et de l'économie Occinov' organisée par le groupe La Dépêche du Midi s'est déroulée hier soir, à Mauguio, près de Montpellier. Les trophées ont été remis à des entreprises de toute l'Occitanie.

Qu'est-ce qu'un entrepreneur ? Un investisseur, un acteur économique du territoire, un citoyen engagé, une femme, un homme au cœur d'une aventure collective portée dans une entreprise de la région… Tout ça à la fois. Et c'est cela que nous avons récompensé, hier soir, à l'occasion d'Occinov, la soirée de l'innovation et de l'économie en Occitanie. Un événement organisé par le groupe La Dépêche du Midi, ses six quotidiens et ses trois hebdomadaires implantés dans les treize départements de la région.

«Ces entreprises, ces territoires, notre mission est de les valoriser», a rappelé Jean-Michel Baylet, PDG du groupe La Dépêche du Midi. «Ce soir, nous célébrons le goût de l'innovation, de la création, du risque, nous mettons en lumière le courage et la détermination qui conduisent à la réussite», a-t-il poursuivi avant de donner la parole à Andrea, Lilian, Lola, Kévin, des jeunes étudiants engagés dans des projets environnementaux, sociétaux, européens, d'entreprise…

Des citoyens mobilisés autour d'un idéal. À l'instar de Johanna di Pietro, gendarme, revendiquant les valeurs de service et de proximité ou encore de Jordi Castellano, directeur général de la Halle Tropisme à Montpellier qui rencontre depuis son lancement un grand succès, comme du lieutenant colonel Eric Muchery, ex-directeur adjoint de la Patrouille de France, qui a insisté sur d'autres qualités : l'humilité, le collectif et la confiance. Des ingrédients nécessaires à la construction et au développement d'une entreprise. Ce que nommés, lauréats, parrains et partenaires ont rappelé tout au long de la soirée avant de déguster les mets de la région. L'autre idée du partage.

Coup de cœur : Ethiquable (Gers)

Parrainé par la Région Occitanie, le «Coup de cœur» est revenu à la Scop Ethiquable qui regroupe une cinquantaine de coopératives de petits producteurs bios en France et dans le monde. C'est la conseillère régionale Marie-Thérèse Mercier qui a remis le trophée à Muriel Decout, représentante de la société. Facebook ETHIQUABLE

Source La Dépêche

Le village peut s'enorgueillir d'avoir encore dans ses murs une véritable épicerie. Cette dernière a été reprise, il y a quelques mois, par Joëlle Riesenmey qui nous vient d'Eure-et-Loire. Elle et son époux se sont installés à Fleurance et ont tout de suite été conquis par notre région.An centre du bourg donc, dans un joli local proposé par la mairie, Joëlle propose sa bonne humeur, mais pas uniquement. Chez elle, on peut trouver tout ce qui est du ressort d'un magasin de village qui se doit de proposer un large éventail, sachant que les personnes âgées sont heureuses de ne pas avoir à se déplacer trop loin.

Chez Joëlle, on trouvera donc des légumes, de la charcuterie, de la viande, du pain, des boissons et même de la pâtisserie fraîche le dimanche matin. À noter que la maîtresse des lieux s'approvisionne en priorité chez les producteurs locaux, ce qui est un gage de qualité.

Également sont proposées toutes sortes de produits ménagers ainsi que la presse et des bouteilles de gaz. Le magasin fait également relais-Poste, très utile pour l'achat de timbres, les petits retraits et autres opérations simples. Joëlle vous attend avec le sourire tous les jours de 8 h à 12 h 15, y compris le dimanche, fermeture le mardi.

Source La Dépêche

Accueil des nouvelles entreprises: La Panacée Bio (Lectoure)

Ce mercredi 20 novembre, Pascal Lafont, Président de l’association ASAN Bio, etJean-Louis Castell, Président de la Lomagne Gersoise, ont rendu visite à Jérémy Vermaele, dirigeant de l’entreprise La Panacée Bio, qui produit et commercialise depuis peu de l’ail noir.Originaire de Lectoure, Jérémy Vermaele a récemment repris l’exploitationfamilialede ses parents et, afin de se diversifier, il vient de se lancer dans la production d’ail noir.La visite de MM. Lafont et Castell fut l’occasion pour lui de leur présenter son activité.L’ail noir n’est pas une variété à part, mais tout simplement de l’ail blanc transformé par un processus de fermentation. Cette recette élaboréeen Asie consiste à laisser les gousses d’ail à maturation dans un lieu clos, chaud et humide, les transformant progressivement pour leur donner un nouveau goût: l’«umami» (qui veut dire savoureux en japonais).Et cette métamorphose va également améliorer les propriétés nutritionnelles de l’ail, déjà bien connu comme alicament pour ses nombreuses vertus bénéfiques pour la santé.Etant déjà très sensible à la médecine naturelle, et l’ail étant une production phare du territoire, l’élaboration et la commercialisation d’ail noir s’est révélée commeune évidence pour Jérémy Vermaele. Il a ainsi récemment fait l’acquisition du matériel nécessaire à l’installation d’un véritable laboratoire dans lequel sont disposées toutes les machines nécessaires à sa production d’ail noir: que ce soit pour le tri (égrenage, épluchage, séchage), le stockage (chambres froides), la fermentation (étuve) et la maturation. Mais les tests qu’il conduit depuis plus d’un an sur sa ferme à Tourreille lui ont déjà permis de mettre au point un produit biologique de qualité.Pascal Lafont a en effet pu détaillerque le territoire de la Lomagne bénéficie d’un terroir d’exception et d’une IGP pour son ail blanc, et que cette production jusqu’ici annexe des exploitations agricoles constitue une véritable source potentielle de diversification et deproduction de valeur ajoutée. Mais si les pratiques actuelles de la production d’ail limitent le développement des volumes, de par les freins que sont les coûts d’investissement et de main-d’œuvre, l’exemple de la Panacée Bio est une illustration de la pertinence à rechercher des potentiels de transformation.Cette rencontre fut également l’occasion pour Jean-Louis Castell de rappeler que la Lomagne Gersoise accompagne la structuration de l’association ASAN Bio, dont la vocation principale est de regrouper tous les acteurs des filières agro-alimentaires locales afin d’œuvrer au premier-chef à la relocalisation écologique et équitable de la production de plantes alimentaires, aromatiques et médicinales.Il s’est félicité d’une telle initiative, qui se veut à la fois innovante en proposantun produit bien-être, et inscrite dans la structuration en cours de la filière d’ail biologique.Plus d’informations à: http://lapanaceebio.fr/-Contact ASAN Bio: asanbio32@gmail.com

Communiqué de presse

La Lomagne Gersoise a accueilli récemment la journée d’information du Comité Local Ecole Entreprise (CLEE) qui regroupe les représentants (principaux et enseignants) des 22 collèges gersois.

Sous l’impulsion et l’organisation de Benjamin PAUL, proviseur du lycée Le Garros, d’Ernest PIETRANICO, principal du collège Hubert Reeves à Fleurance, et d’Olivier XERRI, proviseur adjoint du lycée professionnel Pardailhan, un grand nombre de principaux de collèges du Gers et leurs équipes pédagogiques s’est retrouvé pour des rencontres sur le thème des relations et synergies possibles entre les services de l’éducation nationale et les entreprises.

Jean-Louis CASTELL, Président de la Lomagne Gersoise, était ravi de pouvoir ouvrir les travaux de cette assemblée d’une trentaine de personnes, et a rappelé toute l’importance que le territoire, et particulièrement les acteurs économiques, porte à cette thématique.

Le programme de cette journée s’est articulé autour de visites le matin sur la commune de Fleurance (les Vergers de Gascogne et le chantier du Laboratoire d’Innovation Rurale), puis d’échanges conviviaux avec quelques chefs d’entreprises du territoire (Fleurance Nature, Vergers de Gascogne, F Constructions, Synergie Fleurance, Ligardes Brico-Elec…) sur la pause déjeuner au sein de la pépinière d’entreprises de Lomagne à Lectoure, pour finir avec une après-midi très studieuse à travers 5 ateliers de formation et d’échanges sur "la petite fabrique de la relation école entreprise".

Les trois associés de la Brasserie Le Vaillant Fourquet en plein développement, heureux de contribuer avec le Floc de Gascogne, à l'émergence des «slocs», slows cocktails made in Gers

Le Floc de Gascogne et la brasserie Le Vaillant Fourquet de Miradoux se mélangent à merveille dans des «slow cocktails» voulus par le comité départemental de tourisme. Deux cocktails aux couleurs du Floc, l'un blanc, l'autre rouge.

Et si le «slow tourisme» cher au comité départemental de tourisme, avait son cocktail emblématique, le «sloc» à base de produits artisanaux gersois ! L'idée a germé sans que l'on sache si parmi ceux qui la portaient dont Gisèle Biémouret, présidente du CDTL et José-Luis Pereira son directeur, une majorité était «plutôt bière» ou «plutôt floc». Toujours est-il qu'après des mois de réflexion, c'est de ce mariage entre le Floc de Gascogne dont Patrick Farbos préside le comité interprofessionnel et une excellente bière artisanale gersoise que sont finalement nés deux «slow coc», l'un blanc, l'autre rouge, les couleurs du Floc. Pour ces deux slows cocktails c'est donc la brasserie Le Vaillant Fourquet à Miradoux, elle aussi dans la confidence du projet dès son origine, qui a été choisie. Créée en 2010 à l'Isle-Bouzon et dirigée depuis 2015 à Miradoux par Sébastien Biasiolo, Nicolas Glevard, deux jeunes agriculteurs ingénieurs avec Yann Roumégoux, ingénieur comme eux, cette brasserie a des références, une reconnaissance, un passé qui parle pour elle et un avenir des plus prometteurs. Avec notamment 8 recettes en bières bio dont deux rentrent justement dans la composition des «slows coc».

Pour Le Vaillant Fourquet cette démarche avec le Floc qui n'a été officialisée qu'il n'y a que quelques semaines lors des Marchés flottants à Paris, représente une pierre supplémentaire à l'édifice. Lequel monte, monte, confient les trois brasseurs associés. «En 2014 notre production était de l'ordre de 350 hectolitres. Nous sommes à 500 et nous nous préparons à atteindre une production de 1 000 hectos dans deux ans».

Question de goût

C'est donc une brasserie bien gersoise en pleine ascension qu'ont choisi le CDTL et le Floc pour que le projet «slows cocktails» ne fasse pas un flop. «Pour les deux cocktails le choix s'est fait sur notre bière blanche» précise Nicolas Glevard tout en ajoutant que Le Vaillant Fourquet n'a signé aucune exclusivité qui mettrait hors jeu des concurrents. Mais «toutes les bières blanches n'ayant pas le même goût», celles de la brasserie de Miradoux ont une longueur d'avance tant il est vrai que l'original vaut mieux que la copie. À Paris mais aussi en Gascogne à l'occasion de dégustations privées, les deux «slocs» Floc-bière ont de «bons retours» autant de la part de la clientèle féminine que masculine. Pour le Floc qui «arrosera» les 30 ans de son Appellation d'origine contrôlée (AOC) l'an prochain, ces «slocs» white (blanc) et red, (rouge) arrivent à pic tout en confirmant «la vaillance» du fourquet que Sébastien, Nicolas et Yann continuent à manier manuellement, artisanalement dans leur brasserie «aux champs», à Miradoux.

Un fourquet est une pelle en fer, en cuivre ou en bois, percée en son milieu, utilisée en brasserie lors de la confection de la bière.

Sloc red & white

Pour confectionner le Red Sloc : 6 cl de Floc Rouge AOP,

3 cl de jus de cranberry,

5 cl de bière blanche,

1 cl de citron vert pressé.

Pour confectionner le White Sloc : 4 cl de Floc blanc AOP,

5 cl de bière blanche,

1 cl de crème de pêche,

1 cl de sirop de pain d'épice,

1 cl de jus de citron vert,

1 tranche d'orange (déco)

A boire avec modération

Source La Dépêche

Jean-Marie Neels éleveur porcin dans le Gers à Sempesserre. Il a remis son travail en question et a crée (avec sa famille) la Maison Neels, charcuterie artisanale. Un pari réussi et une autre façon de voir l'agriculture.

Jean Marie Neels est éleveur de porcs dans le Gers à Sempesserre. La viande de ses cochons est ensuite transformée en salaisons, mais aussi saucisses ou pâtés, que l’on retrouve en vente directe à Maison Neels, charcuterie traditionnelle nichée en pleine campagne gersoise, près de la ferme d’élevage. Nous sommes à ses côtés, dans un premier temps, sur cette ferme au lieu-dit "Clarac". 

“Dans le cochon tout est bon, et le meilleur c’est l’éleveur!!!!” Illustration avec Jean-Marie Neels, éleveur et transformateur qui nous accueille sur sa ferme, dans le Gers. Un homme qui (à une époque) a tout changé dans sa façon de travailler. Après la ferme, nous sommes cette fois au lieu-dit "Houreste", dans la charcuterie traditionnelle et familiale.

Source France Bleu

Depuis samedi, un nouveau commerce s'est installé rue de la République (n.87) et est tenu par Julie Têtue, ancienne directrice d'une agence média. (Dans les anciens locaux de Guy Denuaux et de Pascaline Crassous)

Sur près de 120 m2 les Fleurantins et les habitants des alentours pourront trouver auprès de 4 000 livres de littérature française et étrangère, mais aussi de sciences humaines et même du dernier «prix Goncourt», «Tous les hommes n'habitent pas le monde de la même façon» de Jean Pierre Dubois ; de quoi passer un agréable moment.

«La Méridienne» propose également dans cet espace une sélection de vinyles, jeux, cartes et papeterie autour d'un salon de thé sous une verrière au mobilier confortable.

Elle sera ouverte du mardi au samedi de 9 h 30 à 12 h 30 et l'après-midi de 14 heures à 19 heures.

Lors de l'inauguration de vendredi soir, Julie Têtue a accueilli les élus, Ronny Mazzzoléni conseiller régional, Gérard Auret et Isabelle Dubord maires adjoints et Jean-Louis Castell président de la communauté des communes. Tous lui ont souhaité les meilleurs vœux de réussite.

Source La Dépêche

Des agriculteurs, un meunier et un boulanger, tous engagés dans une démarche bio et locale. A La Romieu, un projet commun voit le jour, pour créer une filière de transformation ultra moderne.

Dans la famille d'Oscar Coupey, on est meunier depuis le XIXe siècle. «On a eu des moulins brûlés par les Allemands à chaque guerre», plaisante l'intéressé, qui a repris le flambeau à La Romieu. Lui qui se définit comme «paysan avant tout», a décidé de créer un moulin pour traiter la production des agriculteurs bio du coin. «On avait la production en amont, mais on voulait sortir du petit collectif, avec des objectifs trop localisés. Il nous fallait un marché en aval.» A l'époque, aucune banque ne veut financer le projet. «J'ai rencontré Cyril Baland, et le courant est passé, d'autant que nous avons des intérêts communs : nous, il nous fallait un débouché assuré en aval ; lui cherchait des produits bio et locaux avec un approvisionnement stable.» Les banques trouvent soudain le projet formidable, et les fonds se débloquent, avec l'appui de la Région et de la Lomagne Gersoise. La SAS se met en place, et les agriculteurs sont rejoints par Cyril Balland et Jérémie Ginart, le patron de Relais Vert, leader de distribution en gros des produits alimentaires bio.

«Il y a une demande sociétale. Aujourd'hui, les gens veulent savoir d'où vient et qui produit ce qu'ils mangent, explique Cyril Baland, le créateur de Baland & Co, qui propose snacking et boulangerie bio. Ce projet me permet d'assurer mes approvisionnements, de les rendre traçable du champ à la baguette, ça m'autorise un développement de la marque, et d'offrir un pain différent.» Projet compliqué à mettre en place, mais il partage avec ses associés l'envie de faire profiter le territoire de l'engouement pour le bio et la sécurité alimentaire. «Au de-là du commerce, on accompagne les agriculteurs, en apportant de la valeur ajoutée, au lieu d'investir dans de l'immobilier.» La suppression des intermédiaires permet une redistribution plus équilibrée entre les acteurs de la filière.

L'installation, montée en quelques mois depuis octobre 2018, peut stocker 1 800 t, sur 2 500 m2 couverts, mais l'idée est d'écouler trois fois cette capacité dans l'année. «Les agriculteurs ont des capacités de stockages sur leurs installation : on peut refaire le stock en cours d'année», explique Oscar Coupey. Il faut répondre à la demande de la grande distribution bio, et à celle des boulangers de Baland & Co. Tout y est automatisé et pensé au maximum, depuis les circuits en tapis pour éviter de casser les graines, jusqu'aux trieuses optiques qui peuvent séparer les lentilles jusqu'à obtenir un produit pur à 99,99 %, en passant par les brosseuses qui ôtent les mycotoxines. Deux meules de granit sont en place, les premières de l'unité. «Nous sommes encore au stade où nous faisons des tests pour les farines, confie Oscar Coupey. On essaie différentes moutures, différentes variétés et mélanges…» Ce jour-là, les salariés de Baland & Co, dont le boulanger, sont venus voir sur place leur future source d'approvisionnement. Dans le petit labo de la meunerie, les sacs-tests sont alignés. On échange entre professionnels sur les qualités nutritionnelles, techniques, sur le prix avec les responsables des achats. «Nous sommes en contact direct, sans intermédiaire, insiste le meunier, et on sait à tout moment d'où vient le produit.»

Le chiffre : 30

producteurs > Bio. Outre les céréales, les agriculteurs partenaires de la SAS TG d'Oc produisent aussi des légumes secs, pour la distribution en magasin bio.

Filière agro : le grand manque gersois

La création de TG D'Oc répond à plusieurs besoins : les producteurs ont besoin de débouchés assurés ; les transformateurs, de matières premières en quantités suffisantes pour assurer l'amortissement des installations (celles de La Romieu ont coûté près de 3 M€) ; les distributeurs et boulangers veulent un approvisionnement garanti.

En dépit de son statut de 1er département bio de France, le Gers peine à alimenter avec régularité la filière agro alimentaire. À l'époque où il dirigeait BC Bio, Cyril Baland avait pu expérimenter la difficulté à s'approvisionner localement. Même problème pour Jérémie Jinard : Relais Vert livre plus de 1 400 magasins en France, et réclame également des quantités importantes. Pour autant, «le but n'est pas de prendre des marchés à d'autres entreprises, avertit Oscar Coupey. On est à l'opposé du système coopératif traditionnel. On ne compte pas faire de gros volumes. Nous sommes une filière intégrée, on travaille ensemble, sous contrat avec des producteurs, pour avoir le circuit le plus court possible entre le champ et l'assiette, le plus vertueux possible.»

TG D'Oc ne se limite pas au blé : lentilles, pois chiches, céréales rares ou anciennes, l'installation est adaptée pour toutes les cultures.

Source La Dépêche

La marque Ethiquable, basée à Fleurance, veut ramener à domicile une partie de la fabrication de ses produits finis. Parmi ceux-ci, le chocolat, mais pas seulement, et pas tout de suite.

Ethiquable se porte bien. Tellement bien que la marque fleurantine de produits bio et équitables a choisi de s'agrandir pour répondre à sa croissance. «On est logés dans les anciens locaux de Mességué pour un an, plaisante Rémi Roux, cofondateur de cette Scop ultra-dynamique. Le temps nécessaire pour bâtir les nouvelles installations sur notre site originel.» Sur place, 5 000 m2 d'entrepôt sont en construction, qui recevront aussi les bureaux, une boutique, et les installations nécessaires au développement industriel d'Ethiquable. «Nous avons dépassé les 50 M€ de chiffre d'affaires en 2018. En 2017, on a fait +26 %, +28 % en 2018… On a quitté le statut de PME pour devenir une ETI, une entreprise de taille intermédiaire, mais en restant une Scop, où les salariés sont sociétaires.»

Installée dans sa place de 4e du rayon bio, avec là aussi une belle croissance, Ethiquable doit contenter la demande. Avec 200 produits au catalogue, auxquels s'ajoutent ceux de Paysans d'Ici, difficile de tout stocker sur place. «Il y a des stocks dans l'ancienne base Intermarché de Lectoure, et même à Agen. Et puis, on a une grosse activité de reconditionnement, ici : les épices, le thé, etc.» L'équipe de direction a réfléchi à une intégration de l'industrialisation des produits. Soit en prenant des parts dans d'autres Scop, comme les Cafés Michel, soit en rapatriant à Fleurance certaines activités. Le chocolat fait partie des pistes très sérieusement envisagée. A lui seul, cet aliment représente 40 % de l'activité d'Ethiquable. «Quand on a démarré, il était impossible d'internaliser la fabrication. Mais on peut acheter aux producteurs le beurre ou la poudre de cacao, pour leur conserver une valeur ajoutée comme la torréfaction, et transformer ici. Cela représente 95 tonnes, près de 9,5 millions de tablettes l'an dernier, fabriquées en Italie.» Le site de Fleurance, qui emploie aujourd'hui 60 personnes, va prendre de l'importance, avec 10 embauches supplémentaires. «Notre croissance rend cela obligatoire, mais nos nouveaux locaux impliquent aussi de nouvelles activités.» Parmi lesquelles une chocolaterie ? L'idée avait été lancée en son temps par Raymond Vall, et par Rémi Roux lui-même lors des Septuors 2019. Lequel sourit quand cette possibilité est évoquée. «Cela fait partie de nos objectifs, répond-il. Il est évident qu'une telle installation répondrait à nos besoins à terme.»

Source La Dépêche

En partenariat avec la communauté de communes de la Lomagne gersoise, 8 professionnels aux profils et usages des réseaux sociaux variés ont participé à un atelier de sensibilisation, «Facebook pour les pros», au sein de la pépinière d'entreprises. Tous sont repartis avec un regard extérieur sur sa communication digitale et des astuces pratiques pour créer ou optimiser sa page professionnelle. Cet atelier s'inscrit dans le programme «Commerces connectés du Gers» initié par la chambre de commerce et d'industrie (CCI) 32 afin d'apporter une expertise et faire monter en compétences les commerçants et professionnels gersois. Le format d'atelier est volontairement court (environ 1 h 30-2 heures), souvent le lundi voire le mardi, pour mobiliser un maximum de commerçants en tenant compte de leurs contraintes horaires. Les thématiques abordées se veulent dans l'air du temps et utiles pour le public visé. On retrouve notamment, en complément de Facebook, le «merchandising», la visibilité web via Google My Business, l'accessibilité, etc. En 2020, deux nouveaux thèmes seront proposés. Ces ateliers collectifs gratuits et organisés sur l'ensemble du département sont à l'initiative de la CCI, des commerçants ou des collectivités. Pour organiser un atelier, renseignements au 05.62.61.62.51 ou par mail (a.hivert@gers.cci.fr). Pour le programme des ateliers, rendez-vous sur la page Facebook (« CCI du Gers commerces connectés ») ou sur le site www.gers.cci.fr (rubrique « agenda ».

Source La Dépêche

La soirée de lundi a vu les fleurons des entreprises gersoises être récompensés par les Septuors 2019, un événement du Groupe Dépêche du Midi pour mettre en lumière le tissu économique local.

Il n'y avait pas assez de chaises pour accueillir toute l'assistance de cette 4e édition des Septuors du Gers, dans la grande salle de conférences de la CCI gersoise, lundi soir. Autour d'Eric Laffont Baylet, administrateur délégué du Groupe Dépêche du Midi, qui organise ces trophées de l'économie locale, on retrouvait bien sûr Rémi Branet, le président de la CCI du Gers, mais également Philippe Martin, le président du Conseil départemental, ou encore le maire d'Auch, Christian Laprébende, des représentants de la Région, de Grand Auch Cœur de Gascogne, et surtout, une grande assemblée des entrepreneurs du Gers. Dans une salle décorée par les photos de dizaines de chefs d'entreprises locaux, Eric Laffont Baylet a posé le thème de cette grande soirée : «C'est le goût d'entreprendre que nous voulons mettre en avant !» Rémi Branet a souligné la qualité de vie du département, véritable atout pour faire venir des professionnels qui se lassent de plus en plus d'une existence urbaine. Mais comment réussir à faire passer l'image économique d'un département qui offre pourtant un paysage d'une très grande diversité ? Il a pointé le gros manque de communication des entreprises, trop souvent axées sur leur développement, et qui en oublient de se montrer, de parler de ce qu'elles font, et souvent très bien ! «C'est pour cela que nous sommes là ce soir !» Avec des lauréats qui innovent, comme Baland & Coe, «véritables serial entrepreneurs», ou qui savent faire évoluer une entreprise plus que centenaire, à l'image des Cartonnages d'Auch, déjà engagés dans la niche des récipients en carton qui remplacent le plastique. Qui comprennent les aspirations de la clientèle, comme l'Epicerie du Kangourou, qui passe de village en village ainsi que le faisaient les anciens commerces ambulants, mais pour proposer des produits dans l'air du temps. Philippe Martin n'a pas caché qu'il découvrait de vraies pépites dans les candidats ou les lauréats. Car, lundi soir, tous les candidats, primés ou non, auraient pu recevoir les trophées de l'entreprise : «On aurait pu, cette année encore, en récompenser davantage», a admis Rémi Branet. L'an prochain, peut-être, pour la 5e édition des Septuors du Gers.

1er Trophée Caractères d'entrepreneurs : Ethiquable, Fleurance

Ethiquable : Scop où, depuis 15 ans, les salariés sont les seuls actionnaires d'une entreprise, solidaire qui agit en faveur d'un commerce équitable avec une agriculture paysanne bio : 70 coopératives; 46 530 petits producteurs dans 27 pays.

Source La Dépêche

C’est l’histoire d’un belge, qui vient d’une famille de restaurateurs et qui voulait tout faire sauf la restauration, et qui s’est installé restaurateur à Lectoure.

C’est l’histoire d’un belge qui vient d’une famille de restaurateurs et qui voulait tout faire, sauf la restauration, et qui s’est installé restaurateur à Lectoure. C’est l’histoire d’une passion au pluriel. Celle de Laurence, une foodie et de Lionel, un foodie qui se rencontrent pour marier la cuisine et la vie à deux. C’est l’histoire d’un parcours étoilé qui atterrit dans le Gers. C’est l’histoire de Racines, un resto pas comme les autres.

Bonjour Lionel. Pourquoi Racines ?

Racines, c’est tout nous : un belge qui épouse une québécoise, qui se déracine pour s’installer dans le Gers. Deux passionnés de cuisine à la recherche de l’origine du goût, des plantes, des herbes, des produits d’ici, du terroir. Dans les assiettes, il n’y a pas grand-chose qui sorte du quart Sud-Ouest de la France. Tous les produits viennent du coin. À part les vins qui peuvent parfois venir de plus loin. On cherche l’authenticité, le goût du vrai et surtout de travailler les produits selon les saisons, puisque notre carte change même chaque semaine.

Et la passion, elle est venue toute seule ?

Je viens d’une famille de restaurateurs et j’avais envie de tout, sauf de devenir restaurateur. Alors j’ai fait un peu de tout…. avant de devenir restaurateur et de passer par les meilleures brigades en Belgique. Petit clin d’œil à ma grand-mère, qui possédait un restaurant sur la côte belge et avec qui j’allais trois fois par semaine au restaurant ; c’était mon maître, elle m’a formé à l’exigence et je la remercie. Mais je ne suis pas seul ici, il y a mon épouse, Laurence; elle, c’est un parcours à l’envers, qui a commencé par l’école hôtelière à Montréal et puis elle a fait le design. Je dois dire que cette complémentarité nous a aidé à concevoir cette adresse : on a fait que la déco, le style soit cohérent avec ce qui se trouve dans l’assiette : simple et vrai.

Vous n’êtes pas venus ici par hasard ?

Comme beaucoup, on avait envie de quitter la ville, alors on a eu une opportunité dans le Gers. On a commencé près de Marciac. Mais pour, le rêve c’était ici, à Lectoure. Quand l’an dernier, on a pu reprendre cette petite adresse, on n’a pas hésité. Une petite adresse, oui, on veut garder une qualité de vie, voir notre enfant grandir et ne pas se sentir dépasser par des frais et coûts qu’on n’arriverait plus à assurer. Vous savez, j’en ai vue des belles adresses qui peinent à être rentable ou qui tombent en faillite. Nous, on garde la tête sur les épaules et les pieds dans cette terre gersoise.  On adore ce coin. Regardez comme c’est beau. Bon, j’avoue les Pyrénées qu’on adore, sont un peu loin. Mais si je monte au bastion, je peux les regarder. Ca me plaît. Et puis ici, c’est le plus beau terrain de jeu pour un cuisinier. Ici, tout pousse, mais en mieux !

L’inspiration elle vient de là, elle vient du Gers ?

Elle vient surtout du marché. Celui d’ici le vendredi, mais de parfois plus loin. J’adore chiner des produits. C’est un peu pour ça que nous avons décidé, dès septembre, de fermer le samedi ; pour profiter de la région, se balader, et chercher l’inspiration auprès des producteurs un peu partout. Je pense que c’est le produit qui met la recette en valeur, pas l’inverse.  On vit dans une société en pleine mutation. Mutation des goûts, des saveurs, retour aux vraies valeurs. On recherche l’essence des goûts, l’authenticité des produits, bien d’ici, bien fermiers, bien natures… vous avez dit « racines » ?

Au-delà de ce qui se trouve dans l’assiette, vous êtes un entrepreneur ?

Je n’ai pas la prétention de l’être. Mais oui, s’installer ici, monter un commerce c’est porteur. Même si nous avons peu de tables, nous défendons des valeurs et l’envie d’une réussite pérenne. En plus, je suis membre de la Ronde des Mousquetaires, une confrérie des meilleurs restaurants du Gers, une idée du grand Daguin ; et je suis fier de porter cette cocarde, c’est un signe de qualité, de reconnaissance de la cuisine locale… encore des Racines ! 

Bon avec tout ça, vous n’auriez pas une recette ?

FOIE GRAS FRAIS, PÊCHE RÔTIE ET OSEILLE

4 tranches de 80 g de foie de canard frais

  • 8 pêches blanches
  • 1 oignon rouge
  • 1 botte d’oseille
  • 2 c. à soupe de vinaigre de vin rouge
  • amandes concassés
  • sel et poivre

- Couper en dés 4 pêches blanches. Mettre dans une casserole à feu moyen avec l’oignon ciselé et 1 c. à soupe de vinaigre. Laisser mijoter 10 minutes. Passer ensuite la compote au mixer et réserver.

- Couper le restant des pêches en demi. Retirer le noyau.  

- Saler les tranches de foie gras frais.

- Chauffer une poêle anti-adhésive, mettre les tranches de foie, ainsi que les pêches à rôtir. Bien colorer chaque côté. Débarrasser le foie gras.  Déglacer les pêches avec 1 c. à soupe de vinaigre de vin rouge.

- Pour le dressage de l’assiette, disposer la compote de pêche au fond de l’assiette. Y placer le foie gras préalablement salé et poivré.  Ajouter les pêches rôties, les amandes et l’oseille.

- Servir.

Restaurant Racines - 123 rue Nationale, 32700 Lectoure - Ouvert midi et soir les mardi, mercredi, jeudi, vendredi - Tél. 05 62 28 07 41

Le Journal du Gers

Jean-Louis Castell a accueilli hier, au siège de la CCLG, les membres du comité de pilotage local : de g. à d. Franck Montaugé, sénateur du Gers ; Guy Mantovani, président du PETR Pays Portes de Gascogne ; Jean-Miochel Baylet, président du PETR Garonne-Quercy-Gascogne et Raymond Vall, sénateur du Gers.

Retenus par le gouvernement comme Territoire d'industrie, le Pays Portes de Gascogne et le PETR Garonne-Quercy-Gascogne jouent groupé pour accompagner les projets industriels innovants.

 

Gers et Tarn-et-Garonne font cause commune pour le développement économique de leurs territoires. Retenus il y a 10 mois par le gouvernement parmi les 124 Territoires d'industrie qui bénéficieront d'une enveloppe globale de 1,36 milliard d'euros et d'un panier de services, les PETR Pays Portes de Gascogne (160 communes de l'Est du Gers, 72 000 habitants) et Garonne-Quercy-Gascogne (139 communes de l'Ouest du Tarn-et-Garonne, 133 000 habitants) ont rendu leur copie hier à Fleurance. Réunis au siège de la communauté de communes de la Lomagne gersoise, les élus des 11 communautés de communes concernées ont finalisé le programme d'actions pour la période 2019-2022. 22 projets (11 situés sur le PETR Garonne-Quercy-Gascogne, 11 dans le Pays Portes de Gascogne et un transversal commun aux deux Pays) seront présentés le 13 décembre devant la commission permanente de la Région Occitanie… car ce sont les conseils régionaux qui, en associant les communautés de communes et les industriels, pilotent cette nouvelle politique des «Territoires d'industrie» lancée en novembre 2018 par Edouard Philippe.

«Restons dans l'état d'esprit indiqué par le Premier ministre lors du conseil national de l'industrie, celui de la simplification et de l'efficacité. Quand on lance des politiques, il faut que celles et ceux auxquels elles sont destinées en voient la concrétisation pratique et rapide», réagissait Jean-Michel Baylet, président du PETR Garonne-Quercy-Gascogne. «On montre l'exemple en rassemblant les élus de 11 communautés de communes et 200 000 habitants. Et puis, nous travaillons main dans la main avec les entreprises», poursuit l'élu tarn-et-garonnais. Le sénateur du Gers Raymond Vall, élu référent territorial, souligne de son côté le caractère innovant des projets retenus. «Je citerais l'exemple de cette entreprise du 82 spécialisée dans l'industrie du froid. Elle est capable d'utiliser les produits stockés et de communiquer avec eux de façon à réguler leur conservation. Dans le secteur des services à la personne, on a retenu le projet d'une entreprise gersoise qui a mis au point une puce révolutionnaire capable de transmettre des réactions humaines.»

Raymond Vall a aussi évoqué un projet «extrêmement important» qui concerne le désenclavement numérique des entreprises avec l'opportunité de faire passer la fibre le long de l'itinéraire à grand gabarit (IGG).

Référent désigné par la présidente de Région pour le Gers, le sénateur Franck Montaugé a dit son souhait «que les dossiers économiques qui ne rentrent pas dans cette démarche des Territoires d'industrie puissent quand même être pris en compte. C'est important, en particulier pour tous ces territoires éloignés de la métropole.»

La fibre passera-t-elle par l'IGG?

D'ici 2022, avec la fin annoncée par Airbus de la production de l'A380, on ne verra plus de convois de pièces d'avion sur l'itinéraire à grand gabarit (IGG) qui relie Langon à Toulouse. Mais une autre opportunité se présente : un fourreau laissé libre pourait faire passer une fibre de très haut niveau au bénéfice des entreprises. Le sénateur Raymond Vall est en première ligne dans ce dossier inscrit parmi les projets de Territoires d'industrie. «Il faut absolument qu'on puisse obtenir de l'Etat l'autorisation d'utiliser ces fourreaux existants tout au long de l'IGG. Ce serait une formidable opportunité de désenclaver une grande partie du Gers, au-delà d'Auch.» Le parlementaire a déjà fait passer le message à la sous-préfète de Condom présente hier à Fleurance.

Source La Dépêche

 

Le territoire d’industrie interdépartemental Gers-Tarn-et-Garonne se réunit ce lundi, à 10 heures, au siège de la communauté de communes de la Lomagne gersoise. Le président du pôle d’équilibre territorial et rural (PETR) Garonne-Quercy-Gascogne et référent du dispositif Jean-Michel Baylet, le président du PETR Portes de Gascogne Guy Mantovani et le sénateur du Gers Raymond Vall, lui aussi référent du dispositif, réunissent les 11 présidents des communautés de communes de ces deux PETR qui regroupent plus de 200.000 habitants, 300 communes et 5.200 emplois industriels.

Une cinquantaine de projets

Plusieurs réunions de travail se sont tenues depuis début 2019 et ont permis de recenser une cinquantaine de projets portés par les entreprises de ces deux territoires qui représentent plus de 100 millions d’euros d’investissements. Ces projets concernent prioritairement l’aéronautique, le désenclavement numérique, l’agroalimentaire, la construction industrielle, la production d’énergies renouvelables, ainsi que le recyclage et la valorisation des déchets. Au cours de cette réunion, les élus de chaque communauté de communes auront à présenter les projets de leur territoire devant les principaux partenaires de la démarche territoire d’industrie tels que l’Etat, représenté par les sous-préfètes de Castelsarrasin et de Condom, la région Occitanie et son agence de développement économique AD’Occ, la Banque des territoires-caisse des dépôts et consignations ou encore BPI France…

Déterminer les montants des financements

Une fois validés par ce comité de pilotage, les projets retenus seront présentés aux services de l’Etat et au conseil régional pour déterminer les montants des financements dont ils peuvent bénéficier. La mobilisation des chefs d’entreprises et des équipes des deux PETR a permis de faire émerger des perspectives très importantes d’innovation et de création d’emplois et confirme le bien-fondé de la coopération engagée par ces deux territoires.

La récolte des melons de Lectoure a démarré mi-juin et se poursuivra jusqu'en septembre.

Les melons de Lectoure arrivent en quantité sur les marchés du département. Ces fruits typiques de la Lomagne font la fierté des producteurs locaux et le bonheur des consommateurs.

En arrivant à la ferme Lacénade, située en pleine campagne à quelques kilomètres de Lectoure, ce qui frappe en premier est la bonne odeur de melon, ce savoureux fruit symbole de l'été. Cyril Tasso en plante depuis 17 ans, comme ses grands-parents et son père avant lui. Un savoir-faire qui lui a valu en 2013 d'obtenir le «diplôme de meilleur producteur de Lectoure». La plantation s'étend cette année sur 3,2 hectares. Trois à quatre personnes ne sont donc pas de trop pour ramasser les fameux fruits tous les matins dès 6 h 30, sur des plants au ras du sol «qui cassent le dos», comme l'explique Cyril Tasso. Une difficulté qui semble vite oubliée lorsque les habitués viennent acheter leurs fruits favoris. «Ce sont ceux-là les meilleurs, je n'irai pas les chercher ailleurs !», s'exclame Antoine tout en chargeant à l'arrière de sa fourgonnette un plateau rempli de melons. Et le téléphone de l'exploitant n'arrête pas de sonner, preuve du succès de ses fruits.

Une association à pied d'œuvre

Une renommée pour laquelle se bat l'association pour la promotion des melons de Lectoure, qui a déposé la marque il y a trois ans. Ils sont seulement 48 adhérents, producteurs sur les secteurs de Lectoure, Fleurance ou Condom, à pouvoir labelliser leurs fruits comme tels grâce aux emballages fournis via l'association. Les consommateurs et restaurateurs de la région ont eux aussi leur rôle dans cette popularité. «Tout le monde joue le jeu, il y a une vraie dynamique autour de la reconnaissance du melon de Lectoure», explique Marie-Hélène Lagardère, présidente de l'association. Et la passion se fait sentir lorsqu'elle évoque ce fruit qu'elle cultive chaque année : «Il a une chair particulièrement orangée, un parfum très fort et un sucre qui rappelle un petit goût de miel.»

Dès l'arrivée sur les étals, «le melon de Lectoure reçoit toujours un accueil joyeux et spontané de la part des consommateurs», précise Marie-Hélène Lagardère. Un fruit qui ravit les locaux donc, mais pas seulement puisque l'association présentera pour la cinquième année consécutive 3,5 tonnes de melons aux Marchés Flottants de Paris en septembre.

Selon Cyril Tasso, «ce qui fait la qualité de ce melon, c'est le soleil et la potasse». La terre argilo-calcaire sur ce secteur, très souple et riche en potassium, permettrait ainsi aux fruits d'obtenir toute leur saveur sucrée. Et pour savoir s'il est mûr, rien de plus simple : «Lorsque le pédoncule se décolle, que la peau est brodée et que le melon commence à jaunir, c'est qu'il est bon.»

C'est pour l'instant une belle saison qui s'annonce puisque la récolte a démarré plus tôt qu'à l'accoutumée, le 9 juin pour Cyril Tasso. Elle devrait se poursuivre jusqu'à la mi-septembre.

Fête du melon

Le 16 août aura lieu la fête du melon de Lectoure, organisée par l'association qui œuvre pour sa promotion. Dès 10 h sur le marché local, les passants devront départager les melons de cinq producteurs, afin d'élire le meilleur. Ils pourront peut-être remporter le prix du meilleur dégustateur. Suite au défilé de la confrérie du melon à 18 h, les nouveaux membres seront intronisés. À 20 h, les associations lectouroises organisent un repas, bien évidemment autour du fameux melon, ainsi qu'une soirée dansante.

Source La Depeche

L'été lectourois démarre bien puisque le café des Sports, troquet emblématique de la rue Nationale, a de nouveaux propriétaires, Laurent Pysz et sa fille Justine, et a rouvert ce 4 juillet. Entretien.

Pourquoi cette reprise ?

Justine. «Il y a un an, nous avions appris que ce café était à vendre. Je suis infirmière mais mon rêve, c'était de travailler dans un bar, ce que j'avais fait le week-end pendant mes études».

Laurent : «Quant à moi, je suis déjà président du comité des fêtes du Mas-d'Auvignon. Au départ, j'avais plutôt envie de faire de la restauration et d'ailleurs j'ai l'idée de réintroduire du foie gras dans mes cartes. Je proposerai des petits mi-cuits tous les jours à la carte. J'ai pris cette décision de réintroduire le foie gras en fonction de mon expérience puisque j'ai eu une conserverie de foie gras, confits et produits de la ferme pendant plus de trente ans. Par conséquent, je m'occuperai du restaurant et ma fille, ce sera le bar et les animations».

Vous allez conserver l'esprit traditionnel du café des Sports ?

Laurent : «Tout à fait, avec la participation des associations, tarot, rugby, le Club taurin qui va revenir… Nous sommes des gens du cru, mon grand-père habitait Lectoure, ma mère a travaillé à l'usine de marqueterie et ma fille a fait toutes ses études à Lectoure».

Déjà des idées de festivités ?

Justine : «Tous les vendredis soir cet été, soirées tapas et sangria. En septembre, nous reprendrons les soirées jazz le jeudi et parfois, le samedi soir, des soirées à thème, la salsa ou un concert de harpe par exemple ; des soirées plus classiques avec des jeunes musiciens. Et bien d'autres projets pour le mois de septembre. Et, bien sûr, le café des Sports sera très présent pour les marchés de nuit, avec restauration et concerts».

Au niveau de la décoration du café ?

Laurent : «Pour l'instant, nous ne changerons absolument rien. Et c'est la même équipe expérimentée qui continue» !

Source la dépèche

Lorsqu'une nouvelle agence s'installe, les agences de la Région (Goal Ovalie pour ce secteur) organisent une «Opération commerciale de proximité» pour l'aider à se faire connaître. Les collègues de la région se déplacent sur une matinée ou une journée et prospectent dans la ville en distribuant des documents présentant la nouvelle Agence Century 21.

A Fleurance, dernièrement, il y avait 10 agences soient 74 collaborateurs.

Après un petit-déjeuner sous la halle de la mairie, tous ont quadrillé la ville en distribuant des publicités pour l'agence Century 21 – JV Immobilier de Fleurance où Jérôme Vitali et son épouse Chantal sont les responsables d'une équipe au 72 de la rue Gambetta, dans des locaux nouvellement aménagés.

A midi, ils se sont tous retrouvés à l'hippodrome de Baron de Castéra-Verduzan autour d'un repas champêtre servi par le traiteur des lieux.

L'après-midi, direction Beaucaire-sur-Baïse pour une activité aquatique avec «Les Canoës de Beaucaire». Activité sportive et ludique au fil de l'eau…

www.facebook.com/century21.jv.immobilier.fleurance

Source la dépèche

 

Ce jeudi 16 mai, Jean Louis CASTELL, président de la Lomagne Gersoise et Xavier BALLENGHIEN, vice-président en charge du développement économique, ont reçu une quinzaine d’entreprises et organismes qui ont participé au forum du recrutement le 21 mars dernier à Fleurance à l’espace culturel et sportif.

Autour d’un petit déjeuner économique, les décideurs économiques présents ce matin dressaient un premier bilan intermédiaire de cette édition.
Pour rappel, quelques éléments sur cette cinquième édition du forum :
-    la présence de 43 entreprises essentiellement locales,
-    environ 500 visiteurs,
-    un forum qui gravite au-delà des frontières de la Lomagne Gersoise,
-    des postes en CDD, CDI et missions d’intérim pourvus pour 40 personnes.

Ce moment de convivialité a permis de discuter autour des problématiques que rencontrent certaines entreprises pour trouver des profils correspondant aux qualifications demandées.
Toutes les entreprises présentes lors de cette manifestation ont salué cette initiative conduite en partenariat par la Lomagne Gersoise avec le CCAS de Fleurance et les services publics de l’emploi, dont elles sont satisfaites et qu’elles souhaitent reconduire. Des pistes d’évolution pour l’édition de 2020 peuvent être toutefois envisagées, par exemple pour élargir les publics à informer, envisager des temps d’échanges inter-entreprises…

Après ces échanges constructifs entre les acteurs économiques, Jean-Louis CASTELL et Xavier BALLENGHIEN ont constaté que cette manifestation est devenue un rendez-vous incontournable plébiscité par les recruteurs et les demandeurs d’emploi.

Vous pouvez retrouver le bilan sur le site internet de POLE 21 www.pole21.com/forum-du-recrutement

Contact développement économique : Valérie AMADO / 05 62 29 52 40 / pepiniere@lomagne-gersoise.com

Edition 2019 du forum du recrutement

La Depêche

Les 15 et 16 juin se tiendra le 1er Forum de l'habitat et de la décoration à la salle multisports de l'ancien Point Vert. C'est une première à Lectoure. Plus de 45 entreprises proposeront leur «savoir-faire» et seront à la disposition d'un nombreux public friand de création, d'aménagement et de décoration.

Claude Dumas, premier adjoint à Gérard Duclos, maire de Lectoure, soutient entièrement ce projet et déclare : «Chacun pourra avoir réponse à ses rêves car toute la chaîne d'élaboration sera sur place. Depuis, l'agence immobilière, le notaire, l'architecte, les services de l'urbanisme, les constructeurs, les décorateurs, les spécialistes jardin, fleurissement, piscine, sans oublier les assureurs et surtout les banquiers qui eux aussi répondront à tout projet. Chacun pourra avoir réponse à ses désirs et pourquoi pas repartir avec le projet complet d'une nouvelle maison, appartement ou autre rénovation. Les réservations de stands avancent bien. Nous demandons encore à certains entrepreneurs de s'inscrire rapidement et avant le 25 mai car il y a encore des places disponibles. Ce forum est fait pour vous, entreprises de la Lomagne, nous avons besoin de vous pour réussir cette première édition, et nous savons pouvoir compter sur vous. De vous tous dépend le succès de ce week-end. Renvoyez vos bulletins d'inscription avant le 25 mai».

Bon à savoir.

Pour plus d'informations sur ce forum : acal32@club-internet.fr ou tél. 06 42 80 94 03.

Source La Dépêche

Les élèves du collège Saint-Joseph viendront, aujourd'hui, avec leurs enseignants découvrir chez Castel et Fromaget les métiers de la construction métallique.

Les entreprises de construction métallique évoluent dans un contexte de forte activité et annoncent de belles perspectives pour les années à venir. Le secteur constitue un gisement aux multiples possibilités de carrières (atelier, bureau d'études et chantier). Une profession où l'automatisation et la robotisation des ateliers sont très développées.

 

 

Les constructeurs métalliques estiment à 15 000 les recrutements nécessaires d'ici 2024. Pour faire face à cette forte demande qui concerne tous les métiers, le SCMF lance une semaine nationale de découverte de son secteur d'activité. Ses objectifs : informer, favoriser les orientations, recruter et développer les formations.

C'est donc avec plaisir que la société Castel et Fromaget accueille des étudiants aujourd'hui jeudi 16 mai, à partir de 9 heures.

Une occasion de découvrir l'entreprise, ses activités, ses salariés, les différents métiers et les perspectives d'évolutions de carrières.

Cette rencontre permettra d'instaurer un dialogue entre des jeunes et des professionnels passionnés.

Ce moment privilégié d'échanges offrira l'opportunité de répondre à toutes les questions que se posent les enseignants, conseillers d'orientation ainsi que leurs élèves.

Source La Dépêche

«Le canelé nomade est né», dit avec enthousiasme Michel Glosek, gérant de cette entreprise qui porte son nom et qui se trouve en zone industrielle. La fabrication originale de ce produit de désert ou de plaisir vient de faire l'objet d'un dépôt de brevet et la mise en place d'une structure de production. Il a fallu adapter le personnel qui, après une formation, est opérationnel et est composé exclusivement de femmes dont la moyenne d'âge n'a pas 25 ans. Cette start-up a créé la marque «Everywhere in the world» dont l'objectif est, par le procédé original mis en place, de faire de cette spécialité française un véritable ambassadeur à travers le monde.

Pas de contrainte de conservation

Après des mois de tests et de mises au point, le «canelé nomade» a été dévoilé pour la premier fois au Salon des professionnels de la restauration qui avait lieu à Lyon en janvier dernier. Afin de susciter la curiosité sur ce nouveau produit, un film a été projeté toute la durée du salon. Michel Glosek et son équipe ont profité de cet événement international pour marquer leur présence sur les réseaux sociaux avant le début de cette commercialisation.

Le canelé, vous connaissez ? Nomade est bien souvent synonyme de liberté, d'évasion, de grand espace. Etant originaire d'une région du bien vivre et passionnée d'aventure, Sandrine Glosek parcourt le monde à chaque fois que cela lui est possible. Dans les endroits les plus reculés, dans les moments de découverte les plus intenses, elle imagine déguster sa spécialité préférée comme le canelé de Bordeaux. Le projet a donc été celui-là, pouvoir déguster cette gourmandise sans contrainte de conservation.

Avec l'équipe de Michel Glosek, spécialiste dans la mise au point de produits alimentaires, il a été imaginé un canelé dans une boîte étanche facile à utiliser qui conserve toute sa fraîcheur, sa saveur et son incomparable moelleux quelles que soient les conditions climatiques.

Grâce à ce produit et à l'équipe performante, tout alliant tradition et innovation, l'entreprise peut maintenant se tourner vers un nouveau marché à l'international où elle fait ses premiers pas avec succès.

Source La Dépêche

300 personnes se sont déplacées pour l'inauguration officielle du casino de Lectoure, le mardi 7 mai. Antoine Arevian a remercié chaleureusement les personnes présentes et a déclaré : «Il est important de rappeler que les inaugurations d'établissements de jeux sont relativement rares en France et à ma connaissance nous sommes les derniers malgré un nombre croissant de demandes. Après 7 ans de travail et parfois de doutes, l'ouverture d'un casino s'inscrit comme un événement important.»

Antoine Arevian a souligné la qualité des personnes qui ont porté ce projet : «Sans la ténacité extraordinaire de la municipalité de Lectoure, ce casino n'aurait jamais vu le jour et il faut rendre hommage aux maires successifs, tout particulièrement à Gérard Duclos, remarquablement secondé par Maryse Escribe. En avril 2012, personne ne croyait à cette ouverture. Mais Gérard Duclos a su lever les contraintes et surtout nous faire aimer Lectoure.»

Antoine Arevian a noté le fort potentiel économique du casino lectourois et remercié les différents intervenants, comme l'État, la mairie, M. et Mme Baudouin, M. et Mme Combebias («qui ont porté patiemment le foncier pendant cinq ans dans l'attente des autorisations»), les entreprises et les collaborateurs du groupe Arevian.

Entouré de plusieurs de ses adjoints à la mairie, Gérard Duclos a rappelé pour sa part l'historique de ces 27 années de travail complexe afin d'aboutir à un projet liant thermalisme (avec l'hôtel de Bernard Riac) et casino, dans le but de faire de Lectoure une station classée de tourisme. Gérard Duclos a également salué la rencontre inoubliable avec M. Arevian et son groupe.
Jeux, restauration et culture…

Ce projet de ville a maintenant abouti et ce casino va apporter trois dimensions : les jeux, la restauration et l'animation, sans oublier les revenus financiers pour la ville et les emplois créés.

Gérard Duclos a conclu : «Ce lieu est magnifique et je félicite les artisans lectourois dont certains font d'ailleurs partie d'un club de mécènes qui participe à la restauration des remparts de la ville grâce à la Fondation du patrimoine. Merci à l'équipe municipale, à la communauté de communes ! Merci à tous les amis qui vont continuer à faire vivre Lectoure et son territoire. «Trois concerts gratuits sont déjà annoncés : «A la Fenêtre» (pop, rock et folk) le samedi 11 mai à 19 heures ; «Tékéma» (gipsy, rumba, flamenco) le 18 mai et «Loula B» (pop électro) le 25 mai.

Source La Dépêche

Jeudi 2 mai, Corinne Le Gall, assistante de direction des thermes de Lectoure, a reçu, en présence de Gérard Duclos, maire de Lectoure, et de nombreux élus municipaux, Catherine Séguin, préfète du Gers, pour une visite de l'ensemble thermal lectourois. La représentante de l'Etat a pu visiter le centre de soins du groupe Valvital et l'hôtel quatre étoiles aménagé dans l'ancien collège des Doctrinaires qui ouvrira le mois prochain. «Aujourd'hui, nous avons concentré les visites sur la station thermale et sur les projets de développement qui contribuent au développement du tourisme et à la promotion de ce beau territoire du Gers. J'en veux pour illustration la connexion qui a été établie entre le nouvel hôtel de 45 chambres et la station thermale au moyen d'un tunnel qui permettra demain aux curistes de se déplacer entre ces deux sites dans des conditions optimales de confort et de sécurité. Ce sont autant de réalisations ambitieuses, qui ont dû susciter beaucoup d'interrogations, de débats au sein du conseil municipal, vis-à-vis de la population. Ce sont des étapes qu'il faut franchir, des discussions qu'il faut pouvoir tenir, ce sont des projets qu'il faut savoir développer, révélateurs d'une coopération de qualité entre les élus et les collectivités concernées. Il n'est jamais simple en effet de porter des projets de cette envergure et de boucler le tour de table financier sans pouvoir reposer sur la bonne contribution de chacun. Les projets de Lectoure en sont un bon exemple». Et la préfète de rappeler que ces projets lectourois «bénéficient pour une large partie de financements de l'Etat, dans le cadre de la dotation d'équipements des territoires ruraux (DETR) notamment». De son côté, le maire Gérard Duclos se disait fier d'avoir pu montrer à la préfète «comment Lectoure a su faire de ses atouts naturels et patrimoniaux un moteur du développement économique local». Et l'élu de souligner que «le centre thermal de Lectoure, l'un des plus beaux établissements de France», était «le fruit du travail acharné mené depuis la fin des années 1980 en lien avec les partenaires institutionnels, dont notamment le conseil départemental du Gers. Aujourd'hui, ce site a permis d'attirer les investissements privés avec la création de l'hôtel du Collège des Doctrinaires, pour un montant de 8,5 millions d'euros, et représente 30 emplois. Mme la préfète a donc pu se rendre compte de l'importance et de la qualité des services proposés ainsi que de l'ensemble des travaux effectués».

Source La Dépêche

Les Lectourois étaient nombreux, ce samedi, à l'après-midi «portes ouvertes» au casino réservé aux habitants de la commune. Entretien avec Antoine Arevian, PDG du groupe Arev Finance, qui sera le gestionnaire de l'établissement de jeux lectourois.

Pourquoi ces «portes ouvertes» ?

«L'idée est de pouvoir permettre à la population de Lectoure de voir en exclusivité le casino avant l'inauguration définitive du 7 mai. Cela permet de voir les tables de jeux en démonstration. Réglementairement, l'accès aux machines à sous n'est pas autorisé avant l'ouverture officielle mais les visiteurs ont pu constater leur présence».

Plusieurs Lectourois ont été embauchés dans ce casino ?

«Oui, hors du personnel d'encadrement, tout le personnel a été recruté localement. Au total, une vingtaine d'emplois».

Vous êtes satisfait du résultat architectural ?

«Oui. Travailler sur plans puis voir le bâtiment réellement, c'est important. Je suis content car nous arrivons à un bâtiment très intéressant, avec des espaces différenciés. C'est le 4e et dernier établissement que nous réalisons en cinq ans et nous avons profité de notre expérience pour faire quelque chose qui soit le plus dans l'esprit à attendre d'un établissement de jeux : des espaces à la fois très communicants entre eux et séparés pour pouvoir avoir des activités spécifiques».

La décoration est particulièrement réussie ?

«Nous travaillons avec deux architectes depuis très longtemps. Le gros œuvre et le bâtiment extérieur ont été réalisés par le cabinet Mazet ; et, depuis six ans, nous avons une architecte d'intérieur, Marie Guignard, pour s'occuper de la décoration de nos établissements, qui est systématiquement différente».

L'inauguration du casino aura lieu ce mardi, à 15 heures. Ouverture des portes au public à 16 heures. Carte d'identité obligatoire pour l'accès aux salles de jeux.

Source La Dépêche

Mise sur pied rapidement et inaugurée le 13 avril, l'Epicerie associative du Foirail vient d'achever ses deux premières semaines d'activité. Le bilan de cette mise en route a été fait : le comptage des tickets de caisse dénombre 450 clients la première semaine et la même fréquentation la semaine suivante ; la rentrée moyenne a été d'environ 10,50 € par client. Reste à faire les comptes de gestion une fois les factures payées, mais le trésorier affichait un sourire confiant. Pour ses débuts, l'Epicerie du Foirail a proposé plus de 500 articles, dont le choix a été apprécié. Cependant, les responsables sont conscients que ce choix doit encore s'élargir et ils étudient de près les souhaits émis par les premiers clients. Toutes les demandes seront toujours prises en considération dans la mesure du possible. Gérer les commandes, leur réception, l'étiquetage, le rangement, les contacts avec les producteurs locaux, la vente et la maîtrise d'une caisse enregistreuse provisoire, etc., les bénévoles n'ont pas eu la vie facile, mais tout s'est passé dans la bonne volonté. Et puis, il y a l'extérieur. Les fleurs, les tables où se côtoient les gens d'ici et les gens d'ailleurs, notamment ceux qui cheminent vers Compostelle, et le petit marché du samedi matin, qui se regroupe maintenant dans ce coin convivial. L'association va maintenant s'efforcer d'apporter progressivement les améliorations nécessaires à la réussite durable du projet.

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Retenu, avec son voisin tarn-et-garonnais de Garonne-Quercy-Gascogne, parmi les 136 Territoires d'industrie, le Pays Portes de Gascogne mesure ce qu'une coopération territoriale bien pensée peut apporter au Gers.

 

Les projets industriels peuvent-ils naître et prospérer à la campagne ? «Oui», ont répondu d'une même voix, hier matin à Fleurance, les élus gersois du Pays Portes de Gascogne et leurs homologues tarn-et-garonnais du PETR (1) Garonne-Quercy-Gascogne. Réunis, l'est du Gers et l'ouest du Tarn-et-Garonne pèsent plus de 200 000 habitants. Cet «Interdépartemental Gers/Tarn-et-Garponne» a été retenu par le gouvernement parmi les 136 Territoires d'industrie. Un programme, lancé en novembre 2018 par le Premier ministre, dont l'ambition est de soutenir l'emploi et le développement économique du secteur industriel afin de redynamiser les territoires.

«Les territoires ruraux s'unissent pour développer l'économie. C'est un moment que je qualifierais d'historique», s'est exclamé Jean-Louis Castell. Et le président de la communauté de communes de la Lomagne gersoise de souhaiter la bienvenue à Jean-Michel Baylet, président du PETR Garonne-Quercy-Gascogne ; aux 11 présidents (ou leurs représentants) des intercommunalités concernées, à Céline Platel et Isabelle Sendrané, respectivement sous-préfète de Castelsarrasin et de Condom et aux services de la Région Occitanie. «L'objectif principal de cette réunion c'est de présenter nos territoires, de déterminer les principaux enjeux et voir, filière par filière, ce que nous pouvons construire ensemble», a exposé en préambule Raymond Vall. Jean-Michel Baylet a félicité le sénateur du Gers, à l'initiative de cette réunion, rappelant que suite à la disparition des Pays, Raymond Vall avait œuvré à la création des PETR.

L'ancien ministre de l'Aménagement du territoire, de la Ruralité des Collectivités territoriales a profité de sa présence à Fleurance pour adresser un message personnel de «soutien dans la période actuelle» à Raymond Vall. «Réunir ces deux PETR sur les Territoires d'industrie doit nous amener à réussir à porter des projets très rapidement. Je suis à vos côtés pour que nous avancions vite et fort.»

L'État accompagnera sans crédits supplémentaires

Le volontarisme exprimé par Jean-Michel Baylet est-il partagé du côté de l'Etat ? Dans les déclarations, il semble que oui. «L'intention, c'est la reconquête industrielle. Le ciblage de ces territoires va permettre de concentrer les moyens», indique la sous-préfète de Condom. Mais de quels moyens parle-t-on ? Édouard Philippe avait annoncé qu'1 milliard 360 millions d'euros seraient «prioritairement fléchés vers les projets des Territoires d'industrie». Quand Pierre Duffaut demande s'il s'agit de crédits nouveaux, la réponse de la sous-préfète de Castelsarrasin fait un peu l'effet d'une douche froide : «Il n'y a pas d'enveloppe ad hoc qui vienne servir les Territoires d'industrie. Les actions prioritaires seront financées sur les enveloppes existantes, mais l'Etat sera vraiment accompagnateurs sur ces projets pour lesquels ce sont les PETR qui sont à la manœuvre.»

Que ce soit dans le Gers ou le Tarn-et-Garonne, le programme suscite un vrai intérêt parmi les décideurs économiques. Jean-Pierre Laborie, le président de la coopérative Qualisol, désigné industriel référent territorial, en a apporté le témoignage. «Qualisol se retrouve complètement sur ce territoire 82/32 puisque notre siège social est à Castelsarrasin et que nous avons créé à Monfort le premier site de stockage bio de France. Notre ambition est de créer de la valeur ajoutée pour l'agriculteur et pour le territoire.»

(1) Pôle d'équilibre territorial et rural.
Déjà 45 projets identifiés

Olivier Boucherie, directeur du Pays Portes de Gascogne, donne ces chiffres : 45 projets ont été identifiés dont 33 déjà chiffrés pour un total de 101 millions d'euros d'investissements sur les six thématiques retenues : agroalimentaire, aéronautique, construction, numérique, déchets et recyclage, énergie. En mai, les PETR Garonne-Quercy-Gascogne et Pays Portes de Gascogne vont se revoir pour constituer un comité de pilotage local. C'est lui qui sera chargé d'examiner les projets pour, in fine, en choisir 10 considérés comme prioritaires. Gersois et Tarn-et-Garonnais se donnent jusqu'au 20 juillet pour ficeler leur dossier, de façon à pouvoir le présenter à l'automne devant la commission permanente de la Région Occitanie.

Source La Dépêche

 

Le champ d'Isatis Tinctoria (plante du pastel) de Jean-Marie Neels illumine les coteaux sempesserrois.

Tandis que le champ d'Isatis Tinctoria (plante du pastel) resplendit de jaune à Sempesserre, Le Bleu de Lectoure participe actuellement à la Fashion Revolution week à Paris. Du 17 au 28 avril, des tables rondes seront organisées, des soirées, des rencontres, de belles initiatives seront présentées partout en France et dans le monde ! Fashion Revolution France est un collectif international dont le but est de sensibiliser les consommateur.ice.s à une mode plus responsable. Suite à l'effondrement du Rana Plaza le 24 avril 2013, à Dhaka au Bangladesh, qui a fait 1 138 morts et plus de 2 500 blessés, le mouvement Fashion Revolution commémore cette tragédie industrielle chaque année. En France, le collectif est devenu une association en 2018.

Une démarche engagée

En 2019, Fashion Revolution met l'accent sur les facteurs intersectoriels qui façonnent l'avenir de la mode que sont : l'importance du travail équitable et décent, la protection de l'environnement et l'égalité des sexes. Une semaine pour plus de transparence et pour l'utilisation de teintures qui ne provoquent pas de dégâts pour la santé ou pour l'environnement, pour moins de déchets, pour un travail éthique. Ce sont autant d'engagements qui concernent la fabrication des produits et des lignes de textiles au Bleu de Lectoure – labellisé Eco-défi – qui travaille avec son fournisseur Fibre Bio qui assure un revenu décent aux personnes les fabriquant, et propose des fibres écologiques en lin et coton bio et d'autres fabriqués en France

Sur grand écran et en ligne…

Le film documentaire sur l'entreprise du Bleu de Lectoure, réalisé sur deux ans par Green Door Stories, fait l'ouverture du salon ; Cécile Gex participe aux tables rondes avec les stylistes et créateurs, et Jean-Marie Neels en tant que producteur.

Retrouvez la Fashion Revolution France et le Bleu de Lectoure sur Facebook. Par ailleurs on peut retrouver Le Bleu de Lectoure dans un bel article dans la revue «Maison et Jardin n°50» de mars-avril 2019.

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Créé il y a déjà 25 ans, le concept des Fleurons de Lomagne connaît un succès croissant. Entretien avec Régis et Cécile Liot, les heureux dirigeants de cette entreprise lectouroise qui réussit.

D'où vient votre succès ?

L'activité initiale des Fleurons de Lomagne est la commercialisation de colis gastronomiques auprès des comités d'entreprise et des municipalités avec 9 commerciaux répartis sur toute la France. Dans le but de disposer d'une vitrine des produits proposés à cette clientèle lors de leur visite, l'idée d'ouvrir un premier magasin à Lectoure est née en 2003. L'accueil a été très satisfaisant tant de la part des touristes que de la clientèle locale. C'est pourquoi nous avons évolué vers une épicerie fine avec une offre de produits de plus en plus importante en dehors des produits gastronomiques locaux. Notre gamme de produits est passé de 400 à 1 300 références.

Ce créneau de l'épicerie fine permet-il de mettre en place une gamme de prix intéressante ?

L'agrandissement de notre magasin en 2018 avec l'installation d'une fromagerie avait pour objectif d'apporter un service supplémentaire à nos clients tout en restant dans la philosophie de l'entreprise, soit la qualité des produits à des prix raisonnés et raisonnables. Une transformation réussie au vu des retours très positifs de nos clients ainsi que d'une nouvelle clientèle attirée par cette offre complémentaire. Ce concept de «halle gastronomique», nous l'avons reproduit à l'identique à Auch et nous ferons de même à Condom lors du déplacement de notre boutique sur la place Saint-Pierre dès la fin du mois de juin de cette année.

Quelles sont les clefs de votre réussite ?

Un état d'esprit qui se traduit par un personnel accueillant, attentif et professionnel, une grande amplitude des horaires d'ouverture, un bon rapport qualité prix ainsi que des fournisseurs et des producteurs locaux pour la plupart avec des produits magnifiques qui font le succès de nos animations.

Et le bio ?

Tous nos fournisseurs ont dans leurs gammes des produits bio identifiés dans nos magasin. Une gamme de produits qui tend bien sûr à augmenter de par la demande croissante du marché et qui vient renforcer notre image de halle gastronomique.

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Bernard Riac, président du groupe Valvital, a présenté un bilan à mi-parcours des thermes de Lectoure et de l'hôtel du collège des Doctrinaires.

 

Bernard Riac, président du groupe Valvital, a tenu une conférence de presse samedi 13 avril dans la cour de l'Hôtel des thermes en présence de nombreuses personnes, dont des élus, pour faire un bilan à mi-parcours des thermes de Lectoure et de l'hôtel du collège des Doctrinaires.

Bernard Riac a d'abord rappelé que le groupe Valvital est présent à Lectoure depuis 2010, via un contrat de délégation de service public avec le département du Gers, la commune étant propriétaire des thermes puis a ajouté : «Depuis des années, nous avons réalisé de nombreux travaux afin que l'activité thermale soit viabilisée à Lectoure ; l'investissement le plus important étant l'augmentation de la capacité d'accueil (de 1 500 à 2 300 curistes). Une étude sur la qualité de l'eau a permis de démontrer son efficacité pour la phlébologie, qui complétera la rhumatologie et l'an prochain, six soins seront possibles après l'avis de l'Académie de médecine. Enfin, afin de sécuriser sanitairement et techniquement le réseau d'eau minérale naturelle des travaux ont été menés depuis deux ans sur la conduite d'adduction et de forage, en partenariat avec le conseil départemental. En 2019, l'offre Spa a été améliorée et les thermes seront ouverts le dimanche pendant toute la saison. Enfin, un investissement privé avec mon épouse a été fait pour la reconstruction complète du collège des Doctrinaires, dans le cadre du respect de l'histoire et du patrimoine de Lectoure ; et cet hôtel est passé en cours de chantier de3 à 4étoiles, soit un investissement augmenté de 6,5 millions à 8,5 millions d'euros. Dès le 17 juin, 44 suites de 25 à 80 m2 seront proposées au public. Ce sera un hôtel un peu différent, le but sera de se sentir chez soi.» L'auditoire présent a pu ensuite visiter par petits groupes le chantier de l'hôtel – y compris le tunnel qui permet de rejoindre le centre thermal – et apprécier la rénovation exceptionnelle de ce bâtiment majestueux au cœur de la ville.

Une dizaine d'emplois saisonniers et deux ou trois permanents vont être créés.

Emotion…

Gérard Duclos, maire, a confié très ému : «Il y a des rencontres heureuses dans la vie et le hasard fait parfois bien les choses ; je remercie Bernard Riac d'être tombé une2e fois amoureux, de son épouse puis de Lectoure. C'est une grande chance de vous avoir ici. Vous êtes présents dans 16 stations thermales françaises et vous avez choisi, dans ce site patrimonial remarquable, secteur sauvegardé, de reconstruire un bâtiment et de réaliser l'un des plus beaux centres thermaux du pays. Le thermalisme à Lectoure est une longue histoire : j'ai commencé à travailler sur ce dossier en 1988 quand Jean-Pierre Joseph m'avait remis un dossier sur un forage. Puis Robert Castaing, maire, m'a confié cette question du thermalisme ; Mme Bussi, directrice de l'hôpital m'a fait confiance pour les études cliniques qui ont été présentées à l'Académie de médecine. Avec la rhumatologie et la phlébologie, Lectoure aura la grosse part du thermalisme (80 %) , nous sommes sur la bonne voie. Avec ce centre thermal et le casino d'Antoine Arevian, l'office du tourisme constate déjà une progression. Cette ville qui s'effondrait sur son oppidum a repris, grâce à des investisseurs comme M. et Mme Riac, une vie économique.»

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Anne-Marie Baudequin est artisan-chocolatier et installée à Lectoure depuis près de 25 ans avec son mari, qui tient la boutique. Elle a été formée à l'école Le Nôtre et depuis enchante les papilles des Gersois.

 

Vingt-cinq ans qu'elle fabrique avec amour des chocolats et elle «n'en a pas marre». Elle en aime même toujours autant «l'odeur». Anne-Marie Baudequin est artisan-chocolatier depuis 25 ans et tient avec son mari la Maison Baudequin, installée rue Nationale. «Nous, nous ne nous découvrons pas chocolatiers à Noël ou à Pâques, précise d'emblée le mari, on fait ça toute l'année !»

À quelques jours de Pâques, la boutique ne désemplit pas. Et tous les clients qui entrent s'arrêtent un instant pour observer «la vache de 18 kg» qui orne la vitrine. Chaque année, Anne-Marie propose une belle pièce, de taille, à admirer. Il y a deux ans, c'était une cloche qu'elle avait ensuite offerte aux résidents de l'EHPAD. Place donc à la vache cette fois-ci. «En général, je commence par en faire une version toute petite, explique-t-elle. Pour trouver les proportions, voir comment elle va tenir… Ensuite, je la monte avec Pierre, sinon elle peut se casser. Chacun de nous deux ajoute des détails, car Pierre amène toujours beaucoup d'idées, comme notre fille Anne-Charlotte. Là, il a ajouté les petites cornes et les mamelles. Moi, je lui ai mis une boucle d'oreille !» Les clients sont habitués à voir des pièces pour le moins insolite dans la boutique. Cette année, Anne-Marie a aussi fabriqué une… robe en chocolat ! Quand elle raconte l'anecdote, une cliente l'interrompt : «Elle était magnifique, cette robe !» L'association de commerçants voulait faire un défilé de mode et l'avait mise au défi de fabriquer une robe. «J'aime bien les défis mais je ne savais pas dans quoi je m'embarquais !», s'amuse a posteriori Anne-Marie. Sa fille l'a portée avec élégance lors du fameux défilé.

 

 

Anne-Marie s'attelle à préparer Pâques depuis début avril. Même si elle a «énormément de moules», elle change chaque année ses créations. Cette fois-ci, la mode est aux formes rondes et aux poules stylisées, avec de longs cous. «Les moules à l'ancienne, avec les poules sur leur nid tressé sont désormais trop démodés», précise-t-elle. Elle a aussi refait des cloches à la demande de ses clients. Et puis, elle a trouvé chouette les moules d'escargots. Elle vendra aussi sa création, inspirée du pastel, appelé justement le «petit pastel». «Il s'agit d'une amande, recouverte de nougatine et de gianduja, une sorte de praliné, avec une petite couche de sucre, colorée bleu pastel !», détaille-t-elle.

Elle privilégie le chocolat en provenance d'Equateur, car il n'est «ni acide, ni trop sucré et qu'il plaît aux enfants.» Le chocolat d'Equateur se travaille bien aussi, d'autant plus que la température du local est idéale.

Il faut dire que si Anne-Marie sait laisser aller son imagination, c'est aussi qu'elle a été bien formée. Elle est issue de l'école Le Nôtre où elle a suivi la formation confiserie. Longtemps, elle a été installée à Grasse avec son mari où ils étaient grossistes pour les épiceries fines, les chocolatiers… Ils fabriquaient beaucoup de douceurs à base de fleurs. Mais le rythme de vie, avec des horaires très tardifs alors qu'elle était jeune maman est venu à bout de son envie de garder l'entreprise. Ils l'ont revendu et elle a assouvi son envie de travailler le chocolat, une nouvelle matière, en venant à Lectoure. Ils y avaient aussi trouvé une maison parfaite. Depuis, le couple se plaît à Lectoure et a même transmis sa passion du chocolat à l'un de leurs fils, Jeff, qui est boulanger et chocolatier à l'autre bout du monde, en Australie !

Source La Dépêche

 

Plus de 150 personnes ont répondu présent pour l'inauguration de l'épicerie associative de Miradoux, place du Foirail (dans l'ancienne poste). Suzanne Macabiau, maire de la commune, a indiqué : «Cela a très bien marché, toute la population de Miradoux et très largement du canton, les marcheurs qui arrivent aussi, sont venus ce matin. C'est un très beau projet qui a été réalisé en un temps record : statuts de l'association en février, début des travaux début mars, ouverture le 13 avril, on ne pouvait pas faire mieux pour ce véritable projet citoyen. Nous remercions Mme Rae, une ressortissante britannique vivant à Miradoux depuis très longtemps, qui a permis le lancement de l'épicerie et offert les tabliers qui seront la référence de l'épicerie. Chacun a apporté beaucoup pour les peintures, l'agencement, un kakémono avec le logo réalisé par une personne de Miradoux, une somme de talents pour ouvrir une petite épicerie avec beaucoup de charme, très bien achalandée en produits locaux, bios et raisonnés, et une belle cave ! L'épicerie sera ouverte tous les jours (sauf une demi-journée de fermeture) grâce aux nombreux bénévoles. Nicolas Glévard, président de la brasserie du Vaillant Fourquet (qui fait la bière de Miradoux), et Marcelle Bergia ont été élus démocratiquement présidents de l'association Notre épicerie associative de Miradoux, qui gère l'épicerie du Foirail». A l'ouverture de ce commerce de proximité s'ajoute celle d'un nouveau cabinet médical.

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Reportage France 3 Occitanie

Il y a quelques jours, le président de la communauté des communes de la Lomagne Gersoise (CCLG), Jean-Louis Castell, recevait à son siège les principaux acteurs de la filière agroalimentaire, «Santé par Alimentation Naturelle et Biologique» pour l'assemblée générale constitutive de la nouvelle association ASAN-Bio. Cela à l'initiative de Raymond Vall, sénateur et de Jean- Louis Castell qui ont souhaité créer des filières sur le territoire.

«Ce regroupement d'acteurs de la production, de la transformation et de la distribution est avant tout destiné à adapter collectivement nos choix de production en fonction des besoins réels du marché et des attentes du consommateur, depuis l'agriculteur jusqu'au distributeur.» explique Pascal Lafont, dirigeant de l'entreprise «Les Vergers de Gascogne», et élu président d'ASAN- Bio par le conseil d'administration aux côtés d'Anaïs Dupuy, «Les Herbes d'Helios», à Lectoure, élue trésorière et de Bruno Mattel, «Les Jardins de Cocagne», à Fleurance, élu secrétaire.

 

L'association qui compte déjà 25 membres, porte un programme ambitieux défini autour de trois axes de travail prioritaires : la constitution d'un groupement d'employeurs destiné à mutualiser les besoins en ressources humaines et à offrir un vivier d'emplois non délocalisables, plus attractifs et moins précaires que les contrats saisonniers notamment en direction des jeunes, la recherche de solutions logistiques collectives pour l'acheminement des produits vers les lieux de commercialisation, notamment dans le but de développer les circuits de proximité, la mise en commun des besoins en recherche et innovation particulièrement dans le domaine du digital.

La relocalisation écologique et équitable de la production de plantes alimentaires, aromatiques et médicinales constitue l'un des premiers chantiers portés par les membres d'Asan-Bio qui souhaitent répondre à l'appétit grandissant des consommateurs pour l'alimentation santé en accompagnant les agriculteurs dans leur projet de diversification et de transition agricole et en leur garantissant ainsi une source de revenus complémentaires.

Source La Dépêche

Après avoir été repéré en 2018 par la «Maison France 5», par Marie-Dominique Perrin dans «Télé Matin» et par «Le Figaro Magazine» qui l'a sélectionné pour son guide des plus belles chambres d'hôtes 2018-2019, l'Hôtel Particulier Guilhon, à Lectoure dans le Gers, intègre la prestigieuse sélection du «Guide Michelin 2019» : «Ouvert en 2016 suite à de grands travaux de rénovation, cette maison d'hôtes se révèle un séjour de choix ! On y accueille dans des chambres grand luxe et tout confort avec en prime une piscine et un espace bien-être.»

Créé par Thierry Gallardo et Marc Darolles en 2016 et géré depuis par Thierry Gallardo, cet établissement, avec ses cinq suites aux noms de compositeurs, constitue une base idéale pour la découverte des trésors de la Lomagne Gersoise ou plus simplement pour un week-end de détente.

Plus d'infos : hotel-particulier-guilhon.com

L'édition 2018 du Forum du recrutement a rencontré un vif succès, en accueillant plus de 500 visiteurs et plus de 42 entreprises.

Pour sa 5e édition, ce même forum se tiendra le jeudi 21 mars, de 9 heures à 12 h 30, à l'espace culturel. Ce rendez-vous a pour but de répondre au mieux aux attentes des entreprises et des demandeurs d'emploi, dans un contexte économique de frémissement de relance. L'objectif de cette édition reste de proposer une opportunité majeure pour les jeunes et demandeurs d'emploi de rencontrer des professionnels (entreprises, institutions publiques…). Organisé par la communauté de communes, le CCAS, les services de l'emploi et les services de l'Etat, ce forum va réunir plus de 50 stands. Plus de 250 offres d'emploi sur la Lomagne Gersoise seront donc proposées.

Un forum pour tous

Que vous soyez demandeurs d'emploi, en reconversion professionnelle, lycéens ou étudiants, cet événement unique sur le territoire sera pour chaque visiteur une opportunité de rencontrer en un même lieu l'ensemble les chefs d'entreprise, organismes et institutions qui recrutent, et les partenaires reconnus pour la recherche d'emploi. Ce rendez-vous est ouvert à tous, en accès libre et gratuit.

Plus de 40 exposants

Cette année, la diversité du tissu économique sera représentée par 40 entreprises (industrie, commerce, services aux entreprises, artisanat, BTP, intérim et agriculture…). Des espaces seront réservés aux acteurs de l'emploi comme : services de l'emploi (Pôle-Emploi, Mission locale, DIRECCTE, Cap Emploi, BGE, Bureau territorial de la Région), accompagnement, création, reprise d'entreprises, maison de la formation et de l'apprentissage (chambre de métiers, CCI, Greta, IUT Paul-Sabatier).

Ce rendez-vous est l'occasion pour de nombreuses entreprises de rencontrer de futurs candidats à l'embauche de profils différents et de recruter de nouveaux collaborateurs.

Cette année encore, la Lomagne Gersoise a souhaité inscrire cet événement dans le cadre de la Semaine de l'industrie qui se tiendra du 18 au 24 mars avec un focus pour cette édition sur «la French Fab en mouvement».

Contact développement économique : Valérie Amado, tél. 05 62 29 52 40 ; pepiniere@lomagne-gersoise.com

Communiqué de presse Lomagne Gersoise

Article du 06/03/2019 - Le journal du Gers
Article du 07/03/2019 - La Dépêche

Créés en 2001 par Le Moniteur, les Prix Moniteur de la construction célèbrent cette année leur 17e édition. Les prix sont remis dans 4 catégories : gros œuvre, second œuvre, équipement technique et travaux publics. A l'issue des jurys régionaux qui se sont tenus à Bordeaux, Lille, Lyon, Marseille, Nantes, Paris et Strasbourg, 28 prix lauréats régionaux ont été désignés. Quatre prix nationaux sont décernés parmi les lauréats des prix régionaux pour chaque catégorie. Ils sont complétés par deux mentions : créateur d'entreprise et performance sociale. Cette année encore, les Prix Moniteur de la construction honorent la performance durable d'entreprises de BTP œuvrant dans leur région et un jury d'experts réunissant des spécialistes de l'analyse financière (Ellisphère et KPMG), des représentants d'organismes professionnels du BTP (Qualibat, OPPBTP et MBTP) et les journalistes de la rédaction régionale du Moniteur a choisi de primer ces quatre entreprises sur la base de leurs performances économiques réalisées sur les trois derniers exercices (croissance du chiffre d'affaires, de la rentabilité, évolution des effectifs, courbe des investissements, etc.), mais aussi de leur politique sociale et environnementale. Pour la région Sud-Ouest, le lauréat régional pour la catégorie «Clos et couvert» est une entreprise lectouroise, la Société gersoise de restauration du patrimoine (SGRP), située dans la zone industrielle Naudet et à l'effectif de 48 salariés. La SGRP est spécialisée dans la restauration de monuments et de bâtiments. Fort de vingt ans d'expérience dans la maçonnerie, la taille de pierre et la restauration de Monuments historiques, Julien Sourbès et son équipe interviennent sur des maisons de campagne, de ville, châteaux, églises, cathédrales, abbayes, travaillant ainsi à la fois pour des personnes privées, des collectivités locales ou pour l'Etat. La SGRP utilise son savoir-faire, son expérience et ses compétences pour réaliser des restaurations discrètes qui s'intègrent parfaitement aux bâtiments anciens. La SGRP a également obtenu le certificat Qualibat en 2010 pour la restauration, pierre de taille et maçonnerie du patrimoine ancien.

Source La Dépêche

Sophie Pubert redonne vie aux pianos défectueux. Elle répare des pianos anciens du XIXe siècle en réutilisant des matériaux et en employant des produits dit «à l'ancienne», c'est-à-dire naturels comme par exemple des colles organiques. Elle fait partie de la communauté des Répar'Acteurs d'Occitanie. Diminuer un maximum les déchets, c'est l'objectif principal. La communauté des communes de la Lomagne gersoise (CCLG) a remarqué son travail qui consiste donc à utiliser des produits écologiques, trier les déchets et dont les locaux permettent l'accessibilité aux personnes à mobilité réduite. Elle accueille également des stagiaires. David Taupiac, maire de Saint-Clar, Suzanne Macabiau, vice-présidente de la CCLG, et Xavier Balleghein, maire de Flamarens, lui ont remis le diplôme d'«Eco-défis» en présence de Jean-Louis Castell, président de la CCLG, et Guy Sorbadère, président de la chambre des métiers, qui l'ont félicité.

Source La Dépêche

Programme FISAC 2017 - 2020 en Lomagne Gersoise Première programmation d’aides directes Cérémonie de remise des subventions Mercredi 5 décembre 2018 à Fleurance Lancé en fin d’année 2017, le programme FISAC (Fonds d’Intervention pour les Services, l’Artisanat et le Commerce), de la Lomagne Gersoise vise à soutenir jusqu’en 2020 le tissu économique local dans ses initiatives d’adaptation et de modernisation. Dans ce cadre, la Lomagne Gersoise s’est engagée dans une politique active et ambitieuse de redynamisation des centres - bourgs en accompagnant les actions des professionnels en faveur de la consolidation et du développement du commerce de proximité, en complémentarité avec d’autres démarches comme les avances remboursables, l’OPAH, etc. Le programme FISAC 2017 - 2020 en Lomagne Gersoise prévoit notammentun programme d’aides directes en faveur des investissements des entreprises, doté d’une enveloppe globale de 175 000 € répartie à parts égales entre l’Etat et la communauté de communes. Ce dispositif, à destination des commerçants et artisans, doit permettre de les aider dans leurs dépenses de modernisation et de développement (aménagements, productivité, visibilité,mise aux normes, etc.).

Ce mercredi 5 décembre, Jean-Louis Castell, Président de la communauté de communes, accompagné de Suzanne Macabiau, Vice-présidente, et Nathalie Campourcy, directrice de la DIRECCTE représentant Madame la Préfète du Gers, en présence des partenaires (CCI du Gers, Ville de Fleurance, Fleurance action, ACAL32), ont remis à 7 entreprises du territoire les nouvelles subventions attribuées pour un montant global de 16 827.40 €. Cette enveloppe intervient en complément de la première attribuée en début d’année par un comité de pilotage associant les communes et les associations de commerçants, et pour un montant de 32 424.34 €. Les nouveaux bénéficiaires de ce dispositif sont ainsi : la chocolaterie MAISON BAUDEQUIN et la boucherie CK à Lectoure,les boulangeries DEBRUYNE et PUJO, la boutique informatique NESSUNO INFO et le tabac - presseLE D’ARTAGNAN à Fleurance,ainsi que le salon de co iffure MARIE - HELENE à Miradoux. Ces entreprisesont été unanimes sur l’importance de cette aide de l’Etat et de la communauté de communes et de l’accompagnementtechnique de la Lomagne Gersoise, pour la bonne réalisation de leurs projets respectifs.

 

Pour tous renseignements et précisions : Cyril Lepachelet – Développeur économique – 05.62.29.52.42 – economie@lomagne-gersoise.com

Communiqué de presse Lomagne Gersoise

Lancé en fin d'année 2017, le programme Fisac (Fonds d'intervention pour les services, l'artisanat et le commerce) de la Lomagne gersoise vise à soutenir jusqu'en 2020 le tissu économique local dans des initiatives d'adaptation et de modernisation. Dans ce cadre, l'ambition de la Lomagne gersoise est de mener une politique active et ambitieuse de redynamisation des centres bourgs en accompagnant les actions des professionnels en faveur de la consolidation et du développement du commerce de proximité. La programmation Fisac 2017-2020 en Lomagne gersoise prévoit notamment un programme d'aides directes en faveur des investissements des entreprises, doté d'une enveloppe globale de 175.000 € répartis à parts égales entre l'Etat et la communauté de communes (CCLG). Ce dispositif, à destination des commerçants et artisans, doit permettre de les aider dans leurs dépenses de modernisation et de développement. Ceux-ci, en complément de cette participation Fisac, bénéficient en outre de l'accompagnement du service économique de la Lomagne gersoise pour l'ensemble de leurs démarches. La première volée de programmation a vu l'attribution de 32.424,34 € de subventions à 7 entreprises, la deuxième, qui a eu lieu mercredi, en présence de Jean-Louis Castell, président de la CCLG ; Suzanne Macabiau, vice-présidente ; Emilie Muñoz-Dennig, maire, et Gérard Auret, son adjoint, chargé de l'économie, a vu l'attribution de 16.824,40 € de subventions à 7 entreprises ayant réalisé 107.572,54 € d'investissements. Il s'agit de : SARL boulangerie Debruyne (Fleurance) qui a reçu 4.000 €; coiffure Marie-Hélène (Miradoux), 1.726,62 €; Maison Baudequin (Lectoure), 1.572,50 €; boulangerie Pujo (Fleurance), 1.546,50 €; SAS Boucherie CK (Lectoure), 2.816,57 €; tabac-presse Le d'Artagnan (Fleurance), 3.975 €; EIRL Nessuno Info (Fleurance), 1.190,21 €. Au total, sur l'année 2018, ce sont 49.251,74 € qui ont été distribués à 14 entreprises du territoire, soit 28,1 % de l'enveloppe Fisac.

Communiqué de presse Lomagne Gersoise

Ebéniste depuis vingt-cinq ans et installé au lieu-dit «Le Richard» depuis treize ans, Pierre Mandille a reçu le label «Ecodéfis» de Jean-Louis Castell, président de la communauté de communes, et de Guy Sorbadère, président de la chambre de métiers, pour sa démarche écoresponsable. Celle-ci consiste à employer des produits avec de faibles émissions toxiques, de chauffer au bois, d'isoler l'atelier et d'utiliser des diffuseurs de chaleur, de trier les déchets dangereux et de réduire la toxicité grâce à une pompe à vernis. De plus, Pierre Mandille reçoit des stagiaires et fait partie de l'association Métiers d'art.

Revue de presse de la Lomagne Gersoise

Cela fait 11 ans que Gaz-Gascogne propose à la vente et la livraison de bouteilles de gaz et autres produits associés pour les professionnels et les particuliers. Eric Rivière a été récompensé par la communauté de communes et par la chambre de métiers pour la démarche écoresponsable. Cela consiste à faire le tri des déchets, la récupération des bouchons des bouteilles de gaz, la vente de granulés bois, l'éclairage led et l'isolation, l'accessibilité et place de parking réservée aux personnes handicapées et d'être partenaire de courses de vélo, à pied, auto-cross et sponsors de clubs de rugby. Il a donc reçu un diplôme et un lot de cadeaux.

Revue de presse de la Lomagne Gersoise

Succès pour le Club Entreprendre en Gascogne, vendredi dernier, salle Eloi-Castaing : près de 370 personnes ont assisté à son temps fort annuel, avec, pour invitée cette année, une experte en «kifs quotidiens», Florence Servan-Schreiber. «Surprendre son cerveau» était le thème de cette conférence-expérience mêlant apports théoriques et exercices «en live» pour mieux se connaître et découvrir aussi son voisin de fauteuil. Gestion du stress, bienfaits de la méditation, cohérence cardiaque, créativité, intuition… Neurosciences et psychologie positive ont animé ce moment de partage. Chaque année depuis cinq ans, le Club Entreprendre en Gascogne se renouvelle et propose la venue d'un invité nouveau et la présentation d'une thématique à chaque fois différente. Originalité cette année : les apports et enseignements ne s'arrêtent pas à la soirée, la conférence-expérience étant suivie par l'envoi, quelques jours plus tard, d'un kit digital. Les personnes présentes en ayant manifesté le souhait ont d'ailleurs déjà commencé à recevoir des éléments en bonus : mémo de la soirée, tests et exercices, apports complémentaires dans le domaine de la psychologie et des neurosciences. Florence Servan-Schreiber continue de les faire profiter de ses connaissances et de sa philosophie de vie. Avec pour maîtres-mots la confiance en soi, la passion et le plaisir. Le Club Entreprendre en Gascogne réunit depuis plus de dix ans une soixantaine de chefs d'entreprise issus du bassin d'activités Fleurance-Lectoure-Auch. Avec pour objectif d'échanger et de partager forces et conseils en local.

Source La Dépêche

Le charcutier lectourois Pascal Mazzonetto a obtenu le label «Eco-défis», remis le 28 novembre aux artisans lors d'une cérémonie au siège de la communauté de communes de la Lomagne gersoise (CCLG), à Fleurance. Cette distinction a été obtenue pour les motifs suivants : pas de gaspillage alimentaire, plusieurs kilos de graisses prétraités grâce à un séparateur de graisses et autres motifs. Ce prix a été remis par Jean-Louis Castell, président de la CCLG, et par le président de la chambre des métiers, Guy Sorbadère.

Article La Dépêche

Déjà sept mois que le café des Sports, l'emblématique troquet de

Déjà sept mois que le café des Sports, l'emblématique troquet de Lectoure, a changé de propriétaire. Les clients peuvent parfois apercevoir encore Patrick Bayonne, qui vient avec sa gentillesse légendaire donner un coup de main ; mais ce sont bien Gérôme et Clara qui sont aux manettes. Entretien avec des cafetiers heureux.

Toujours contents de ne plus être architectes mais cafetiers dans le Gers ?

Nous sommes ravis de notre choix. C'est un métier radicalement différent avec une réelle dimension humaine. Nos clients arrivent chez nous avec le sourire car ils viennent pour se détendre. Si nous faisons bien notre boulot, ils repartent avec un sourire encore plus grand. C'est un réel bonheur.

Quel bilan tirez-vous de ce premier semestre ?

Le bilan est positif, le challenge était de taille car le lieu (avec son ancien propriétaire) était un pilier de la ville. Les Lectourois craignaient ce changement de direction. Je crois qu'après sept mois d'activité, nous pouvons dire que c'est une réussite. Nous avons su montrer aux habitués que nous n'avions pas l'intention de changer l'atmosphère du lieu. L'esprit populaire et convivial est resté. Notre souhait est d'ouvrir encore un peu plus cet établissement à tous. Nous souhaitons que chacun s'y sente «comme à la maison».

Avez-vous rencontré des difficultés ?

Pas de difficultés particulières. Le seul problème a été le rythme effréné de l'été, avec l'afflux touristique et la frénésie estivale qui accroît la fréquentation quotidienne du café. À l'issue de ce premier printemps-été, nous avons une foule de souvenirs inoubliables. Nous avons reçu un accueil très chaleureux de la part des Lectourois, nous leur en sommes très reconnaissants.

Des projets pour les prochains mois ?

Plein de projets ! Le plus compliqué va être de les mettre dans l'ordre. Le premier projet concrétisé ce sont les soirées Jazz Club tous les jeudis soir depuis début novembre. L'entrée est gratuite, on vient écouter un bon concert dans une ambiance feutrée autour d'un bon potage bio réalisé par Clara. Déjà deux éditions qui ont été un succès, ce n'est que le début ! Nous avons une foule d'idées que nous allons mettre en place au fur et à mesure du temps.

Lectoure, a changé de propriétaire. Les clients peuvent parfois apercevoir encore Patrick Bayonne, qui vient avec sa gentillesse légendaire donner un coup de main ; mais ce sont bien Gérôme et Clara qui sont aux manettes. Entretien avec des cafetiers heureux.

Toujours contents de ne plus être architectes mais cafetiers dans le Gers ?

Nous sommes ravis de notre choix. C'est un métier radicalement différent avec une réelle dimension humaine. Nos clients arrivent chez nous avec le sourire car ils viennent pour se détendre. Si nous faisons bien notre boulot, ils repartent avec un sourire encore plus grand. C'est un réel bonheur.

Quel bilan tirez-vous de ce premier semestre ?

Le bilan est positif, le challenge était de taille car le lieu (avec son ancien propriétaire) était un pilier de la ville. Les Lectourois craignaient ce changement de direction. Je crois qu'après sept mois d'activité, nous pouvons dire que c'est une réussite. Nous avons su montrer aux habitués que nous n'avions pas l'intention de changer l'atmosphère du lieu. L'esprit populaire et convivial est resté. Notre souhait est d'ouvrir encore un peu plus cet établissement à tous. Nous souhaitons que chacun s'y sente «comme à la maison».

Avez-vous rencontré des difficultés ?

Pas de difficultés particulières. Le seul problème a été le rythme effréné de l'été, avec l'afflux touristique et la frénésie estivale qui accroît la fréquentation quotidienne du café. À l'issue de ce premier printemps-été, nous avons une foule de souvenirs inoubliables. Nous avons reçu un accueil très chaleureux de la part des Lectourois, nous leur en sommes très reconnaissants.

Des projets pour les prochains mois ?

Plein de projets ! Le plus compliqué va être de les mettre dans l'ordre. Le premier projet concrétisé ce sont les soirées Jazz Club tous les jeudis soir depuis début novembre. L'entrée est gratuite, on vient écouter un bon concert dans une ambiance feutrée autour d'un bon potage bio réalisé par Clara. Déjà deux éditions qui ont été un succès, ce n'est que le début ! Nous avons une foule d'idées que nous allons mettre en place au fur et à mesure du temps.

Source La Dépêche

Accompagner les entreprises pour mettre en œuvre le prélèvement à la source

Mercredi 7 novembre dernier, dans le cadre des animations de la pépinière d’entreprises de Lomagne, le Président de la Lomagne Gersoise, Jean-Louis Castell, a accueilli les représentants et collaborateurs de plusieurs entreprises du territoire venus s’informer sur les enjeux de la mise en œuvre du prélèvement à la source de l’impôt sur le revenu.

François-Xavier Saurigny, administrateur des finances publiques adjoint et directeur du Pôle métiers à la DGFiP du Gers, et Murielle Bacqué-Montanel, expert-comptable auprès du Cabinet Gimbert, ont à cette occasion pu détailler les modalités de cette réforme qui s’appliquera à compter de janvier prochain à l’ensemble des salariés et de leurs employeurs. Ils ont su surtout répondre très concrètement aux nombreuses questions qui se posent sur ce sujet brulant d’actualité.

Ces rendez-vous économiques de la Lomagne Gersoise permettent de traiter régulièrement des problématiques qui concernent les entreprises sur des thèmes variés.

Communiqué de presse Lomagne Gersoise

Un partenariat pour la structuration d'une filière économique autour de l'Agroalimentaire et la Santé par Alimentation Naturelle et Biologique (ASANBio).

Vendredi 5 octobre a eu lieu le lancement de l'association ASANBio au siège de la Lomagne Gersosie.

Dans le cadre de la démarche du Pôle Territorial de Coopération Economique lancée en 2016, la Communauté de communes s'est inscrite dans une démarche active de structuration d'une véritable filière économique autour de l'agroalimentaire et la santé par alimentation naturelle et biologique.

Pour ce faire, elle a engagé une étude d'opportunité et de faisabilités technique et financière, réalisée par le cabinet Cerfrance, pour envisager les conditions nécessaires pour favoriser la structuration de cette filière et identifier les potentialités du territoire.

Cette étude, menée en concertation et partenariat avec l'ensemble des acteurs de la filière, a permis d'identifier plusieurs axes d'actions, dont la première est la création d'une structure porteuse de la filière plantes aromatiques et médicinales, dans l'objectif de structurer la convergence et la cohérence des actions qui seront mises en œuvre pour la déclinaison du plan d'actions.

Jean-Louis Castell, président de la Lomagne gersoise, a accueilli les partenaires de cette démarche structurante pour lancer l'association ASANBio qui marque ainsi la mise en phase opérationnelle de la structuration de la filière agrobiologique.

Sont intervenus auprès de nombreux producteurs, transformateurs et distributeurs, la sous-préfète de Condom, qui a rappelé l'engagement de l'Etat pour soutenir cette dynamique, le sénateur Raymond Vall, qui a souligné l'engagement de la commune depuis des années avec la marque Biopôle, Philippe Billerot, président de Pôle 21, et Pascal Lafont, qui prendra la présidence de l'association.

Source Communiqué de presse Lomagne Gersoise

C'est après mûre réflexion qu'Hélène Natale-Nadalutti a choisi de quitter son emploi de journaliste pour donner un sens à sa vie professionnelle. Installée dans notre localité au 22 de la rue Alexandre Lafont, elle est formatrice en français pour les étrangers, écrivain public pour tous ceux qui ont besoin d'aide pour écrire un courrier administratif ou coucher une tranche de vie sur le papier et en plus est médiatrice professionnelle pour la résolution amiable des conflits dans tous les domaines.

C'est un choix qu'elle a fait après 13 ans de journalisme en presse magazine qui lui ont donné une solide expérience dans la pratique de l'écriture et du français, mais aussi après dit-elle : «12 déménagements dont un à l'étranger, trois métiers, plus deux enfants adolescents et jeune adulte».

Dans son cursus elle ajoute «une formation en droit civil, droit public et des affaires (DU), une formation en médiation civile, commerciale et sociale (DU), un diplôme d'aptitude à l'enseignement du français langue étrangère (DAEFLE), une formation de correctrice avec l'école des métiers de l'information et enfin une formation d'écrivain public avec le CNED.»

Aujourd'hui, c'est important pour moi de mettre mon savoir-faire au service d'une communication écrite et orale juste et efficace».

Son plaisir est aussi d'aider les particuliers, les artisans et les TPE à faire face aux courriers administratifs, avec sa plume ou son ordinateur pour les démarches en ligne. Elle transmet les outils de la langue française aux étrangers pour qu'ils puissent se construire une nouvelle vie avec aisance. Elle est là aussi pour favoriser la résolution des conflits avec un processus qui permet à tous d'en sortir libre et la tête haute.

Ce qu'elle préfère le plus, c'est accompagner les personnes qui souhaitent raconter leur histoire pour transmettre des souvenirs, expliquer ou encore estomper une douleur.

Pour rencontrer Hélène Natale-Nadalutti il faut prendre rendez-vous ou par téléphone au 06 58 54 23 55

Source La Dépêche

Dans un contexte de consommation morose, les éleveurs de l'ADEL 32 et l'équipe de la Boucherie de l'abattoir et des éleveurs ont marqué vendredi, en fin d'après-midi, la réouverture de la boucherie Fleurance-Viandes après plusieurs mois de fermeture et des travaux d'aménagement qui ont été faits dans le magasin pendant cette période d'inoccupation.

Le sénateur Raymond Vall et le président de la communauté de communes Jean-Louis Castell ont honoré de leur présence ce moment de convivialité.

Dans ce cadre ainsi rénové, la Boucherie de l'abattoir et des éleveurs met en vente des animaux produits localement (la vache de mon voisin, le veau rosé label rouge, le porc Duroc, l'agneau des Pyrénées mais aussi des volailles produites ici dans ce secteur de Lomagne). Elle participe ainsi, à sa place, à appuyer l'économie agricole du département et favorise l'accès au plus grand nombre de consommateurs à des produits du terroir, «élevés avec passion», comme le précise M. Dugros, éleveur à Goutz.

La Boucherie de l'abattoir et des éleveurs, exploitée par Arcadie Ouest, incarne une forme dynamique de circuit court en procurant un prix rémunérateur aux éleveurs et des prix de vente aux consommateurs raisonnables. Les éleveurs de l'ADEL 32 bénéficient donc de l'engagement de cette société Arcadie Sud -Ouest pour la mise en avant de produits locaux, abattus à l'abattoir d'Auch et que diffuse désormais, outre la boucherie de l'abattoir et des éleveurs d'Auch, celle de Fleurance.

Pour cette inauguration, il y avait de nombreux Fleurantins qui, en plus de voir l'étal bien garni avec des produits de qualité, ont pu apprécier la dégustation qui a été proposée par Sylvain Faulong, de Saint-Brès. Ce dernier avec humour, a su faire partager des grillades provenant de son élevage accompagnées d'un bon vin du terroir du domaine d'Embidoure.

Source La Dépêche

Bientôt une « conférence-expérience » : surprendre son cerveau.

Le Club Entreprendre en Gascogne organise chaque année depuis 4 ans une conférence à destination des entrepreneurs locaux, devenue un moment incontournable du calendrier des manifestations de la Lomagne Gersoise. Dans le cadre de sa compétence économique, la communauté de communes, partenaire du club entreprendre, soutient la mise en œuvre de cet évènement annuel.

Jean-Louis CASTELL, président de la Lomagne Gersoise, et Coralie GONZALVEZ, présidente du Club Entreprendre en Gascogne, se sont rencontrés ce lundi au siège de la Lomagne Gersoise pour évoquer cette 5e conférence qui aura lieu le 23 novembre prochain à Fleurance.

Après le succès des 4 éditions précédentes qui ont accueilli plus de 300 participants à chacune des rencontres, l’équipe d’Entreprendre en Gascogne a choisi cette année d’organiser une « conférence-expérience » avec leur invitée, Florence SERVAN-SCHREIBER, spécialiste en psychologie transpersonnelle et de la programmation neuro linguistique, qui propose de « prendre de la hauteur, de cultiver la psychologie positive et de surprendre nos cerveaux pour nous épanouir »…

Pour en savoir plus sur la conférence à venir, suivez les actualités du Club Entreprendre en Gascogne sur Facebook : www.facebook.com/entreprendreengascogne

Communiqué de presse Lomagne Gersoise

La réunion de lancement de l'action «Coaching seniors», s'est tenue vendredi à la «pépinière d'entreprises» de la Lomagne Gersoise à Lectoure, .

Jean-Louis Castell, président, s'est réjoui d'accueillir les partenaires volontaires pour accompagner cette démarche pilotée par les services de l'Etat et menée par Pôle-Emploi.

Dans le cadre de la revitalisation ITM-LAI, l'Etat a signé une convention avec Cécile Szakonyi (coaching individuel et collectif) afin d'accompagner les demandeurs d'emploi de 50 ans et plus, éloignés du marché du travail.

Ce dispositif a pour objectif de redonner confiance à des seniors en perte de vitesse qui connaissent des problématiques d'estime et d'image de soi. Il s'agit aussi de travailler sur l'argumentaire (souvent peu adéquat) et la valorisation de leur expertise professionnelle.

Cécile Szakonyi abordera pendant plusieurs semaines différentes thématiques comme : élaborer une posture professionnelle optimale, construire une communication efficace, ancrer sa confiance en soi et devenir acteur.

La Lomagne Gersoise, partenaire de cette action, a souhaité pour ce lancement associer les chefs d'entreprise membres de Pôle 21.

Certains comme Philippe Billerot (Fleurance Nature), Patrick Falc (Crédit Agricole Pyrénées-Gascogne), Engracia Garcia (Synergie), Pascal Lafont (Vergers de Gascogne) sont prêts à s'investir et à donner de leur temps pour permettre à ces demandeurs d'emploi de pouvoir accéder à un emploi à la fin de cette action.

L'équipe de «Magret Production» se montre fort active sur le Lectourois. L'occasion d'un entretien.

Qui êtes-vous ?

Magret Productions est une association qui réalise des films artistiques mettant en valeur le département du Gers. Elle est composée de Vivien Laval, président, réalisateur, scénariste, acteur ; Guillaume Laval, trésorier, réalisateur, scénariste, cadreur, monteur ; Daniel Batalha Gonçalves, secrétaire ; Matthieu Régnaut, réalisateur, scénariste, acteur ; Nathan Berthelot, scénariste, assistant réalisateur, monteur. Le siège de l'association est à Saint- Clar mais nos bureaux sont à la pépinière d'entreprises de Lectoure depuis mars dernier. Notre association pratique des tarifs bas pour des films de qualité professionnelle et un contenu original et décalé.

Quelles sont vos actualités ?

L'association produit «Marche Arrière», réalisé par Guillaume Laval et Vivien Laval, qui s'est tournée du 10 au 30 juin dernier sur les communes de Saint -Clar, Lectoure et Fleurance. La précédente réalisation de Guillaume Laval (La Web Série #32) abordait le départ de bacheliers gersois contraints de quitter le département pour leurs études. Ici, nous avons abordé la thématique inverse d'un retour dans le Gers :

«Marche Arrière» raconte l'histoire de Florian, cinéaste raté, dépressif, alcoolique et autodestructeur, qui revient malgré lui dans son Gers natal après dix ans d'absence. «Marche Arrière» sera diffusé en avant-première au prochain festival du film court en Armagnac à Condom en octobre puis dans tous les cinémas du Gers. Nous avons également réalisé les deux premiers épisodes d'une Web série pour l'association des professionnels de santé du Lectourois : Sous le désert il y a de l'eau qui coule… le premier épisode (www.youtube.com/watch?v=8uzl-jZAphg) a déjà atteint les 16 000 vues sur Facebook et plus de 600 sur Youtube. Nous avons également réalisé une autre Web Série (composée de 4 épisodes) : La Consultation, pour le département du Gers à l'initiative de Dites32. La série est composée de quatre interviews de professionnels de santé sur un ton décalé et humoristique (https ://youtu.be/ UoJl1kRiDuA).

Contact : magretprod@gmail.com

Source La Dépêche

Après un début de saison compliqué, la production de melons de Lectoure fait face actuellement à une explosion de la demande. Une bonne nouvelle à la veille de la grande fête du melon au cœur du village.

Ce n'est plus une nouvelle. Il fait chaud, très chaud. Mais si certains s'en plaignent, d'autres, comme les producteurs de melon, ont retrouvé le sourire. Il faut dire qu'ils ont fait face à un début de saison compliqué, marqué par des pluies diluviennes et des orages très localisés. «Sur le département, certains producteurs ont été touchés partiellement, voire totalement, reconnaît Marie-Hélène Lagardère, coprésidente de l'association pour la promotion du melon de Lectoure.On a enregistré un retard de trois semaines environ. Mais, le fort ensoleillement et la chaleur de ces dernières semaines nous ont permis d'avoir un melon d'une qualité remarquable.»

Une explosion de la demande

En termes de tonnage, certes, le volume risque d'être moins important que l'année passée, mais la météo actuelle est plus que propice à la consommation de la fameuse cucurbitacée. Si bien que les producteurs font face actuellement à une explosion de la demande. «Nous ne pouvons pas parler d'une très bonne année mais c'est une année correcte, ajoute Marie-Hélène Lagardère. Il y a du melon de qualité, très parfumé et homogène extrêmement sollicités par les consommateurs.»

Autant de qualités qui ont fait la renommée du melon de Lectoure tout comme sa couleur orange vif et son goût de miel.

Il sera d'ailleurs à l'honneur, demain, lors de la grande fête du melon (programme à retrouver en page 9) au cœur du village où des milliers de visiteurs sont attendus. Une belle vitrine pour un produit de qualité.

Source La Dépêche

La Santé près de chez vous

 

La communauté de communes de la Lomagne Gersoise, dans le cadre des orientations proposées par les acteurs économiques au sein de Pôle 21, s'est engagée à soutenir la structuration de la filière agroalimentaire plantes aromatiques et aussi médicinales. Elle est bien représentée sur ce territoire avec plus de 200 millions d'euros de chiffre d'affaires et 200 emplois comptant aussi des fleurons économiques tels que les Laboratoires Mességué, Fleurance Nature, le Bleu de Lectoure

La création de cet espace inauguré, vendredi, nommé «jardin du bien-être», propose un véritable lieu de vie à vocation pédagogique, à destination des scolaires, des habitants du territoire et également des touristes de passage. Il a pour objectif de valoriser les entreprises locales et leurs savoir-faire à partir du cheminement réalisé par la commune, et visible de la RN 21 qui constitue la plus belle vitrine commerciale.

Ce jardin est aussi un exemple de partenariat public-privé comme la Lomagne Gersoise sait les initier, puisque les Laboratoires Mességué et Fleurance Nature l'ont soutenu financièrement et techniquement. Philippe Billerot, directeur, a souligné à cette occasion la qualité du partenariat engagé avec l'ensemble des acteurs publics et privés.

Émilie Muñoz-Dennig, maire : «Cet aménagement s'intègre parfaitement dans l'oasis de biodiversité engagée par la commune avec le parcours le long du Gers et la suite de Pan qui sera bientôt dévoilé au grand public.»

Raymond Vall, sénateur, abondait en ce sens en remarquant que cette inauguration était synchrone avec l'annonce par Nicolas Hulot du Plan pour la biodiversité, marquant un changement d'échelle dans la politique de protection de la nature.

Cette première action de valorisation des savoir-faire communautaires sur le territoire prouve que la structuration de la filière «plantes aromatiques et médicinales» passe par la synergie des forces vives du territoire. Il continuera à vivre encore puisque des plantations et aménagements sont encore à prévoir pour donner pleinement la valeur de ce «jardin du bien-être».

Contact : Olivier de Witte, Tél. 05 62 64 28 29. Courriel : pole21@lomagne-gersoise.com

 

Le règlement général sur la protection des données personnelles (RGPD) est entré en application le 25 mai 2018. Ce texte a pour objectif de mieux protéger les particuliers concernant le traitement de leurs données personnelles et de responsabiliser les professionnels.

Le RGPD s’applique à toute organisation, publique et privée, qui traite des données personnelles pour son compte ou en tant que sous-traitant, dès lors qu'elle est établie sur le territoire de l’Union européenne ou que son activité cible directement des résidents européens.

Des sociétés profitent de l’entrée en vigueur de ce règlement pour opérer du démarchage auprès des professionnels (entreprises, administrations, associations), parfois de manière agressive, afin de vendre un service d’assistance à la mise en conformité au RGPD.

Au regard de pratiques commerciales trompeuses, la DGCCRF et la CNIL formulent plusieurs recommandations qui visent à :

  • vérifier l’identité des entreprises démarcheuses qui ne sont en aucun cas, contrairement à ce que certaines prétendent, mandatées par les pouvoirs publics pour proposer à titre onéreux des prestations de mise en conformité au RGPD ;
  • vérifier la nature des services proposés : la mise en conformité au RGPD nécessite plus qu’un simple échange ou l’envoi d’une documentation. Elle suppose un vrai accompagnement, par un professionnel qualifié en protection des données personnelles, pour identifier les actions à mettre en place et assurer leur suivi dans le temps.

Dans certains cas, il peut aussi s’agir de manœuvres pour collecter des informations sur une société en vue d’une escroquerie ou d’une attaque informatique.

Parmi les principaux réflexes à avoir en cas de démarchage

Si vous recevez ce type de sollicitations, vous devez :

  • demander des informations sur l’identité de l’entreprise démarcheuse permettant de faire des vérifications sur internet ou auprès des syndicats de votre profession ;
  • vous méfier de telles communications prenant les formes d’une information officielle émanant d’un service public ;
  • lire attentivement les dispositions contractuelles ou pré-contractuelles ;
  • prendre le temps de la réflexion et de l’analyse de l’offre ;
  • diffuser ces conseils de vigilance auprès de vos services et des personnels qui sont appelés à traiter ce type de courrier dans l’entreprise ;
  • ne payer aucune somme d'argent au motif qu’elle stopperait une éventuelle action contentieuse.

Source cnil.fr

Morgan H, cette jeune entreprise lectouroise, commence à faire parler d'elle. Après son passage il y a quelques semaines dans l'émission «La Maison France 5», le carnet de commandes commence à se remplir, pour le plus grand bonheur de Morgan, passionné par la création. «Mon rêve se concrétise, pouvoir réaliser pour mes clients des meubles sur-mesure est un réel plaisir !».

Morgan, épaulé par sa nièce, Julie Andrada, et un ami de famille, Jean-Pierre Lusar, a concrétisé la création son entreprise : «Morgan H».

« La pépinière a été une chance pour nous »

«Tout cela s'est passé un soir de crémaillère, nous nous sommes retrouvés tous les trois, et l'idée de monter notre entreprise ensemble nous est venue, et nous nous sommes lancés. Julie a même quitté son emploi à Paris pour revenir dans le Gers ! Ensuite, tout est allé très vite, nous avons commencé à travailler dans un garage, puis nous avons rapidement intégré la Pépinière d'entreprises de Lectoure, véritable incubateur de jeunes entreprises, et cela a été une chance pour nous. Nous sommes entourés de personnes bienveillantes. Nous espérons maintenant pouvoir pérenniser notre entreprise et pouvoir montrer encore beaucoup de nouveautés et notre savoir-faire !» Morgan travaille actuellement sur plusieurs projets sur-mesure, et propose aussi ses créations, très artistiques pour certaines, visibles sur son site internet. «Nous essayons de développer des collaborations, avec d'autres artisans et artistes. Cela sera à suivre très prochainement sur nos réseaux sociaux, car nous promettons des créations étonnantes, jamais vues ailleurs !».

Source La Dépêche

Le partenariat, qui existe depuis plusieurs années, entre l'Association Fleurance'Action (l'Association des Commerçants, Artisans et Professions libérales de Fleurance) et la société Fleurance Nature se poursuit encore cette année.

En effet, mardi dernier (mardi 22 mai), les représentants de Fleurance'Action (Philippe Roseau président, Jean-Jacques Schattel trésorier et Véronique De Stefani secrétaire) ont rencontré à Fleurance dans les locaux de Fleurance Nature notamment Philippe Rombi président de Fleurance Nature et Philippe Billerot directeur du site de Fleurance. La rencontre fut très chaleureuse et fort constructive… avec trois Philippe présents (Rombi, Billerot et Roseau !).

En effet, Philippe Rombi a remis à Philippe Roseau un chèque de 1.500 euros pour le treizième Salon du Bien-être, des Loisirs et du Développement durable qui se déroulera à Fleurance le samedi 16 et le dimanche 17 juin prochain sous la Halle de la Mairie (le marché du samedi est à peine déplacé). Un salon avec produits bio, thérapeutes, médecines douces, cosmétiques, hygiène, compléments alimentaires, huiles essentielles, bijoux minéraux, créateurs, livres, loisirs créatifs, artisanat, associations, etc. Des dizaines d'exposants prévus.

Lors de cette rencontre, Philippe Rombi a également présenté en avant-première un camion expo vente qui sera bientôt présent sur différents marchés du Gers, et bien évidemment sur le marché de Fleurance le mardi. Ce qui permettra à la clientèle de Fleurance Nature de bénéficier de conseils et d'acheter les produits souhaités.

Par ailleurs, Philippe Rombi a confirmé à Philippe Roseau, Jean-Jacques Schattel et Véronique De Stefani que Fleurance Nature sera à nouveau cette année partenaire de Fleurance'Action pour la troisième saison de la patinoire. La contribution financière de Fleurance Nature facilite beaucoup le maintien de la patinoire cette année. Merci donc à Fleurance Nature, Philippe Rombi, Philippe Billerot et l'ensemble du personnel de Fleurance Nature. Pat'in Fleurance revient donc en décembre avec diverses animations… Vivement Noël…

Source La Dépêche

Yohan Lagarde, Kévin Razeyre et Soline Blanco sont trois étudiants de 21 ans Bachelor en marketing et commerce. Dans le cadre de leur projet de fin d'étude, ils ont pris la décision de créer une société de conseil afin d'aider les entreprises dans leur orientation stratégique sur le plan du développement, du produit et de la communication. Ayant entendu parler de la dynamique PME lectouroise «Le Fauteuil roulant français», dirigée par Édouard Detrez -ce jeune entrepreneur de 26 ans est connu pour avoir effectué un long périple en fauteuil roulant de Lectoure à Paris afin de sauver son entreprise en difficulté- ils ont décidé de créer une société partenaire «Mon2roues».

Après avoir rédigé un diagnostic stratégique sur «Le Fauteuil roulant français», l'équipe de «Mon2roues» a proposé des axes de développements commerciaux. Dernièrement, ils ont rendu visite à ce courageux chef d'entreprise afin de réfléchir sur les axes de développement stratégiques de l'entreprise.

Édouard Detrez et l'équipe M2R ont convenu de développer la partie digitale de la société. En effet, l'élaboration d'une plateforme marchande est en cours de réflexion afin de permettre aux clients de se procurer un large choix d'accessoires.

Par son slogan «La vitesse est personnelle, la victoire est collective», l'équipe de «Mon2roues» souhaite mettre en pratique son talent d'entreprenariat au profit de l'entreprise accueillante.

Cette envie commune, par le biais d'un engagement personnel, est la principale valeur de cette jeune société.

Source La Dépêche

A l'heure où les fleurs d'Isatis Tinctoria colorent de jaune les champs, l'intérêt pour le bleu de pastel qui en découle ne se dément pas. Et c'est ainsi que l'entreprise du Bleu de Lectoure continue à attirer toujours autant les esprits curieux. Une place lui sera donc faite dans l'émission «La Maison France 5» que viennent de tourner Stéphane Thébaut et son équipe à Lectoure. Les demandes de médias français et étrangers continuent à arriver pour le plaisir et l'étonnement de Jean-Marie, l'un des trois associés qui ont repris la marque Bleu de Lectoure, l'agriculteur qui cultive la plante et continue de la découvrir.

«La première année, on récolte les feuilles pour faire le pigment, la deuxième année ce sont les graines. L'idée étant de produire suffisamment de pigment pour devenir complètement autonome».

Séverine est responsable de la partie magique de l'histoire : c'est elle qui teint et qui voit les tissus immergés dans la décoction changer de couleur et devenir bleu en présence d'oxygène. Cécile s'occupe des visites qui retracent l'histoire de cette plante et de la teinture et de la boutique où se vendent les linges teints sur place, mais aussi les créations de nombreux artisans qui imaginent des objets, bijoux, déco d'ameublement, articles pour bébé… Il y a aussi toute une gamme de cosmétiques à base d'huile de pastel dont les vertus sont nombreuses.

Les trois associés imaginent d'autres développements, comme la production d'huile ou des huiles essentielles. En préservant avant tout la production artisanale, l'extraction, la beauté du geste dans le travail du teinturier… Un nouvel atelier est prévu avec des cuves plus grandes sur le lieu de production pour teindre davantage de pièces ou des pièces plus grandes. Le Bleu de Lectoure a obtenu le certificat de labellisation Eco défi des commerçants et artisans délivré par la chambre de métiers et de l'artisanat du Gers. L'entreprise avait été sélectionnée pour l'édition 2017 des trophées des Septuors du Gers de «La Dépêche».

L'émission « La Maison France 5 : Lectoure » sera diffusée vendredi 20 avril à 20 h 50. http ://www.bleu-de-lectoure.com/

Source La Dépêche

De plus en plus nombreuses dans les vignobles, les femmes veulent tracer leur sillon dans ce paysage agricole. Dans le Gers, elles viennent de lancer le club des vigneronnes.

Au début on leur a dit : «Ce n'est pas un métier de filles», «Qu'est-ce que vous faites dans les vignes ?». Mais force est de constater que douze ans après s'être installées, Sandrine et Nathalie Menegazzo sont encore là et toujours les pieds dans les vignes. Celles qu'on a par la suite appelées avec bienveillance les «filles d'Embidoure», font leur vin de A à Z. Dans leur domaine, situé sur les flancs de Réjaumont, elles cultivent 37 hectares de vignes, récoltent, distillent et mettent en bouteille à la propriété. 85 000 bouteilles de vin sont produites par an et 12 000 bouteilles de Floc et d'Armagnac.

Maman avant vigneronne

Un travail manuel «exigeant», de l'aveu de ces sœurs d'origine italienne. «Ce n'est pas tant la force physique, les techniques ont beaucoup évolué et allègent le travail manuel mais certaines tâches restent difficiles comme lever les filets», avance Sandrine. «Tailler et plier une tige c'est pour tout le monde pareil», tempère sa sœur. Au quotidien de viticultrice se superpose celui de maman. «On commence la journée à 6 h 30, on est mère de famille avant d'être vigneronne, on est aussi épouses et cheffes d'entreprise», confie Nathalie.

Et les journées sont loin de se finir à 20 h 30 avec le coucher des enfants. «On a toujours la tête dedans, dans les chiffres, les commandes…», liste Sandrine. Pour montrer que les vignobles ne sont pas l'exclusivité des hommes, les «filles d'Embidoure», ont monté avec une dizaine d'autres viticultrices du département le club "Les Bons Crus Milady».

Un vin plus «rond»

Sous l'égide du Comité départemental du tourisme, ce réseau a pour objectif de fédérer, aider et surtout donner du poids à ces femmes agricultrices qui veulent peser autant que les hommes. «On gère nos fermes et on produit un vin différemment», explique les sœurs. Selon leurs clients, le vin est «plus souple, plus rond et plus fruité. Avec la féminisation des vignobles, l'approche du métier a évolué : les domaines s'ouvrent aux visiteurs, la vente directe se développe, l'hébergement dans les fermes aussi… «Près d'une exploitation viticole sur trois est gérée par une femme», se félicite Sandrine. Souvent, les épouses de vignerons sont devenues elles-même viticultrices et ont repris les rênes de l'affaire. Un «travail de fourmis» réalisé pendant des années qui sort enfin de l'ombre.

Le chiffre : 147

 

vigneronnes > chef d'exploitation. Le département compte 506 agriculteurs à la tête d'un domaine viticole, d'après les données de la MSA (mutualité sociale agricole) recueillies par la Chambre d'agriculturedu Gers. Parmi eux, 359 sont des hommes pour seules 147 femmes. Les profils sont variés : 53 d'entre elles ont plus de 60 ans, 55 entre 50 et 60 ans et 7 ont moins de 30 ans.

 

Source La Dépêche

Seul territoire gersois retenu à l'appel à projet national de 2015, la Lomagne Gersoise a lancé en fin d'année 2017 son programme FISAC (Fonds d'intervention pour les services, l'artisanat et le commerce), qui vise à soutenir jusqu'en 2020 le tissu économique local dans ses initiatives d'adaptation et de modernisation.

Le FISAC est un fonds d'Etat dédié aux entreprises commerciales, artisanales et de services. L'ambition de la Lomagne Gersoise est ainsi d'accompagner les actions menées par les professionnels en faveur de la consolidation et du développement du commerce de proximité dans le cadre d'une politique active de redynamisation des centres bourgs en partenariat avec les communes membres (ces dernières demeurent les interlocuteurs et partenaires financiers des associations de commerçants, alors que la Lomagne Gersoise contribue directement à l'accompagnement financier des projets des commerçants et artisans).

C'est à cette fin que le comité de pilotage du dispositif, présidé par la préfète du Gers, s'est réuni ce lundi 9 avril au siège de la communauté de communes, en présence également de Mme la sous-préfète de Condom, et de l'ensemble des autres partenaires (DIRECCTE Occitanie, chambres consulaires, communes de Fleurance et Lectoure, représentants des associations de professionnels-Pôle 21, Fleurance Action et ACAL).

Au cours de cette réunion, plus de 32 000 € de subventions à destination de 7 entreprises du territoire (Boulangerie Cazeneuve, Charcuterie Mazzonetto, Bella Italia, Ludo GE, Croc et Miam, La Pause, et Bleu de Lectoure) ont été attribués (à parité entre l'Etat et la communauté de communes). Certains de ces projets bénéficieront également du dispositif d'avance remboursable de la Lomagne Gersoise.

Mme la préfète s'est félicitée de la mobilisation des partenaires dans le cadre de cette démarche collective, et le président Jean-Louis Castell a souligné l'importance de pérenniser cette dynamique importante pour la redynamisation des centres bourgs et l'attractivité du territoire dans son ensemble.

Pour tous renseignements et précisions : Cyril Lepachelet, développeur économique, au 05 62 29 52 42 ; economie@lomagne-gersoise.com

Stéphane Thébaut et son équipe de tournage étaient à Lectoure, mardi et mercredi derniers, pour préparer l'émission «La maison France 5». Accompagnés par Jill-Lucas Horvais, ils ont rendu visite à Olivier Lochard et Emmanuel Lucas, ferronniers d'art. D'agriculteur, Olivier Lochard est devenu ferronnier, progressivement, en suivant les hasards de la vie. «A force d'essayer, de voir d'autres ferronniers travailler, comme Tom Petrusson, j'ai vu qu'on pouvait faire des choses chouettes». Son BEP mécanique lui a permis de s'installer et de créer la société en 2008. Emmanuel Lucas travaillait quant à lui dans l'aéronautique pour Airbus avant de rejoindre son beau-père. Conquis, il a sauté le pas et ils se sont associés, pour le métier, la qualité de vie dans le Gers, le plaisir d'être son propre chef. L'atelier est aménagé à leur image, les murs sont couverts d'outils et de divers éléments : vélos, motos, matériels de récupération, diverses inventions créatives émaillant les lieux comme la porte d'entrée et celles du bureau, «satellite» au-dessus des têtes… Les réalisations sont extrêmement variées en fonction des demandes : escaliers, balustrades, portails en fer forgé, portes et fenêtres, tonnelles, mobilier forgé… Après, tout découle de la demande du client, c'est elle qui va générer l'énergie et l'inventivité pour le contenter. Ils affectionnent leur travail, mais plus encore les relations avec les clients. Pour satisfaire à la demande, ils vont à la rencontre des personnes et finissent par développer souvent de belles relations. Ils ont participé à la réfection de l'hôtel Descamps, à Lectoure, où ils ont aimé le respect du style XVIIe siècle dans les moindres détails, pour un final d'excellence. «Ce qui est intéressant, c'est l'échange, côtoyer les clients, apprendre de leurs connaissances, leur sûreté de goût». A la Tour du Bourreau aussi, ils ont fait un travail considérable, où, finalement, le moindre bout de ferraille vient de l'atelier ou presque… On les retrouvera vendredi 20 avril, dans l'émission «La maison France 5». Renseignements sur http ://www.ferronnerie-lectoure.com.

Source La Dépêche

L'Observatoire des marques positives vient de sortir son palmarès des 49 marques françaises les mieux notées sur leur «positivité». Ce sont plus de 12 000 consommateurs français qui ont été interrogés sur les aspects «Bien être, lien social, solidarité et naturalité» des 600 marques françaises les plus consommées. La grande surprise, qui arrive loin en tête de ce palmarès, c'est Ethiquable, la marque de la Scop fleurantine. Avec 68 % de positivité, une note en croissance de 5 % par rapport au dernier classement de 2016, il semble que le travail de fond de la Société coopérative soit de mieux en mieux compris par le grand public. Ce sont les réalisations de l'entreprise, et les impacts auprès des petits producteurs qui sont tout simplement inscrits sur les emballages des chocolats, cafés, thés… avec ce slogan : «Ce que je défends», l'acheteur sait à quoi sert son achat dans le respect de l'environnement, puisque les produits sont bios et issus d'une agriculture paysanne traditionnelle, qui permet de maintenir l'agroforesterie et les variétés anciennes sur leurs territoires. Pourtant, de grandes marques internationales (comme Google, Nespresso, Ikea…) sortent de ce palmarès cette année, moins bien notées par les consommateurs qui sont de plus en plus vigilants sur les actions et les impacts de ces grandes entreprises multinationales.

Cela fait cette année 15 ans que la Société coopérative Ethiquable est créée à Fleurance. Avec 30 % de croissance l'année dernière, Ethiquable continue cette année à se développer, dans un marché des produits «bio» qui gagne chaque jour du terrain.

La bonne nouvelle, cette société ne risque pas d'être rachetée ou délocalisée, puisque c'est une Scop. Elle reste la propriété commune de ses salariés qui deviennent sociétaires au bout de 2 ans d'ancienneté. C'est sans doute cette particularité, d'être une structure de l'économie sociale et solidaire, qui fait vraiment la différence avec certaines entreprises dont le but principal est souvent seulement le profit.

Source La Dépêche

L a conserverie haut de gamme, de fruits et légumes «Les Vergers de Gascogne» à Fleurance que visitaient hier des collégiens lectourois, présente un riche concentré des opportunités de s'épanouir dans l'entreprise

C'est coiffés d'une charlotte, visite d'une entreprise agroalimentaire oblige, que les élèves de la 3e «préparation professionnelle» du lycée Maréchal-Lannes ont visité hier l'entreprise de Pascal Laffont. Lui n'est pas né dans la conserve puisqu'il a fait carrière dans l'édition de logiciels informatique avant de réaliser son rêve : «Diriger une entreprise qui fabrique et vend des produits qui peuvent se toucher». En l'occurrence concernant les produits des Vergers de Gascogne (conserves de fruits et de légumes, soupes, etc... «nous avons plus de 150 recettes différentes») qui peuvent se toucher certes mais surtout, se manger, se déguster. Parmi eux le produit emblématique de la maison, la pêche blanche de Montestruc… Pelées à la main au nombre de 600 000 durant l'été dernier, ces pêches en bocauxqui régalent dans des restaurants «étoilés» et jusqu'au Japon et aux USA, sont à l'origine de l'entreprise créée en 1946 par Jean Porterie, un arboriculteur. Son parcours comme celui de Pascal Laffont confirment aux élèves que l'on ne «naît pas chef d'entreprise» mais qu'on le devient, avec ou sans diplômes dédiés. Les Vergers de Gascogne leur apprennent aussi que chaque entreprise a ses spécificités, ses différences. «Dans l'agro-alimentaire, l'hygiène, la propreté sont vitales, capitales» souligne Pascal Laffont. Le principe de la marche en avant («le produit fini ne doit pas rentrer en contact avec la matière première») s'inscrit dans cette démarche de sécurité alimentaire. Le chef d'entreprise explique aussi aux adolescents qui visiblement pénétraient «en terre inconnue» quand ils ont franchi la porte des Vergers de Gascogne que même dans l'agroalimentaire, les façons de travailler, d'organiser la production varient, notamment en fonction de la matière première. Ainsi des conserves de produits carnés n'ont pas le même «cursus» que celles d'asperges… Très exportatrice (30 % du chiffre d'affaires) l'entreprise fleurantine a besoin de manutentionnaires, d'agents de productions mais aussi des métiers liés au commerce, à l'exportation… C'est bien à cette diversité de métiers «dans l'entreprise» et à celle des trajectoires pour l'intégrer voire la diriger que La Semaine de l'entreprise entend «éveiller» les élèves.
Do It yourself

Aujourd'hui dans le cadre de la Semaine de l'entreprise des demandeurs d'emploi découvrent à Fleurance le centre de réalité virtuelle augmentée «Concept cube». Toujours à Fleurance, à l'intention de techniciens des collectivités vont découvrir le Fab Lab éphémère Green Design.. Un atelier Do-Il-Yourself (fais-le toi même) qui permet de créer des objets uniques en bois en s'inspirant de la nature (biomimétisme). www.pole 21.com/agenda

Source La Dépêche

C'est à l'arrière que se situent les constructions les plus anciennes, à l'image de la tour d'Albinhac que la démolition d'un garage avait fait resurgir. Tout récemment, Thierry Gallardo et Marc Darolles, reconvertis dans la conversion de l'hôtel de Guilhon, ont créé cinq chambres d'hôtes spectaculaires, toutes différentes (à partir de 170 € pour deux, petit-déjeuner inclus).

Stéphane Thébaut, de l'émission «La maison France5» y a glissé sa caméra mercredi dernier (lire ci-contre). Mais l'animateur n'a pas été invité, deux numéros plus haut, à découvrir la reconstitution somptueuse de l'hôtel Descamps, aux poutres peintes tricentenaires.

Parmi la trentaine d'hôtels particuliers et demeures remarquables enserrés par les remparts de la ville, le dernier grand chantier est en bas de la rue, au collège des Doctrinaires. Il servira d'hôtellerie pour le centre thermal situé de l'autre côté de la rue. La circulation est déviée jusqu'à fin juin, parce qu'on perce le souterrain qui permettra d'aller à la cure en peignoir. On n'a pas fini d'en parler au Café des Sports, qui rouvre demain lundi. Une nouveauté, il y a six becs de pression sur le comptoir, pour faire de la place aux bières belges.

Dans le Gers mardi et mercredi dernier, Stéphane Thebaut, l'homme de «La maison France5», émission hebdomadaire de découverte et de déco, a trempé sa caméra dans le bleu de Lectoure, filmé le village des brocanteurs à l'hôpital et fait le plein de demeures historiques luxueusement restaurées : la tour du bourreau, l'ancienne tannerie royale, l'hôtel particulier Guilhon. Pendant cette cure de vieilles pierres qui l'a également mené à Condom, il a aussi touché l'acier, avec lequel Morgan Hecquet réalise des meubles uniques. Tables, consoles, buffets, ce dessinateur industriel de formation trouve sa respiration en créant des pièces uniques qui ont intéressé le journaliste, toujours attentif au travail des artisans. Très pro lui-même, il a bouclé avec son équipe une heure d'émission en deux jours de tournage.

A voir le 20 avril, 20 h 50 sur France5

Source La Dépêche

Repreneurs du Café des Sports, meilleur bar français pour le New York Times, les Bruxellois Gérôme et Clara doivent lui conserver son âme. Enjeu de taille dans la ville de pierre la plus cotée de Gascogne.

Ils ne sont ni chanteurs, ni acteurs, ni artistes, ni britanniques, ni préretraités fortunés. Autant dire qu'à la veille de la réouverture du Café des Sports, Clara et Gérôme n'ont pas le profil des néo-Lectourois qui renforcent la population de la ville de pierre blanche, dressée à mi-chemin d'Agen et Auch. Architectes bruxellois, ces parents de trois bambins avaient déjà envie, à 34 et 35 ans, de changer de vie. Mais c'est sur la pointe des pieds que le jeune couple prend possession du vieux plancher, des miroirs peints et de l'estrade à billard du bar tout en profondeur, largement cité l'été dernier par le New York Times comme référence du café français.

Rendez-vous chez Bayonne

«N'allez rien changer !», leur a demandé Anne Marcassus, productrice de télévision qui a fait connaître Lectoure aux «Enfoirés» (les chanteurs des Restos du cœur). Discrétion maximum, selfies minimum, les Gersois font toujours un accueil respectueux aux célébrités. Aure Atika pianote sur l'ordi de l'office de tourisme, Vincent Lindon est revenu en balade, Marc et Sarah Lavoine ont déménagé, Julie Gayet et son François passeront-ils ce week-end ? Autre productrice, Sylvie Pialat doit faire passer une brouette dans son couloir pour atteindre le jardin de sa merveilleuse demeure. Originalité de charme.

Ce n'est que lorsque les Hallyday, à l'été 2015, ont fait halte en terrasse (du Café des Sports) que la photo a circulé sur les réseaux sociaux. «Magique le Gers» avait twitté Laeticia.

Longtemps rebaptisé «chez Bacquié», puis «chez Bayonne», le café des Sports mélange les jeunes, les turfistes et les taroteurs, les touristes et les commerçants, les rugbymen et les néo-lectourois.

La cote de la ville la plus cotée de Gascogne ne baisse pas : après avoir signé pour une maison de charme à un million d'euros (la dernière en date a été vendue à une artiste par Laurent Lameille, incontournable agent des belles demeures de la ville), on ira boire un café à 1,30 € chez les Belges...

«Nous aussi, on est venu comme clients, raconte Clara en enjambant des cartons, c'est cette âme qui nous a séduit et on va la conserver». Un rapide coup de peinture sur les murs et la verrière, un plancher mis à nu et deux lustres résument les travaux de transition. Dans le quartier, les travaux sont généralement plus conséquents, voire pharaoniques.

La rue nationale, ancienne portion de RN21 «entre Paris et Barèges» est bordée en première ligne de maisons où les commerces alternent tradition et tendance. Tartines et bouquins au Cochon bleu, curiosités dans les antres d'antiquités, prêt à porter de luxe chez «Les garçons concept», boulangerie et boucherie traditionnelles.
Source La Dépêche

Pour sa 4e édition, le Forum du recrutement, qui s'est tenu jeudi dernier dans le cadre de la Semaine de l'industrie, a accueilli près de 600 personnes (demandeurs d'emplois, en reconversion professionnelle ou encore étudiants). Organisé par la Lomagne gersoise, en partenariat avec les services de l'emploi, ce forum présentait 400 emplois à pourvoir localement, autour de 50 stands proposés par les entreprises locales et les partenaires de l'emploi. Ce rendez-vous a été l'occasion pour de nombreuses entreprises de nouer des premiers contacts pour certaines et de recruter d'ores et déjà leurs nouveaux collaborateurs pour d'autres. De nombreuses entreprises sont reparties confiantes avec des profils intéressants de demandeurs d'emploi rencontrés sur leur stand. Toutes ont plébiscité cette manifestation tant pour son organisation que pour son envergure. Pour sa 4e édition, ce forum de l'emploi et de la formation, qui s'est tenu dans la grande salle du complexe culturel et sportif, a donc connu le succès, comme en ont témoigné les organisateurs. Le sénateur Raymond Vall, la sous-préfète de Condom Isabelle Sandrané, le conseiller régional Ronny Mazzoléni, la maire Emilie Muñoz-Dennig, la conseillère départementale Charlette Boué, le président de la communauté de communes de la Lomagne gersoise (CCLG) Jean-Louis Catell et bien d'autres invités sont passés au forum. Pas moins de 40 intervenants de tous horizons avaient répondu présent et ont, de 9 heures à 13 heures, rencontré de très nombreuses personnes à la recherche d'un emploi ou d'une formation. Durant toute la matinée, la salle n'a pas désempli et ressemblait à une véritable fourmilière, où les entretiens se succédaient. Rendez-vous est déjà pris pour le forum 2019, avec l'espoir de pouvoir communiquer un bilan aussi positif. Renseignements sur le développement économique auprès d'Olivier de Witte, au 05.62.64.28.29 ou par mail (pole21@lomagne-gersoise.com).

Dans le forum

La gendarmerie, la police et l'armée étaient présentes sur le forum. Le sénateur Raymond Vall est venu les saluer (notre photo). Y-a-t-il eu plus ou moins de candidats à l'engagement suite aux évènements terroristes de Carcassonne et Trèbes ?. Un adjudant répond : «Il est trop tôt pour en parler aujourd'hui ; nous avons eu des demandes qui correspondent à la normale, c'est-à-dire une dizaine de candidats. Ce n'est pas mal pour un salon comme celui-ci».

Source La Dépêche

Invité par la communauté des communes, le club Entreprendre, Pôle 21, en présence d'Isabelle Sandrané, sous-préfète ; Jean-Claude Fayat, président du groupe, a présenté devant une forte chambrée (250 personnes environ), l'historique de son «empire».

A l'aide d'une vidéoprojection, «le capitaine» Jean-Claude Fayat (comme l'a nommé Jean-Louis Castell) a énuméré les différentes activités et son implantation. Il explique : «C'est à travers les 160 sociétés que nous sommes présents dans 170 pays, et grâce à l'implication des 19 100 collaborateurs, le groupe Fayat, qui a été fondé en France en 1957, accompagne ses clients dans le monde entier grâce à des solutions innovantes et durables dans le marché de la construction et dans les sept grands métiers autour desquels il s'est construit : travaux publics, fondations, bâtiment, énergie et services, métal, chaudronnerie et matériel routier. En 2017, le groupe a réalisé un chiffre d'affaires de 3,7 milliards d'euros».

Le président a, au cours de son exposé, expliqué chaque unité rappelant le travail fait par son père qui, en 1957, est parti de rien et avec, aujourd'hui son frère Laurent, directeur du groupe, ont un savoir-faire complet réalisant 40 % en BTP.

Ils viennent de finaliser le 29 janvier un contrat de plusieurs millions d'euros pour fournir des ponts roulants à destination de la nouvelle centrale nucléaire d'Hinkley Point C au Royaume-Uni.

Jean-Claude Fayat a mis aussi en avant des notions fortes et importantes dans le groupe afin de le pérenniser comme l'écoresponsabilité, l'innovation, l'entreprenariat, l'expertise, la sécurité, sans oublier les fondations (autonomie, engagement, audace).

Il a glissé un mot sur l'entreprise Castel et Fromaget qui réalise tout type de bâtiment comme à Airbus Toulouse, le Stade de Bordeaux et bien d'autres encore dans l'hexagone. Les vignobles «Château la Dominique», «Clément Pichon» ou «Château Fayat» font également partie du groupe ont été cités ainsi que l'industrie 4.0 (transport des billes par systèmes automatiques).

«Dans ce métier nous avons l'usine la plus moderne du monde», ironise-t-il avant d'être félicité pour la clarté de son exposé.

Source La Dépêche

Jean-Louis CASTELL, président de la Lomagne Gersoise, se réjouit d’accueillir UjiDiffusion, les artisans fermenteurs, au sein de la pépinière d’entreprises de Lomagne à Lectoure. Moins d’un an après leur construction, le succès est au rendez-vous pour les ateliers de la Pépinière, désormais tous occupés. Dans leur atelier, Jean-Michel et Carole Laurent préparent des spécialités alimentaires saines et novatrices en matière de fermentation naturelle. A travers un mode de production unique et des recettes inédites, utilisant des éléments biologiques et issus du commerce équitable, c’est toute une gamme de produits aux saveurs acidulées et aux propriétés nutritionnelles augmentées qu’ils vous proposent de découvrir, et plus spécifiquement le kombucha, boisson traditionnelle d’Asie aux vertus probiotiques réputées.

A voir sur : www.uji-diffusion.fr

Source La Dépêche

Le Forum du recrutement se tiendra jeudi 29 mars, de 9 heures à 13 heures, à l'espace culturel de Fleurance. Ce rendez-vous annuel sur le territoire de la Lomagne gersoise est devenu, en 4 éditions, un temps fort à destination des entreprises qui souhaitent rencontrer de futurs candidats à l'embauche et recruter de nouveaux collaborateurs. C'est également pour les demandeurs d'emploi une opportunité de rencontrer en un même lieu l'ensemble des entreprises, organismes et institutions qui recrutent. Ce forum est organisé par la communauté de communes et le centre communal d'action sociale (CCAS), en partenariat avec les services de l'emploi. Il propose un peu plus de 250 offres d'emplois locales et de nombreuses offres complémentaires au niveau départemental et national (avec notamment la présence des services de la Défense nationale). Que l'on soit demandeurs d'emploi, en reconversion professionnelle, lycéens ou étudiants, cet événement unique sur le territoire constitue pour chaque visiteur une réelle opportunité. Les demandeurs d'emploi vont profiter de la présence de chefs d'entreprise et de partenaires reconnus pour la recherche d'emploi. Ce rendez-vous est ouvert à tous, en accès libre et gratuit. Plus de 40 exposants pour 250 offres d'emplois sur la Lomagne gersoise seront présents au cours de cette demi-journée. Cette année encore, la diversité du tissu économique sera représentée par 43 entreprises (industrie, commerce, services aux entreprises, artisanat, BTP, intérim et agriculture…). Des espaces seront réservés aux services de l'emploi (Pôle Emploi, Mission locale, Cap-Emploi), à l'accompagnement et à la maison de la formation et de l'apprentissage (Sud Management, chambre de commerce et d'industrie). Dans un contexte économique difficile, les trois premières éditions ont rencontré un vif succès en accueillant plus de 600 visiteurs. Ce rendez-vous a été l'occasion pour de nombreuses entreprises de nouer des premiers contacts et de recruter de nouveaux collaborateurs.

Renseignements auprès d'Olivier de Witte, au 05.62.64.28.29, par mail (pole21@lomagne-gersoise.com) ou sur www.pole21.com/forum-du-recrutement.

Source La Dépêche

L’entreprise de Lomagne, basée à Fleurance, a relevé les Eco-défis et poursuit un développement spectaculaire avec une réputation internationale…

Depuis sa création, l’entreprise a parcouru bien du chemin. Aujourd’hui, plus de 200 fruits et légumes se retrouvent certifiés Ecocert à disposition du client, et 30% du chiffre d’affaires se fait à l’export. Du très très bio boulot !

Si vous êtes fidèle lecteur de ces pages, si en outre vous êtes gourmand, l’éco-défis 2018 remis à la conserverie des Vergers de Gascogne ne vous aura pas échappé. Mais si vous débarquez d’un récent voyage sur la planète Sglurb, peut-être nécessitez-vous un rappel.

D’abord, rappeler que la conserverie des Vergers de Gascogne fut créée en 1946 pour mettre en boîtes des pêches blanches entières. En 2005, ils passaient sous l’enseigne Cap Bio afin de lancer une gamme de légumes mijotés qui seraient préparés sous les mêmes gages de qualité.

Aujourd’hui, ce sont pas moins de 200 conserves de fruits et légumes qui sont disponibles pour le consommateur exigeant, depuis les ateliers de Montestruc, au cœur de la Gascogne. Perso, on tuerait pour leurs « poivrons à la provençale » (à l’apéro sur des toasts, osez, vous nous en donnerez des nouvelles !) mais c’est un peu réducteur, car tous leurs produits sont délicieux, et certifiés Ecocert).

L’entreprise réalise 2,2 millions de chiffre d’affaires dont 30% à l’export et l’international. Et qui dit bio, dit aussi démarche écoresponsable. Chez Vdg, comme on dit entre intimes, on composte les épluchures, on recycle les emballages, on dit non au gaspillage alimentaire, on réduit les emballages fournisseurs au maximum, les mêmes fournisseurs sont d’ailleurs locaux, on dit bio, on dit locaux fonctionnels et éclairés, on dit nouvelle unité de production, et tous ces efforts combinés justifient à eux-seuls l’octroi du fameux Eco-défis 2018.

Bravo vdg !

Source PresseLib

Guy Sorbadère, président de la Chambre des Métiers et de l'Artisanat du Gers, et Jean-Louis Castell, président de la communauté de communes de la Lomagne Gersoise (CCLG) ont remis vendredi après-midi le label «Éco-défis» à Pascal Lafont, lauréat pour les Vergers de Gascogne.

«Vergers de Gascogne «est une conserverie de fruits et de légumes présente depuis 70 ans en Lomagne. Elle a récemment fait peau neuve avec l'installation d'un bâtiment de production à la zone industrielle. L'entreprise s'attache à valoriser les produits du territoire dans une recherche constante d'amélioration qualitative.

Une démarche écoresponsable

Chez «Vergers de Gascogne», cette démarche écoresponsable se traduit par : le compostage des épluchures, le recyclage des emballages, l'arrêt du gaspillage alimentaire, la réduction des emballages fournisseurs, une ligne de produits certifiés bio et le recours à des fournisseurs locaux ainsi qu'une amélioration des conditions de travail des salariés grâce à un atelier plus fonctionnel et un éclairage plus économe.

L'entreprise «Les Vergers de Gascogne», située historiquement sur la commune de Montestruc-sur-Gers, s'est installée sur la zone industrielle derrière les bâtiments Troisel

La remise de prix s'est déroulée ce vendredi et a permis aux deux présidents de visiter l'entreprise qui va fêter son premier anniversaire. Il a été souligné que les services de la CCLG l'ont accompagné dans son implantation et lui ont permis de trouver un terrain compatible pour accueillir ses nouveaux locaux. C'est sur 9 200 m2 au Biopôle que Pascal Laffont a implanté son nouveau bâtiment, ainsi qu'un nouveau process de production afin de répondre au fort développement de son activité de conserverie. Pascal Lafont a fait remarquer aux présidents de la CCLG et de La chambre des métiers la rapidité avec laquelle il a pu obtenir le permis de construire de ce projet de 1,5 million d'euros qui lui permettra de doubler son chiffre d'affaires d'ici cinq ans.

Il a été félicité pour ce choix.

Bon à savoir : L'entreprise des «Vergers de Gascogne», réalise 2,2 millions de chiffre d'affaires, dont 30 % à l'export.

Source La Dépêche

En janvier, Edouard Detrez, dirigeant de l'entreprise lectouroise «Le Fauteuil Roulant français», avait relié en vingt jours sur son fauteuil roulant Lectoure à Paris, où il a pu rencontrer les plus hautes autorités de l'Etat, grâce notamment au soutien du sénateur Raymond Vall. Il a été reçu jeudi 1er mars à la mairie de Lectoure par Gérard Duclos, maire, en présence de ses adjoints, Claude Dumas et Denis Castagnet, et de Jean-Louis Castel, président de la communauté de communes de la Lomagne gersoise. Cette rencontre entre le jeune chef d'entreprise lectourois et les élus de Lectoure et de la Lomagne a été chaleureuse. Edouard Detrez a d'abord largement évoqué son exploit et ses rencontres, notamment avec Valérie Pécresse, présidente du conseil régional d'Ile-de-France, qu'il a trouvée «très sympathique». Il a précisé que toutes les personnalités qu'il a rencontrées «ont toutes compris que je n'étais pas là pour la photo». Humainement, la rencontre, le vendredi, avec le Président de la République à l'Elysée a été un moment très fort : «Il est très sympathique ! Il m'a demandé : «Qu'est-ce que je peux faire pour t'aider ?». Il s'est tourné vers son conseiller à l'industrie et à l'investissement public et il lui a dit : «Tu t'en occupes ou c'est toi qui redescends à Lectoure en fauteuil», ce qui a fait rire tout le monde… sauf le conseiller qui a tenu parole puisqu'il m'a téléphoné dès le lundi de mon retour à Lectoure. Et toutes les semaines, nous sommes en lien direct avec l'Elysée. Avec le Président, nous avons parlé des Jeux Olympiques, du handicap en général, de l'accessibilité, des efforts réalisés pour arriver à une société plus adaptée et de l'opportunité d'utiliser le fauteuil roulant français, plus cher que ses concurrents mais réutilisable. J'ai rencontré un Président de la République très au courant des réalités des maisons du handicap et des maisons de retraite ; je sais que son père était neurochirurgien à Amiens, ce qui explique peut-être sa compréhension du problème du handicap. Surtout, je ne m'attendais pas à 45 minutes d'échange avec une personne si occupée ! Cette longue discussion nous a laissés le temps d'aborder de nombreux sujets». Edouard Detrez a ajouté que, plus de trois semaines après cette rencontre, le Président a revu Raymond Vall et l'a remercié de lui «avoir présenté Edouard». «Il se rappelait donc de mon périple !» Gérard Duclos, maire de Lectoure, a pour sa part évoqué la nécessité d'étudier l'équipement de l'Etablissement public de santé de Lomagne (EPSL) avec les fauteuils fabriqués par l'entreprise d'Edouard Detrez. Puis, il lui a remis avec beaucoup d'émotion la médaille de la ville de Lectoure.

Source La Dépêche

Pour la première fois cette année, la société Ligardes Brico-Elec est lauréate Eco-Défis 2018. L'entreprise familiale, fondée en 1970, exerce dans toute une palette d'activités allant de l'électricité générale-plomberie à la réparation d'électroménager. La démarche écoresponsable chez la Maison Ligardes, c'est la labellisation Répar'Acteurs Occitanie pour réduire les déchets grâce à la réparation ; le recyclage des déchets d'équipements électriques par l'entreprise Ecosystem ; un point de collecte des piles (Corepile) et des néons et ampoules (Recylum) pour leur clientèle ; le dépôt en déchetterie des gravats, plastiques et cartons ; la collecte sélective des polystyrènes (Sercopoly) ; des pavés led installés dans les bureaux et magasin ; le document unique réalisé et à jour avec l'équipement d'un véhicule pour le transport du chlore.

Rencontre avec les dirigeants de la société.

Est-ce la première fois que vous obtenez ce label ?

Oui, c'est la première fois mais nous avions eu l'an passé le label «Répar'acteur» grâce auquel nous avons été contactés pour participer à Eco-Défis.

Pour quelles raisons avez-vous participé à cette labellisation ?

Parce qu'elle correspond à l'esprit que nous avons mis en œuvre dans notre entreprise depuis plusieurs années : recyclage des piles, des ampoules, du polystyrène, du papier, etc., et les économies d'énergie avec la mise en place des éclairages led.

Quelles mesures concrètes avez-vous mises en place ?

Nous nous sommes associés avec la société Sercopoly qui récupère le polystyrène et les films plastiques ; nous avons mis en place des éclairages led dans les bureaux, et nous tenons à jour notre document unique. D'autre part, nous participons aussi au triage des déchets sur nos différents chantiers.

Quel impact souhaité ou constaté sur votre clientèle ?

Pour notre clientèle, l'impact est que nous sommes point de dépôt pour les piles ainsi que pour les appareils ménagers, c'est nous qui gérons les recyclages, nos clients ne se soucient plus d'amener leurs appareils en déchetterie.

Source La Dépêche

On sentait cette année que le vent avait tourné favorablement lors de l'assemblée générale de l'Association pour la promotion du melon de Lectoure. Un discours plus optimiste venant du dépôt de la marque Melon de Lectoure le 23 mars 2017. Une opération de longue haleine que le bureau a su mener à bout en fédérant autour de lui un maximum de producteurs pour un travail énorme. Les retours sont très bons, le nouveau plateau permet une meilleure visibilité dans les rayons, les clients sont attirés (d'après des gérants de magasins), sur les marchés aussi, le produit prend de la valeur et se différencie d'un melon banalisé. Une carte d'adhésion donnant droit à l'utilisation et à l'achat de ces emballages a été éditée, validée par la mairie de Lectoure et les présidentes de l'association. L'opération est évidemment reconduite en 2018 et la communication est fondamentale. Le dépôt de marque a déjà montré son efficacité pour se défendre et limiter la fraude. Lors de la Fête du melon 2017, la confrérie a mis à l'honneur l'ensemble des 48 producteurs adhérents de la marque déposée. Les actions ont été très nombreuses cette année, impliquant les producteurs avec souvent l'aide de bénévoles non producteurs, nombreux et volontaires. Outre les nombreuses animations locales, les marchés flottants du Sud-Ouest à Paris restent un moment phare. En 2017, ce sont 2,5 tonnes de melons qui ont été vendues, dont 600 gobelets. A cette occasion, les Fleurons de Lomagne avaient offert 500 sacs à l'effigie des produits gersois. «Notre action de promotion va au-delà du melon, expliquait la co-présidente Marie-Hélène Lagardère. Elle est aussi la vitrine d'un département, où le tourisme augmente, tout comme les visites à Lectoure. A Paris, nous partageons un esprit Sud-Ouest, nous leur vendons les couleurs, les saveurs et les senteurs de notre terroir, c'est un énorme travail de communication sur 3 jours». En 2018, l'association souhaiterait se joindre aux festivités de la Fête de la musique à Lectoure en proposant la remise des premiers melons avec musique gasconne et un repas des producteurs en soirée.

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Dans le cadre de la 8e édition de la Semaine nationale de l'industrie qui se déroulera du 26 mars au 1er avril, sur le thème de l'industrie connectée, la communauté de communes de la Lomagne Gersoise (CCLG) a prévu de s'inscrire activement dans cette démarche avec l'ouverture durant toute la semaine d'un FabLab éphémère (impression et conception 3D, découpe laser…), d'une salle de réalité virtuelle augmentée et des visites d'entreprises.

L'entreprise fleurantine Castel et Fromaget et le Groupe Fayat, qui ont récemment remis les médailles du travail à 107 collaborateurs, avaient été sollicités par le sénateur Raymond Vall et le président de la CCLG Jean-Louis Castell pour participer à cet évènement.

Jean-Claude Fayat, PDG du groupe, a confirmé sa venue à cette manifestation annuelle d'ampleur nationale. Il interviendra devant les chefs d'entreprises du Gers le jeudi 29 mars dans le cadre de la soirée économique du Pole 21 pour présenter les activités de son groupe et faire part de sa vision sur la conjoncture économique.

Filiale du Groupe Fayat, Castel et Fromaget, dirigée par Sylvain Mallet, investit 4, 5 millions d'euros en 2018 pour une meilleure organisation du flux acier et afin de moderniser son atelier de production à Fleurance en réalisant une extension de plus de 2.000m² qui permettra la réorganisation du circuit de production et l'intégration d'un banc de grenaillage et de peinture.

Avec près de 300 emplois locaux dans la construction métallique, Castel et Fromaget réalisera en 2018, 50 % de son chiffre d'affaires dans les DOM TOM et à l'export (80 millions d'euros en 2017). L'autre filiale du groupe, Castel Alu, qui emploie 90 collaborateurs à Fleurance, a réalisé un chiffre d'affaires de 22 millions d'euros en 2017.

Le groupe Fayat, premier groupe français familial, compte 160 entreprises dont 50 % dans l'industrie, implantées dans 170 pays, 19 000 salariés et réalise 3,7 milliards d euros de chiffre d'affaires. Il occupe la quatrième place au plan national,au coude à coude avec SPIE, derrière les groupes Vinci, Bouygues et Eiffage.

Jean Claude Fayat sera présent et interviendra

Jean-Claude Fayat, PDG du groupe, a confirmé sa venue à la Semaine de l'industrie qui est d'ampleur nationale. Il interviendra devant les chefs d'entreprises du Gers le jeudi 29 mars dans le cadre de la soirée économique du Pole 21 pour présenter les activités de son groupe et faire part de sa vision sur la conjoncture économique.

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Guy Sorbadère, président de la chambre de métiers et de l'artisanat (CMA) du Gers, et Jean-Louis Castell, président de la communauté de communes, ont remis jeudi soir le label éco-défi à huit entreprises de la Lomagne gersoise en récompense de leurs engagements en faveur de l'environnement et du développement durable. Le Bleu de Lectoure, la SARL Ligardes, Duckprint, la Maison Baudequin à Lectoure, l'Atelier de Mère Eclair à La Romieu, Ambiance Coiffure, les Taxis Lucien et les Vergers de Gascogne à Fleurance sont les lauréats de cette édition, labellisés pour développer leur activité tout en œuvrant au quotidien pour le respect de la planète. Cette initiative, portée par la chambre de métiers et de l'artisanat, est menée en partenariat avec les communautés de communes et le Pays Portes de Gascogne. Elle bénéficie de financements de la convention de partenariat entre la CMA et la Lomagne gersoise et de co-financements de l'Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie (Ademe) et de fonds européens Leader. En Lomagne gersoise, premier territoire à avoir initié les éco-défis en 2016, c'est donc la 2e fois que cette opération est conduite et elle s'inscrit déjà dans la continuité car 6 entreprises parmi les 8 lauréates ont été récompensées pour avoir renouvelé leurs engagements. Toutes ont relevé au moins 3 défis portant principalement sur l'énergie, les déchets et les approvisionnements locaux. Parmi les actions remarquables, on peut noter l'achat de véhicule électrique, la réduction des déchets et leur valorisation ou des approvisionnements locaux ou bios. Renseignements sur les éco-défis à la CMAdu Gers, auprès de Perrine Crochet, au 05.62.62.22.62 ou par mail (p.crochet@cma-gers.fr).

Communiqué de presse Lomagne Gersoise

L'entreprise Taxis Lucien, installée depuis 2014 rue Pasteur, vient d'être labellisée «Éco-défis» par la communauté des communes de la Lomagne Gersoise et par la chambre de métiers et de l'artisanat du Gers jeudi soir lors d'une sympathique réception. C'est Lucien Bourguignon, tout jeune entrepreneur, qui en est le responsable depuis maintenant quatre ans. Il propose un service de transport spécialisé pour motif professionnel ou médical. Avec ses employés, il met sa flotte de véhicules à la disposition du public pour des services sur mesure et sur toute distance.

Pour obtenir ce label, il fallait réaliser quelques défis, dont trois obligatoires parmi une liste de 28 répartis en 8 thématiques. Le jury a retenu pour cette société l'économie d'énergie, avec un éclairage basse consommation, la mobilité, avec conduite souple et plan de déplacement préétabli (d'où l'économie de carburant et la réduction des risques routiers) et enfin l'utilisation pour l'entretien et le nettoyage des locaux de produits en faveur du «développement durable». Cette entreprise, qui emploie des écoproduits pour le lavage de ses véhicules, a recours aux fournisseurs fleurantins, dont Fleurance Nature. L'accessibilité pour l'entrée dans la salle d'accueil ou dans les véhicules par les personnes à mobilité réduite est conforme aux normes imposées par la réglementation. Lucien Bourguignon a été récompensé pour cette mission qu'il s'était fixée et qui peut durer entre 3 et 6 mois.

C'est Gérard Auret, maire adjoint, chargé de l'économie locale, qui lui a remis le diplôme et un cadeau souvenir en présence de Raymond Vall, sénateur ; Jean-Louis Castell, président de la communauté des communes (CCLG) ; Suzanne Macabiau, vice-présidente de la CCLG, et du président de la chambre de métiers et de l'artisanat Guy Sorbadère.

Tous ont félicité ce jeune nominé qui en quelques années a su développer son entreprise qui depuis sillonne dans toute la région et toujours avec le sourire.

Source La Dépêche

M. Édouard Detrez a reçu au Palais du Luxembourg un accueil très émouvant de M. le sénateur Raymond Vall et de M. Jean-Louis Castell, président de la communauté de communes de la Lomagne Gersoise, ainsi que de sénateurs et d'élus de la dizaine de territoires traversés par le jeune chef d'entreprise lectourois, qui a réussi l'exploit sportif d'aller de Lectoure à Paris en fauteuil roulant. Le sénateur Raymond Vall tient à remercier tous les élus et les habitants pour leur implication et leur soutien si important dans la réussite du défi réussi par Édouard Detrez : afin de pérenniser son activité et passer au stade industriel de fabrication de ses fauteuils roulants, Édouard Detrez est en effet à la recherche d'investisseurs. Le sénateur Raymond Vall remercie également la police municipale des territoires traversés et aussi le colonel de gendarmerie du Gers, qui a pris l'initiative de prévenir ses collègues le long du parcours : «La gendarmerie a ainsi participé et facilité, dans la discrétion, la réussite de cet exploit».

Source La Dépêche

Il a relié Lectoure à Paris en 20 jours sur son fauteuil roulant et gagné jusqu'à l'estime du président de la République qui l'a reçu vendredi soir à l'Elysée. Le pari d'Edouard Detrez de sauver sa petite entreprise est en très bonne voie.

Il est encore sur son petit nuage… mais aussi, en chef d'entreprise avisé, les pieds sur terre. Après son incroyable traversée de la France, de Lectoure à Paris, à la seule force de ses bras, couronnée vendredi soir à l'Elysée, par un entretien avec le président Emmanuel Macron, Edouard Detrez a bien le droit de ressentir «une fatigue physique mais aussi nerveuse». Nous l'avons joint hier en début d'après-midi alors qu'il était à Auxerre. «On part mardi matin pour redescendre dans le Gers… après je vais prendre deux trois jours de vacances !».

En partant de Lectoure le 4 janvier, vous annonciez que le point d'arrivée de votre défi ce serait le palais de l'Elysée. Vous avez tenu parole. Comment cette rencontre avec Emmanuel Macron s'est-elle passée ?

Très bien. Avant qu'il n'arrive j'ai été reçu par sa conseillère à la santé qui m'a questionné sur la vie, le handicap, les épreuves que j'avais traversées. Puis Emmanuel Macron est arrivé. J'ai dit «Bonjour M. le président !». Il m'a répondu «Bonjour Edouard !». C'est quelque chose qui va rester gravé. C'est là que j'ai compris que la communication qui avait été faite sur mon défi en fauteuil roulant avait été bien faite. C'était une discussion, une rencontre qui a permis de traiter des sujets de fond. Je n'ai pas senti de distance entre lui et moi.

Vous étiez venu avec un cadeau…

Un cadeau, c'est beaucoup dire. Durant mon périple, j'ai usé une douzaine de paires de gants. La dernière était complètement trouée. Je l'ai offert au président. C'était symbolique, il a été touché par mon geste et durant notre entretien il n'a pas lâché cette paire de gants.

Vous lui avez expliqué votre projet ?

C'est lui qui est entré dans le vif du sujet en me demandant quel était mon business plan et de combien j'avais besoin. Il a aussitôt appelé son conseiller spécial à l'industrie… que je dois rappeler aujourd'hui même (N.D.L.R. : hier après-midi). Moi, ce que j'ambitionne, c'est de devenir un fleuron français dans la conception, la fabrication et la commercialisation de fauteuils roulants actifs et sportifs. Actifs, c'est pour un usage quotidien, en ville. Sportifs, c'est pour répondre aux besoins des clubs handisport. Je voudrais réindustrialiser certaines pièces pour avoir un fauteuil 100 % français. Mon objectif à 5 ans est de dépasser les 5 millions d'euros de chiffre d'affaires avec 25 emplois directs, sans compter les sous-traitants, et embaucher des personnes en situation de handicap. Mon entreprise, Le Fauteuil roulant français, est née en 2015. Mon matériel est homologué par l'Etat. Aujourd'hui, je suis déjà référencé dans plus de 600 magasins. Ce qu'il me faut, avant de passer au stade industriel, c'est élargir ma gamme.

Et la Banque publique d'investissement pourrait vous y aider ?

Oui en effet. Le président Macron m'a indiqué que la BPI était un opérateur idoine pour mon projet. Il a bien compris qu'il fallait s'adosser avec des investisseurs. On avait déjà parlé de la BPI mercredi avec Sophie Cluzel, la secrétaire d'Etat aux personnes handicapées qui m'a reçu avec son conseiller Yanis Bacha, et avec le président du Sénat Gérard Larcher.

On vous a ouvert de nombreuses portes

En effet, en trois jours j'ai été reçu par les plus hautes autorités de l'Etat et j'ai eu de très nombreuses retombées médiatiques. Là, j'ai quitté l'agitation parisienne mais je suis plein d'espoir parce que j'ai fait les quatre tournées du grand chelem, comme on dit en tennis !

Les élus gersois au soutien du jeune patron

Pour s'ouvrir les portes de l'Assemblée nationale, du Sénat et enfin de l'Elysée, Edouard Detrez a pu compter sur le soutien des hommes politiques gersois lesquels, tel un pack de rugby, ont joué groupés. Les élus de la communauté de communes de la Lomagne gersoise ont été les premiers à soutenir le jeune patron en hébergeant depuis juin 2017 sa start-up (née en 2015 à Chélan, dans le Sud Astarac) sur la pépinière d'entreprises de la CCLG, à Lectoure. Jean-Louis Castell était jeudi à Paris, avec le sénateur RDSE Raymond Vall qui a ouvert les portes du palais du Luxembourg à Edouard Detrez et a obtenu pour lui une rencontre avec le président Gérard Larcher qui lui a décerné la médaille du Sénat «pour son courage et sa détermination». «Quand j'ai reçu la médaille, j'en ai pleuré», confie Edouard.

La veille, c'est Jean-René Cazeneuve, le député La République En Marche, qui avait joué les facilitateurs en obtenant pour lui un rendez-vous avec la secrétaire d'Etat aux personnes handicapées Sophie Cluzel puis en l'accueillant, mercredi après-midi au palais Bourbon pour les questions au gouvernement avant une rencontre avec une quinzaine de députés de la majorité puis une entrevue avec le président de l'Assemblée nationale François de Rugy.

Philippe Martin, le président PS du conseil départemental, a lui aussi mis son poids dans la balance en écrivant à Emmanuel Macron pour qu'il accorde audience à Edouard Detrez «apportant ainsi tout son soutien à l'aventure courageuse de ce jeune Lectourois».

Source La Dépêche

Édouard est « sur un petit nuage ». Son aventure parisienne se déroule à merveille. « Heureusement, je suis assis, sinon, je serais tombé à la renverse », s’amuse-t-il. Ce jeudi, le jeune entrepreneur parti de Lectoure en fauteuil roulant pour sauver son entreprise, a été reçu au Sénat par le président Gérard Larcher. « Notre échange fut très simple. J’ai senti que M. Larcher était très concerné par le sujet. »

Honoré de la médaille du Sénat

« Gérard Larcher a confirmé qu’il écrirait à des organismes financiers pour l’aider », précise Raymond Vall, le sénateur du Gers. Le jeune sportif a ensuite été décoré de la médaille du Sénat pour « son courage et sa détermination ». « J’en ai pleuré. C’est un honneur. Je mesure ce que cela représente », mentionne Édouard. Il devait ensuite s’entretenir avec la conseillère du président Macron, mais le rendez-vous a été reporté à demain. À la place, il était en fin d’après-midi au pied de la Tour Eiffel, le « symbole de la France », entouré d’une dizaine de soutiens, dont une personne équipée d’un fauteuil roulant de son entreprise.

Les athlètes des Jeux paralympiques bientôt équipés de ses fauteuils ?

Ce vendredi, Edouard aura aussi rendez-vous sur les plateaux télés de nombreux médias dont BFM TV et C8. L’occasion pour lui d’évoquer de nouveau son entreprise et d’inciter au financement participatif. L’autre sujet lui tenant à cœur, est celui des athlètes des Jeux paralympiques. Des sportifs qui sont pour le moment équipés de fauteuils fabriqués à l’étranger. Édouard a discuté avec une collaboratrice de Bernard Laporte à ce sujet, mais espère le faire prochainement avec le président de la Fédération française de rugby. Le jeune entrepreneur envisage de prolonger son séjour à Paris si d’autres rendez-vous se greffent à son emploi du temps.

Source La Dépêche

Edouard Detrez, le jeune patron de la start-up "Le Fauteuil roulant français", a vu son souhait de rencontrer le président de la République exaucé ce vendredi soir.

Emmanuel Macron a reçu pendant 45 minutes à l'Elysée le jeune Gersois qui vient de relier Lectoure à Paris "à bout de bras", titre du défi qu'il s'était lancé, le 4 janvier, dans le but de sauver sa petite entreprise, installée à Lectoure, dans le Gers. Pour pérenniser son activité et passer au stade industriel de fabrication de ses fauteuils roulants, Edouard Detrez est à la recherche d'investisseurs.

Les parlementaires gersois au soutien

Il a bénéficié du soutien des parlementaires gersois, en particulier du sénateur RDSE Raymond Vall et du député La République en Marche Jean-René Cazeneuve. Le premier avait permis au jeune patron gersois de rencontrer le président du Sénat Gérard Larcher jeudi. La veille, c'est Jean-René Cazeneuve qui l'avait invité au Palais Bourbon pour suivre les questions au gouvernement avant de rencontrer une quinzaine de députés de la majorité puis le président de l'Assemblée nationale François de Rugy.

"Enthousiasme et bonheur"

Raymond Vall, qui a pu s'entretenir ce soir avec Edouard Detrez à l'issue de sa rencontre avec Emmanuel Macron, témoigne de "son enthousiasme et de son bonheur d'avoir pu présenter son projet au président, lequel a eu une oreille extrêmement attentive, comprenant parfaitement les enjeux pour le développement de son entreprise. Edouard Detrez a déjà de nombreuses propositions".

Défi relevé pour Edouard Detrez @le_frf reçu il y quelques instants à l'@Elysee.
Merci à Monsieur le Président de la République @EmmanuelMacron d'avoir été au rdv donné par ce jeune chef d'entreprise combatif et exemplaire. L'aventure continue sur https://t.co/ZGPX5bo9xj pic.twitter.com/ExrpyNX3DC

— Raymond Vall (@RaymondVall) 26 janvier 2018

Jean-René Cazeneuve, qui vient de poster un tweet pour marquer l'événement, se dit "sûr que le président de la République aidera Edouard Detrez à pérenniser son activité".

Après 720km à la force des bras sur son "Fauteuil Roulant Français", du #Gers à l'Elysée, Édouard Detrez reçu par Emmanuel Macron. Formidable Édouard, merci Emmanuel ! #LaREM @le_frf @EmmanuelMacron— Jean-René Cazeneuve (@jrcazeneuve) 26 janvier 2018

Source La Dépêche

Le vendredi 19 janvier, à la halle polyvalente à Lectoure, Jean-Louis Castell, président de la communauté de communes de la Lomagne Gersoise (43 communes et 20 000 habitants), a présenté ses vœux pour l'année 2018 devant une vaste assemblée, dont des élus : MM. Raymond Vall et Franck Montaugé, sénateurs du Gers ; Ronny Mazzoléni, conseiller régional ; Xavier Ballenghien, conseiller départemental ; Gérard Duclos, maire de Lectoure, et de nombreux autres maires. Après un bilan des actions de 2017, le président Castell a annoncé pour 2018 «une année de projets», fondée sur de nombreux investissements et une attention toute particulière à la jeunesse.

Un Laboratoire d'initiative rural

Le contrat entre le PETR Portes de Gascogne et Toulouse Métropole avance sur le projet alimentaire de territoire avec comme objectif de valoriser nos producteurs agricoles. M. Castell a salué l'action de Matthieu Regnault et Guillaume Laval en matière de création vidéo avant d'évoquer la lutte contre la désertification médicale. Il a mis en avant l'exemple courageux d'Édouard Detrez, dirigeant de l'entreprise «Le Fauteuil Roulant français», qui a rejoint Paris en fauteuil, après 710 km à bout de bras, depuis Lectoure. Une conversation téléphonique en direct a permis un échange qui s'est conclu par de longs applaudissements du public, marquant ainsi le soutien de la Lomagne à cet exploit sportif.

Le président Castell a également évoqué les équipements scolaires, la revitalisation des centres bourgs et la politique de développement économique, dont le tourisme est un axe puissant ; la coopération publique-privée aura pour étendard le futur Laboratoire d'initiative rural, lancé par Raymond Vall et soutenu par Bernard Lapeyrade.

D'autres actions comme la Semaine de l'industrie et le forum du recrutement iront dans le sens de cette audace économique, dans une intercommunalité qui fêtera ses 20 ans d'existence cette année. Le président a rappelé qu'il demeure «un partisan acharné de communes fortes au sein des intercommunalités avec une répartition claire des compétences et interventions de chacun».

Source La Dépêche

À l'occasion des vœux traditionnels de la communauté de communes de la Lomagne Gersoise, le sénateur Raymond Vall a annoncé qu'Édouard Detrez,à la tête de l'entreprise «Le Fauteuil Roulant français» située à Lectoure serait reçu par le président du Sénat. Rappelons qu'Édouard Detrez a quitté sa commune le 4 janvier dernier en fauteuil roulant avec pour objectif de rallier Paris et d'y rencontrer le Président afin de l'entretenir sur la situation délicate de son entreprise et plus largement évoquer le sujet du handicap. Raymond Vall explique son intervention.

Vous vous intéressez particulièrement au défi d'Édouard Detrez ?

Comme beaucoup, je suis Édouard parce que c'est un jeune chef d'entreprise un peu particulier, qui doit avoir une motivation encore plus forte, compte tenu de son handicap. Créer une entreprise française du fauteuil roulant, c'est une belle ambition et je suis très heureux que le territoire de la Lomagne a décidé de se mobiliser. En ce qui me concerne, comme tout le monde, j'essaie de trouver des partenaires, car il existe aussi l'objectif de collecter des fonds. Environ 50 000 euros sont nécessaires et pour l'instant, il en est encore loin ; il faut donc continuer à le soutenir.

Vous êtes personnellement intervenu à Paris ?

Moralement, pour lui, le fait de pouvoir être reçu à Paris, c'est aussi une source de motivation, de médiatisation, de reconnaissance. Édouard Detrez a encore quelques interrogations quant à savoir qui, quand et comment il sera reçu à l'Élysée. Mais en ce qui concerne le Sénat, le président Gérard Larcher, que j'ai vu hier, a donné son accord aujourd'hui pour le recevoir jeudi prochain, car le 24, Édouard n'est pas certain d'être arrivé à Paris, il est tout de même fatigué ! Par conséquent, le 25 au matin, la chaîne parlementaire «Public Sénat «le prendra en direct pour la traversée de Paris. Puis le président du Sénat le recevra dans son bureau, en ma présence, à 11 h 45, pour le féliciter et essayer de mobiliser encore des partenaires. Je suis très heureux que le deuxième personnage de l'État français ait pris la décision de l'accueillir personnellement. À l'annonce de cette nouvelle, Édouard était très heureux ; cela finit de lui donner les forces pour terminer son défi sportif.

Source La Dépêche

Édouard Detrez touche au but. Le jeune entrepreneur gersois parti de Lectoure en fauteuil roulant il y a vingt jours pour sauver son entreprise, « Le fauteuil roulant français », a multiplié les rendez-vous ce mercredi. Il a tout d’abord rencontré Sophie Cluzel, la secrétaire d’État chargée des personnes handicapées afin de « discuter des possibilités pour l’entreprise : sa reconnaissance et les moyens dont elle a besoin pour continuer à vivre ». Rendez-vous prometteur. À l’issue de la rencontre, Sophie Cluzel a tweeté un message encourageant : « Porté par un entrepreneur déterminé. Édouard Detrez a traversé notre pays en « fauteuil roulant français » pour promouvoir un savoir-faire ambitieux et innovant. Vous avez tout notre soutien ! »

Au programme : rencontre avec la  conseillère du président

L’après-midi, c’est à l’Assemblée nationale qu’il s’est rendu accompagné de son père et de l’un de ses frères. Il a assisté aux questions posées aux députés, avant de s’entretenir avec François de Rugy, le président de l’Assemblée nationale.

Jeudi matin, le jeune homme sera reçu au Sénat à l’initiative du sénateur du Gers Raymond Vall. Pour s’y rendre, il partira des jardins du Luxembourg. C’est accompagné de toute sa famille, son frère et sa sœur ayant rejoint le reste de la famille à Paris, qu’il visitera le Sénat. Ils rencontreront notamment Gérard Larcher, le président. « La discussion sera la même qu’avec la secrétaire d’Etat, afin que nous puissions demain devenir un fleuron français », nous avait-il expliqué en début de semaine.

Enfin, c’est à l’Élysée que le jeune sportif sera reçu. Il s’entretiendra avec Marie Fontanel, la conseillère d’Emmanuel Macron. Rencontrera-t-il Emmanuel Macron ? La question reste entière. « Être reçu même cinq minutes par le président Macron, ce serait super et très symbolique », s’enthousiasme-t-il. Il sera enfin au pied de la Tour Eiffel vers 16 heures pour rencontrer ses soutiens. De quoi « terminer en beauté son périple » a-t-il écrit sur Facebook.

Parti de Lectoure le 4 janvier en fauteuil roulant, Édouard Detrez poursuit sa folle épopée vers l’Elysée. Une destination qu’il devrait atteindre le 24 janvier afin de rencontrer Emmanuel Macron. Son but ? Interpeller le président sur la situation délicate de son entreprise et évoquer le sujet du handicap. 

Son entreprise gersoise Le Fauteuil Roulant français créée il y a trois ans est en effet dans une situation financière délicate. Depuis bientôt deux semaines, entouré de ses parents et de son frère Stephen, Edouard parcourt donc une partie de la France à la seule force de ses bras. Une épreuve qui s’avère douloureuse et qui requiert une grande force physique et mentale.

« J’ai des douleurs constamment. Tous les jours, nous devons rouler avec les éléments : la pluie, le froid… Aujourd’hui par exemple, il y a beaucoup de vent et je dois redoubler mes efforts. »

« La France optimiste »

Malgré tout, à mi-parcours, le jeune homme de 26 ans s’accroche et n’a jamais songé à arrêter. La solidarité et le soutien reçus en fin de journée à chaque arrivée dans une nouvelle ville lui donnent la force de tenir. « Au-delà de la souffrance, il y a chaque jour de très belles rencontres avec de la solidarité et de la chaleur humaine, sourit le sportif. Lundi, à Valençay, dans l’Indre, il y avait 250 personnes pour m’accueillir. Cette aventure me montre la vraie France : la France optimiste, qui va au-delà des difficultés et du handicap. » 

Seul bémol : le financement participatif lancé au début de l’aventure peine à convaincre. « Nous arrivons à peine à 4 000 euros alors qu’il nous faudrait 50 000 euros », déplore le jeune homme.

Edouard Detrez qui s'est lancé mercredi de Lectoure pour sa «Traversée de l'Espoir» sur fauteuil roulant vers Paris («710 km à bout de bras») devait reprendre la route ce matin après une journée de repos hier à Périgueux, sa ville natale.

Aujourd'hui, à l'occasion de la cinquième étape, c'est entre Périgueux et Nontron qu'il progressera. Partout le jeune Gersois, qui mène cette opération pour «sauver» son entreprise Le Fauteuil Roulant Français en manque d'investisseurs, reçoit le meilleur accueil. Ainsi, avec sa famille qui l'accompagne, il a été invité, au terme de la troisième étape, à passer la nuit dans le château/hôtel Le Stelsia, par le propriétaire Philippe Ginestet, le patron du groupe Gifi, sur la commune de Saint-Sylvestre-sur-Lot. Edouard Detrez, qui souhaite être reçu par le président de la République à l'Élysée le 24 janvier prochain, rappelle que tout un chacun peut contribuer au financement de son entreprise de fabrication de fauteuils roulants français basée à Lectoure, via la plateforme KissKissBankBank.

Source La Dépêche

Des jeunes Gersois passionnés de cinéma tournent le pilote d'une série sur le thème du vin au domaine de Mirail à Lectoure. Ils souhaitent que le projet soit à la fois drôle et instructif.

Ils avaient fait le buzz cet été avec la diffusion de leur websérie #32. Une série racontant la vie d'une bande de jeunes vivant dans le Gers et obligés de quitter leur région pour aller faire leurs études. Un «plus belle la vie» à la mode du Sud-Ouest qui avaient conquis des milliers d'Internautes. Le premier épisode de la série a été visionné plus de 11 000 fois. «Notre idée c'était de parler des jeunes qui vivent dans une zone rurale. Que les jeunes du coin aient quelque chose pour eux», explique Matthieu Regnaut, l'un des deux réalisateurs.

Le noyau dur de ces fanas de cinéma âgés en moyenne de 25 ans et rejoins par une quinzaine de nouveaux membres se lance dans une nouvelle aventure. Depuis jeudi et jusqu'au 16 janvier, ils tournent l'épisode pilote d'une nouvelle série au domaine de Mirail à Lectoure. La démarche est cette fois différente. L'équipe, composée uniquement de bénévoles, souhaite une série «plus adulte», «comique», mais avec un «volet pédagogique sur le monde viticole». Les quatre saisons, le nom de leur nouvelle série raconte l'histoire de Vivien, un jeune vigneron qui mène une vie paisible dans le Gers. L'arrivée inattendue de son cousin, un Parisien excentrique, va bouleverser complètement son quotidien ainsi que celui de son exploitation.

Si tout se passe comme convenu, l'épisode pilote permettra à Matthieu et ses acolytes de trouver les financements nécessaires au tournage de leur série. Dans l'idéal, le «vrai» tournage se fera dans un an. Quatre saisons, soit 16 épisodes devraient être tournés au sein de l'exploitation, dans les chais et dans la maison du vigneron. Ils seront diffusés sur Internet ou à la télévision.

«C'est un projet plus grand, plus ambitieux que le précédent. Nous souhaitons que les gens rient en apprenant des choses sur le vin», indique le réalisateur. Pour ce faire, les épisodes seront tournés au sein de l'exploitation de Charles-Antoine Hochman, viticulteur et propriétaire d'un domaine de 20 hectares de vignes. C'est lui qui en a eu l'idée. «J'ai beaucoup apprécié la façon dont ils tournaient. Leur travail était sérieux et original. J'ai eu cette idée du thème viticole à la fin de l'été», précise-t-il. Si les scénarios sont écrits par les membres de l'équipe, le viticulteur relit et corrige le tout. «Cette nouvelle série permettra de faire connaître le monde viticole, ce monde si particulier avec ses contraintes et ses beautés.»

Source La Dépêche

Edouard Detrez veut parcourir la distance entre Lectoure et Paris et rencontrer Macron. Pour fabriquer sur le mode industriel ses fauteuils pour handicapés, il lui faut des fonds.

Dans la vie, «quel que soit le chemin que vous preniez, vous ferez peut-être des détours, vous ne suivrez pas les chemins standards déjà tracés, vous prendrez de mauvaises routes, mais au bout du compte, ce qui compte, c'est que vous arriviez à l'objectif que vous vous étiez fixé». La sagesse du Mahatma Gandhi est cuisinée à toutes les sauces occidentales. Peut-être colle-t-elle au chemin que veut se dessiner Edouard Detrez, 26 ans, handicapé depuis sa naissance, et chef d'entreprise.

700 bornes

Ce Gersois d'adoption a quitté Lectoure, il était hier à Agen, passe par Villeneuve aujourd'hui avant de quitter le Lot-et-Garonne et de remonter vers le nord de la France, et l'entrée officielle du palais de l'Elysée. Plus de 700 bornes en fauteuil, à la force des bras, à la force du mental aussi. Edouard veut obtenir un rendez-vous avec Emmanuel Macron pour le convaincre de l'intérêt évident de sa démarche : obtenir des fonds pour permettre à son entreprise de fabrication de fauteuils français — le Fauteuil roulant français — de passer de l'artisanat à la production industrielle.

Investisseurs

Encore un exemple des nids-de-poule rencontrés par ceux et celles qui ont envie d'investir, qui frappent à des portes qui parfois restent muettes. Lui veut frapper plus fort, et sensibiliser la classe politique à la nécessité de maintenir un degré d'industrialisation suffisant dans l'Hexagone. «Le réseau bancaire a joué le jeu mais dit aussi qu'il nous faut trouver des investisseurs». Avec ses deux bras, ses deux roues et sa tête bien faite, Edouard vient de déclencher une course jusqu'à Paris, et jusqu'à ses ambitions. «On parle des aides à l'industrie mais ces aides vont à des entreprises qui sont déjà industrialisées. Un pays ne peut pas compter uniquement sur le développement du numérique pour son économie».

60 fauteuils

Il le dit avec un sourire, ne cherchant pas un double sens à ses mots. «Aucune route n'est plate, aucune route n'est droite» depuis son départ du Gers en milieu de semaine. Aucune route n'est droite également pour le développement de sa PME. Une première rencontre avec le Commissariat général à l'investissement (CGI) lui a démontré qu'il lui fallait donner du poids à son idée. Avec sa famille, ses proches, tous bénévoles, Edouard ne veut pas être seulement le rescapé d'une naissance prématurée. Les 60 premiers fauteuils ne sont qu'un début. Trois enseignes commerciales spécialisées le suivent. Il lui faut 500 000 € pour fixer le premier maillon de la chaîne de production.

Source La Dépêche

Ils étaient environ une centaine à avoir fait le déplacement pour soutenir et encourager Édouard Detrez ce jeudi matin. Plus déterminé que jamais, le jeune homme de 26 ans s’est élancé sur les routes depuis la zone artisanale de Lectoure. Il compte rallier Paris en trois semaines à la seule force de ses bras dans le but de rencontrer le président Emmanuel Macron, soit 710 kilomètres.

Principal objectif : sauver son entreprise le Fauteuil Roulant Français créée il y a trois ans. Elle risque en effet de disparaître faute d’investisseurs. « Je vais essayer d’interpeller notre Président et les Français sur l’existence d’un savoir-faire français dans les fauteuils roulants actifs et sportifs », explique-t-il. Cette « traversée de l’espoir » sera aussi l’occasion d’évoquer la question du handicap avec le président et les jeux paralympiques de 2024 à Paris. « Nos athlètes paralympiques ne sont pas munis d’un matériel français », regrette-t-il. Neuf départements, 17 étapes, 18 villes, près d’un million de personnes concernées : voici ce qui attend Édouard.

Malgré l’enjeu, le Gersois est serein et plus déterminé que jamais. « Ça va être un défi physique et mental : il va falloir avaler 30 km par jour. J’espère avoir l’engouement de tous les Français et du monde à l’arrivée ; ce serait formidable ! »

Pour l’aider dans son incroyable défi, Édouard sait qu’il peut compter sur sa famille, « son socle ».

Pour « sécuriser » Édouard, ses parents et son frère aîné Stephen l’accompagneront tout au long de son périple, à l’aide d’une voiture et d’un camping-car. Si le jeune homme est serein, ses proches en revanche ne sont pas des plus rassurés. « Je suis hyper stressée, révèle sa mère. C’est énorme ce qu’il entreprend, mais je serai là pour l’aider de mon mieux. » Même son de cloche du côté de Stephen. Tout comme ses parents, le frère aîné d’Édouard est des plus impliqués dans l’aventure. « On sera toujours en relation les uns avec les autres à l’aide de talkies-walkies. Je vais préparer tous les cinq kilomètres des collations, ainsi que les déjeuners. Ce que nous voulons c’est qu’Édouard ne pense à rien d’autre qu’à son défi. »

Objectif : rencontrer le président le 24 janvier

Lui-même espère être à ses côtés lors de sa rencontre avec Emmanuel et Brigitte Macron. Si tout se passe bien, celle-ci aura lieu le 24 janvier lors du Conseil des ministres à l’Élysée. Pour sauver son entreprise, Édouard a besoin de 500 000 euros le plus rapidement possible, puis 1,5 million d’euros pour passer au stade industriel. Une somme qu’il espère aussi collecter via une opération de financement participatif sur «Kisskissbankbank».

Vous pouvez suivre le périple d’Édouard sur la page Facebook Le Fauteuil Roulant Français, son site Internet : http://www.le-fauteuil-roulant-francais.fr/ et via le site : Locatweb.

Source La Dépêche

Pour «parler handicap» avec le président de la République et «sauver» son entreprise Le Fauteuil roulant français qui risque de disparaître faute d'investisseurs, Edouard Detrez va rallier Lectoure à l'Elysée. 710 km à parcourir à la force de ses bras.

C'est bien parce que «tout ne roule pas pour le mieux» pour son Fauteuil Roulant Français qu'Edouard Detrez se lance dans «la traversée de l'espoir» qui va le conduire entre le 4 et le 24 janvier, de Lectoure, siège de sa petite entreprise, jusqu'à Paris.

710 kms «à bout de bras» pour le Gersois de 26 ans qui explique : «Je vais rouler en direction de l'Elysée pour défendre mon entreprise, le Fauteuil Roulant Français, sa pérennité et pour interpeller la France sur l'importance du choix, pour les personnes qui comme moi sont en situation de handicap, de rouler français dans les années à venir». Au terme de «ce défi physique et mental», après avoir traversé neuf départements en 17 étapes, Edouard va «se battre» pour rencontrer Emmanuel Macron.

L'accessibilité, l'allocation adulte handicapé, «les Jeux paralympiques de Paris 2024 pour que nos athlètes français décrochent l'or sur un matériel et une marque française» sont quelques-uns des thèmes sur lesquels il souhaite échanger avec le président de la République.

«Le 24 janvier il y aura conseil des ministres à l'Elysée… Dans mon fauteuil, je serai devant la grille du palais. J'espère qu'elle s'ouvrira…». Car il y a urgence, enchaîne le jeune homme qui l'affirme sans détour, «mon entreprise est en danger». Trois ans après son lancement, «elle stagne dangereusement faute des lourds investissements (publics, privés) que nécessite un projet aussi porteur». 650 000 personnes sont sur fauteuil en France et chaque année 5000 besoins nouveaux apparaissent. Et pourtant l'entreprise le Fauteuil Roulant Français, «le seul acteur français sur le marché du fauteuil actif et sport», ne parvient pas à attirer des investisseurs.

Un besoin urgent d'investisseurs

«Pour n'importe quelle application qui peu ou prou ne sert à rien sur le net, une start up trouvera des moyens alors que la mienne, pour le fauteuil français, est en panne d'investissements». Du coup, l'entreprise gersoise qui fait travailler neuf partenaires, reste très fragile, trop artisanale avec à ce jour à peine une soixantaine de fauteuils produits. Pour «bien faire» (recherche et développement, production, industrialisation, commercialisation), Edouard a besoin de 500. 000€ au plus vite puis 1,5M€ ensuite pour passer au stade industriel.

Pendant sa «traversée de l'espoir», il va lancer sur kisskissbankbank, une opération de financement participatif. «Mais c'est surtout sur l'Etat, sur l'Europe que je compte. Ils parlent de réindustrialisation, avec le Fauteuil Roulant Français, c'est 40 à 50 emplois directs qui peuvent rapidement être créés chez nous. Des emplois en France pour un produit entièrement français pour l'achat duquel c'est de l'argent public français qui est versé aux personnes en situation de handicap». Cela aussi Edouard souhaite le défendre à l'Elysée. Et provoquer «quelque chose» pour que son entreprise puisse rapidement avoir les moyens de franchir «les paliers suivants, vitaux pour sa survie».

www.le-fauteuil-roulant-francais.fr. Mail : contact@le-frf.fr

Départ de Lectoure, jeudi à 9 h 30

Dans le prochain film de Franck Dubosc «Tout le monde debout» qui doit sortir en mars, c'est dans un fauteuil roulant français d'Edouard Detrez que se déplace Alexandra Lamy. Bonne pub pour le produit de l'entreprenant gersois qui constate : «De la publicité, des médias, journaux, radios et télés je n'en manque pas. Mais c'est les investisseurs qui ne suivent pas».

Pour son périple, Edouard Detrez sera suivi par son frère aîné et ses parents. Notamment pour le «sécuriser» sur les routes départementales et nationales qu'il va emprunter entre Lectoure et Paris. A chaque étape (première à Agen le 4 janvier au soir, deuxième à Villeneuve-sur-Lot, le lendemain etc.), il prévoit d'arriver devant l'hôtel de ville à 17 heures. Pour rencontrer la population, les médias locaux… Il s'entraîne comme un sportif de haut niveau. Alimentation adaptée, soins d'un kiné…

Sa «traversée de l'espoir» s'élancera ce jeudi 4 janvier à 9 h 30 de la zone artisanale de Lectoure. Tous ceux qui veulent l'encourager y seront les bienvenus.

Source La Dépêche

Les établissements Lamothe ont été la première entreprise implantée en zone Gâlis à Lectoureen bordure de la RN 21. Jean-Louis Castell, président de la Lomagne Gersoise ; Xavier Ballenghien, vice-président, et Claude Dumas, maire adjoint de Lectoure, ont rencontré Philippe Perrotin et Philippe Ducasse, responsables de cet établissement, qui fut la première installée sur la zone d'activités Jean-Pierre-Joseph aux Gâlis.

La SAS Lamothe, filiale de la société OGR (Groupe Val de Gascogne), est un négoce agricole lectourois créé dans les années «50», spécialisé dans le commerce des céréales et de produits destinés aux agriculteurs.

Après s'être installée en ville puis avenue de la Gare à Lectoure, soucieuse d'allier proximité et développement, l'entreprise avait besoin d'investir sur des capacités de collecte et de stockage supplémentaires. Elle s'est donc implantée sur le site de la ZA Jean-Pierre-Joseph aux Gâlis en septembre.

Située entre Agen et Auch, cette zone d'activités présentait pour l'entreprise des avantages en termes de capacité d'aménagement et son emplacement est idéal pour elle, au cœur de sa zone de collecte et pour sa desserte des grands axes routiers.

Étendue sur 4,7 ha, elle est répartie en 8 lots d'une surface moyenne de 5 900 m².

La société Lamothe a acquis 3 lots et une fraction de la réserve foncière pour une surface totale de 14 181 m². Il reste donc 5 lots à commercialiser sur une surface de 3,7 ha hors réserve foncière. D'ores et déjà, la communauté de communes a des contacts avancés avec deux porteurs de projets intéressés pour s'y installer.

La communauté de communes avait aménagé cette zone en extension de la base logistique ITM et créé ou refait l'ensemble de l'assainissement des eaux usées, des réseaux d'évacuation d'eaux pluviales, d'énergie (eau potable, électricité, éclairage public), et Télécom ainsi que les voies de desserte, cheminements piétonniers et plantations.

Communiqué de presse Lomagne Gersoise

La Lomagne Gersoise consacrait, mardi soir, son rendez-vous économique du soir «L'ECOnviviales» au thème de l'amélioration énergétique de l'habitat. Jean- Louis Castell, président de la Lomagne Gersoise, a accueilli à cet afterwork une dizaine d'artisans venus échanger sur l'opportunité de marchés dans le cadre de l'Opération pour l'amélioration de l'habitat (OPAH), menée sur le territoire communautaire jusqu'à juin 2019. L'objectif était de rassembler les acteurs économiques locaux qui souhaitent se positionner sur les travaux de rénovation des habitations à la demande des propriétaires.

Des solutions pour les propriétaires

Ceux-ci cherchent souvent à travailler avec des artisans du territoire afin de leur donner des clés pour chaque étape de la mise en œuvre de ces travaux, pour bénéficier des avantages du dispositif de l'OPAH (accompagnement, financement, conformité) et, de façon plus large, de l'ensemble des aides mobilisables pour l'amélioration de l'habitat.

Céline Pérès, en charge de l'Espace Info Énergie du CAUE du Gers, a présenté concrètement toutes ces aides, les démarches et documents à produire pour inscrire les travaux dans les différentes procédures existantes et bénéficier des aides dans ou hors OPAH. L'afterwork s'est poursuivi par le traditionnel moment de convivialité pour favoriser les discussions entre acteurs économiques sur le sujet.

Pour avoir plus d'infos sur l'espace Info Energie du CAUE du Gers : www.caue-mp.fr OPAH : Ninon Lachaux, tél. 05 62 64 26 92 ; opah@lomagne-gersoise.com ou sur www.lomagne-gersoise.com Développement économique : Olivier de Witte, tél. 05 62 64 28 29 ; pole21@lomagne-gersoise.com

C'est au siège de Fleurance Nature que la 21e édition de la Semaine européenne de l'emploi pour les personnes handicapées a été lancée ce mardi dans le Gers, en présence de Jean-Charles Jobart, sous-préfet de Condom ; Raymond Vall, sénateur ; Jean-Louis Castell, président de la CCLG ; Émilie Muñoz-Dennig, maire ; Mme Clusa Weber, directrice de la Direccte ; Mme Guilbaudeau, directrice de Pôle-Emploi, et de M. Laforgue, président de Cap-Emploi 32, qui accompagne les entreprises gersoises dans leur obligation d'emploi des personnes reconnues travailleurs handicapés.

Fleurance Nature, spécialisée dans les compléments alimentaires et les cosmétiques bio, compte 73 salariés et est particulièrement engagée dans le champ du handicap : 3 personnes ont été recrutées sur des postes adaptés avec l'aide de Cap-Emploi, et une personne a été maintenue à son poste de travail avec l'aide de l'équipe du service de maintien dans l'emploi de travailleurs handicapés.

Le directeur Philippe Billerot a rappelé combien cette démarche, engageante pour l'entreprise, est enrichissante pour les équipes.

Le sous-préfet a parlé des difficultés d'insertion que connaissent encore trop souvent les personnes handicapées parce que jugées différentes.

Les bons chiffres du Gers

Malgré ce constat, la ville de Fleurance, qui a créé dès 1998 les 30 premières places de son Esat, comme l'a rappelé Raymond Vall, et la communauté de communes peuvent s'enorgueillir de compter dans leurs effectifs plus de 10 % de personnes handicapées.

Le Gers est aussi exemplaire en la matière : en 2016, 317 personnes ont trouvé un emploi, 23 ont commencé un contrat en alternance et 182 entreprises ont bénéficié d'un service individualisé pour les accompagner.

M. Lafforgue a souligné que plus de 60 % des embauches de personnes reconnues travailleurs handicapés se font dans des entreprises n'ayant aucune obligation légale, preuve qu'avec de la volonté et un bon accompagnement, les mentalités peuvent évoluer. Il a tenu à saluer l'implication et la mobilisation des élus et partenaires et à rappeler que les équipes de Cap-Emploi sont à la disposition des chefs d'entreprises pour les aider à intégrer au mieux les personnes reconnues travailleurs handicapés.

Source La Dépêche

Le garage de la société Carol était très bien décoré vendredi soir pour marquer un double événement, celui des 55 ans de l'entreprise et de 11 ans d'implantation en zone industrielle.

C'est devant une assemblée de plus de deux cents personnes, en présence du sénateur Raymond Vall et du président de la communauté des communes Jean Louis Castell, que le gérant et directeur Gaël Scordia a rappelé l'histoire de cette entreprise qui a été fondée dans les années soixante par le père de Francis Carol, qui lui a transmis en 1980. Celui-ci l'a à son tour transmise au Groupe Alvarez en 2000 et a confié la gérance à Gaël Scordia afin d'assurer la continuité et la pérennité de la société.

Et cela fait 11 ans, quasi jour pour jour (novembre 2006), que ce nouveau garage est installé en zone industrielle. Il l'est l'un des plus fonctionnel du groupe, qui a permis plus de synergie avec l'activité carrosserie et avec «enfin !», un parking digne de ce nom. En 2012 Francis Carol a décidé de faire valoir ses droits à la retraite (qu'il n'a pas voulu fêter), cette soirée fut donc aussi la sienne.

Une succession assurée

Dans son intervention Gaël Scordia devait rappeler qu'il a pris la direction en plus de la gérance de cet établissement depuis 2012, toujours dans l'esprit de service et d'équipe et la volonté de «faire grandir cette belle équipe en nombre (aujourd'hui 17) et en compétence car les hommes et les femmes restent la valeur essentielle de toute entreprise», explique-t-il. Il a ensuite présenté son successeur, Robert Pepet, qui prend la direction avec l'équipe existante. Il a participé à toute l'histoire de l'entreprise depuis 30 ans où il a démarré comme apprenti à l'âge de 13 ans. Il sera assisté de deux chefs d'atelier, Damien en mécanique et Jean Yves en carrosserie et la gestion sera assurée avec Gaël toujours comme gérant. «Le futur du garage Carol est à toi pour les 15 années à venir !», lui dit-il.

Source La Dépêche

Comme tous les ans au mois de novembre, le club Entreprendre en Gascogne organise son temps fort. Avec cette année encore la volonté d'un rendez-vous atypique, où chacun puisera du nouveau et de l'enrichissant. Le rendez-vous est fixé au vendredi 24 novembre, dans la salle Eloi-Castaing, à 18 h 30. Le club a invité Rémi Larrousse. Diplômé de Sciences-Po Paris, Rémi Larousse mène une double carrière de consultant en entreprise et d'artiste mentaliste. Reconnu comme un innovateur dans ce domaine, il a reçu le «Mandrake d'or» récompensant les meilleurs illusionnistes. Lors de ses interventions, il utilise l'illusionnisme et le mentalisme comme outil de formation pour poser un regard différent sur des sujets clés pour l'entreprise, tels que la persuasion et les stratégies pour convaincre. Au cours de cette conférence, Rémi Larrousse invitera à poser un nouveau regard sur «l'art de convaincre autrement». Comme toujours, la conférence sera suivie d'un buffet dînatoire et Rémi Larousse restera pour échanger avec le public. Tarif unique : 20 €. Une billetterie en ligne est disponible, ouverte 7 jours sur 7 et 24 heures sur 24. Des billets sont également en vente à l'office de tourisme de Fleurance. Renseignements sur https ://www.weezevent.com/remi-larrousse-l-art-de-convaincre-autrement.

Source La Dépêche

L'entreprise Troisel vient d'être récompensée par un prix dans la construction métallique, le trophée Acier Eiffel 2017, qui a été remis dernièrement à Paris, en présence de plus de 450 personnes du secteur acier. C'est donc une grande fierté pour le dirigeant, Patrick Lescos, président-directeur général du groupe, et pour tous ceux qui ont participé à la construction d'un bâtiment de 130 tonnes de structure métallique moderne à Toulouse, au centre de ressources de l'Ecole nationale de l'aviation civile (Enac), que de recevoir ce trophée.

ConstruirAcier est une association qui contribue à la promotion de la filière acier ; elle a organisé pour la troisième fois ce trophée Eiffel. Ce prix permet de faire connaître des œuvres architecturales variées et significatives réalisés tout ou partie grâce au matériau acier. C'est une distinction d'envergure nationale, attribuée par un jury indépendant, à des œuvres construites en France, conçues par des architectes, sans restriction de nationalité. Il s'inscrit dans une perspective de promotion de l'architecture métallique et de ses concepteurs, architectes et ingénieurs. Il a aussi l'ambition de souligner les savoir-faire des entreprises de construction métalliques et de métallerie et toutes les qualités du matériau acier.

Un prix dans la catégorie «Apprendre»

C'est donc dans la catégorie «Apprendre» que l'agence de Colomiers a reçu ce prix pour la réalisation de la structure métallique au centre de ressources de l'Enac. Eric de Nadai, responsable de l'agence de Colomiers, et Patrick Lescos se sont vus remettre ce trophée qui rejaillit sur toute l'entreprise pour ses compétences et son professionnalisme dans ce secteur du bâtiment. «Maintenant, ce n'est plus un secret, si vous avez besoin d'un bout d'acier bien balancé, vous pouvez compter sur la société Troisel qui existe depuis plus de cinquante ans», indiquait avec un large sourire Patrick Lescos, qui annonce que l'agence d'Agen est en plein développement, malgré les difficultés actuelles, et qu'elle s'élargit dans le secteur de l'agroalimentaire.

Source La Dépêche

Ce jeudi 26 octobre, s’est tenu au siège de la Lomagne Gersoise, « L’ECOnviviales », l’afterwork économique de la communauté de communes, sur le thème de la Plateforme Emploi Formation Compétences à destination des acteurs économiques de la métallurgie et de l’agroalimentaire.

Le président de la Lomagne Gersoise, Jean Louis Castell, était heureux d’accueillir son homologue Pierre Duffaut, président des Coteaux Arrats Gimone, qui assure pour le compte de l’Etat l’animation de la plateforme Emploi Formation Compétences pour laquelle les deux communautés de communes ont signé une convention de partenariat.

Anne Laborde, en charge de cette plateforme, qui s’adresse à l’ensemble des entreprises de la métallurgie et de l’agroalimentaire de la Lomagne Gersoise, a présenté le dispositif devant une assemblée attentive d’une dizaine de chefs d’entreprises, venus échanger autour de leurs besoins de recrutement et formation.

L’objectif de cette plateforme est de recueillir les besoins en recrutement et en formation des acteurs économiques de ces secteurs d’activités et de les accompagner dans leurs démarches.

Avant le moment de convivialité et d’échanges, Jean-Louis Castell a tenu à insister sur l’importance pour les entreprises de bénéficier de ce premier niveau d’information pour les questions liées à l’emploi et à la formation, l’objectif étant de simplifier la vie des entreprises et des entrepreneurs pour faciliter l’innovation et la création d’emplois.

A cet effet, tous les acteurs économiques peuvent retrouver la présentation du dispositif sur le site de Pole 21 : www.pole21.com/econviviales et sur le site de la plateforme : www.3cag.fr/plateforme-emploi-formation-competences.html

Communiqué de presse

La chambre de commerce et d'industrie du Gers accueillait, hier soir, l'édition 2017 des trophées des Septuors du Gers, la seconde du genre dans le département. L'objectif des Septuors : tout à la fois saluer les réussites économiques des entreprises locales, quelle qu'en soit l'importance, souvent méconnues ; les faire connaître du grand public, et contribuer à leur rayonnement. L'événement, comme l'an passé, a rassemblé un large parterre de décideurs du département : chefs d'entreprise, responsables, etc

Coté industrie la Société Gersoise de Restauration du Patrimoine - soutenue par la CCI du Gers.

Installée à Lectoure depuis 2016 (auparavant sur la commune de Marsolan), la SGRP s'est fortement développée autour de Julien SOURBES, son gérant. La SGRP compte une quarantaine de personnes et intervient sur des bâtiments publics ou privés. L'entreprise recrute presque en permmanence des maçons spécialisés et a développé sa propre activité carrière avec un investissement de près de 300 000 € pour une machine à commande numérique.

Source La Dépêche

Les gourmets apprécieront

La poule au pot et les pêches blanches au sirop, à l'honneur dans le Guide des Gourmands 2018 !

A l'occasion de la sortie du 30 ème Guide des Gourmands deux nouveaux Gersois recevaient à Paris un Coq d'Or . Tout d'abord Jean Paul Beuste, des Plaisirs du Vidalies à l'Isle de Noé, éleveur de volailles festives dont le fameux chapon gascon, le Noir d'Astarac Bigorre.

Depuis 2015 il préside la Sica créée pour produire et distribuer cette volaille locale en pleine renaissance qui tenait récemment sa première Assemblée Générale à Puydarrieux avec des premiers résultats encourageants. Mais citons Elisabeth de Meurville  du Guide:"...Jean Paul soigne avec amour ses chères volailles gasconnes, comme on le fait dans sa famille depuis plusieurs générations!.. Mais ce grand gourmand a mis au point sa poule-au-pot toute prête à déguster. Une gasconne bien sûr, farcie comme le faisait sa grand mère. Dans la grosse boite on découvre, outre la bestiole entière, tendre et dodue, les légumes et un divin bouillon. Rien que du très, très bon: de quoi attribuer un Coq d'Or à l'unanimité!...". 

Un Coq d'Or aussi à Pascal Lafont des Vergers de Gascogne pour sa pêche blanche au sirop, issue  de cette fameuse conserverie née en 1946 qui vient de se donner un nouveau départ en 2017 en déménagent dans des locaux tout neuf à Fleurance. "... Effectivement ces pêches blanches sont délicieuses, à tel point que nous leur accordons sans hésiter un Coq d'Or. Les gourmands ne s'arrêteront pas là et goûteront également les autres fruits au sirop comme les poires et les abricots, les "fruits  rafraîchis" (d'un peu d'alcool), les confitures mais aussi les légumes bio au naturel, mijotés, en soupe, en purée, ...Une trouvaille!". 

Un bon cru gersois pour ce 30 ème Guide des Gourmands puisque deux Gersois élus parmi les  11 coqs d'Or décernés cette année  sur les 2000 adresses de producteurs et artisans en France et en Europe. Deux jeunes coqs d'Or gersois qui rejoignent leurs prédécesseurs venus les soutenir comme le Domaine du Tariquet de la famille Grassa pour leur Armagnac, Le Légendaire, " attribué en 2015 un Coq d'Or,  les volailles festives de Tradition des coteaux à Miélan coq d'or en 2001. 

André Daguin en bon ambassadeur fidèle, était présent à leur coté avec son ami étoilé Guy Savoy et retrouvait un des coauteurs du Guide , Jacques Tessier, diplômés Gersois d'exception à une des Chaponnade du Rugby de Mirande: "... C'est ça le Guide des Gourmands, 30 ans de traditions respectées retrouvées ou inventées, de rencontres avec des hommes et des femmes souvent exceptionnels,...

"Le guide des gourmands", un guide que l'ont peut retrouver en ligne sur guidedesgourmands.com. 

Source Le Journal du Gers

Fort de sa présence sur 10 départements de la région Occitanie Pyrénées-Méditerranée, le Groupe La Dépêche du Midi a souhaité, depuis de nombreuses années, mettre en avant les entrepreneurs locaux  avec la remise de trophées, au cours d’une soirée exceptionnelle qui récompense les projets innovants et les entreprises de notre territoire qui ont connu des développements récents. Depuis 2001,  au niveau régional,  et, depuis 2014, dans les départements, les Septuors ont acquis une certaine renommée et une reconnaissance de la part des acteurs les plus influents qui parrainent chaque édition. Cette année, la sélection gersoise s’est articulée autour de 11 catégories : Export, Tourisme, Commerce/Artisanat, Développement durable, Industrie, Agro-alimentaire, Entreprise Naissante, Coup de Cœur, Santé, Prix Région et Numérique.

Pour encadrer cette nouvelle manifestation des Septuors, des partenaires importants localement ont renouvelé leur confiance aux organisateurs : la Région Occitanie, la CCI du Gers, le Crédit Agricole Pyrénées Gascogne, Cerfrance, Prévifrance, Enedis, Dambax…

Prévue le jeudi 19 octobre à Auch, la Cérémonie des Septuors récompensera une entreprise dans chacune des catégories énoncées. Christine Huppert, directrice générale Cerfrance Gascogne-Adour, parrainera le prix Commerce & Artisanat dont les trois nominés sont : la Chemiserie Gayraud, Jean Brasse et Bleu de Lectoure.

Le Bleu de Lectoure, le pastel artisanal made in Gers

Le Bleu de Lectoure est un bleu de pastel artisanal, confectionné à Lectoure, très prisé autrefois pour teindre les textiles, mais aussi pour la peinture et la décoration. Connu aussi sous l’appellation "Pastel des teinturiers" ou "Bleu de guède", la culture de ce pastel permet d'obtenir des nuances de bleu exceptionnelles. Si l’entreprise existe à Lectoure depuis 1994, elle a amorcé un nouveau virage depuis septembre 2016 avec son rachat par trois personnes : Cécile Gex et Séverine de Breucker, anciennes salariées teinturières de l’entreprise et Jean-Marie Neels, agriculteur à Sempesserre. En une année, les choses ont changé : une nouvelle boutique avec une partie magasin, un atelier de teinture, et un espace « visiteurs » pour les conférences explicatives autour du pastel. Dans cette salle, Bleu de Pastel reçoit des touristes, mais aussi des scolaires tous les jours de l’année, chaque après-midi, pour une description de la plante, sa partie historique et sa partie technique avec des démonstrations de teinture. Dans le magasin, l’enseigne  vend des textiles teints au pastel : vêtements, accessoires et linge de maison. Quant à l’entreprise, elle travaille déjà avec des créateurs locaux et nationaux qui réalisent des pièces uniques : bijoux, vêtements… Dans le même temps, la boutique est dépositaire de nombreux autres produits : des cosmétiques, des peintures décoratives… « Nous ambitionnons de travailler avec toute la filière du pastel mais notre activité principale reste la culture du pastel de Lectoure, l’extraction du pigment et la teinture des tissus » précise Cécile Gex, l’une des associés. Actuellement, l’entreprise noue de nouvelles collaborations et s’apprête à lancer son e-commerce.

Source La Dépêche

Lauréate de l’appel à projet national du Fonds d’Intervention pour les Services, l’Artisanat et les Commerces (FISAC), la Lomagne Gersoise entame le lancement d’une opération collective en faveur du commerce de proximité de son territoire.

Le FISAC est un fonds d’Etat dédié à l’accompagnement du tissu économique local qui permet de contribuer et d’accompagner les initiatives de modernisation et d’adaptation des entreprises commerciales, artisanales et de services.

La Lomagne Gersoise bénéficie ainsi sur une période de 3 ans d’un effet de levier pour débloquer des enveloppes financières de l’Etat, pour accompagner des actions menées par les commerçants et artisans et leurs associations, en faveur de la consolidation et du développement du commerce de proximité.

Les objectifs de cette opération sont d’agir sur l’attractivité du territoire et la redynamisation de s centres-bourgs en soutenant les investissements des professionnels, mais aussi en mettant en œuvre des démarches de gouvernance collective et de professionnalisation des acteurs.

Afin de permettre le lancement de cette démarche, une première réunion du Comité de pilotage s’est tenue ce lundi 2 octobre, à 10h, au siège de la Communauté de communes rassemblant l’ensemble des partenaires associés que sont la DIRECCTE Occitanie, les chambres consulaires (CCI et CMA du Gers), les communes de Fleurance et de Lectoure, ainsi que les représentants et associations des professionnels (Pôle 21, Fleurance Action et ACAL 32).

Le Président Jean-Louis CASTELL s’est félicité de l’engagement de tous pour cette démarche qui ne peut que réussir tant l’attente des commerçants est forte pour les accompagner.

Pour tous renseignements et précisions : Cyril Lepachelet - Développeur économique 05.62.29.52.42 – economie@lomagne-gersoise.com

Il s’appelle donc Edouard Detrez. Et dans le petit monde du handicap, il est en train de se faire un nom. Car le créateur du « Fauteuil roulant français », c’est lui. Handicapé de naissance dorénavant en fauteuil.

Edouard Detrez s’est passionné pour cet objet si particulier et a fait le pari de « rouler français » en fabriquant des fauteuils issus de son imagination. Et de son expérience.

Dans un premier temps, il a été soutenu par son entourage proche, ses amis, Guillaume Gibault (de l’entreprise Le Slip français) et plus de trois cents contributeurs de MyMajorCompany, qui lui ont permis de récolter 30.777 euros, ainsi que d’entreprises et structures de Midi-Pyrénées. Dès lors, il a pu se lancer dans l’aventure il y a deux ans, et a rencontré presque immédiatement le succès.

Son idée consiste à personnaliser votre fauteuil à votre image. Avec 10 tissus pour l’assise, permettant de jouer les nuances de couleurs, les matières et les contrastes, avec même un coussin amovible, une exclusivité maison. Et 10 couleurs au choix, Bref, un vrai fauteuil customisé, avec pare jupe ou avec boomerang, garanti de surcroît 100 % made in France.

Et si nous disons aujourd’hui deux mots sur LFRF, c’est bien sûr que nous trouvons l’initiative sympathique, et aussi parce qu’elle a décidé de s’implanter à Lectoure, sur la pépinière d’entreprises de la Lomagne gersoise.

Un deal gagnant-gagnant pour les deux partenaires et pour le Pôle 21, comptant désormais 26 entreprises gérant 175 emplois. Dont une entreprise en plein essor : Le fauteuil roulant français, pour qui… tout roule !

Source Presse Lib

 

Gil Masselin, «Biscuits artisanaux Croc et Miam», a créé son entreprise en 2010 et installé son atelier dans une partie de sa grange dans la campagne fleurantine au lieu-dit «Las Cabannes». Après 7 années d'aventure sur les marchés traditionnels, marchés à la ferme, marchés de nuit… et de revente dans diverses boutiques du département, il a décidé, après une réflexion et une recherche d'un local depuis 3 ans, de créer un nouvel atelier-boutique en ville : l'atelier 27, au boulevard de Metz, proche de la halle Eloi Castaing.

Cet atelier-boutique sera ouvert au public prochainement, avec un accès facilité par la présence d'un grand parking gratuit et de la proximité du centre ville.

Dans cet antre aux gourmandises, il sera possible d'apercevoir Gil Masselin préparer ses diverses recettes de biscuits, gâteaux, fudges… et surtout ses fameux bagels, une recette glanée en Californie lorsqu'il travaillait en cuisine, avec une fabrication maison des pains, fromage, magret séché… En effet, l'entreprise gersoise prône une fabrication made in Gascogne, afin de promouvoir notre belle région.

Cette entreprise invite à venir déguster ses spécialités, dont le cœur gascon, décliné en une quinzaine de parfums. Elle propose également des produits adaptés aux personnes diabétiques, allergiques ou intolérantes au gluten… Chacun peut y trouver son bonheur, que ce soit pour se faire plaisir ou faire plaisir .

En attendant, les produits de Gil Masselin sont toujours présents les mardi et samedi sur le marché de Fleurance, le mercredi à Pavie, le jeudi à Auch (basse-ville sous la halle), le vendredi à Lectoure et le dimanche sous la halle de Gimont.

Source La Dépêche

Une convention de mutualisation innovante pour l’emploi et la formation entre la Lomagne Gersoise et les Coteaux Arrats Gimone

Jean-Louis CASTELL, Président de la Lomagne Gersoise a été ravi d’accueillir son homologue Pierre DUFFAUT, Président de la Communauté de Communes Coteaux  Arrats Gimone, ce mardi 12 septembre pour faire bénéficier aux acteurs économiques du territoire communautaire des actions développées par la plateforme Emploi Formation Compétences mise en œuvre par Coteaux Arrats Gimone. Ce partenariat réaffirme la politique active souhaitée par la Lomagne Gersoise vers l’emploi qui demeure un objectif majeur pour le projet de territoire.

Depuis 2015, dans le cadre du POLE 21, et avec le concours des communes et des services de l’Etat, la Lomagne Gersoise a déjà mis en place :

  •  une bourse de l’emploi qui recense l’ensemble des offres à pourvoir sur le territoire (actualisation tous les mercredis) sur le site www.pole21.com
  • un forum du recrutement chaque printemps qui a réuni à la dernière édition plus de 700 visiteurs, et proposé plus de 300 offres d’emplois à pourvoir.

De son côté, Coteaux Arrats Gimone a été soutenue par les services de l’Etat pour faciliter la mise en relation entre les acteurs de l’emploi, de la formation et des entreprises, afin de recueillir les besoins en recrutement et en formation et accompagner l’ensemble des démarches pour les acteurs économiques.

Pierre DUFFAUT a pris l’initiative de proposer aux communautés de communes du département concernées par l’action de la Plateforme de mutualiser cet outil pour en faire bénéficier le plus largement possible les entreprises gersoises des secteurs de l’aéronautique et de la métallurgie et les entreprises de l’industrie agroalimentaire du PETR Pays Portes de Gascogne.

Jean-Louis CASTELL a souligné que ce premier niveau d’information, prodigué aux entreprises par Anne LABORDE, animatrice de la plateforme, est primordial pour les  questions liées à l’emploi et à la formation.

Ce dispositif complète naturellement l’éventail des actions déjà menées en Lomagne Gersoise et sa présentation aux acteurs économiques des secteurs concerné s est d’ores et déjà prévue.

Avec sa mutualisation, les services économie des 2 communautés de communes visent à simplifier la vie des entreprises et des entrepreneurs pour faciliter l’innovation et la création d’emplois.

 

Contact développement économique Lomagne Gersoise : Olivier de Witte - 05 62 64 28 29 – pole21@lomagne-gersoise.com

Contact plateforme Emploi Formation Compétences de la 3CAG : Anne Laborde - 05 62 67 91 67 - efc@3cag.fr

La Plateforme Emploi Formation Compétences de la 3 CAG

Communiqué de presse Lomagne Gersoise

Dans le cadre des marchés flottants du Sud-Ouest, organisés par le comité départemental du tourisme et des loisirs du Gers, dirigé par José-Louis Pereira, et qui ont lieu pendant les Journées du patrimoine à Paris, sur les quais de Seine, l'Association pour la promotion du melon de Lectoure se déplace comme chaque année dans la capitale pour proposer une dégustation.

Particularité cette année, le Gersois Jérôme Pla, qui tient la «Galerie Pla Jérôme et Patricia», 18, rue de Beaune, 75007 Paris, a décidé d'accueillir Pascal Mazzonetto, charcutier gascon, pour une dégustation-vente le jeudi 14 septembre à partir de 18 heures.

Source La Dépêche

Le Club Entreprendre en Gascogne, véritable lieu d’échanges d’informations et d’expériences pour les entrepreneurs locaux, est depuis longtempsun interlocuteur privilégié de la Lomagne Gersoise.Dans le cadre de sa compétence économique, la communauté de communes signe une convention avec le club pour continuer de développer et amplifier cette relation.Jean-Louis CASTELL, président de la Lomagne Gersoise, et Vincent BLOC, président du Club Entreprendre en Gascogne, ont signé une convention de partenariat ce mardi 5septembre au siège de la Lomagne Gersoise à Fleurance en présence de Philippe BILLEROT, ambassadeur de Pôle 21.

Ce partenariat s’inscrit dans la politique de la Lomagne Gersoise qui fait du développementéconomique sa priorité. Plusieurs missions d’appui et de développement seront menées sur le territoire autour de 2

axes de coopération :

- Le renforcement de la relation entre les deux structures,

- Le soutien à la mise en place de la conférence annuelle (au mois de novembre) portée depuis 3 éditionspar le Club Entreprendre en Gascogne.

Jean-Louis CASTELL félicite à cette occasion l’équipe d’Entreprendre en Gascogne pour ces rencontres qui connaissent un véritable succès depuis leur mise en place (plus 300 personnes à chaque édition).

Pour Vincent BLOC, ce partenariat résulte d’une collaboration commencée en 2014 lors de la première conférence annuelle que la Lomagne Gersoise avait soutenue.

Ce partenariat s’inscrit dans l’accompagnement de la dynamique entrepreneuriale sur le territoire de Pôle 21,facteur supplémentaire de l’attractivité du territoire de la Lomagne Gersoise.

Retrouvez le Club Entreprendre en Gascogne sur son site internet www.entreprendreengascogne.fr

Installé à la pépinière d'entreprises Morgan HECQUET fabrique des meubles en acier. Des pièces uniques et séries limitées qui bénéficient chacun d'un traitement d'exception. Reportage sur les métiers d'art dans le magasine "Style Campagne" de septembre/octobre.

Dans le cadre des journées du patrimoine l'entreprise sera présente samedi 16 et dimanche 17 septembre de 9h à 18h dans le cloître de la Collégiale de La Romieu.

 

Il y a plusieurs mois, nous appelions déjà votre attention sur la société Ethiquable, installée à Fleurance dans le Gers. Une petite opération de crowfunding – financement participatif – devait leur permettre de mieux envisager leur développement.

Obligatoire pour celle qui venait d’être élue « numéro Un des marques positives » par l’Observatoire des Marques, devant Biocoop, Ecover ou Blablacar. La Scop (comprendre entreprise coopérative, où les salariés détiennent le capital de l’entreprise) n’en finit plus de faire parler d’elle.

Car avec ses produits de qualité doublés de vertus gourmandes, elle a su résister à la crise économique et depuis 2013 s’envole littéralement. Des chiffres qui pourraient faire des jaloux : en 2014, une hausse de 23% de son chiffre d’affaires ; 26% en 2015 et plus de 30% en 2016.

Qui dit (ou fait) mieux ? 10 millions de produits ont inondé la France certes, mais aussi l’Allemagne, l’Espagne ou la Belgique. Déjà huit nouveaux salariés (dont 6 à Fleurance) ont rejoint les rangs d’Ethiquable, où l’on est passé à la vitesse supérieure, nouveau logo et attention accrue à la qualité des produits. Ils sont en tout 35 employés à Fleurance, 69 sur le territoire français.

Les raisons du succès ? Du bio très bio, de l’équitable très équitable (qui paye justement le service rendu) et des marques distributeurs qui ont joué le jeu en diffusant les produits. Surtout l’indépendance, le refus de se faire racheter par des gros. Qui dit indépendance dit liberté, et choix ! Ce serait dur de vendre une entreprise qui appartient à ses salariés, de toute façon. Bien vu !

Le Gers n’a rien de farfelu dans ce choix, qui se prête volontiers à une agriculture raisonnée et éthiquab… pardon équitable. Et cerise sur le pompon, vous pouvez commander à la boutique en ligne, et vous régaler de la farine bio, blé variété ancienne, 100% Gers dans la gamme « Paysans d’ici » (cliquez ici). Sans oublier les lentilles vertes du Lauragais, le piment d’Espelette, la crème de châtaigne d’Aveyron, les pruneaux d’Agen, le jus de pomme du Lot et Garonne, celui de raisin itoo, et l’huile de tournesol du Gers…

Changer le monde par notre façon de consommer, une révolution est en marche. Equitable. Ou Ethiquable.

Source Presselib.com

C'est le lundi 4 septembre qu'a ouvert, au 40 de l'avenue de la Gare, un nouvel espace de remise en forme, dénommé Prélude. Il ne s'agit pas d'une salle de sport telle qu'on la conçoit habituellement mais précisément de remise en forme autour de trois types d'activités : marche nordique, gym fonctionnelle inspirée du cross fit et de gym ballon.

Le but recherché est l'amélioration de l'aisance gestuelle et posturale, favorisant une pratique sportive ou sa reprise mais aussi la facilitation de la vie quotidienne et domestique.

Le travail en groupe d'une dizaine de personnes permet un suivi plus personnalisé par un professionnel de santé et s'adresse à tous les âges, à partir de 8 ans. Des «portes ouvertes» avec séances d'essai furent organisées le mercredi 30 août l'après-midi et le samedi 2 septembre le matin. L'occasion pour certains de prendre des abonnements pour le créneau horaire qui vous conviendra. Pour tout renseignement et information supplémentaires, il est possible de se rendre sur le site www.prelude-lectoure.fr ou de téléphoner au 06 67 29 09 25.

Source La Dépêche

La Scop Ethiquable, qui a son siège en zone industrielle, organisait cette semaine ses Ateliers d'été à la Halle Eloi Castaing.

Avec une croissance de 30 % depuis le début de l'année, la société coopérative a embauché et dépasse maintenant les 80 salariés ce qui en fait l'une des plus importante de France.

Le sénateur-maire, Raymond Vall, a assisté aux travaux et a, en fin de journée, remis la médaille du travail à trois salariés (lire ci-dessous).

En effet, c'est en 2014 que la Loi Hamon sur l'économie Sociale et Solidaire, a institutionnalisé ce Commerce équitable qui permet aux agriculteurs de chez nous de pouvoir bénéficier aussi d'une meilleure rémunération et d'une stabilité de prix. Le ministre s'était à l'époque inspiré de la démarche «Paysans d'Ici», lancée par Ethiquable depuis Fleurance. Et c'est grâce à un amendement déposé au Sénat par le sénateur Raymond Vall que cela fut possible.

Fleurance est donc devenu la capitale du Commerce équitable, comme le mentionnait dernièrement le titre d'un reportage qu'avait fait un journal national cet été. Et c'est au journal télévisé de 20 heures, que les produits éthiquables et Paysans d'Ici ont été présentés la semaine dernière.

Le concept de commerce équitable remonte aux années 1970. En effet le système repose sur trois principes : «un achat direct aux producteurs, pour éviter des intermédiaires et les spéculateurs, un prix garanti plus élevé que celui du marché, une prime en plus pour financer les projets des communautés paysannes», explique Rémi Roux. Il ajoute : «l'entreprise fait vivre près de 35 000 paysans et a vu son chiffre d'affaires augmenter de 24 % l'an passé».

Lors de cette réunion il a été fait remarquer que la coopérative agricole de Monfort (20 km de Fleurance) est un des premiers partenaires d'Ethiquable. Celle-ci possède deux silos ultramodernes pour collecter les céréales et les légumes secs bio, produits par quelque 350 exploitants de la région, ce qui permet de dégager une plus-value et d'assurer un meilleur revenu aux adhérents afin qu'ils puissent garder les petites exploitations viables.

Nouveaux employés

Deux nouveaux salariés ont été recrutés dans la Scop. Luis Lojan, basé en Equateur, va s'occuper de l'appui technique auprès des coopératives de petits producteurs d'Amérique du Sud. Céline Paillard est la nouvelle responsable «Méthodes» de l'entreprise solidaire. Elle est basée à Fleurance est a pour mission d'améliorer l'organisation et les méthodes de travail dans la Scop. Venant d'une grande multinationale en Région Parisienne, elle découvre la différence de mentalité entre son ancien employeur, et une entreprise solidaire coopérative…

Source La Dépêche

Ce 28 août, Jean-Marie Neels, président de la SAS Bleu de Lectoure, a reçu Jean-Louis Castell, président de la Lomagne Gersoise, Gérard Duclos et Philippe Blancquart, maires de Lectoure et de Sempesserre, sur le site de sa ferme où il cultive sur 2.5 ha la célèbre « Isatis Tinctoria » qui sert à produire le pigment bleu dont a besoin l’entreprise pour teindre.
Jean-Marie Neels et ses deux associées Séverine de Breucker et Cécile Gex ont repris l’entreprise en juin 2016. Dès le départ, leur objectif était de relancer la filière du Pastel en intégrant l’ensemble des étapes de l’amont à l’aval : de la culture de la plante à sa transformation en pigment.
C’est la première année, après des phases de test, que les premiers grammes de pigment ont été produits à Sempesserre. « Cette transformation nécessite un savoir-faire qu’il a fallu retrouver, cette année de recherche nous a permis de produire du pigment made in Lomagne Gersoise » précise Jean-Marie Neels. Jusqu’à maintenant, l’approvisionnement se fait essentiellement auprès de fournisseurs extérieurs (notamment en Picardie et en Italie).
La pénurie sur le marché du pigment - la demande étant supérieure à l’offre - a incité les 3 associés à maitriser l’ensemble du process à court terme afin de ne pas dépendre de la variation des coûts, le prix du kilogramme étant élevé, et également contrôler la qualité de cet or bleu.
Pour ce faire, le Bleu de Lectoure a établi un partenariat avec l’école de chimie de Toulouse. L’objectif est d’atteindre rapidement les 100 kg de pigment produits en Lomagne Gersoise.
Après des échanges constructifs entre les acteurs, Jean-Louis Castell a conclu en encourageant cette démarche de maitrise de l’ensemble de la chaine de fabrication qui pérennisera et développera l’activité sur le territoire.
Retrouvez le Bleu de Lectoure sur son site internet www.bleu-de-lectoure.com

Communiqué de presse Lomagne Gersoise

Il est loin le temps où l'on entendait les sécateurs cliqueter dans les rangs de vigne et les jeunes qui lançaient des grands éclats de rire ou encore des chants «polissons». C'était une autre époque. Aujourd'hui la machine à vendanger a balayé toutes ces images que l'on se raconte encore dans certains foyers et qui font partie de l'histoire de nos campagnes.

 

Mercredi matin, au domaine des Capots, Jacques et Chantal Castelli et leur fils Florent, ont allumé cette grosse machine rouge qui a réveillé le voisinage dès 6 heures pour récolter et broyer les grains de raisins de cépages précoces. «On s'attend cette année à une récolte moyenne». Jacques Castelli, le propriétaire des lieux, explique que «la chaleur précoce au printemps, à laquelle s'est ajouté le gel qui a eu une ampleur importante dans certaines parcelles exposées plein sud, ainsi qu'un temps sec et très chaud ces derniers temps et une bonne partie de l'été ont accéléré la maturité et réduit la récolte. Par contre, qualitativement il n'y a pas de souci, car il n'y a pas une maladie. On devrait avoir un millésime exceptionnel mais pas en volume», assure-t-il. Cet exploitant compte sur la venue de la pluie pour finir de faire grossir les grains dans les cépages tardifs.

Chez Jacques Castelli, plus besoin de main-d'œuvre saisonnière, les 12 ha de vignes sont vendangés mécaniquement en quelques jours avec l'aide de son épouse et de son fils Florent. Chacun a sa tâche particulière. Jacques est plus spécialisé dans le travail du chai et, depuis qu'il a un nouveau pressoir, il élabore beaucoup plus de vin rosé qu'il nomme le «Fleurantin». Il est très demandé par sa fidèle clientèle des marchés de plein-vent comme le samedi matin sous les arcades de la mairie où son épouse tient un stand de vente.

Ce domaine s'oriente vers la production «bio». Déjà les démarches sont en cours ainsi que pour l'ensemble du domaine. D'ici trois ans un nouveau vin sera commercialisé.

Source La Dépêche

Santé : Lomagne Gersoise se réjouit d'accompagner Ophélie PORTHAULT qui vient de signer la seconde convention d'aide à la formation des étudiants en médecine.

La Lomagne Gersoise poursuit ainsi son engagement au côté du Département du Gers pour faciliter l’implantation de nouveaux médecins par ce dispositif d'aides aux étudiants qui s'engagent à s’installer à l’issue de leurs études sur notre territoire.

Ophélie PORTHAULT, qui rentre en 6e année de médecine à Toulouse, est la seconde bénéficiaire de cet accompagnement après Faustine ROUX qui en est la première ambassadrice.

Toutes les informations sur : www.lomagne-gersoise.com/Offre-medicale

En 2015, Édouard Detrez a créé, avec le soutien de sa famille, la société Le Fauteuil Roulant français (FRF), spécialisée dans les fauteuils roulants actifs et sportifs. On comprend par fauteuil actif, un fauteuil de ville maniable et léger, à mi-chemin entre le fauteuil médical et le fauteuil électrique, destiné à des personnes majoritairement paraplégiques ou en situation de handicap moteur ayant la mobilité des membres supérieurs.

Considéré comme un matériel médical, le fauteuil roulant nécessite des normes et homologations avant toute commercialisation, en raison d'un circuit de prises en charges et de remboursements avant achat (Sécurité sociale, MDPH).

Développement international

Le premier fauteuil de la gamme est donc commercialisé en octobre 2016. L'équipe a choisi de s'installer sur le territoire de la Lomagne Gersoise, à la pépinière d'entreprises de Lectoure du fait de sa situation géographique (proximité d'Agen et axe autoroutier).

Un bureau et 100 m² d'ateliers en font le site idéal d'assemblage, le but étant de réunir le savoir-faire de chaque sous-traitant (châssis, tissus, roues…), assembler avec un contrôle qualité (finitions et pièces) puis expédier.

Visible dans 550 magasins de matériel médical en France, FRF a déjà vendu une cinquantaine de fauteuils en seulement 6 mois. Une stratégie de développement à l'international est lancée grâce à l'implantation d'un fauteuil en Suisse, près de Lausanne. Avec un marché et une distribution aujourd'hui détenue par une concurrence surtout américaine, FRF a la volonté de créer des emplois sur le territoire national pour rayonner en France comme en Europe. En 5 ans, 4,7 millions d'euros de chiffre d'affaires (soit 1 500 fauteuils par an) sont à atteindre.

Clin d'œil à l'actualité, Édouard a salué l'initiative du Président de la République Emmanuel Macron, s'essayant au tennis en fauteuil avec son ami Michaël Jérémiasz, porte-drapeau des Jeux paralympiques de Rio 2016. «Une très belle image en faveur du handicap ! J'espère qu'à l'avenir, notre président et nos sportifs handisport seront sur un matériel français». Site web : www.le-fauteuil-roulant-francais.fr

La Dépêche du Midi

Pour cette nouvelle édition des «Marchés à la ferme», le premier marché se déroulera au domaine d'Embidoure chez Nathalie et Sandrine Ménégazzo, mercredi 19 juillet, à partir de 16 h 30.

Ce sera l'occasion de venir découvrir les nombreux stands de producteurs fermiers locaux et d'artisanat, de visiter le domaine, de déguster les vins qui ont obtenu de très nombreuses récompenses cette année comme le blanc moelleux 2016 récompensé par la médaille d'or au concours général agricole 2017, le rosé tradition, médaille d'argent et la cuvée des filles blanc, médaille de bronze.

Ce domaine est inscrit dans la Guide Hachette des vins 2017 et a obtenu au concours des Vignerons indépendants la médaille d'argent 2017.

Des animations gratuites seront prévues pour les enfants

(château gonflable, stand de maquillage, balades à poney). À partir de 18 h 30 démarrera une balade pédestre dans les vignes. Pendant ce temps, d'autres pourront faire une promenade en cabriolet ou visiter l'exposition de peinture. L'animation musicale sera assurée par le groupe Ufunk. Restauration sur place à partir de 20 heures, sans réservation, avec un grand choix d'assiettes gourmandes qui seront proposées par les producteurs fermiers qui seront au nombre de 24.

En fin de soirée, dégustation (avec modération) du traditionnel «brûlot gascon».

La Dépêche du Midi

Une boutique d'un genre nouveau s'installe rue Nationale : un regroupement de six créateurs gersois, «Les Éphémères». C'est un véritable cabinet de curiosité, où se mêlent avec harmonie céramiques (ABCeramic), textile croché (Filfleur), bijoux (La Fabrique semi-précieuse), dessins et estampes (Carla Talopp), meubles, luminaires et sculptures (Fernand Barbe) et créations textiles pour le plus grand plaisir des petits comme des grands.

La boutique sera ouverte jusqu'au 15 septembre, du mardi au dimanche et en nocturne lors des marchés de nuit du lundi.

Contact : 06 79 19 88 49, 06 89 17 93 81

Vu le succès des deux premières éditions, c'est sur deux journées (jeudi 6 et vendredi 7 juillet) que se tient à Fleurance le colloque Cybersécurité et territoires, organisé par le Cybercercle en partenariat avec la Ville de Fleurance et la communauté de communes de la Lomagne gersoise.

Ouvert au grand public, ce colloque vise à informer et sensibiliser élus, entreprises et particuliers aux menaces liées au développement du numérique, en donnant des clés de compréhension et des solutions pour s'en prémunir. Les travaux du colloque seront ouverts jeudi à 9 heures, en présence de Thierry Delville, délégué ministériel à la lutte contre les cybermenaces du ministère de l'Intérieur, et le vice-amiral Arnaud Coustillière, officier général cyberdéfense du ministère de l'Intérieur.

L’après-midi sera consacré à des ateliers animés par des spécialistes et des professionnels, sur des thèmes adaptés aux préoccupations des territoires, tels que : « Quels enjeux de sécurité dans la transformation du monde agricole ?», « Secteur aéronautique : assurer la sécurité numérique de la filière », « Quels enjeux de sécurité des données en matière de santé sur les territoires ? », «Enjeux de sécurité pour la transition numérique des collectivités territoriales», «Sécurité des données et secteur bancaire : un fondamental de la relation-client». Un atelier de serious game sera organisé à destination du jeune public. 

Le vendredi matin, une conférence plénière présentera le questionnaire mis en place par la Réserve citoyenne cyberdéfense (RCC) Occitanie, permettant aux entreprises de déterminer leur maturité en matière de cybersécurité, suivie d’ateliers sur les enjeux transversaux de sécurité numérique. Le vendredi après-midi des parties de jeu Cyber Strategia créé par la RCC permettront également au grand public de se familiariser avec les grands enjeux de la cyberdéfense.

Un espace de rencontres avec des exposants tels que la gendarmerie nationale, l’ANSSI et plusieurs entreprises de cybersécurité permettra par ailleurs aux auditeurs d’échanger avec les experts présents et d’assister à des démonstrations.

Programme et inscription en ligne : cybercercle.com 

Source La Dépêche

Fleurance Nature propose une très large gamme de produits naturels et bio pour la santé, la beauté et le bien-être depuis 1972. L'entreprise a à cœur de fédérer ses équipes, elle leur a offert une belle journée de détente pour fêter ses 45 ans dans le superbe cadre des Jardins de Coursiana à la Romieu.

La société s'offre également un vrai lifting : à Fleurance les bâtiments bénéficient d'une nouvelle façade et d'un aménagement extérieur fleuri et adapté mais aussi rationnel avec une aire de retournement pour les camions et un parking rénové. Suivra une boutique avec présentation-vente des produits. Le site internet déjà très didactique qui permet un rajeunissement de la clientèle, et un travail au quotidien qui contribue à sa croissance fait l'objet d'une refonte ; la vente à distance par catalogue continue à choyer la clientèle senior. Une autre boutique ouvrira bientôt à proximité du siège parisien, rue du Commerce dans le XVIIe. La société continue à se développer et s'exporte dans différents pays : Espagne, Asie avec deux pôles importants à Hong-Kong et Taïwan. Le catalogue s'étoffe toujours avec 15 à 20 nouveaux produits par an, dont une nouvelle gamme complète d'huiles essentielles et de plantes séchées en vrac. L'entreprise valorise une agriculture bio autant que possible, et locale, elle a un fort partenariat et sponsoring avec les Jardins de Cocagne à Fleurance, et une jolie vitrine avec les Jardins de Coursiana à La Romieu depuis 16 ans. Elle cherche d'ailleurs à augmenter la part de culture bio locale. Mais certains compléments alimentaires sont des produits naturels mais non certifiables, la cosmétique est bio à 100 %. Fleurance Nature œuvre sur des partenariats éthiques, l'argan par exemple est travaillé par une coopérative féminine au Maroc en commerce équitable. Fleurance Nature est très active sur Facebook où elle comptera bientôt 100 000 fans. http://www.fleurancenature.fr/

Le chiffre : 27

Millions d'euros >Chiffre d'affaires. En 2012 Fleurance Nature faisait 20 millions de CA, aujourd'hui elle dépasse les 27 millions de CA sur une base de 12 mois.

Source La Dépêche

Ex-Situ est un projet de médiation pluridisciplinaire mêlant travail d'archives, poésie, théâtre et vidéo, qui invite les populations à découvrir des sites architecturaux de leur patrimoine à travers un échange avec «Obra et Videofeet». Actuellement, l'équipe de Kate-Hannah Papi, Oliviero Papi, Matt Smith et Sarah Bernadou immortalise par petits reportages filmés la maison de l'ancien ambassadeur à l'ONU Camille Aboussouan. Elle appartient actuellement à la communauté des communes de la Lomagne Gersoise et sera dans quelque temps aménagée en office de tourisme.

Ex-Situ (signifiant «dans son site naturel») est donc un projet de collaboration entre la compagnie Obra, une compagnie de théâtre internationale et pluridisciplinaire basée à Pauilhac, et Videofeet qui est une société de production anglaise. Il propose donc de partir à la découverte d'espaces architecturaux, désaffectés ou réhabilités (c'est le cas à Fleurance) et dans trois communes du Pays des Portes de Gascogne dont Mauvezin. Ce projet a un double objectif : créer un événement artistique «in situ», une petite forme théâtrale ou une installation artistique, s'appuyant sur la mémoire collective qui permettrait d'ouvrir l'accès au public d'un lieu souvent inconnu ou méconnu sur la commune. Il s'agit en même temps de réaliser un travail artistique complémentaire par des courts-métrages sur chaque site, toujours avec la complicité de près ou de loin des habitants et des partenaires locaux, dans le but d'explorer physiquement les lieux, de s'interroger sur le passé, extrapoler sur le futur et d'y immortaliser une certaine atmosphère.

La maison Aboussouan

Dans la cité lomagnole, au centre ville, il y a une maison royale datant du XVIe siècle. C'est là que le roi Henri III de Navarre, futur Henri IV, y logea à plusieurs reprises (1576, 1577 et 1580). Né d'un père libanais et d'une mère fleurantine, l'ambassadeur Camille Aboussouan venait régulièrement à Fleurance pour ses vacances d'été avec sa sœur Maya. Il s'est éteint à l'âge de 93 ans, le 19 janvier 2013. Les Fleurantins gardent de cet illustre Franco-Libanais le souvenir d'un «homme respectueux et d'une grande culture».

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Vendredi soir l'Association pour la promotion du melon de Lectoure offrait ses premiers plateaux de melons au maire, au sous-préfet et aux conseillers départementaux lors d'une cérémonie devenue rituelle depuis quelques années. Dans son discours, Marie-Hélène Lagardère, co-présidente de l'association avec Sabrina Signetti a parlé du récent dépôt de marque, né sous l'impulsion de quelques-uns, mais réussi grâce à l'implication et à la motivation des producteurs. Ils étaient 38 adhérents, mais de nouveaux producteurs se font connaître encore et parmi eux des jeunes ce qui réjouit la profession. Pour l'avoir déjà expérimenté il s'avère que le dessin et le logo qui habillent désormais les plateaux plaisent beaucoup sur les marchés. Ce nouvel emballage a été créé pour préserver l'identité du melon de Lectoure, produit de patrimoine culturel et gastronomique. Cette année la météo les a fait mûrir de bonne heure, ils sont beaux et excellents et donnent énormément, il faut en profiter dès maintenant. Le sous-préfet Jean-Charles Jobart, toujours aussi enthousiaste quand il s'agit de melons, a salué cette initiative couronnée de succès. L'association reprend les marchés de producteurs du dimanche matin sur le parvis de la cathédrale dès le 2 juillet, pour ce lancement l'harmonie lectouroise sera présente. L'association sera représentée lors du forum «Cybersécurité et Territoires» à Fleurance les 6 et 7 juillet, puis sur de nombreuses manifestations estivales grâce aussi à l'implication de bénévoles fidèles.

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Aujourd'hui, lundi, la maison d'Assistantes Maternelles (MAM) ouvre ses portes pour accueillir des enfants de n'importe quelle commune à partir de deux mois.

 

Samedi matin, cette nouvelle structure située rue Adolphe Cadéot a été inaugurée par Ronny Mazzoléni, conseiller régional, et Simone Virelaude, maire adjointe, en présence de nombreux invités et les partenaires (Mme Marchal pharmacie, le Crédit Agricole, Carrefour, la mairie et bien d'autres qui ont fait de nombreux dons).

Comme déjà présentée (voir édition du 3 juin dernier) la MAM «La Coc'cinelle» est une maison accueillant des nourrissons et jeunes enfants encadrés par deux assistantes maternelles agréées travaillant en équipe. Vanessa Xiberras est titulaire du BAFA et présidente de l'association (Tél. 07 87 48 05 87) et Valérie Gremaud assistante maternelle également, trésorière (Tél. 06 72 14 44 34). «L'association loi 1901 gère la partie financière de la structure et les moyens d'action», précise la présidente.

Puis l'assistance a pu prendre connaissance du fonctionnement. Les horaires s'établiront en fonction des contrats et donc des besoins des familles dans la limite de 7 h 30-19 heures du lundi au vendredi et le samedi matin éventuellement. Si les parents souhaitent un changement d'horaire il faudra qu'ils préviennent l'assistante maternelle et cela sera accepté suivant le planning afin de respecter l'agrément. L'organisation générale a été également expliquée comme l'adaptation, les premières rencontres, l'accueil, les repas, les repos et les nombreuses activités ludiques qui seront proposées en cours de la journée.

Les personnes intéressées peuvent prendre contact avec l'une des deux assistantes maternelles au 43, rue Adolphe-Cadéot, qui se trouve face à la perception. Pour marquer l'éventement un apéritif inaugural a été offert à l'assistance devant l'établissement.

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Mettre l'humain au premier plan, c'est ce que souhaite Jérôme Dauzats, directeur de l'office de tourisme communautaire Gascogne Lomagne (OTGL), il apporte une vision renouvelée de l'accueil et du tourisme. Suite au lancement de la première saison touristique communautaire, il a répondu à quelques questions.

Quelle image de nous et de notre territoire souhaitez-vous donner à l'extérieur ?

Un territoire d'hommes et de femmes fait par des hommes et des femmes qui vont permettre l'expérience d'une rencontre, d'un partage, d'une émotion avec les visiteurs, tout cela créant les conditions d'un bien-être dans un environnement de qualité. Nous sommes tous invités à participer à cela, qui que nous soyons, car les acteurs sur le terrain sont les plus à même de développer l'esprit du territoire qui devient central. Nous comptons aussi beaucoup sur les professionnels associés, chacun en fait, pour sa capacité d'accueil, avec l'aide indispensable des élus.

Comment pensez-vous faire évoluer les choses ?

Nous développons une nouvelle démarche pour le marketing et l'accueil. Nous serons présents partout sur le territoire, visibles et proches. Jusqu'à maintenant nous avons toujours mis en avant ce que nous avons (par exemple le patrimoine), ce que nous consommons (notre belle gastronomie). Il est important maintenant de montrer ce que nous sommes. Chacun est acteur du tourisme, c'est la valeur humaine ajoutée au-delà de la segmentation. L'expérience personnelle des visiteurs s'enrichit de ces espaces de rencontre que nous sommes capables de leur offrir.

Quels sont les moyens mis en place ?

Des brochures ont été éditées à cet effet, mettant en scène des portraits de personnes influentes sur le territoire, emblématiques ou non, qui évolueront au fil des ans ; chaque portrait se veut être une invitation. L'idée étant davantage de créer des brochures type magazine avec un contenu éditorial d'invitation, de suggestions. Ce que l'on vise, c'est une clientèle renouvelée, diversifiée, plus active, en recherche de quelque chose de sincère, de vrai, d'humain et aller plus loin que l'offre purement technique pratiquée de tout temps.

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Alors que les premiers melons sont apparus sur les étals, l'Association pour la promotion du melon de Lectoure fédère les producteurs autour de la marque «Melon de Lectoure», et un nouveau logo a été établi pour de nouveaux plateaux. Les anciens plateaux restent en circulation jusqu'à épuisement des stocks, aux côtés des nouveaux emballages.

Pour cette année, le fabricant de plateaux bois reste les établissements Père Frères, le seul à avoir pris conscience du problème et à avoir joué le jeu en faveur de l'association. Pour les années à venir, un appel d'offres sera lancé auprès de trois entreprises.

Les cartes pour les 38 producteurs adhérents, fabriquées par Duck Print, ont été délivrées le 14 juin, lors d'une réunion à la Pépinière d'entreprises, la livraison des plateaux a commencé dès le lendemain. Marie-Hélène Lagardère, coprésidente de l'association avec Sabrina Signetti, expliquait à cette occasion : «On ne peut plus se laisser prendre notre identité, à chacun de réagir en cas de délit et sur certaines pratiques non légitimes, en accord avec l'association. On est là pour sauver une marque, valoriser et vendre au mieux notre produit et en faire la promotion». Les producteurs qui livrent les magasins sont appelés à identifier leurs produits en précisant leurs : nom, exploitation et numéro de SIRET.

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Le douzième salon du bien-être a été inauguré hier matin à l'heure où la sirène sonne midi. Avant de passer au vin d'honneur généreusement offert par l'association des commerçants le président, Jean Paul Lafforgue a remercié de leur présence le sénateur maire Raymond Vall, Ronny Mazzoléni conseiller régional, les élus Gérard Auret maire adjoint, Jean Louis Castell président de la communauté des communes, sa coprésidente Myriam Ferradou et toutes les personnes qui ont travaillé dans l'organisation de ce salon. «Cette année nous avons souhaité une manifestation placée sous le signe du mieux-être et du mieux vivre. C'est donc avec plaisir que nous accueillons des praticiens, de thérapeutes, des artisans, des producteurs et des acteurs impliqués dans le développement durable issus du tissu économique, tous implantés au cœur de la lomagne gersoise». C'est par ces mots que Jean Paul Lafforgue a ouvert cette manifestation qui héberge les plus grands experts et scientifiques des plantes aromatiques, qui sont garants de la distribution des meilleurs produits issus de la nature avec un savoir faire historique. Cela, toujours dans le respect de l'environnement et de l'agriculture biologique. Il a également remercié son partenaire «Fleurance-Nature» et a souhaité à tous les participants un salon convivial, riche de rencontres et d'expériences.

Hier, il y avait du monde autour des différents stands se trouvant sous les arcades de la place centrale et aussi autour des maraîchers présents habituellement lors du marché du samedi matin. Les visiteurs ou éventuellement les clients ont pu s'initier à certains massages dont un, qui a connu un vrai succès, bain de pieds et petits poissons (ça chatouille).

Ce sont donc deux journées d'échanges autour d'une trentaine d'exposants qui proposent des techniques de thérapies innovantes, de découverte de produits de Bien être, des cosmétiques Bio. Aujourd'hui encore, vous allez les découvrir. L'entrée est gratuite.

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Le Salon du bien-être, des loisirs et du développement durable est de retour les 24 et 25 juin. Il se déroulera sous la halle de la mairie, au cœur de la bastide. La version 2017 sera tournée vers «le mieux-être et le mieux vivre» ; les visiteurs pourront rencontrer des thérapeutes, des producteurs locaux, des entrepreneurs, des commerçants, tous issus de la Lomagne gersoise. Ce sera un week-end de convivialité et de détente durant lequel les visiteurs pourront naviguer entre du matériel d'équipement et d'amélioration de l'habitat, des produits cosmétiques, des véhicules électriques, des soins pour le corps et son bien-être, de l'initiation au sport, du bio sous toutes ses formes… sans oublier les conférences, la restauration traditionnelle, bio et végétale sur place. Cette année, on pourra découvrir la réflexologie plantaire, la naturopathie, la somatothérapie, la guérisiologie, la radiesthésie et la géobiologie. On trouvera aussi des idées cadeaux : or végétal, écharpes en cachemire, pierres, bijoux en ivoire végétale, produits de soins bio, épices, thés bio, gogi bio, sels de bain, huiles essentielles. Les produits d'entretien pour la maison, l'économie et la filtration d'eau ne sont pas oubliés car eux aussi facilitent la vie de tous les jours. Outre les nombreux thérapeutes et praticiens de médecines douces, seront également présents des voyants, des artistes, des associations d'entraide et de partage, des spécialistes de l'écologie et du bio, des commerçants spécialisés dans le bien-être… Les organisateurs souhaitent la présence d'un large public pour venir partager les bienfaits de cette manifestation organisée par l'association des commerçants Fleurance Action et son partenaire Fleurance Nature.

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Swan Scalabre Marie est un oiseau venu d'ailleurs et a inauguré, le jeudi 11 mai, son nouvel espace «Minuit», une grande boutique lumineuse au 84 ter, rue Nationale à Lectoure.

Quel est votre parcours ? Depuis mes études aux Beaux-Arts de Paris, j'ai mené frénétiquement plusieurs aventures. Mannequin, animatrice télé, comédienne, styliste et illustratrice. En août, j'ai quitté ma chic boutique parisienne du 7e arrondissement pour venir vivre à Lectoure avec mon mari et mes filles. Nous avions envie de plus d'authenticité et d'espaces pures. À mon arrivée, Pascale Pitras m'a généreusement invité à partager son lieu Peau d'Âne. Aujourd'hui, je vais voler de mes propres ailes.

Quels sont vos projets ? Je vais continuer à vendre du rêve ! Ma boutique est composée comme un décor de théâtre, un univers hors du temps avec des objets d'exception, certains à des prix accessibles. Des chapeaux, des robes en pièce unique, des vêtements d'enfants, des objets insolites de décoration, du mobilier, des œuvres d'art et des bijoux. Des produits phares comme une très belle robe de bal brodée de fleur, un tableau XVIIIe signé, etc. Des objets «de rencontre» ! Chaque vitrine raconte une nouvelle histoire.

Que deviennent vos fêtes ?

Elles seront encore plus belles j'espère. J'ai un vrai goût pour les bals et les fêtes costumées. Je serai donc ravie d'inviter qui veut à revêtir ses habits de lumière le temps d'une nuit. J'ai aussi d'autres projets à venir liés à des manifestations culturelles et artistiques.

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«Le Fauteuil roulant français» a choisi la pépinière d'entreprises de la Lomagne Gersoise pour son développement. Jean-Louis Castell, président de la communauté des communes (CCLG), a convié, mardi, le comité d'agrément, pour présenter la demande d'intégration au sein des nouveaux ateliers de production, par l'entreprise «Le Fauteuil roulant français».

À l'origine de ce projet, un jeune sportif de 25 ans, en fauteuil roulant, Édouard Detrez, a fait le constat que, sur le secteur du fauteuil roulant actif et sportif, 80 % du marché national est concentré par deux entreprises américaines. Il fait le pari fou de rouler français et lance le «Fauteuil roulant français» (FRF), un fauteuil roulant actif personnalisable, «made in France», tout droit sorti de l'industrie française.

Séduit par les services et équipements à disposition

Avec sa décision de s'installer au sein des ateliers de la pépinière d'entreprises à Lectoure, ce fauteuil sera désormais conçu et assemblé en Lomagne Gersoise.

Édouard Detrez a précisé, lors de la présentation de son entreprise en plein essor, qu'il avait été séduit par l'accompagnement et les services proposés par la Lomagne Gersoise ainsi que par la qualité des équipements qui vont lui permettre de franchir une nouvelle étape dans sa stratégie de développement.

Jean-Louis Castell s'est joint aux membres du comité d'agrément pour souhaiter la bienvenue à cette jeune entreprise prometteuse et s'est réjoui que la pépinière d'entreprises puisse ainsi remplir son objectif de l'accompagner dans sa conquête du marché national, mais également de se tourner vers l'export et l'innovation technologique, en lien avec le futur programme de Laboratoire d'Initiative Rurale, prévu très prochainement sur Fleurance. Le président a conclu ces échanges constructifs en remerciant les professionnels qui composent ce comité d'agrément pour leur disponibilité et la qualité de leur accompagnement.

« Le Fauteuil roulant français » est sur le site internet www.le-fauteuil-roulant-francais.fr. Contact développement économique : Olivier de Witte au 05 62 64 28 29 ; pole21@lomagne-gersoise.com

Communiqué Lomagne Gersoise

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La deuxième réunion préparatoire de la Fête de la Zone s'est tenue à la pépinière d'entreprises de la Lomagne, réunissant des représentants de la Communauté de Communes de la Lomagne Gersoise (CCLG) ainsi que des artisans et commerçants lectourois. Il est d'ores et déjà acquis qu'entre 12 et 15 entreprises participeront. Le tour en ULM à gagner pour la tombola est confirmé. Un «catalogue» sera envoyé à 10 000 boîtes aux lettres, avec les produits des participants. Pour les entreprises ne souhaitant pas participer à la fête de la zone, elles pourront néanmoins, via une contribution, être présentes sur le «catalogue». L'USL rugby Lectoure sera contactée pour savoir si elle sera disponible à la date prévue pour cette deuxième édition de la Fête de la Zone. La 3e réunion de la fête de la zone sera demain, mardi 16 mai à 14 h 30, toujours à la pépinière d'entreprises de la Lomagne.

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La Quinzaine du Commerce équitable démarre la semaine prochaine. Dans toute la France, des associations, des bénévoles et des entreprises vont agir pour faire découvrir au grand public le Commerce équitable : un système d'échange international basé sur des relations commerciales plus justes, plus directes et plus transparentes, avec des petits producteurs défavorisés. Aujourd'hui, on peut aussi acheter des produits du Commerce équitable venant de producteurs Français. Cette démarche a été initiée par la SCOP Ethiquable, en créant la marque «Paysans d'ici» dès 2011. On peut trouver des farines anciennes, de l'huile de tournesol, des pois chiche et des légumineuses cultivées en Bio par des producteurs Gersois ! Pour le lancement de cette Quinzaine, ce sont deux classes de 3e du Collège Saint Exupéry de Condom qui sont venues, accompagnés de leurs professeurs, visiter l'entreprise Fleurantine. Après une présentation du Commerce équitable et de l'économie sociale, par le directeur Rémi Roux, les élèves ont pu découvrir toute l'entreprise. La visite s'est conclue par une dégustation de chocolats et de jus de fruits… évidement bio et équitable ! Les 50 élèves garderont un bon souvenir de cette visite, en parleront autour d'eux, et deviendront eux aussi des «Consomm'acteurs». La Quinzaine du Commerce équitable se déroule du 13 au 28 mai, partout en France.

Source La Dépêche

Originaire de notre localité, Alexandre Faulin a installé son atelier informatique au 5, rue Portagion (tel 07 81 43 17 09). C'est là qu'il exerce son métier, dont il a acquis les compétences grâce à une solide formation.

Titulaire d'une licence professionnelle réseau et télécoms, d'un BTS Iris, d'un Bac STI génie électronique, ce jeune Fleurantin de 27 ans en connaît un rayon dans ce domaine. Les ordinateurs quel que soit le système n'ont aucun secret pour lui. Après avoir travaillé comme technicien informatique pendant plusieurs années notamment chez France Télécom Orange, il a décidé de s'installer à son compte pour partager ses connaissances et venir en aide à ceux qui ont des difficultés dans l'utilisation de leur ordinateur.

Il n'hésite pas à se déplacer pour dépanner une machine, donner une formation, installer des logiciels, prodiguer des conseils techniques et dans l'achat du «matos». Il travaille avec les particuliers, les entreprises et les collectivités pour les mises à jour, éradiquer les virus ou encore sur les ordinateurs de bureau, portables et même tablettes. Son expérience professionnelle et fortement appréciée.

Source La Dapêche

Créée il y a 25 ans, Publi Services est une entreprise locale qui emploie aujourd'hui 6 personnes. Depuis maintenant plus d'un an, Sophie Allegrini a pris les rennes de cette PME à caractère familiale et ne demande qu'à exploiter le potentiel de ses divers pôles d'activités : imprimerie, enseigne, marquage véhicule, marquage Textile, ainsi qu'agence de communication. Les ateliers de fabrication et le siège social sont basés à Beaumont de Lomagne (82 120) dans le Zone Artisanale sur une surface de plus de 300 m2 d'atelier. En plein cœur de la Lomagne, elle s'adresse aux professionnels, particuliers ou aux associations. Elle propose aussi bien des services de proximité comme la photocopie, le développement, l'accompagnement et la réalisation de tous les projets de communication suivant la demande.

L'inauguration de cette nouvelle enseigne fleurantine, basée boulevard Paul Valéry, a eu lieu vendredi soir en présence de Raymond Vall, sénateur maire, de Ronny Mazzoléni, conseiller régional, Charlette Boué et Gérard Auret, maires adjoints, ainsi que Suzanne Macabiau, vice-présidente à la communauté des communes, ainsi que des clients. Tous ont salué l'arrivée de cette entreprise dans la ville.

Plus d'infos sur : www. publiservices.fr ou à Fleurance, 34 BD Paul Valéry le lundi de 14 h à 18 heures et tous les jours de 8 h 30 à 18 h et le samedi matin de 9h à 12 h 30 Accueil téléphonique au 05 63 65 31 80.

Source La Dépêche

Audrey Durand est la nouvelle gérante du petit Casino du 77 de la rue nationale, qui a rouvert ses portes. Elle est assistée par son épouse Sabrina Durand, avec laquelle elle a trois enfants : un qui est déjà scolarisé dans le Gers plus deux petites jumelles qui commenceront l'école en septembre, date à laquelle Sabrina participera elle aussi à la gestion du magasin. Les deux jeunes femmes ont choisi Lectoure «pour la campagne, la petite ville, la convivialité, le côté familial.» Le petit Casino sera fermé uniquement le mercredi et le dimanche après-midi. Pour le moment, la fermeture du petit Casino de Lectoure n'est pas prévue par le Groupe car les anciens gérants ont bien remonté le chiffre d'affaires et ce commerce de proximité répond à une réelle demande de la clientèle lectouroise.

Source La Dépêche

Le 25 avril, Olivier Martin, proviseur de la cité scolaire Maréchal Lannes, a pris la parole à l'occasion de la signature de conventions de partenariat entre l'établissement scolaire et neuf entreprises de la Lomagne. Il a salué «un moment important pour le lycée qui n'est pas coupé du monde économique, professionnel et social qui l'entoure. Je tiens à saluer l'excellent travail de M. Rusig, DDFPT et M. de Witte, de la communauté de communes, qui ont concrétisé ce projet au service d'une formation de qualité pour nos élèves et étudiants».

Il s'agit donc de créer des liens durables avec des entreprises du secteur, dans le cadre des périodes de formation en milieu professionnel. Des élèves étaient présents et ont fait part de leurs expériences dans le milieu du travail. Quant aux chefs d'entreprise partenaires (Benton, Cogex, Turbocar, LIP, Ligardes Électricité, À Ciel Ouvert, Bleu de Lectoure, Laboratoires Messegué, Fleurance Nature), ils ont souligné leur volonté de s'impliquer aux côtés de l'établissement.

Source La Dépêche

Ce 20 avril, Jean Louis CASTELL, président de la Lomagne Gersoise, Suzanne MACABIAU et Xavier BALLENGHIEN, vice-présidents en charge du développement économique, ont reçu une dizaine d’entreprises présentes sur le forum du recrutement qui s’est tenu le 15 mars dernier à Fleurance au complexe sportif et culturel.

Autour d’un petit déjeuner économique à la pépinière d’entreprises de Lomagne, les décideurs économiques présents ce matin dressaient un premier bilan intermédiaire de cette édition.
Pour rappel, quelques éléments sur cette troisième édition du forum :
-    la présence de 42 entreprises locales qui proposaient 350 offres d’emplois,
-    plus de 600 visiteurs,
-    un forum qui gravite au-delà des frontières de la Lomagne Gersoise.

Ce moment de convivialité a permis d’échanger autour des problématiques que rencontrent les entreprises à trouver des profils correspondant aux qualifications demandées. Toutes les entreprises présentes lors de cette manifestation ont salué cette initiative conduite en partenariat par la Lomagne Gersoise, le CCAS de Fleurance et le service public de l’emploi.

Après des échanges constructifs entre les acteurs économiques, Jean-Louis CASTELL, Président de la Lomagne Gersoise, a conclu en disant que cette manifestation s’est inscrite dans le paysage et devient un rendez-vous incontournable pour les recruteurs et les demandeurs d’emploi.

Vous pouvez retrouver le bilan sur le site internet de POLE 21 www.pole21.com/forum-du-recrutement

Contact développement économique : Olivier de Witte, 05 62 64 28 29, pole21@lomagne-gersoise.com

Source Lomagne Gersoise

 

Pour les chineurs, Lectoure est un coin de paradis car, de la fripe vintage de la Divine Comédie au Village des Brocs, on peut créer soi-même son parcours de la trouvaille. 6, bientôt 7 lieux entièrement dédiés à la brocante attendent le public. Rencontre avec Laurence Zakine, coprésidente de l'Association des commerçants, artisans et professions libérales de Lectoure (Acal) et elle-même gérante d'une boutique de brocante.

On assiste à une floraison des commerces et lieux de brocante à Lectoure…

«Oui. Ce phénomène est relativement nouveau et s'inscrit dans l'évolution de notre ville d'une façon très positive. On peut citer plusieurs espaces consacrés à la brocante : tout d'abord à l'ancienne gare pour ceux qui arrivent par la route de Condom, aux styles variés, de la mode 100 % vintage ainsi que meubles et objets ; à La Divine Comédie (64, rue Nationale), les années «50» à «70» seront à la fête dès le 1er avril au 49, rue Nationale ; Peau d'Ane propose objets divers et robes du soir (71, rue Nationale) ; chez Toscani Antiquités, rue Montebello, tout n'est que luxe, calme et volupté. Si vous allez chiner au Rouge-gorge, 123, rue Nationale, profitez-en pour faire une pause repas car c'est aussi un restaurant étonnant où les plats originaux côtoient les bons vins. Enfin, vous serez d'attaque pour votre périple au Village des Brocs, meubles, disques, tableaux, vous ne saurez plus de quel côté regarder ! Alors, à vos marques, prêts, chinez».

L'avenir du commerce lectourois passe donc aussi par la brocante ?

«C'est un bon créneau, effectivement, dans une ville à vocation touristique, qui va connaître un fort développement grâce au thermalisme et au casino. D'autant plus que ces brocantes sont ouvertes tout au long de l'année, ce qui est une excellente chose pour les curistes et les touristes, mais aussi pour les habitants de Lectoure».

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Unis dans la vie comme à l'écran, Gaëlle Lacombe et Pierre Culot viennent de fêter leurs 20 ans de vie commune et les 3 ans de Duckprint, studio de création graphique lectourois installé depuis 2014 à la pépinière d'entreprises. «Nous avons toujours voulu travailler ensemble et, lorsque l'occasion s'est présentée de créer notre entreprise, nous avons osé franchir le pas». Leur grande complicité se traduit par une complémentarité sans faille. Gaëlle a une formation technique en design industriel et en menuiserie agencement, Pierre une formation artistique en graphisme. «Cela nous permet de mener un projet de A à Z. J'ai des idées, parfois farfelues, et Gaëlle voit si c'est réalisable. Il lui faut parfois beaucoup de prototypes avant de parvenir à ses fins». Et pour fêter cet anniversaire, Duckprint vient d'emménager dans ses nouveaux locaux, ZI Naudet (ancien Bigmat-Camozzi). Des locaux plus spacieux, plus lumineux, mieux vus. «C'est beaucoup plus agréable pour travailler et recevoir les clients».

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A la pépinière d'entreprises de la Lomagne s'est tenue la 1re réunion relative à la 2e édition de la Fête de la zone avec les artisans et commerçants de la zone industrielle lectouroise. Les dates retenues sont les vendredi 22 et samedi 23 septembre, de 9 heures à 18 heures, et l'inauguration officielle aura lieu vendredi 22 septembre, à 19 heures. Pour cette année, il a été décidé que toute la «première ligne» (les entreprises le long de la RN 21) accrochera des ballons aux couleurs de la Fête de la zone. Le premier prix de la tombola sera une journée-séjour aux thermes de Lectoure. Est également prévue l'organisation d'une chasse aux trésors avec trois ou cinq objets insolites à trouver chez les participants à la Fête de la zone, ce qui incitera les gens à venir chez les participants ; ce projet sera approfondi lors de la prochaine réunion. L'urne pour les tickets de tombola sera placée cette année à côté des manèges et des jeux gonflables pour les enfants. La deuxième réunion relative à cette Fête de la zone aura lieu lundi 24 avril, à 14 h 30. En outre, il a été décidé que, comme l'an dernier, aura lieu le repas des voisins, jeudi 8 juin, au restaurant «La Gersoise», sur la zone.

Source La Dépêche

La boutique lectouroise des «Fleurons de Lomagne» organise, aujourd'hui, à 11 heures, un apéritif dédié aux professionnels du tourisme (lire page 22). Il sera possible d'apprécier leurs produits et surtout leurs nouveautés. Les professionnels du tourisme sont l'une des clefs du succès de l'activité des «Fleurons de Lomagne» dans leur rôle de prescripteur.

Ce moment de convivialité sera également l'occasion de mutualiser les compétences et les réseaux. Les professionnels du tourisme sont invités à venir avec leurs supports de communication que les employés des «Fleurons de Lomagne» disposeront en magasin. Tél. 05 62 68 53 62.

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Samedi 1er avril, à partir de 10 heures, journée «Fermes ouvertes» organisée par la chambre d'agriculture du Gers et les Jeunes Agriculteurs afin de «mieux se connaître pour mieux vivre ensemble». La ferme accueillante dans notre secteur se trouve à Pis au lieu-dit «Le Bousquet», c'est l'exploitation d'Alain Mares (céréales, aviculture, ail et traitement des eaux). Il expliquera le métier d'agriculteur et lors de la visite pédagogique fera découvrir la diversité de l'agriculture en général et les techniques de pointe qui consistent à cibler le traitement des parcelles et protéger l'environnement. Sont prévus également des animations et des ateliers pour les enfants. Le parcours sera fléché. Un buffet campagnard sera offert sur inscription au 05 62 61 79 40.Plus particulièrement destinée aux nouveaux arrivants, cette journée se veut conviviale et sympathique.

Source La Dépêche

Domaine de Mirail; "Dans 20 ans tout le monde sera bio"

Charles Hochman et son fils Charles-Antoine produisent 120 000 bouteilles sur le domaine de Mirail, près de Lectoure, dans le Gers. Après avoir arraché, puis replanté 20 ha de vignes, Charles, qui a racheté la propriété en 1998, a abandonné les traitements chimiques pour se lancer dans la production d’un vin naturel, « un vin comme autrefois ». « Les premiers essais ont commencé en 2004, raconte Charles-Antoine, qui dirige aujourd’hui le domaine. On voulait faire du vin qui ressemble au terroir. Ce fut une longue aventure, compliquée, qui nous a obligés à diviser les rendements par deux et à prendre des risques pour l’équilibre économique de l’exploitation. On s’est beaucoup cherché pour trouver la bonne voie. Il faut rappeler que le bio n’est pas un gage de qualité mais une façon de travailler. On voulait redonner vie au sous-sol, exprimer de façon plus intéressante le caractère du vignoble. »
Engagée véritablement en 2009, la démarche vers l’agriculture biologique n’aboutira à une certification officielle qu’en 2013. Sur le domaine de Mirail, on mise sur le temps, avec des vendanges à la main, une vinification bio, filtrations naturelles en barriques. Résultat, des merveilles en blancs, rosés et rouges. Prochainement, un Armagnac bio sortira des chais de Mirail, une rareté puisque ceux qui ont osé se comptent à peine sur les doigts d’une main, en Gascogne.

« Je crois à ce marché »
Pari réussi pour les Hochman, qui vendent leurs produits en circuits directs : cafés, hôtels, restaurants, cavistes et quelques particuliers. Des vins qui se retrouvent aussi sur quelques bonnes tables des Etats-Unis ou d’Asie. « L’effet bio est très positif, la demande est bien réelle et elle augmente, constate Charles-Antoine. D’ailleurs, aujourd’hui, pour les clients comme pour les négociants, il est presque normal de proposer du bio. Les citadins et les Anglo-saxons en sont très friands. Il reste qu’une partie des consommateurs se méfie encore et a du mal à apprécier un goût un peu différent, par rapport à ce qu’ils ont toujours connu.
Économiquement, le bio représente une plus-value indéniable, notamment en cette période compliquée où les chais sont pleins et où les vins conventionnels subissent une baisse des prix catastrophique, dûe notamment à la concurrence espagnole. Pour beaucoup de jeunes, le passage en bio sera la solution. Je crois à ce marché, d’ici 20 ans, tout le monde sera en bio. »

3 ANS POUR FAIRE DU BIO

Le cahier des charges de l’agriculture biologique est strict : pas d’utilisation d’engrais, de produits phytosanitaires de synthèse ou de produits chimiques comme les pesticides, insecticides, fongicides, engrais… Pour faire face aux maladies de la vigne les plus fréquentes, le vigneron peut utiliser des traitements au souffre ou à la bouillie bordelaise. Cela demande du temps et 30% de main d’œuvre supplémentaire. 3 années sont nécessaires pour la certification, durant les quelles le vignoble est en conversion bio.

Vignoble d'Occitanie en chiffres
1er vignoble mondial pour les vins d'origine
35% des surfaces du vignoble en bio
2ème producteur européen de vins biologiques
9,5% du total des surfaces agricoles bio de la région
70 millions de bouteilles certifiées bio en 2015
23% : Les consommateurs sont prêts à payer 23% de plus pour un vin éco-responsable

Source La Dépêche

Mercredi 22 mars dernier, le président Jean-Louis CASTELL et le Vice-président à l’économie Xavier BALLENGHIEN ont accueilli une délégation portugaise de la commune de PENALA à la pépinière d’entreprises de Lomagne à Lectoure.

Les représentants de la commune de Penala et de son partenaire, l’institut universitaire IPN Incubadora, ont souhaité connaître le fonctionnement de la pépinière d’entreprises de Lomagne, dans la perspective de développer le même type d’outils dans leur territoire également rural. Les renseignements fournis par le Président et le Vice-président, agrémentés d’une visite des lieux et d’une rencontre avec des entreprises hébergées, ont permis d’éclairer sur les facteurs clés de réussite de ce type d’outils pour favoriser la création d’entreprises.
Au cours des échanges nourris et cordiaux, les deux structures ont pu aborder également le projet portugais « smart rural smart Hiese », incubateur d’entreprises innovantes en milieu rural. Ce programme innovant présente des similitudes avec le projet communautaire de Laboratoire d’Initiative Rurale sur Fleurance. Les échanges entre techniciens français et portugais ont été riches d’enseignements sur ce point et un projet de coopération pourra sans doute naître sur cette thématique de l’innovation en milieu rural.

Source Lomagne Gersoise

L'Association pour la promotion du melon de Lectoure mobilise ses troupes pour faire avancer le dépôt de marque et en fixer les conditions. La réunion du jeudi 23 fut constructive, elle rassemblait une trentaine de producteurs de melon. Suzanne Macabiau, qui représentait la CCLG, a introduit l'objet de la réunion avant que Marie-Hélène Lagardère, coprésidente de l'association, présente la marque «Melon de Lectoure» relookée et colorisée pour s'adapter aux plateaux. Après un petit débat, la majorité des producteurs y était favorable. Le prix de la maquette de 480 € sera supporté par l'association. Cette année, le fabricant de plateaux bois reste les établissements Père Frères, pour les années à venir un appel d'offres sera lancé. Il importe aussi de préciser les volumes des commandes afin que l'association puisse négocier le meilleur prix. Les producteurs ont remis des fiches de renseignements afin de pouvoir établir les futures cartes de producteurs qui sont le sésame indispensable pour pouvoir commander les emballages de la marque.

S'en est suivi un long débat sur les critères d'adhésion à l'association afin d'être habilité à recevoir cette fameuse carte dont le coût s'élèvera à 20 €. Finalement, la zone de production s'étendra sur les trois cantons de Lectoure, Fleurance et Condom, le siège social du producteur doit être sur l'un de ces trois cantons, les communes limitrophes à ces cantons pourront être acceptées sous conditions de validation par la commission d'adhésion. Cette dernière est composée de quatre producteurs : MM. Bascaules, Laffont, Bense et Larrieu, M.-H. Lagardère en tant que coprésidente, Gérard Rochereul comme coordinateur entre la mairie de Lectoure, l'association et les producteurs. Tous les producteurs oubliés ou empêchés de venir à la réunion doivent se faire connaître auprès de Mme Lagardère.

Source La Dépêche

La Communauté de communes de la Lomagne Gersoise (CCLG) et le CCAS avaient décidé de mettre sur pied, et ce pour la troisième fois, un forum de l'emploi, dans la salle culturelle et sportive. Le nombre exact de personnes présentes n'a pas été communiqué, mais on peut dire sans modestie que les personnes venues rencontrer les professionnels de l'emploi était nombreuses.

Ces professionnels, pas moins d'une quarantaine, auxquels il faut ajouter les chambres consulaires, recherchaient des profils variés. Et tous, sans exception, à l'issue de la journée, se sont déclarés satisfaits et ont pourvus une grande partie des postes recherchés.

L'armée, les banques, la restauration…

Chez les particuliers, N3 Service agricole concession Class par exemple recherchait deux techniciens en mécanique agricole depuis plusieurs mois, mais n'a pas trouvé. Il en est de même pour les parcours professionnels et filières de l'armée de terre qui recherchaient des jeunes pour remplir le contrat opérationnel qui est fixé par le Président de la République. Ces hommes et femmes, qui seront recrutés, se serviront des équipements de haute technologie.

La Mission locale du Gers proposait un accompagnement dans les réalisations des projets pour les jeunes de 16 à 25 ans. Françoise Torrès, chargée de mission, reçoit par ailleurs tous les lundis, de 8 h 30 à 12 h 30 et de 13 h 30 à 17 h 30 au 62, rue Adolphe-Cadéot (tél. 05 62 64 02 04).

Il y avait également des banques dont le Crédit Agricole, les services de l'emploi, la Maison de la formation et de l'apprentissage ainsi que l'accompagnement et la création d'entreprises. En plus des entreprises locales (Century 21, Pacific West, la Poste…) il y avait aussi celles du territorial de la Lomagne Gersoise, qui proposait des services de remplacement ou encore des services au restaurant au lac de Saint-Clar. Ronny Mazzoléni, conseiller régional ; Émilie Dennig, adjointe au maire ; Jean-Louis Castell, président de la CCLG, et Maxime Cluchier, directeur du CCAS, ne cachaient pas, hier soir, leur satisfaction.

Source La Dépêche

Joffrey et Marc viennent d'ouvrir «Bio d'ici», un nouveau magasin bio à Lectoure : légumes, fruits, viande, œufs, cosmétiques, boissons, fromages, etc., issus en grande partie de l'agriculture locale. Joffrey, gérant du magasin, donne quelques précisions sur ce nouveau commerce lectourois : «Marc, mon collègue, est maraîcher bio et a aussi 6 000 poules pondeuses. Au fur et à mesure du temps, nous allons avoir de plus en plus de ses produits. Nous travaillons avec environ 35 producteurs. Environ 80 % sont Gersois, le reste venant de Tarn-et-Garonne, Landes et Lot-et-Garonne. Nous nous différencions des franchises, en travaillant en circuit court et qu'avec des produits de saisons et locaux.

Le magasin est situé au 105, rue Nationale (ancienne auto-école), ouvert du mardi au samedi, de 9 à 13 heures et de 15 heures à 19 h 30 (et en juillet et août, aussi le dimanche de 9 à 13 heures).»

Contact : 06 85 70 79 11.

Source La Dépêche

La 3e édition du Forum du recrutement se tiendra cette année mercredi 15 mars de 14 heures à 18 heures, à l'espace culturel à Fleurance. Ce rendez-vous annuel sur le territoire de la Lomagne gersoise est devenu, en 3 éditions, un temps fort à destination des entreprises qui souhaitent rencontrer de futurs candidats à l'embauche, de profils variés et recruter de nouveaux collaborateurs. C'est également pour les demandeurs d'emploi une opportunité de rencontrer en un même lieu l'ensemble des entreprises, organismes et institutions qui recrutent. Ce forum est organisé par la communauté de communes de la Lomagne gersoise et le centre communal d'action sociale (CCAS) de Fleurance, en partenariat avec les services de l'emploi. Il va proposer cette année encore un peu plus de 150 offres d'emplois locales et de nombreuses offres complémentaires au niveau départemental et national (avec notamment la présence des services de la défense nationale). Dans ce forum pour tous, avec plus de 40 exposants, 150 offres d'emploi sur la Lomagne gersoise seront encore proposées au cours de cette demi-journée. Des espaces seront réservés aux services de l'emploi (Pôle Emploi, Mission locale, Cap Emploi), à l'accompagnement et la création-reprise d'entreprises (chambre de métiers et de l'artisanat, chambre d'agriculture, BGE Arte, Lomagne gersoise, chambre de commerce et d'industrie, CCI), à la maison de la formation et de l'apprentissage (Sud Management, CCI…). En nouveauté pour cette troisième édition, un espace dédié aux «jobs d'été et saisonniers» locaux complétera les stands d'entreprises. Ce sont les entreprises présentes qui font le succès de ce forum avec, en moyenne, 150 offres d'emploi à pourvoir par édition car ce sont elles qui permettent au bassin d'emploi d'être dynamique.

Renseignements au 05.62.64.28.29 ou par mail pole21@lomagne-gersoise.com

Communiqué de presse

Source La Dépêche

Le domaine de 13 hectares du Rosier d'Angélique a obtenu le «label bon cru d'Artagnan, vignobles et découvertes». Sa gamme de vin se compose d'un blanc sec, d'un rosé et de différents rouges. La famille Corne les a créés à partir des cépages nobles tels que le colombard, le merlot, le cabernet-sauvignon, le tannat et la syrah. L'ensemble de la production est vinifié par leurs soins dans leur cave particulière. Depuis quatre générations se sont succédé des vignerons cultivant la vigne sur les pentes ensoleillées des coteaux argilo-calcaires exposés plein sud qui entourent le domaine. Le développement du domaine s'accompagne par l'arrivée des enfants, après avoir séjourné en Australie et en Californie dans des domaines d'excellence. Leur agrément aujourd'hui s'inscrit dans une démarche d'œnotourisme qui va s'accompagner de différentes activités, notamment l'ouverture du domaine au grand public, proposant de nouvelles prestations à la clientèle de particuliers et de groupes les mois d'été et, de façon plus ponctuelle, toute l'année. Grâce au club œnotourisme, validant leur engagement dans des prestations qualifiées, ils deviennent partenaires porteurs du «label bon cru d'Artagnan, vignobles et découvertes». En réalisant sur le domaine un accueil chaleureux et convivial, ils maintiennent ainsi les bonnes traditions de leur Gascogne natale.

Source La Dépêche

La Lomagne Gersoise souhaite, dans le cadre de sa stratégie économique, soutenir les filières d'excellence qui sont présentes sur son territoire. L'accompagnement de la filière plantes médicinales et aromatiques, agroalimentaire et biologique passe par la création d'un jardin qui soit un véritable lieu de vie et pédagogique. À Fleurance, il se trouve le long de la RN 21 au «Jardin des entrepreneurs», où l'on peut suivre en ce moment l'évolution des travaux d'aménagement. Cette démarche vise à mettre en avant les entreprises locales et les savoir-faire au travers d'un jalonnement piétonnier qui se trouve donc sur la commune de Fleurance.

L'objectif de cette opération est d'accompagner les filières locales afin de valoriser un espace urbain en reconversion. Il permet de favoriser un développement économique équilibré et de sensibiliser la population locale et les touristes aux vertus de la santé par l'alimentation naturelle et biologique, tout cela pour renforcer l'attractivité du territoire.

Ce jardin a pour objectif d'être un lieu de vie à part entière pour les résidents de la Lomagne Gersoise. Il aura une vocation pédagogique auprès des scolaires et constituera également un outil de promotion touristique.

Source La Dépêche

Le centre équestre de Bidepiton, qui se trouve sur la route de Préchac à la sortie de Montestruc et est dédié au sport adapté, est ouvert et c'est Julie Buono qui s'en occupe. Celle-ci a enseigné l'équitation pendant 10 ans avec des personnes valides, jeunes et adultes, et aujourd'hui elle a décidé de transmettre son savoir aux personnes en situation de handicap pour qu'elles partagent les mêmes sensations et le bonheur que le cheval peut leur apporter.

Ce centre «Équi-libre» met à disposition une structure spécialisée et adaptée pour l'accueil des personnes handicapées ou en difficultés, souhaitant pratiquer l'équitation à des fins de loisirs ou de thérapie. Il permet de travailler les aspects physiques, psychomoteurs, relationnels et sociaux de la relation au cheval. Il permet aussi le développement du tonus musculaire, de la mobilité articulaire de la posture, l'équilibre et la coordination corporelle.

Cette structure équestre comporte une carrière, une aire de préparation, des accès adaptés, une sellerie et un lève-personne pour mise à cheval. Elle propose donc, dans ce cadre, des séances équi-handi dispensées par cette enseignante diplômée, toujours dans un but de loisir et de plaisir, différentes activités qui sont l'équitation montée, l'attelage et l'équitation éthologique (travail au sol privilégiant le contact avec le cheval).

Ce centre a mis en place un partenariat avec la Fédération française d'équitation, et bénéficie de la licence verte prise en charge en grande partie par l'État. Pour tous renseignements, s'adresser à Julie Buono au 07 86 02 88 90 à Montestruc.

Deux entreprises ont représenté Fleurance au Sirha, salon référent pour l'ensemble des professionnels de la restauration et de l'hôtellerie qui s'est tenu du 21 au 25 janvier à Lyon. Ce salon réunit ce qui se fait de mieux pour chaque métier ainsi que les dernières innovations. On compte 26 pays participants et 135 nationalités de visiteurs (soit 200 000 personnes). Chaque exposant présente le meilleur de son offre.

Ces deux sociétés fleurantines ont pu participer grâce au soutien de l'AREA Occitanie (l'Association régionale des entreprises alimentaires d'Occitanie) dont la mission est d'assurer le développement et la promotion de l'industrie alimentaire de la région.

Ainsi, Les Vergers de Gascogne de Pascal Lafont, spécialiste de la transformation des fruits et des légumes, se devaient d'être présents car leurs produits 100 % naturels sont déjà utilisés par de nombreux chefs étoilés tels Alain Ducasse, Michel Gérard qui apprécient tout particulièrement la pêche blanche de Montestruc. C'est surtout l'assortiment Cap Bio qui a retenu l'attention avec un important panel de légumes mijotés, mis en conserve ou transformés en soupes et purées, dont l'asperge des Landes est le produit phare. Une visibilité nécessaire et importante dans ce salon car l'entreprise implante son nouveau bâtiment, ainsi qu'un nouveau process de production dans la zone du Biopôle de Fleurance. Un lourd investissement indispensable pour le développement de cette structure.

La deuxième entreprise est Pacific West Foods France. Elle est spécialisée dans les produits surgelés, avec notamment des produits de la mer bruts élaborés (marinés, panés…). Leur gamme contient plus de 100 références (crevettes, poissons…). Installée depuis juillet 2016, dans l'ancienne maison Delrieu, rue de la Pépinière, cette structure commerciale développe sa gamme restauration. Elle a proposé au Sirha les brochettes de gambas sauvages thaï qui ont fait l'unanimité au niveau des chefs et professionnels des métiers de bouche.

Le dynamisme de ces entreprises, soutenu par des actions de la région, est un bel exemple de la mise en réseau et de promesses de développement de l'emploi dans la commune de Fleurance.

Source la Dépêche

L'imprimerie Publi Services a ouvert ses portes au 34, boulevard Paul-Valéry. Créée il y a 25 ans, Publi Services est une entreprise locale qui emploie aujourd'hui 6 personnes. Depuis maintenant plus d'un an, Sophie Allegrini en a pris la direction. Cette société ne demande qu'à exploiter son potentiel de ces divers pôles d'activités : imprimerie, enseigne, marquage véhicule, marquage textile, agence de communication. Les ateliers de fabrication et le siège social sont basés à Beaumont-de-Lomagne (82120) dans la Zone artisanale (plus de 300 m2 d'atelier). Au cœur de la Lomagne, elle s'adresse à une clientèle aussi bien professionnelle que de particuliers en passant par les associations et propose aussi des services de proximité (photocopie, développement, accompagnement) et la réalisation de tous les projets de communication.

Plus d'infos : www.publiservices.fr  ouvert le lundi de 14 heures à 18 heures et tous les jours de 8 h 30 à 18 heures et le samedi de 9 heures à 12 h 30. Accueil téléphonique au 05 63 65 31 80.

«Seul on va plus vite, ensemble on va plus loin», c'est par ces mots que le président Jean-Louis Castell a conclu son intervention vendredi lors de la cérémonie des vœux de la communauté des communes. Il a même ajouté : «En 2017 continuons d'être audacieux, innovants et imaginatifs».

Après avoir salué les invités et les maires du territoire Jean-Louis Castell a rendu un vibrant hommage à son prédécesseur Bernard Lapeyrade qui avait assuré la présidence et la création de cette institution de 1998 à 2014 : «Il a été l'incarnation de cette Lomagne Gersoise dynamique et ambitieuse. Il a toujours su faire le consensus autour de son projet pour ce territoire qu'il a défendu jusqu'aux derniers mandats de conseiller régional». Puis le président de la CCLG a développé plusieurs points dont la réforme territoriale et a salué les chefs d'entreprises qui ont osé, investi, pris des risques, créé de l'emploi et de la richesse et mis particulièrement en avant les projets. L'année écoulée a été marquée par l'achèvement des ateliers de production de la pépinière d'entreprises avec deux ateliers loués. En ce qui concerne la voie ferrée Auch-Agen : «J'ai le plaisir de vous annoncer que nous sommes en passe de réussir avec l'ensemble des partenaires nationaux et privés pour financer et programmer rapidement les opérations préalables au lancement d'un investissement estimé à 7,2 millions d'euros. Les travaux permettront d'ici mi-2018 de garantir le retour du fret et pour une pérennité de 15 ans».

La communauté soutiendra la mise en œuvre des actions structurantes en faveur de l'économie de proximité, aidera les initiatives commerciales, renforcera les centres bourgs et ouvrira encore plus le territoire aux touristes pour qu'ils viennent de plus loin, plus longtemps et offrir du chiffre d'affaires aux professionnels et commerces locaux. C'est près de 2 millions d'euros qui seront engagés et consacrés aux investissements touristiques dès cette année. Enfin communes et communauté mènent deux combats : celui de l'organisation scolaire et l'offre médicale.

Les entreprises honorées

les entreprises qui ont été citées pour leur courage d'oser et mettre en avant leurs projets : Les Vergers de Gascogne (Pascal Laffont), Les Laboratoires Mességué (Bérénice Guyot), Fleurance Nature (Philippe Billerot), Réseau Biocoop (David Ducousso), Établissements Lamothe (Philippe Perrotin), SGRP (Julien Sourbes), Scop Ethiquable (Rémi Roux), Bricomarché Lectoure (Eric Combebias et Martial Azini).

L'année 2016 aura été particulièrement productive avec : l'atelier d'architecture Gomez et la société Mid, la SARL Oralu de Sylvain Pouchès, Duck Print (Pierre Culot et Gaëlle lacombe), Pacific West Foods de Stéphane Gely qui a su redonner vie à l'ancienne pépinière à Fleurance.

Source La Dépêche

Le salon «Ambiance Coiffure» de Gwenola Pineau, situé au 63 rue Adolphe Cadéot, a été lauréat «Ecodéfi 2016», un prix décerné par la Communauté de communes de la Lomagne Gersoise et la Chambre des métiers et de l'artisanat. Il s'agit d'une action pilote déployée à l'échelle du Pays Portes de Gascogne.

La lomagne Gersoise est la première des cinq communautés de communes de s'y être investie dans la continuité de son partenariat avec la Chambre des métiers en faveur du développement des entreprises en zones rurales.

Ce salon a donc relevé au moins trois des défis demandés qui concernent les domaines de l'énergie, de l'achat eco-responsable de proximité et du recyclage des déchets.

Gwenola Pineau, qui a installé son salon de coiffure en juin 2015, a réalisé les défis suivants : pour les déchets, un point de collecte de piles et cartouches pour les clients. Énergie : diagnostic énergie et suivi des consommations, éclairage économe avec Led, programmateur. Produits et services développement durable : eco-produits, utilisation de peintures labellisées environnement pour son salon, de papier issu de forêts gérées durablement. Développement local : recours à des fournisseurs de la Lomagne Gersoise pour les outils de communication et une meilleure prise en compte de la santé du travail de son prochain apprenti, par le biais du document unique avec la protection contre les produits dangereux (couleurs) qui est un nouveau défi.

Crées en 2008 dans le Val de marne, les éco-défis ont pour finalité de dynamiser le commerce et l'artisanat de proximité sous l'angle du développement durable et de la croissante verte. Par l'obtention de ce label l'artisan ou le commerçant s'engage à réduire son impact environnemental. Cette opération était gratuite et réservée aux très petites entreprises de ce territoire.

... Ainsi que le chocolatier Baudequin

La Dépêche du Midi a rencontré la maison Baudequin, fameux chocolatier au 13, de la rue nationale, qui vient d'obtenir le label Eco-défi. Une opération cofinancée par l'ADEME et l'Union européenne dans le cadre de fonds Leader-Plus.

Vous faites donc partie de la dizaine de lauréats labellisés «Eco-défis» par la Communauté des communes de la Lomagne Gersoise et la chambre de métiers ?

Oui, nous avons reçu un diplôme saluant notre démarche écoresponsable, c'est-à-dire l'emploi de matières premières locales ou bio en circuit court ; la vente de produits bio ou en démarche raisonnée (thés, cafés, pain bio fait à la main par l'agriculteur) ; l'emploi de produits écolabellisés pour l'entretien de nos locaux.

Une reconnaissance qui couronne une bonne année 2016 pour le chocolatier et salon de thé Baudequin ?

Oui, c'est une bonne année pour nous, notre clientèle est constituée de gens sympathiques et motivés. La fondue au chocolat, notre nouveau produit, a très bien marché. Pour les fêtes de fin d'année, nous avons eu le plaisir de voir de nombreux clients lectourois. Et pour 2017, nous préparons un projet culturel et gourmand avec l'association «Le 122» sur le thème : «rires et chocolats».

Source La Dépêche

Comme tout anniversaire, ça se fête ! Le magasin de chaussures Vignes vient de marquer ses 190 ans. Un évènement dans la cité fleurantine qui montre le sérieux dans le temps de cette enseigne. Le sénateur maire Raymond Vall, accompagné de Ronny Mazzoléni, conseiller régional, et de Gérard Auret, maire adjoint chargé de l'économie, ont donc remis un bouquet de fleurs à Christine Péchoux qui a pris la suite de cette affaire familiale il y a déjà quelques années. L'association des commerçants, présente à cette réception l'a félicité et souhaité longue vie aux «chaussures Vignes».

Source La Dépêche

Une campagne de recrutement de pompiers est lancée par la compagnie «Lomagne», gérée par le centre de Fleurance, en partenariat avec la ville. Dans le cadre de la distribution-vente des calendriers, un prospectus est remis à chaque foyer afin de «tout savoir sur vos sapeurs-pompiers». Cela dans le but de sensibiliser les personnes de ce territoire et peut-être susciter de nouvelles vocations de pompiers volontaires. À cette occasion, le lieutenant Mathieu Vivin, chef du centre de Fleurance a expliqué qu'il a sous ses ordres 32 sapeurs, tout grade confondu, dont 4 infirmiers et, en voie de recrutement, 5 jeunes. Cela n'est pas suffisant pour un territoire qui compte 20 communes et 10 537 habitants. En 2015 ils ont effectué 751 interventions réparties ainsi : 12,97 % opérations diverses, 10,65 % incendies et 76,43 % secours à personnes. À Fleurance, en moyenne, seulement 5 pompiers sont disponibles la journée pour intervenir.

Pour les entreprises

Les entreprises qui souhaitent recruter un pompier volontaire bénéficient d'avantages.

Revoir la présentation du SDIS 32 lors d'un petit-déjeuner économique à la pepinière d'entreprises de Lectoure.

Les conditions de recrutement : être âgé de 16 à 55 ans, jouir de ses droits civiques, être apte médicalement, être en bonne forme physique. Pour toutes demandes supplémentaires, s'adresser à la caserne Avenue Pierre de Coubertin ou contacter le SDIS 32 à Auch.

Source La Dépêche

La patinoire a été démontée jeudi dernier. Avant son départ l'association Fleuranc'Action a, au cours d'une sympathique réception qui s'est déroulée à la brasserie du «Chantpie», fait le premier bilan de cette animation. Myriam Ferradou et Jean Paul Lafforgue ont donc accueilli, le sénateur maire Raymond Vall, Ronny Mazzoléni conseiller régional, Gérard Auret maire adjoint et les membres de l'association qui ont travaillé au succès de ce projet. Avec un mot d'ordre : «on a cartonné, même le temps était de la partie. À ce jour nous n'avons pas tous les chiffres en main, déjà on peut dire que nous sommes très satisfaits, un peu épuisés car on s'est donné à fond», explique Myriam Ferradou qui n'en revient toujours pas du succès de cette patinoire.

Nouvelle dynamique

«Tout le monde est content, nous avons atteint notre but qui était d'animer le centre-ville pendant ces fêtes de fin d'année et les commerçants et autres bénévoles nous ont aidés pour la réussite de cette opération. Il est certain qu'il y a un enseignement à retenir de ces dix jours. Pour nous organisateurs nous, n'étions pas tout à fait prêts, très vite nous avons du mettre un règlement en place et en effet celui-ci a été de suite respecté et les roulements pour la glisse se sont faits sans problème», a ajouté la secrétaire de l'association.

Le sénateur maire Raymond Vall a simplement félicité la nouvelle équipe de Fleuranc'Action qui par son initiative et des choses simples a su donner, dans ce centre historique de la ville, une nouvelle dynamique qui a fait l'unanimité des habitants.

Source La Dépêche

Dernièrement, un label «Eco-Défi» a été remis à 14 participants commerçants de Lomagne, en présence de Suzanne Macabiau, maire de Miradoux et vice-présidente de la communauté de communes de la Lomagne gersoise (CCLG) en charge du commerce et de l'artisanat. Marie-Hélène, coiffeuse à Miradoux, fait partie de ces acteurs responsables directement impliqués dans le respect de l'environnement. Mis à l'honneur par la communauté de communes de la Lomagne gersoise et par la chambre de métiers, ces commerçants, dont la brasserie du Vaillant-Fourquet, ont été dernièrement distingués à Fleurance. Ce label vise à valoriser les artisans qui s'engagent dans des actions concrètes en faveur de l'environnement, du développement durable et de la croissance verte. Marie-Hélène s'est engagée à adopter des pratiques écoresponsables et, pour ce faire, à équiper son salon d'économiseurs d'eau, d'ampoules basse consommation et d'une rampe d'accès pour personnes à mobilité réduite. Elle recycle les déchets, se fournit en produits zéro paraben à base d'huiles essentielles et emballe ses produits dans des sacs en papier recyclé. Marie-Hélène se dit fière de pouvoir contribuer, à son échelle, à protéger et respecter la planète.

Source La Dépêche

Un partenariat pour valoriser les vertus et le savoir-faire de la filière plantes aromatiques et médicinales a été signé mercredi soir au siège de la communauté des communes de la Lomagne Gersoise.

Dans le cadre des orientations proposées par les acteurs économiques de Pôle 21, la Lomagne Gersoise s'est engagée à soutenir les filières d'excellence qui sont présentes sur son territoire. Le secteur d'activité de la filière plantes est particulièrement emblématique, représentant plus de 200 millions d'euros et 200 emplois et comptant des fleurons économiques tels que les Laboratoires Mességué, Fleurance Nature, le Bleu de Lectoure…

Création d'un Jardin du bien-être

La création d'un Jardin du bien-être, véritable lieu de vie à vocation pédagogique mais aussi outil de promotion du territoire, a été actée pour valoriser les entreprises locales et leurs savoir-faire à travers un cheminement piétonnier sur la commune de Fleurance. Les Laboratoires Mességué, Fleurance Nature et la Lomagne Gersoise, avec un financement européen par le biais du Pays Portes de Gascogne, se sont donc associés pour aménager «le Jardin du bien-être», le long de la RN 21, entre le siège de la communauté de communes et le rond-point de la base de loisirs.

Cette première action de valorisation des savoir-faire communautaires sur le territoire est le fruit de plusieurs mois de travail et prouve que la structuration de la filière «plantes aromatiques et médicinales» passe par la synergie des forces vives du territoire.

Ce premier projet de structuration de la filière constitue un enjeu majeur pour le territoire, qui a pour but à moyen terme, d'être vecteur d'image et de promotion touristique avec de la création d'emplois et de richesse dans les domaines de l'agriculture, de l'agroalimentaire, de l'industrie, de la santé par l'alimentation.

Pour tous renseignements : contact Pôle 21 : Olivier de Witte, service-economie@lomagne-gersoise.com

L'entreprise Taxis Lucien, installée depuis deux ans rue Pasteur, vient d'être labellisée «Éco-défis» par la communauté des communes de la Lomagne Gersoise et par la chambre de métiers et de l'artisanat du Gers (voir édition du 20 décembre). C'est Lucien Bourguignon, tout jeune entrepreneur, qui en est le responsable. Il propose un service de transport spécialisé pour motif professionnel ou médical. Avec sa salariée il met sa flotte de véhicules à la disposition du public pour des services sur mesure.

Défi relevé

Pour obtenir ce label, il fallait réaliser quelques défis, dont trois obligatoires. Le jury a retenu pour cette société l'économie d'énergie, avec un éclairage basse-consommation, la mobilité, avec conduite souple et plan de déplacement préétabli (d'où l'économie de carburant et la réduction des risques routiers) et enfin l'utilisation pour l'entretien et le nettoyage des locaux de produit en faveur du «développement durable». En effet, cette entreprise qui emploie des écoproduits pour le lavage de ses véhicules, a recours aux fournisseurs fleurantins (Fleurance Nature). L'accessibilité pour l'entrée dans la salle d'accueil ou dans les véhicules par les personnes à mobilité réduite est conforme aux normes imposées par la réglementation. Donc Lucien Bourguignon a été récompensé pour cette mission qu'il s'était fixée il y a 6 mois.

Un bel exemple de reconversion

Recruté il y a deux ans en CDI par l'ancien chef d'entreprise, ce jeune homme qui est aujourd'hui presque trentenaire a été sollicité pour reprendre cette affaire. La décision fut rapide et l'activité qui s'est développée l'a obligé à embaucher du personnel. Pour cela, il a été aidé par des subventions à la création d'emploi, prévues par le Fonds de revitalisation. Un autre sacré coup de pouce pour ce jeune entrepreneur qui a toujours plein de projets en tête.

Source La Dépêche

Les acteurs de POLE 21 s’étaient réunis en 2015 pour présenter les atouts économiques de la Lomagne Gersoise à travers un film « devenez le prochain acteur de POLE 21 ». La version actualisée avec le nouveau Bleu de Lectoure est diffusée sur grand écran à Fleurance et Lectoure pendant la période des fêtes de fin d’année.

Ce film, ce sont les entrepreneurs de POLE 21 qui l’ont souhaité, pour montrer une image dynamique de notre territoire, partager les valeurs d’excellence, d’accueil et de bien vivre en Lomagne Gersoise.

Le réalisateur Thierry OBADIA, cinéaste, a donné une couleur originale à ce film, qui dure le temps d’une bande annonce.

Ce clip vidéo est diffusé chaque soir en première partie du film depuis la mi-décembre dans les cinémas Grand Angle à Fleurance et le Sénéchal à Lectoure, partenaires de la Lomagne Gersoise pour cette opération.

Vous êtes bien sûr invités à vous-même le partager via le site www.pole21.com et à profiter de la programmation de vos salles de cinéma locales, tout au long de l’année.

Contact Pole 21 : Olivier de Witte, service-economie@lomagne-gersoise.com

 

Ce jeune cuisinier qui gère la «Tit bouffe» rue Pasteur n'arrête pas de nous surprendre. Thierry Devaux a fait sa formation d'apprenti restaurateur à Auch, avant de faire un tour en Allemagne, en Suisse et en Irlande, où il a approfondi ses connaissances dans la restauration. Il a ensuite, pendant cinq ans, travaillé à Saint-Tropez en qualité de chef de cuisine à la villa Romana. Il rentre d'un stage de deux mois qu'il a effectué à Vonnas chez Georges Blanc, un chef étoilé (3 étoiles Michelin).

Il a été félicité par Gérard Auret, maire adjoint, chargé de l'économie, qui l'a encouragé dans ses démarches.

Source La Dépêche

La communauté des communes de la Lomagne Gersoise (CCLG) et la chambre de métiers (CMA) ont, vendredi soir, dévoilé les noms des artisans et commerçants labellisés «Eco-défis». Il s'agit d'une action pilote, déployée à l'échelle du Pays Portes de Gascogne. La Lomagne Gersoise est la première des cinq communautés des communes à s'y être investie dans la continuité de son partenariat avec la CMA du Gers en faveur du développement des entreprises en zones rurales.

Dix artisans et commerçants, sur 14 exerçant dans une large palette de métiers, se sont engagés il y a six mois dans l'aventure et ont donc été récompensés de la mission qu'ils viennent d'accomplir. Ils ont réalisé au moins trois défis en faveur du développement durable qui sont : l'énergie, l'achat écoresponsable et de proximité, ainsi que le recyclage des déchets.

Limiter les pollutions

Créés en 2008, les «Eco-défis» ont pour finalité de dynamiser le commerce et l'artisanat sous l'angle du développement durable et de la croissance verte. L'enjeu est donc de limiter les pollutions, de s'inscrire dans une démarche locale et d'adapter des pratiques écoresponsables. Cette opération a été cofinancée par l'ADEME et l'Union européenne dans le cadre de fonds Leader-Plus.

Jean-Louis Castell, président de la CCLG, et Guy Sorbadère, président de la CMA, ont donc remis ces labels et ont félicité les lauréats pour cette démarche citoyenne.

Les nominés : Taxi Lucien, Fleurance, Vergers de Gascogne, Montestruc (transformation et conserves de fruits), Ambiance Coiffure, Fleurance, Duckprint, Lectoure (imprimerie), L'Atelier de Mère Éclair, La Romieu (couture), Maison Boudequin, Lectoure (chocolaterie-salon de thé), Mille et Une Douceurs, Brugnens (esthéticienne), Coiffure Marie-Hélène, Miradoux, Garages Lannes, Castet-Arrouy (entretien et réparation des véhicules), Brasserie du Vaillant Fourquet, Miradoux (fabrication de bières en privilégiant le bio).

Source La Dépêche

Il y avait du monde samedi, place de la République, après le coup de sirène de midi. Pendant que les enfants glissaient sur la patinoire, installée pour la première fois au centre ville, l'association des commerçants invitait les élus et les représentants des associations à l'inauguration. Jean-Paul Lafforgue et Myriam Ferradou, les coprésidents, ont partagé les premiers discours en expliquant qu'ils souhaitent marquer ces fêtes de fin d'année par une démarche dynamique et attractive sur ce territoire. Ils ont donc proposé une patinoire et ils ont recueilli tous les encouragements pour la réussite de cette animation. Jean-Paul Lafforgue a donc remercié le sénateur-maire Raymond Vall, la communauté des communes (représentée par Xavier Ballenghien), les élus, le personnel communal, les commerçants et les comités pour leurs soutiens et leur volonté de faire aboutir cette animation. «Maintenant place aux rires, à la joie, bienvenue à Patin'Fleurance». Le sénateur-maire Raymond Vall et Ronny Mazoléni, conseiller régional, ont salué cette initiative qui permettra d'avoir une attractivité commerciale plus importante durant ces fêtes. Ils ont félicité l'association des commerçants d'apporter aux Fleurantins «des petits plaisirs qui feront des grands bonheurs». Xavier Ballenghien a manifesté sa fierté d'être aux côtés du sénateur-maire et de l'association pour l'inauguration de la «première patinoire éphémère fleurantine. 170 m2 de glisse pour le bonheur des plus petits mais aussi des plus grands. Ce projet concerté et partenarial prouve encore une fois que lorsque les forces vives du territoire s'unissent, nous arrivons à mettre en place des projets qui participent à l'attractivité du territoire. Il a félicité Fleuranc'Action, ses 52 adhérents et a ajouté : «C'est ce type d'animation en plein cœur de la bastide qui limite l'évasion commerciale des autres pôles que sont Auch ou Agen». Tous les intervenants ont souhaité d'excellentes fêtes de fin d'année et un joyeux Noël.

La patinoire est ouverte tous les jours jusqu'au 28 décembre, de 10 heures à 22 heures. Entrée : 3 € (les patins sont fournis).

Source La Dépêche

Le magasin des chaussures Vignes fête ses 190 ans en cette fin d'année 2016.Une longue histoire est à raconter sur cette enseigne qui a traversé les siècles sans problème et qui, aujourd'hui encore, affiche une certaine sérénité. En 1798 naît Joseph Vignes. A l'âge de 22 ans, il ouvre une boutique de cordonnier et de chaussures ; puis, il achète un local au 1, rue de la République, là où est né Séverin Vignes en 1848.Après le décès de Joseph et après avoir été soldat de 1870 à 1873, il prendra la suite de cette affaire. Marié avec Catherine Barrieu (née dans la localité dans le quartier de Saubat), il eut une fille, Marie-Jeanne, et un garçon, Joseph. Severin Vignes travaillera jusqu'à l'âge de 85 ans comme cordonnier, soit soixante-et-onze ans d'activité. Joseph, son fils, lui succède, en compagnie de son épouse Marie Cantaloup (née à Mauroux, sur la propriété de «La Couture»). Son premier magasin était situé face à l'église. Un échange avec une banque fait déménager l'ensemble dans des locaux plus vastes que ceux que l'on connaît aujourd'hui. Joseph continuait la fabrication des chaussures sur mesure et faisait les marchés de la région, d'abord avec une voiture hippomobile et, par la suite, avec une auto. On trouvait les chaussures Vignes à Miradoux, le mardi à Fleurance, le mercredi était jour de repos, le jeudi à Saint-Clar et le samedi à Auch. Pendant ce temps, son épouse tenait le magasin qui a chaussé de nombreux Lomagnols. Joseph Vignes, qui avait fait la guerre de 1914, avait subi une atteinte par le gaz, épreuve qui lui fut fatale en 1943. Marie a continué ce commerce en compagnie de sa fille, Agnès. Celle-ci devait épouser Adolphe Mondange, instituteur à Fleurance. De cette union, trois enfants sont nés, Pierre, Jean-Claude et Jacqueline, plus connue sous le nom de «Linette», qui a continué et continue toujours cette affaire en compagnie de sa fille, Christine Péchoux. Cette rare longévité commerciale a des raisons : le savoir des artisans, la compétence ainsi que la qualité dans les marques françaises. Six générations au service de nos pieds, c'est un joli record. Pour ces 190 ans, un cadeau souvenir sera offert à chaque client et aux enfants jusqu'aux fêtes de Noël.

Source La Dépêche

Dans le cadre du mois de l'ESS, la SCOP Atelier d'assemblage électronique (AAE) a ouvert ses portes à Lectoure. Cette journée de Rencontre réseau du Gers a été l'occasion de découvrir de plus près la SCOP et son fonctionnement, ses salariés, leur atelier, leur savoir-faire et leur culture d'entreprise. Installée sur la zone industrielle de Lectoure depuis trois ans, la SCOP AAE, qui se compose d'une équipe de 8 personnes, propose diverses prestations, telle que la réalisation d'ensemble et sous-ensemble électronique.

Leur domaine d'activité se situe dans l'électronique industrielle, médicale, nautique et aéronautique. Les Scop (Sociétés coopératives et participatives) sont des sociétés commerciales, de forme SA ou SARL, coopératives, basées sur un fonctionnement démocratique et participatif. Aujourd'hui, le modèle des Scop tend à se développer, à l'instar des Scop de Midi-Pyrénées qui continuent à progresser. Ce modèle s'adapte à tous les métiers, les Scop sont ainsi présentes dans tous les secteurs d'activité. L'Union régionale des Scop Midi-Pyrénées, qui fédère les Scop (Sociétés coopératives et participatives) et les Scic (Sociétés coopératives d'intérêt collectif) de l'ancienne région Midi-Pyrénées, compte plus de 238 entreprises coopératives. Réseau d'accompagnement à la création, la reprise et la transmission d'entreprises en coopératives. L'URSCOP propose un service complet aux adhérents et aux porteurs de projet : accueil et suivi personnalisé, accompagnement juridique, solutions de financements adaptées à la création d'entreprises comme à leur développement, formations, échanges, etc. Le Mois de l'ESS (Économie sociale & solidaire) se déroule tous les ans au mois de novembre sur l'ensemble des régions de France. Il constitue une vitrine des initiatives des acteurs de l'économie sociale et solidaire.

Source La Dépêche

La Banque de France, en ce mois de novembre, a multiplié les rencontres avec les TPE-PME gersoises à Nogaro, Condom, L'Isle-Jourdain et, hier matin, à Lectoure, au sein de la communauté des communes de la Lomagne Gersoise. Il y a quelques semaines, elle était à Mirande. Une démarche nouvelle qui manifestement correspond à une réelle attente des chefs d'entreprise.

Le directeur départemental Éric Bizard explique : «Nous avons commencé ces actions au moins pour trois raisons. La première est que les dirigeants ont un emploi du temps souvent très chargé. Aller vers eux c'est d'abord faciliter la relation en leur faisant gagner du temps. Ensuite la communication financière est aujourd'hui capitale dans un monde interconnecté. À ce titre, la cotation que nous attribuons est très importante pour l'accès au crédit et les conditions que les entreprises peuvent obtenir. Mieux connaître cette cotation, c'est mieux gérer ses relations avec les banques. Enfin c'est l'occasion de réaffirmer notre disponibilité auprès de toutes les entreprises quelle que soit leur taille. Contrairement aux idées reçues parfois nous sommes aussi à la disposition des TPE pour les aider et les informer.» Un correspondant TPE au sein de la Banque de France d'Auch a été ainsi nommé, il s'agit de Patrick Lehugeur.

«Ce que l'on peut dire en conclusion, c'est que tous les chefs d'entreprise rencontrés nous ont dit être très satisfaits, confiants, souvent avoir découvert pas mal de choses. Ils retiennent enfin la possibilité d'avoir des interlocuteurs vers qui se tourner en cas de besoin. Nous leur avons promis de revenir et nous reviendrons». Après cette réunion d'information, une autre réunion a suivi avec les représentants des divers organismes bancaires du secteur.

Source La Dépêche

La Chambre d'agriculture du Gers a inauguré la mise en place de son dispositif «Transmission» en organisant la première réunion d'information sur la transmission des exploitations agricoles à Lectoure, vendredi dernier. Suite à de nombreuses demandes formulées lors d'enquêtes menées auprès des agriculteurs gersois, cette rencontre de la «Transmission» a été mise en place en partenariat avec la communauté de communes de la Lomagne Gersoise, pour qui le renouvellement des entreprises représente également un enjeu majeur.

Accueillis par Jean-Louis Castell, président de la Communauté de communes, les 46 participants ont ainsi obtenu des informations grâce aux interventions du conseiller transmission de la Chambre d'agriculture, de la MSA, d'une juriste et de la Société d'aménagement foncier et d'établissement rural (SAFER).

Ainsi, de nombreux sujets liés à la cessation d'activité ont pu être abordés : les modalités de la prise de retraite agricole, les différentes possibilités de transmettre l'outil de production mais également le patrimoine qu'il représente, la recherche d'un repreneur et les modalités d'une vente d'exploitation.

Ces rencontres vont être multipliées sur le Gers, une date étant déjà prévue le vendredi 9 décembre de 9 h 30 à 12 h 30 à la salle des fêtes de Montaut (32300). D'autres rencontres seront organisées sur d'autres secteurs du département, début 2017.

Pour toute information : Chambre d'agriculture du Gers, tél. 05 62 61 77 13.

Source La Dépêche

L'association Fleurance Action s'est réunie, jeudi dernier, pour évoquer leur projet phare de fin d'année : la première patinoire de Fleurance ouvrira ses portes devant le parvis de la mairie du 17 au 28 décembre. Cette grande première sur le territoire est le fruit d'un travail collaboratif entre les commerçants de l'association la mairie de Fleurance et la Lomagne Gersoise.

«Cette opération permettra de redynamiser le centre-ville», souligne Jean Paul Lafforgue président de Fleurance Action. «Nous tablons sur 4 000 places vendues pour cette première édition, qui sera couplée avec d'autres animations pour les fêtes de fin d'année». Le tarif de la patinoire (location des patins comprise) sera de 3 € les trente minutes.

«Nous pouvons la mettre en place grâce au partenariat qui a été noué avec la municipalité et la Lomagne Gersoise, qui nous accompagnent pour la faisabilité de ce projet», rajoute Myriam Ferradou, du bureau de Fleurance Action.

Devant une vingtaine de commerçants enthousiastes, Fleurance Action a dressé un bilan des actions écoulées et à venir lors de cette réunion de travail.

Source La Dépêche

Patrick de Montal, propriétaire récoltant du domaine d'Arton à Lectoure, vient de recevoir son importateur sur tous les États-Unis. Ce dernier séjourne régulièrement en France et il aime venir au moment de la distillation, car c'est l'âme de l'Armagnac, le cœur de l'année viticole. L'importateur s'était déplacé avec des clients américains et son directeur des ventes. Il a été enchanté une nouvelle fois de sa visite.

Comme chacun sait, il existe trois zones d'appellation : le Bas Armagnac, la Ténarèze et le Haut Armagnac, qui a été particulièrement ravagé par le phylloxéra, car les sols de cette zone étaient très secs et toutes les vignes sur les collines avaient disparu, alors qu'à la fin du XIXe siècle, c'était une zone de forte implantation.

La renaissance de cette troisième zone intéresse l'importateur américain à double titre car il est d'abord intéressant de faire renaître une production qui avait disparu. Ensuite, car l'ensemble des produits du domaine d'Arton est récompensé chaque année dans les concours agricoles, des eaux-de-vie d'assemblage et aux eaux-de-vie blanches. Le domaine d'Arton, maison la plus régulièrement médaillée au Concours général agricole de Paris ces cinq dernières années, organisera le 4 décembre des portes ouvertes, avec une dégustation à même les barriques des eaux-de-vie anciennes et la visite du chai de vieillissement.

Source La Dépêche

Céline Seban est la propriétaire d'un cheptel de 33 alpagas, installée à Castet-Arrouy. A chaque printemps, au mois de mai, elle procède, avec l'aide d'un professionnel, à la tonte de ses animaux. La laine est triée par ses soins puis envoyée dans les filatures du nord de la France pour y être traitée et filée. Céline reçoit, quelque temps après, cette laine si douce sous forme de cône qu'elle doit transformer en écheveaux. L'idée lui est venue de faire teindre cette laine luxueuse par le Bleu de Lectoure. Le résultat est plus que probant puisque les pelotes se déclinent en des camaïeux riches et lumineux de bleus qu'elle propose à la vente dans sa petite boutique. Céline sera sur les divers marchés de Noël de la région : 26 et 27 à Barbotan-les-Thermes ; 4 décembre : halle de Beaumont-de-Lomagne ; 11 décembre : Fourcès ; du 5 décembre au 8 janvier : Miradoux et du 16 au 24 décembre à la Maison de Gascogne à Auch. Pour connaître et visiter les alpagas de Céline : alpaga-cie.fr et contact@alpaga-cie.fr./

Deux ans an après avoir racheté la licence historique des modèles historiques des montres Lip, l’entreprise horlogère de Besançon (Doubs) SMB lance une campagne de publicité.

Objectif : accompagner le succès de ses modèles présents dans 600 points de vente en France.

« N'est pas lipster qui veut ». Tel est le slogan chic et choc de la campagne de pub de cette fin d'année réalisée par Publicis pour les montres Lip. SMB, l'entreprise horlogère de Besançon (Doubs), qui emploie 120 salariés, les a remises au goût du jour en 2015, après avoir conclu un accord d'exploitation pour relancer, à Besançon, les modèles historiques de la marque emblématique du conflit social des années 70. « Lip, c'est magique », lâche Philippe Bérard, qui a gagné son pari : les montres Lip ont dépassé ses prévisions et sont présentes dans 600 points de vente en France. Quant à l'objectif haut de 3 millions d'euros de chiffre d'affaires, il sera atteint avant fin 2016.

1200 montres au Japon

La marque plaît aux bobos et hipsters du Marais et des grandes villes, d'où cette campagne iconoclaste, avec tatouages, barbes et détails rock. L'export démarre bien aussi : SMB vient de livrer 1.200 montres au Japon et accueille ses distributeurs ces jours-ci, venus se former aux fondamentaux de la marque. « Lip nécessite de la pédagogie, il faut raconter l'histoire de la marque. Ils viennent aussi faire des photos de l'entreprise », ajoute Philippe Bérard. Les contacts avec le distributeur japonais avaient été pris au salon de Bâle, au printemps 2016, et devraient porter sur 10.000 pièces à terme. Un distributeur chinois passé par Bâle, lui aussi, pourrait bientôt suivre. En 2016, Lip pèsera 11 à 12% d'un chiffre d'affaires d'environ 30 millions d'euros, suffisamment pour envisager l'intégration de nouvelles étapes de fabrication. Pour l'heure, 15 salariés sont dédiés à Lip, qui occupe aussi quasi-exclusivement un sous-traitant local pour l'assemblage des 124 modèles issus des gammes Himalaya, Nautic Ski, Henriette, Général de Gaulle, Panoramic, Big TV...

Source Les Échos

Pour son 10e anniversaire, le club Entreprendre en Gascogne avait choisi un invité hors normes : Philippe Croizon, sportif et aventurier de l'extrême, amputé des quatre membres. Une rencontre qui a réuni plus de 300 personnes à la salle Eloi-Castaing.

Humour, sensibilité à fleur de peau, franchise, simplicité, humanité… Difficile de résumer l'intervention de Philippe Croizon à quelques mots tant son discours s'est avéré intense et touchant.

Ce récit d'une vie hors normes, un parcours semé de souffrances et de bonheur, démontre la formidable capacité de se dépasser, de «sortir de notre canapé», d'oser… Pour Philippe Croizon, l'amour des siens et le sport ont été salvateurs. Et il se plaît à nous répéter sa devise : «Osez ! Car tout est possible !».

C'est aussi le message essentiel que le Club Entreprendre en Gascogne souhaitait porter lors de sa soirée anniversaire.

Après son intervention sur scène, Philippe Croizon, très disponible, s'est prêté au jeu des photos avec le public et a dédicacé son dernier ouvrage : «Plus fort la vie». Un moment d'échanges très apprécié de tous. Un cocktail dînatoire venait clôturer cette rencontre.

Au-delà du récit de sa propre vie, formidable exemple de résilience, Philippe Croizon est conscient que les choses évoluent trop lentement et très difficilement pour beaucoup de personnes. Il met donc à profit sa notoriété pour alerter l'opinion publique sur la situation des personnes handicapées, en France et dans le monde. Plateaux télé, interviewes dans la presse, sketches comiques (série «Vestiaires» notamment), soutien à diverses associations… le sportif est sur tous les fronts, à l'aise sur tous les terrains.

Si vous souhaitez poursuivre l'aventure avec Philippe Croizon et assister à son prochain défi : suivez la Team Croizon-Tartarin, numéro 352, lors du prochain Dakar 2017.

Source la Dépêche

«Météo à la carte» sur «France 3», diffusé du lundi au vendredi à 12 h 55 a consacré son émission du 4 novembre dernier à la collaboration entre le Bleu de Lectoure et Alpaga & Cie, élevage situé à Castet-Arrouy, qui produit la laine des Alpagas de l’Auroue, utilisée pour être teinte.

Bleu de Lectoure et Alpaga & Cie sont aussi sur Facebook. www.facebook.com/bleudelectoure et www.facebook.com/laine.alpaga.cie

Pour revoir ce reportage

 

Le Gers a récompensé ses fleurons économiques le 18 octobre dernier, avec la remise des premiers Septuors départementaux, à la CCI. Ce prix mis en place par le groupe Dépêche du Midi met en avant les entreprises les plus innovantes de leur secteur. Sur le territoire de la Lomagne Gersoise c'est Pascal LAFONT, dirigeant des Vergers de Gascogne qui a pu être récompensé dans la catégorie "agroalimentaire".

Les Vergers de Gascogne, une conserverie bien ancrée dans son territoire
La conserverie des Vergers de Gascogne a été créée il y a tout juste 70 ans, en 1946. Aujourd’hui, à Montestruc-du-Gers, elle est toujours en activité et spécialisée dans les conserves de fruits au sirop avec notamment un produit phare : la pêche blanche entière pelée issue d’une variété exclusive sélectionnée à maturité. Aujourd’hui, ces pêches sont exportées à travers le monde entier et font le bonheur de nombreux chefs étoilés et d’hôtels de prestige. Mais réduire l’activité des Vergers de Gascogne à la pêche blanche en conserve serait injuste, car l’entreprise s’est beaucoup diversifiée avec aujourd’hui plus de 200 produits différents, distribués dans les épiceries fines, les commerces de proximité, les réseaux spécialisés bio… En effet, depuis 2005, elle a développé sous l’enseigne Cap Bio, une gamme de légumes mijotés bio, et s’est recentrée sur ses activités historiques : la transformation de produits de saison en faisant appel à un approvisionnement local, tout en restant sensible à la qualité des matières premières obtenues sans pesticide. Reprise, il y a trois ans, par Pascal Lafont, la conserverie des Vergers de Gascogne compte bien poursuivre son développement, notamment à l’étranger puisque l’export représente en 2016 près de 30% de son chiffre d’affaire établi à 2,5 millions d’euros. De même, une nouvelle usine plus moderne devrait voir le jour en juillet 2017, un investissement de près de deux millions d’euros soutenu par la Région, l’Europe et la Communauté de Communes Lomagne Gersoise. Les Vergers de Gascogne emploient en moyenne à l’année une quinzaine de personnes à Montestruc / Gers.

Le Gers a récompensé ses fleurons économiques le 18 octobre dernier, avec la remise des premiers Septuors départementaux, à la CCI. Ce prix mis en place par le groupe Dépêche du Midi met en avant les entreprises les plus innovantes de leur secteur. Sur le territoire de la Lomagne Gersoise c'est Pascal LAFONT qui a pu être récompensé dans la catégorie "agroalimentaire".
 

La Scop Ethiquable est spécialisée dans la commercialisation de produits alimentaires issus du commerce équitable et bio. Cette entreprise créée en 2003 ne cesse de se développer en proposant aux consommateurs une large gamme de chocolats, cafés, jus de fruits. Les matières premières sont achetées dans les pays du Sud, à un prix juste pour le producteur.

Cette année, les dirigeants de la Scop ont décidé de faire voyager huit de ses employés de différents services : comptabilité, commercial, production, qualité et expédition. Ces personnes font partie des salariés les plus anciens et ayant reçu la médaille du travail au mois d'août. De retour, ils racontent leur voyage : «Nous sommes partis du 15 au 26 septembre visiter des coopératives situées dans le nord du Pérou (région de Piura), Norandino pour le sucre de canne, et dans le sud de l'Équateur, Procap pour le café, Urocal, cacao et banane, Jambi Kiwa, plantes médicinales et les physalis et enfin Coprobich pour le quinoa. Nous avons rencontré là-bas des personnes exceptionnelles, attachées à leur terroir (qui disposent tout au plus 2 ha de terre) soucieuses de faire de la production bio en préservant les variétés anciennes. Elles nous ont fait découvrir aussi leurs conditions de vie difficiles (après la perte de leurs plants de café à cause de la rouille) et le travail dans les champs de quinoa avec des vaches. Ces producteurs nous ont fait partager leurs plats traditionnels, leur mode de vie, leurs espoirs. Ils nous ont accueillis à bras ouverts en faisant preuve d'une grande générosité. Ces échanges resteront pour nous inoubliables».

Aujourd'hui ces salariés remercient les dirigeants Rémi, Stéphane et Christophe mais également Nicolas qui vit et travaille pour eux en Équateur. C'est lui qui a organisé tous les déplacements d'une main de maître. «Nous avons vécu là-bas de grandes émotions, nous sommes rentrés avec des images plein la tête».

Source la Dépêche

Mlle Gwendoline Morellet s'est lancée dans la fabrication de lunettes sur place, à la demande du client. Elle est la seule, dans le Gers, à être un véritable artisan lunetier. Le projet novateur de Mlle Gwendoline Morellet, l'une des opticiennes bien connues de la rue Nationale, est né de l'idée que nous sommes tous uniques ; alors pourquoi devrions-nous avoir des lunettes normées ? D'où l'idée du sur-mesure, à portée de tous, où chacun peut être unique. Pour ce faire, elle a fait l'acquisition d'une machine financée grâce à l'accompagnement de la Lomagne Gersoise : avance remboursable de 3.600 euros qui a permis de lever un prêt d'honneur de 4.600 euros de la part d'Initiative Gers. Ces deux prêts ont rassuré les banques sur ce projet particulièrement innovant.

C'est pourquoi Mlle Gwendoline Morellet a souhaité remercier ses partenaires sans qui ce projet n'aurait pu voir le jour : la communauté de communes, Initiative Gers et la banque. Une fabrication de montures comporte de nombreuses étapes : choix de la forme, des couleurs, dessin, découpe, limage, polissage à la main, pose de charnières et de plaquettes, ajustage. Cela représente cinq heures de travail minutieux à la main et trois jours et demi d'utilisation de machine.

La seule limite, c'est l'imagination et les contraintes techniques de la correction avec la monture choisie.

Les bonus

Si vous faites le choix lectourois de lunettes sur-mesure, vous aurez un service après-vente illimité et une fabrication 100 % made in Lectoure.

Vendredi, Bérénice Guyot, directrice des Laboratoires Messegué, a accueilli Jean-Louis Castell, président de la Lomagne gersoise, Philippe Billerot, ambassadeur de la marque économique Pôle 21, ainsi que l'ensemble du comité de pilotage de Pôle 21 afin de leur présenter le nouveau bâtiment construit en partie par des entreprises locales (F-Construction notamment pour la partie maçonnerie et Troisel pour la charpente-toiture). Ce bâtiment éco-GTB permet la maîtrise et le confort thermique lié à la température ambiante (de 18 à 24 degrés maximum dans l'unité de stockage et préparation de commande), mais aussi un travail sur le confort acoustique pour les salariés, qui a été pensé sur la partie bureau. Bérénice Guyot a présenté l'ergonomie du process qui a été entièrement repensée, dans l'objectif premier d'offrir aux salariés de meilleures conditions de travail. Suite à cette visite, Jean-Louis Castell et Philippe Billerot sont revenus sur les différentes phases opérationnelles de Pôle 21. Philippe Billerot a eu l'occasion de dresser les perspectives pour cette rentrée avec «un élargissement des membres prévu, plusieurs chefs d'entreprise ayant fait part de leur volonté d'intégrer cette dynamique au sein des groupes opérationnels», et 3 axes majeurs pour cette année : l'attractivité du territoire, les circuits courts et l'agriculture et enfin l'animation de la communauté des entrepreneurs.

L'association de commerçants Fleuranc'Action organise la Journée nationale du commerce de proximité, de l'artisanat et du centre ville.

Fleurance a été la première ville du Gers à organiser une telle manifestation en octobre 2013. C'est donc une sorte de «portes ouvertes» qui permettra de consolider le «capital sympathie» entre le commerçant et ses clients.

Cela dans le but de sensibiliser les éventuels acheteurs sur le bénéfice économique et social par les activités des commerces de la commune et de permettre une rencontre informelle entre la population et ceux qui font le commerce local. Fleuranc'Action et ses adhérents mettent en avant ce jour-là les commerces et les métiers de l'artisanat connus ou à découvrir. Les organisateurs invitent tous les commerçants et les élus à venir partager un apéritif demain, à 12 h 30, devant le magasin de la Cave d'Embidoure, qui se trouve place de la République.

Source la Dépêche

L'entreprise CFMT basée sur la zone d'activité de Fleurance, voit la fin de ses difficultés économiques grâce au SCPE mis en place par la Lomagne Gersoise et pôle 21.

Ce 28 septembre, Olivier Gachet, dirigeant de l'auto-école CFMT a reçu, Jean-Louis Castell, président de la Lomagne Gersoise, Philippe Billerot, ambassadeur de la marque économique Pôle 21, ainsi que Gilles Lamarquette, Flavien Simeon, et Stéphane Matre, tous trois du SCPE (service de conseil et de prévention des difficultés des entreprises) afin de les remercier de leur accompagnement sauvant ainsi son entreprise de la liquidation judiciaire.

En effet, O. Gachet, précise que «ce service mis en place par pôle 21, a permis de sauver mon entreprise. Je connaissais des problèmes de trésorerie, en raison de délai de paiement trop long,», et de rajouter que «le SCPE grâce aux conseils prodigués, par ces bénévoles qui s'engagent pour leur territoire, m'a permis de trouver une solution adaptée à ma situation»

L'entreprise CFMT auto-école, sort donc du redressement judiciaire.

Jean-Louis Castell de rappeler que ce SCPE est un service à la disposition des entreprises de la Lomagne Gersoise, quelles que soient les difficultés.«Plus tôt vous vous rapprochez de ce service, entièrement gratuit et confidentiel, plus les chances de trouver une solution sont importantes» . Et de remercier ces experts qui s'impliquent un jeudi par mois de façon bénévole pour le territoire.

La prochaine étape pour l'entreprise CFMT sera de recruter des formateurs, en effet, cette auto-école qui propose les permis B, poids lourds, super poids lourds, FIMO, CACES et FCO, afin de faire face à l'augmentation de la demande.

Olivier Gachet précise : « Sans eux, je ne serai pas là aujourd'hui à projeter l'avenir de mon entreprise !».

Jean-Louis Castell, président de la Lomagne Gersoise, conclut par le fait «qu'il ne faut pas hésiter en cas de difficulté, et surtout ne pas attendre qu'il soit trop tard, car des solutions sont possibles. Ce service fonctionne et permet de préserver des emplois, voire en créer dans ce cas-là, ce qui est notre priorité.».

Contact SCPE : Olivier de Witte 05 62 29 52 42 – service-economie@lomagne-gersoise.com

Vendredi après midi, le préfet de Région, accompagné du préfet du Gers, du sous-préfet de Condom et des sénateurs Raymond Vall et Franck Montaugé, ainsi que de Michel Doligé, président de la Chambre de Commerce, ont été accueillis par Rémi Roux, président fondateur d'Éthiquable et président de la scop en zone industrielle. Celui-ci est d'ailleurs membre fondateur du Mouvement des Entrepreneurs Sociaux et président de l'Union Régionale des scops de Midi Pyrénées.

Dans une présentation rapide mais précise, Rémi Roux a expliqué les valeurs fondatrices du commerce équitable, une pratique pionnière et engagée. Dans son discours il affirme que l'agriculture paysanne est économiquement viable, écologiquement durable et socialement juste si elle bénéficie de conditions favorables. Elle repose sur une double volonté qui consiste à révéler la richesse gustative des terroirs du Sud et de créer une valeur ajoutée sociale, en identifiant des initiatives paysannes qui ont un potentiel de transformation économique, sociale et politique.

Dans son intervention, Rémi Roux précise que «chaque produit éthiquable est issu d'une organisation paysanne avec laquelle nous avons identifié un projet de développement et d'autonomisation.Sur le terrain nous accompagnons les producteurs pour réaliser ces projets car chaque produit est un projet», précise-t-il.

Puis il présente les produits qui sont le plus commercialisés comme le café de Haïti, le cacao de l'Équateur, et le sucre complet de canne qui a servi à relancer l'économie locale au Pérou. 140 produits viennent des terroirs du Sud comme du Nord et, dernièrement, la première gamme de produits équitables et bio issus de l'agriculture paysanne française avec, en nouveauté, une gamme de légumineuse et oléagineux bio de Gascogne.

Comme il se doit, cette réunion s'est terminée par la visite des installations et d'expédition, d'où quatre semi-remorques partent tous les jours, et par la dégustation de produits chocolatés.

Source la Dépêche

Daniel Ligardes a gagné son pari : la Fête de la Zone organisée les 23 et 24 septembre est une réussite qui s'inscrira dans la durée. De nombreux visiteurs sont venus à la rencontre des artisans et commerçants de la zone industrielle. Les Fleurons de Lomagne, présents sur cette manifestation, ont eu beaucoup de succès. Les élus, présents le vendredi à l'inauguration de cette première, sont venus saluer cette initiative heureuse. Daniel Ligardes a rappelé que l'objectif était de créer une synergie entre les entreprises de la zone industrielle, «pour mieux se connaître, mieux se vendre et se compléter, pour mieux servir notre clientèle».

L'économie au cœur du territoire

Gérard Duclos, maire de Lectoure, a souligné l'importance de l'union avec la communauté de communes : «Le commerce est une chose délicate. Sur notre territoire, il y a du monde, des cartes à jouer. Nos artisans et commerçants ont des produits de qualité, un savoir-faire et un service après-vente. Sur cette zone, il y a un nouvel esprit, de jeunes artisans dynamiques qui ont envie de travailler.» Et Gérard Duclos d'annoncer que l'assainissement sera réalisé en 2018. Jean-Louis Castell, président de la communauté de communes de la Lomagne Gersoise (CCLG), se félicite de venir pour la seconde fois à Lectoure dans la semaine au sujet d'actions économiques et rappelle que 90 % des entreprises qui ont contribué à l'agrandissement de la pépinière sont de Lectoure, avec des créations d'emplois à la clef.

Ronny Guardia-Mazzoleni, conseiller régional, a salué les belles initiatives prises à Lectoure pour développer le territoire et qui nécessitent l'adhésion de tous.

Xavier Ballenghien, conseiller départemental, a estimé que l'économie était au cœur de la vie d'un territoire ; il a annoncé que le département travaillait sur la relance de la communication sur l'image du Gers et l'initiative de Daniel Ligardes participe à cette dynamique.

Suzanne Macabiau, vice-présidente de la CCLG chargée du commerce, a souligné le rôle positif du service économique de la CCLG et de l'Association des commerçants et artisans Lectourois (ACAL) dans le succès de cette Fête de la Zone, qui sera reconduite l'an prochain.

Daniel Ligardes : «Il y aura une 2e édition»

Daniel Ligardes, qui est à l'origine de la première Fête de la Zone, lors de l'inauguration a avant toute chose remercié les élus, les associations, mais aussi les services et institutions, et tous ceux qui ont contribué à la réussite de cette manifestation première du genre.

De nombreuses sociétés de la Zone se sont investies dans votre projet ?

Oui et je voudrais donner une mention particulière à toutes les entreprises de la zone qui ont bien voulu jouer le jeu pour cette première édition, ainsi qu'à la famille Monge qui nous a offert un baptême en montgolfière, les Fleurons de Lomagne, Valérie de la pizzeria ainsi qu'à la boucherie Peret qui nous offre les en-cas et le pot de l'amitié qui prolongera cette soirée d'inauguration.

Pourquoi cette fête ?

L'idée de cette fête, c'est de créer une synergie entre les entreprises de la zone. Le but c'est d'arriver à mieux se connaître pour mieux se vendre et se compléter pour apporter un meilleur service à notre clientèle. Tel est l'objectif initial de cette manifestation. Et je vous donne déjà rendez-vous en 2017, pour la deuxième Édition de la fête de la zone avec des nouveautés !

La pépinière d'entreprises de la Lomagne, créée en 2009 dans la zone industrielle La Couture à Lectoure, se dote de nouveaux ateliers de production pour élargir l'offre de service et l'accompagnement aux acteurs économiques en création. Cette réalisation, inaugurée lundi, s'inscrit dans un projet global d'aménagement et de développement du territoire visant à développer l'attractivité de la Lomagne gersoise et à proposer une offre en immobilier d'entreprises adaptée aux besoins de tous types d'acteurs. Les ateliers de production représentent un espace utile de 300m2 de production/stockage avec 3 ateliers de 100 m2 chacun, un espace de 35 m2 pour les sanitaires et douches, une liaison avec l'accueil et les espaces communs de la pépinière. Le bâtiment est accessible aux personnes à mobilité réduite mais également aux poids-lourds. Jean-Jacques Tosca, maire adjoint de Lectoure, expliquait que le développement économique du territoire est le rôle de la CCLG. Le maître d'œuvre, l'Atelier Gomez, et les entreprises choisies sont toutes lectouroises, sauf une de Condom-Monfort. Jean-Louis Castell, président de la CCLG, souhaitait que ces ateliers soient le départ d'une «nouvelle aventure économique» en Lomagne gersoise, évoquant la candidature pour l'appel à projet régional FAB LAB (laboratoire de fabrication) qui permettrait de proposer une extension d'un atelier supplémentaire, projet étroitement lié avec celui de laboratoire d'initiatives rurales à Fleurance. Le conseiller régional Ronny Guardia-Mazzoleni a évoqué l'importance de ces projets structurants et ambitieux et le sénateur-maire de Fleurance Raymond Vall a loué la dynamique économique. Le préfet Pierre Ory a remarqué le dynamisme de la Lomagne.

Une entreprise déjà installée

Déjà, une première entreprise s'est installée dans un atelier début septembre, Morgan H, créateur de mobilier en acier haut de gamme qui expliquait : «Dans le Gers, on laisse s'exprimer les gens, développer leur activité artistique, c'est important». L'Etat et la région cofinancent la réalisation de cet équipement. Coût total HT du projet : 376.000 € (subvention Etat DETR, 35 %, 131.600 €; subvention conseil régional, 6 %, 22.750 €; autofinancement, 59 %, 221.650 €).

Source la Dépêche

Le Bleu de Lectoure nouvelle version s'est ouvert officiellement à la vie lectouroise lors d'une cérémonie d'inauguration, vendredi soir, dans ses locaux au 55, rue Alsace-Lorraine. Des locaux de 180 m2, composés d'un espace d'exposition-vente, d'une salle aménagée pour les conférences sur l'histoire du bleu de pastel, les cuves et le laboratoire étant installés derrière. Jean-Louis Castell, président de la communauté de communes ; Ronny Guardia-Mazzoleni, conseiller régional ; Annie Faget, maire adjointe et présidente de l'office de tourisme ; Suzanne Macabiau et Jean-Marie Neels, l'un des trois associés, ont coupé le ruban teint au bleu de pastel. Lors des discours, ce dernier a annoncé la récolte pour l'été 2017 de feuilles de pastel pour le pigment et de graines pour l'huile. Séverine de Breucker a appris pendant quinze ans les techniques de teinture auprès de Denise et Henry Lambert. Quant à Cécile Gex, ce sont les Lambert qui sont venus la chercher il y a dix ans dans son commerce d'art textile qu'elle tenait à Condom. Elle a alors appris les techniques de teinture de ce pigment très capricieux et continue à l'utiliser pour ses créations personnelles dont certaines sont exposées. A eux trois, ils ont des projets plein la tête, ils veulent développer le e-commerce ainsi que leur gamme d'habillement.

Annie Faget se réjouissait de cette ouverture et de son accessibilité en terme de tourisme, l'accueil de groupes enregistrant déjà des réservations pour 2017. Les conférences ont déjà commencé.

Source la Dépêche

Depuis 2014, la société Ethiquable connaît une croissance monumentale. L'entreprise fleurantine fait aussi la preuve que le commerce équitable peut totalement s'appliquer en France… et notamment dans le Gers.

«Pendant cinq ans, on a tiré la langue, mais maintenant, ça va beaucoup mieux !», se félicite Rémi Roux. Le gérant de la société coopérative fleurantine Ethiquable, spécialiste du commerce équitable, égrène les chiffres : une croissance du chiffre d'affaires de 23 % en 2014, de 26 % en 2015… et de 28 % sur les 8 premiers mois de l'année 2016. La société a vendu plus de 10 millions de produits l'an dernier en France, en Espagne, en Allemagne et en Belgique, du café au quinoa en passant par le poivre, le thé et les fruits secs, tout en bio. «Cette année, nous allons dépasser les 30 millions d'euros de chiffre d'affaires, et nous venons d'embaucher 8 salariés, dont 6 à Fleurance», reprend le gérant. La société compte 69 employés en France, dont 35 sur son site gersois.

Alors, comment expliquer une telle réussite… après des années de souffrance entre 2008 et 2013 ? «La crise était là, répond M.Roux. Et, en 2008, nous sortions de plusieurs années de forte croissance, donc on avait investi. Mais, en 2013, les effets de la crise ont diminué, et la consommation équitable a repris du poil de la bête. Il y a une volonté des consommateurs d'avoir plus de sens, d'une production relocalisée.»

Le dernier indépendant

Voilà pour le volet consommateur, sans doute la base. Mais il y a tant d'autres facteurs, à commencer par une remise en cause d'Ethiquable. «On a changé notre logo et surtout on a amélioré la qualité de nos produits», assure M.Roux. Le contexte a lui aussi évolué, notamment dans les grandes surfaces : les marques distributeurs ont diminué leurs gammes de produits équitables au profit des produits Ethiquable, y compris dans des magasins de plus petite taille. Autre changement, «tous nos confrères concurrents ont été vendus à des grands groupes et, en même temps, ont perdu en crédibilité, auprès des consommateurs et auprès de la grande distribution, assure M.Roux. Nous sommes les derniers indépendants… et nous le resterons !» En effet, «nous sommes une société coopérative, qui appartient à ses salariés. On ne peut pas revendre la boîte !, se félicite M.Roux. Ça fait partie de notre modèle et de notre cohérence.»

Une farine gersoise équitable

Pour aller jusqu'au bout de leur idée, les militants d'Ethiquable ont appliqué les recettes du commerce équitable à la France : agriculture, bio, familiale, à taille humaine, un prix de rémunération juste et au-dessus du prix du marché, une prime de développement qui constitue 10 % du prix du produit réservé à la communauté paysanne pour son développement… «Tout cela est tout à fait applicable en France», assure M.Roux, multipliant les illustrations, notamment dans le Gers. «Par exemple, nous avons une gamme de farines du Gers à partir de petit épeautre ou de touselle, un blé ancien, indique le responsable. Et, grâce à la prime de développement, les producteurs de farine gersois vont pouvoir investir pour conditionner leur farine dans des sacs d'1 kg et donc les vendre sur les marchés…» De quoi donner de nouveaux arguments en faveur de l'agriculture locale, sans intrants chimiques. «Il faut savoir, souligne M.Roux, que la permaculture, qui consiste à additionner les productions et donc à ne pas faire de productions uniques dans de grands champs, est beaucoup plus productive. Et elle demande beaucoup plus de main-d'œuvre… C'est sûr que c'est dommage, ironise-t-il, parce qu'en France, on n'a pas beaucoup de chômage !»

Hier matin, l'intervention de Jean-Paul Lafforgue inaugurait le 11e Salon du bien-être, en présence de Raymond Vall, sénateur-maire, de Jean-Charles Jobart, sous-préfet, de Ronny Mazzoloni, conseil régional, et de bien d'autres élus. Le président a tenu à remercier l'ancien bureau, sa collaboratrice Myriam Ferradou, et a présenté les grandes lignes du «renouveau» de cette manifestation qui souhaite s'orienter vers le bien-vivre, la gastronomie, le sport et le loisir pour sa 12e édition. Donc, aujourd'hui encore, on peut visiter les stands installés place de la République et se documenter sur le bien-être pour le corps et l'esprit.

Source la Dépêche

Dans le cadre des 17es Marchés flottants du Sud-Ouest, les producteurs gersois étaient à Paris pour faire connaître leurs produits et pas seulement le foie gras de canard et d'oie, filière qui a connu une crise très grave à cause de l'influenza aviaire et est de retour sur les marchés, mais aussi le melon. A ce titre, les producteurs lectourois étaient présents et ont été salués par le Président de la République, François Hollande, qui connaît bien le département. L'Association pour la promotion du melon de Lectoure a intronisé Georges Pernoud, le présentateur de l'émission de télévision «Thalassa».

Source la Dépêche

Lectourois et vacanciers sont impatients depuis qu'ils voient s'activer du monde dans la nouvelle boutique (qui était avant une pizzeria) du 55, rue Alsace-Lorraine. Devant la boutique, quelques morceaux de chiffons bleus et, dans les vitrines, vêtements et tissus d'ameublement annoncent la couleur, celle du Bleu de Lectoure qui y reprend vie. Agriculteur, Jean-Marie Neels souhaitait diversifier sa production et s'était entendu avec Denise Lambert (anciennement Bleu de Lectoure au Pont-de-Pile) pour mettre en culture l'«isatis tinctoria», pourvoyeuse de pastel. Par la suite arrive l'annonce de l'arrêt du Bleu de Lectoure. Jean-Marie Neels rencontre alors Séverine de Breucker et Cécile Gex, les deux anciennes teinturières de la maison. Par ailleurs, Cécile Gex, artiste et travaillant avec le bleu de pastel, était doublement intéressée à poursuivre l'activité. Pour cela, il leur a fallu racheter la marque et, en même temps, le matériel et le fonds de commerce. Leur envie est de travailler à petite échelle avec des artisans locaux et pour les particuliers mais aussi sur le partage et la transmission du savoir. Finalement, ce programme a été déposé auprès du tribunal de commerce d'Auch qui a choisi ce projet-là. «On a fait un stage de perfectionnement dans le Lubéron aux côtés de Michel Garcia, à Couleur Garance, à Lauris. C'est le grand maître des plantes tinctoriales. Il est accessible et conseille volontiers, c'était un grand moment émouvant, il nous a vraiment convaincues de teindre de manière biologique», expliquent-elles. La boutique ouvre aujourd'hui puis sur le principe suivant : le matin, espace boutique-teinture ; l'après-midi, boutique-visites, sur horaires et sur réservations ; ouverture des visites-conférences à partir de la mi-septembre, dans un espace dédié, avec démonstration de teinture.

Renseignements au 05.62.28.14.93 ou sur www.bleu-de-lectoure.com

Soucre La Dépêche

L'association des commerçants Fleuranc'Action organise son 11e Salon du bien-être, loisirs et développement durable les 17 et 18 septembre. Il se déroulera sous les arcades de la mairie, place de la République, où seront à découvrir plus de 60 stands, tous axés sur le confort et le bien-être de chacun. Comme pour les précédentes éditions, l'entrée est gratuite. Fleuranc'Action, son président Jean-Paul Lafforgue et toute son équipe comptent sur les acteurs économiques de la ville et en particulier sur l'entreprise Fleurance Nature qui, en plus d'offrir un chèque de 1.500 €, apporte son soutien à cette manifestation. Cette société, située en bordure de la RN 21, après le rond-point de Leader Price en direction Lectoure, est un leader de la vente par correspondance de produits naturels et de compléments alimentaires (tous à base de plantes) et de cosmétiques. A plein-temps, elle emploie une cinquantaine de personnes sur le site fleurantin et parisien et expédie chaque jour entre 2.000 et 3.000 colis par voie postale sur l'ensemble de l'hexagone et même dans des pays de l'Europe. Patrice Michelang, président-directeur du groupe, était assisté de Philippe Rombi, directeur général, Michel de Sarrieu, directeur scientifique, Sarah Merzack, communication, et de Philippe Billerot, directeur du site de Fleurance, pour remettre, au restaurant du golf, ce don et a annoncé que, cette année, Fleurance Nature présentera de nouveaux produits dans plusieurs gammes différentes, élaborés par son équipe pharmaceutique. Le Salon du bien-être sera donc cette année un lieu de découverte avec des stands de produits bios, soins, alimentation, des conférences, la présence de thérapeutes, naturopathes, réflexologues, sophrologues et bien d'autres encore qui travaillent pour le confort de vie.

Source La Dépêche

Lors de la clôture, après deux belles journées de foire agricole Gascogn'agri, les Jeunes Agriculteurs ont réalisé un travail remarquable. Le président départemental Benjamin Constant et les responsables de canton Damien Sarran pour Lectoure-Miradoux, et Sara Espiau pour Fleurance-Saint Clar avouaient «On s'est bien amusés, ça a été long et dur mais l'équipe en ressort soudée et riche de bons souvenirs. Les échos, d'où qu'ils viennent sont extrêmement favorables».

Le cadre idéal et bien adapté à une telle manifestation a participé à son succès. Les animations ont beaucoup attiré, un peu plus de 600 personnes pour le concert détente du collectif Métissé. Une heure de spectacle et d'acrobaties étonnantes avec le show de trial de Bernard Labissy, Yoann Branet et Nicolas Karim. La prestation des chevaux du Haras d'Olympe a été bien appréciée, tout comme les balades en calèche, le stand de la Fédération française des chasseurs à l'arc, le simulateur de chasse, la mini ferme…

Source La Dépêche

Pascale Pitras vient d'ouvrir une boutique de brocante et d'objets de hasard, comme elle tient à le préciser, 71, rue Nationale, tout juste à côté du café des Sports de Patrick Bayonne. La brocante, qui est très tendance à Lectoure, mais avec la particularité du hasard : «J'ai pas mal bourlingué, traîné mes basques un peu partout dans le monde et j'ai toujours aimé chiner, j'ai donc pas mal de choses qui arrivent de très loin, d'autres qui sont chinées tout près, et j'aime les objets de curiosité, ce qui est un peu insolite en général. Ce sont aussi des coups de cœur déco». Son magasin est ouvert tous les jours en saison ; sa boutique, qui sera à Lectoure tout au long de l'année, est partagée avec une jeune créatrice de Paris, dont la marque s'appelle «Minuit», et qui fait elle des créations de chapeaux, des coiffes un peu originales et des jolies robes, dans l'esprit vintage.

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Les Haras d'Olympe à Pauilhac entre Fleurance et Lectoure chez Isabelle et Pierre de la Serve, serviront de cadre majestueux à la prochaine édition de Gascogne Agri qui s'y déroulera les 27 et 28 août. Portée depuis 2011 par les Jeunes Agriculteurs qui se consolaient difficilement de la disparition de Gascogne Expo, cette foire agricole départementale a entre autres originalités d'être itinérante. Cette fois ce sont les JA de Fleurance/Saint Clar avec leur présidente Sara Espiau et ceux de Miradoux-Lectoure co-présidés par Damien Sarran et Damien Fave qui sont mobilisés depuis plusieurs mois pour que Gascogne Agri 2016 soit aussi réussie que les précédentes. «Plus de 5000 visiteurs sont attendus cette fois encore» indique Benjamin Constant, le président départemental des JA 32. Avec le concert du groupe Collectif Métissé le samedi soir (10€) et des shows de trial moto le dimanche, cette «foire dans le pré» sera bien un rendez-vous tout public. «Le concours de labours et le concours de la race à viande Blonde d'Aquitaine sont aussi au programme, la restauration servie dans le parc de l'Orangerie sera locale à base de canards et de volailles du Gers et les animations pour grands et petits, nombreuses et variées . Avec entrée gratuite les deux jours sur le site bordant la nationale 21.

Pour le concert de Collectif Métissé, le nombre de places (1000) est limité. Il est conseillé de réserver au 05.62.61.77.93. A ce numéro aussi, tous les renseignements concernant cette foire, son programme, ses concours, ses animations vous seront fournis par les JA.

Source La Dépêche

Raymond Vall, sénateur-maire ; Ronny Mazzoléni, conseiller régional ; Gérard Auret, maire adjoint, chargé de l'économie, et les représentants du service «économie» de la communauté des communes, se sont rendus, mardi matin, dans un nouveau commerce qui se nomme «L'Ivresse des Anges». C'est chez Denis Mariaud, un Vicois qui a décidé de venir s'implanter en terre lomagnole, rue de la République (dans l'ancien salon de coiffure) où il a installé une cave à vin. Plus de 400 références sont sur les étagères dont des vins de haut de gamme et du pays de l'Aude et, bien sûr, du Sud-Ouest qui attireront la curiosité des fins connaisseurs. Des bières ou autres spiritueux complètent son catalogue. Un commerce se ferme, aussitôt un autre s'ouvre, c'est ainsi l'activité commerciale de la ville de Fleurance et nous souhaitons à Denis Mariaud un vif succès.
 

La Dépêche

 

Jeudi, Christophe Loizon, directeur de l'entreprise d'insertion AG2I, située en zone industrielle, recevait Jean Luc-Bernerd, gérant de MGH à Lectoure et du siège Lip, qui fait partie de la filière nationale Eco-Tempo.

Tous deux ont expliqué le concept de cette entreprise d'insertion qui est le nom d'une filière qui permet de collecter et recycler les montres et bijoux usagés, quelle que soit la marque. Dans le cadre de la lutte pour la protection de l'environnement, AG2I a créé cette nouvelle activité sur ce site fleurantin où une dizaine de personnes travaillent dans l'insertion et par la suite doivent retrouver une vie normale. «Nous avons tous au fond de nos tiroirs de vieilles montres ou des bijoux inutilisés dont nous ne parvenons pas à nous débarrasser. Fort de ce constat, nous avons décidé de mettre en place une organisation simple et efficace qui consiste à démanteler les montres et les bijoux pour ensuite leur donner une nouvelle vie».

Sont principalement concernées les montres à piles, dont la valeur financière ou sentimentale n'empêche pas le consommateur de s'en débarrasser. Même bon marché, ces montres recèlent des composants métalliques (laiton, or, cuivre, mercure…) facilement recyclables. Les piles sont isolées et traitées dans la filière éco-organismes spécialisée dans la gestion des piles et accumulateurs. Les plastiques, les cuirs et textiles sont éliminés avec les déchets ménagers. Selon Eco-Tempo, «une tonne de montres recyclées correspond à 634 kg de métaux triés, 11 700 piles récupérées et 67 kg de cuir».

Jean-Luc Bernerd ne veut pas s'arrêter là. «Outre le recyclage, le réemploi permettrait de lancer une gamme de montres d'occasion en utilisant des composants de différentes provenances».

Le but de cette opération est surtout social et solidaire puisqu'il amène de l'activité dans une zone qui en a fortement besoin.

La dépêche

 

Deux inaugurations, une seule date, pour Intermarché et Bricomarché. Martial Azzini, le directeur du Bricomarché, a retracé l'historique de son engagement avec son épouse Martine, ou comment un fonctionnaire et une commerçante lectourois se sont lancés dans ce groupement suite à une rencontre avec Éric et Pascale Combebias. Après une formation théorique, ils ont supervisé les travaux réalisés par des entreprises d'Auch, Lectoure et Fleurance (Da Costa, Ménastroi, Colas, Oralu, Fauché), jusqu'à l'ouverture le 9 mars de cette année. Martial Azzini a remercié Gérard Duclos et la mairie de Lectoure pour leur aide, ainsi qu'un certain nombre de personnes, dont son fils Jérémy «qui est un précieux allié». Il estime son enseigne complémentaire avec Intemarché.

Bientôt un discount

Éric Combebias, directeur d'Intermarché, a expliqué avoir voulu joindre les deux inaugurations, sept ans après l'ouverture de son propre magasin, et s'est félicité de la création de Bricomarché, qui connaîtra selon lui le même succès car «il correspond à un vrai besoin». « Il faut combiner les forces et l'ACAL (Association des commerçants et artisans de Lectoure) fait le job ». Il a rappelé les points forts et innovants, comme la poissonnerie, la galerie marchande et le restaurant, le linéaire froid fermé (qui est devenu obligatoire), le rayon bio, la billetterie, etc. «Le vrai courage, c'est d'entreprendre», a ajouté Éric Combebias, qui a annoncé la prochaine création sur site d'une nouvelle offre discount avec Netto, qui va créer dix nouveaux emplois. Il a remercié Gérard Duclos et Maryse Escribe pour leur aide sur ce projet économique et a conclu par une déclaration d'amour de son épouse Pascale et pour Lectoure !

La Dépêche du Midi

Jeudi 30 juin, les laboratoires Mességué achevaient leur mue, en inaugurant leurs nouveaux locaux à Fleurance. La marque du dynamisme d'un secteur ancien en Lomagne, en plein redémarrage.

Bérénice Guyot, la directrice d'exploitation des laboratoires Mességué à Fleurance, ne cache pas sa satisfaction. L'entreprise, longtemps repliée sur une image vieillissante, est en plein regain. À l'image de son site, un vaisseau amiral de presque 2 500 m2 où se concentrent les bureaux et la logistique des laboratoires, ainsi qu'une boutique-showroom où les clients se pressent déjà. En dépit des années, la marque séduit, grâce entre autres à un habile mélange des générations dans l'entreprise. «Nous avons des «anciens», qui travaillent ici depuis les débuts, et des nouveaux. Les premiers apportent la culture Mességué, les seconds l'adaptation aux nouvelles demandes.» Une nécessité, car «on passe du simple au double, sur les commandes des nouveaux produits».

Soutien

Pour les fabriquer, les Laboratoires Mességué s'appuient sur des sous-traitants, qui viennent avec leurs produits et leurs idées aussi, et une unité de recherche et développement à l'écoute des tendances et de l'identité de la marque. La société peut également compter sur un soutien de poids. «Sans Philippe Ginestet derrière nous, il aurait fallu des années à une PME comme la nôtre pour en arriver là, confie Bérénice Guyot. C'est vraiment une grande chance.» L'investisseur n'a pas fait que suivre la croissance des Laboratoires Mességué, en y injectant 2,30 M€ cette année, il leur a aussi ouvert les rayons de ses magasins Gifi, où la marque propose déjà des produits. «Nous vendons surtout par correspondance, mais nous devons être présents sur d'autres segments», affirme la directrice.

Et les opportunités ne manquent pas. Bérénice Guyot l'assure, «la demande pour des produits à base de plantes, et plus encore de plantes bio ne cesse de croître. Et il y a une vraie occasion de redynamiser ce territoire.» La Lomagne était jadis une terre où se cultivaient de nombreuses plantes médicinales, une tradition qui constitue un atout dans un marché de plus en plus porteur. «On peut utiliser les huiles essentielles dans nos produits, et les matières sèches en compléments alimentaires, tisanes, etc.» Toute une économie à bâtir, qui intéresse élus, entreprises… et agriculteurs, qui réfléchissent à choisir ces plantes plutôt que les céréales. «Gifi voudrait lancer une gamme en bio, mais on ne trouve pas les quantités nécessaires !» Un pôle se constitue, encore embryonnaire. Mais l'essor des Laboratoires Mességué et d'autres acteurs de cette économie donne de bonnes raisons de croire à une croissance accélérée.

Le chiffre : 10 Millions d'euros de chiffre d'affaires. C'est le prévisionnel pour les Laboratoires Mességué, qui s'appuient sur 40 nouveaux produits pour doper ses ventes, et une expansion vers la Corée du Sud, les USA ou la Belgique.

« Cette aventure rejoint mes convictions »

Philippe Ginestet n'a pas été avare en compliments, pour l'inauguration. Saluant les efforts et le dynamisme de l'équipe en place, depuis la direction jusqu'aux salariés, et l'aide de Raymond Vall à la filière, il a rappelé que cette entreprise devait être délocalisée, 16 ans auparavant. «M'engager dans cette aventure allait plus loin que le simple investissement, cela rejoint mes convictions» a-t-il affirmé. Un discours galvanisant, qui va de pair avec le constat que «depuis 5 ans le chiffre d'affaires progresse», et que «Mességué est leader des ventes d'huiles essentielles». Au cours de la visite des locaux, Philippe Ginestet n'a pas manqué de relever, souriant et confiant, que l'immense hangar des expéditions est prévu pour une expansion, et «pour quelques années encore !»

Source la dépêche : Marc Centène

À Fleurance, on ne présente plus Jean Dupuy ! Il est l'horloger, avec un grand «H», une véritable référence dans son domaine, un domaine où le savoir se transmet au fil des ans d'une manière de plus en plus confidentielle. Mais il y a heureusement une relève qui s'annonce avec la présence chaque année d'un ou deux stagiaires, préparant un diplôme d'horlogerie. Et actuellement dans l'atelier de Jean Dupuy, préparant pour l'instant un CAP d'horlogerie, avant de poursuivre plus loin son cursus professionnel, il y a Edwin, tout juste 18 ans, passionné par ce métier. Il effectue donc un stage d'une durée d'un mois afin de clore son année scolaire. Sa passion pour l'horlogerie date de plusieurs années. C'est donc un convaincu. Il dit lui-même : «Ce métier est fantastique ; il allie à la fois des qualités intellectuelles, artisanales, de minutie, de patience, mais aussi artistiques». Pour Edwin, les principales qualités d'un horloger sont la patience, la précision, la technicité. Sans oublier certaines qualités physiques comme une excellente vue ! Mais ne faut pas oublier la passion qui doit tout englober. Edwin a conscience que l'horlogerie est un vaste domaine et à ce titre il y en a un qui l'attire plus particulièrement, c'est la restauration. Restauration de pièces horlogères anciennes, datant de plusieurs siècles… «C'est émouvant», confie notre futur horloger. De Jean Dupuy, Edwin a beaucoup appris durant son stage ; ses méthodes notamment en soudure et brasage, qui diffèrent du classique. De ce stage, Edwin a ainsi acquis la certitude qu'il ne s'est pas trompé de voie. Primordial. À l'issue de son CAP, il poursuivra pour obtenir le Brevet des métiers d'art, puis encore le Graal des horlogers : le Diplôme des métiers d'art.

Source la dépêche

Nous avions annoncé dans nos colonnes le 23 mai, la fin de l'aventure pour Denise Lambert et sa société Les Bleus de Pastel de Lectoure, et la reprise de l'entreprise par deux anciennes employées et un agriculteur. Cécile Gex, Séverine de Breucker et Jean-Marie Neels ont de l'énergie à revendre, et beaucoup d'idées, pour développer et rajeunir l'image du «bleu». «Quand la liquidation judiciaire a été prononcée, on n'a pas pu se résigner à la perte de ce savoir-faire acquis aux côtés de M. et Mme Lambert», explique Cécile Gex. Après 10 ans dans la teinturerie, et 15 ans pour sa collègue Séverine, elles ont toujours la même passion pour ce bleu unique. «Je trouve fabuleux que Lectoure ait donné son nom à une couleur, on voulait vraiment que l'activité reste ici, dans la ville», poursuit la teinturière. Le futur local, au 55 de la rue Alsace-Lorraine, constitue une première étape pour remettre le Bleu au cœur de Lectoure. «Nous voulons reprendre l'activité de teinture sur une plus petite échelle avec des créateurs de Midi-Pyrénées. Plus tard, on envisagera des quantités plus importantes.» Dans le magasin, le client pourra toujours trouver vêtements ou linge de maison, dans des collections réactualisées. Mais il sera toujours possible de visiter l'atelier et, à terme, des stages adultes ou enfants pourraient bien se mettre en place. Conscients du potentiel touristique du bleu de Lectoure, et de la demande des touristes, les repreneurs réfléchissent même à organiser des manifestations à l'échelle de la ville pendant la période estivale.

Mais sans forcer le pas : si le projet a trouvé son financement, il repose sur une économie fragile. Il faut reprendre des contacts, trouver les fournisseurs, achever le magasin… Les pistes sont nombreuses, qu'il s'agisse des beaux-arts ou du textile. Ce qui est sûr, c'est que le précieux pigment ne manquera pas. «Il est cher, mais nous avons réussi à nous en procurer. Et pas en Chine !», s'amuse Cécile Gex. Jean-Marie Neels fournira à terme un pigment 100 % gersois, qui fera encore baisser les coûts de production. Forts de leur expérience et d'une bonne dose de réalisme, les trois continuateurs du bleu de Lectoure entendent bien faire partager leur passion au plus grand nombre et par-delà les frontières du Gers.

EAUX USÉES. Après la phytoépuration, voilà que le CSTB donne son très officiel agrément à un nouveau système d'assainissement naturel, la lombri-épuration. C'est la toute jeune entreprise SOHÉ assainisssement qui récolte le sésame. Son idée : filtrer et épurer les eaux grises et noires dans un lit douillet et aéré de plaquettes de bois (chêne et peuplier) habité par une grande très grande famille de vers de terre. Les effluents passent d'abord par un poste d'injection avec pompe dilacératrice. Ils arrivent ensuite dans le bassin, conçu à l'intérieur d'une cuve en blocs à bancher de 2.2 mètres de profondeur. L'entreprise au sol n'est que de 8 m² pour 5eq. habitants. Quand le substrat aura réduit de moitié, en quatre à cinq ans d'après le concepteur, il faudra soit le changer soit le compléter avec de nouvelles plaquettes. Quatre points forts pour ce procédé : l'entretien quasi inexistant, l'utilisation possible par intermitence (logement secondaire ou longue absence dans l'année par exemple), l'autoconstruction relativement aisée, le montage possible hors sol et/ou loin de la maison même en cas de dénivelé. Comptez 5 600 € HT hors terrassement et maçonnerie. Conditions négociables pour les autoconstructeurs qui voudraient prendre en charge tout ou partie du chantier.

Source La Maison écologique - Juin/Juillet 16

Renseignements SOHÉ - pépinière d'entreprises ZI La Couture 32700 LECTOURE - 05 62 29 52 64 Facebook https://www.facebook.com/soheassainissement/

Pas de ruban à couper vendredi après midi pour l'inauguration du nouveau bâtiment des Vergers de Gascogne en zone industrielle à Fleurance, mais plantation d'un pêcher qui est tout un symbole pour cette entreprise. En effet, Pascal Lafont, le propriétaire des lieux, l'a rappelé dans son intervention en précisant que Jean Porterie, arboriculteur, avait en 1946 eu l'excellente idée de mettre la pêche blanche en conserve et d'implanter une usine à Montestruc où il a affiné sa recette au fil des ans. Cette pêche blanche entière, avec noyaux, pelée à la main a séduit depuis 70 ans les prestigieuses maisons et restaurants parisiens et on la trouve également à l'exportation dans une quinzaine de pays dont le Japon, Les USA ou encore en Angleterre ou en Allemagne. « Pour durer, il faut innover » dit Pascal Lafont. C'est ainsi que tout en conservant l'esprit des Vergers de Gascogne plus de 150 recettes sont élaborées dans ces ateliers et depuis 10 ans transforme aussi les légumes conventionnels et bio.

« En 2013, précise Pascal Lafont, en rachetant cette entreprise deux grands changement se présentent en moi : une nouvelle activité après avoir travaillé 25 ans dans l'informatique et une nouvelle terre d'accueil : le Gers. Ces deux défis ont été relevés avec succès en m'appuyant sur une équipe de collaborateurs motivée, qualifiée, fortement impliquée et rencontrer des gersois qui m'ont accueilli et soutenu dans mon aventure». L'année suivante il constate que cette vieille usine, trop petite, pas fonctionnelle, plus aux nomes ne permet pas d'aborder la croissance souhaitée. C'est là qu'interviennent la CCLG, les divers partenaires économiques et l'architecte Jean Louis Jérémie pour construire ce nouveau projet que l'on peut voir aujourd'hui et qui reste sur le territoire de la Lomagne.

En février 2017 cette nouvelle usine de 2 500 m2 permettra de doubler la capacité de production, le chiffre d'affaires, et d'ici 3 ans de recruter de nouveaux collaborateurs tout en continuant de transformer fruits et légumes de la région. « C'est un bel exemple qui colle avec nos priorités » conclura Ronny Mazzoleni après avoir félicité l'investisseur.

Source La Dépêche

François Lepetit, gérant de la société éponyme, entreprise de maçonnerie qui existe depuis plus de 90 ans, fait le point sur la conjoncture actuelle : «Ce n'est pas l'engouement dans le secteur d'activité du bâtiment, même si ce n'est pas dramatique puisque nous avons du travail pour nos équipes. Ces dernières années, le bâtiment gersois a dû se séparer et ne pas embaucher de salariés à cause de la baisse d'activité. Nous avons une visibilité sur six à sept mois, au lieu d'un an et plus auparavant. Les beaux jours arrivent et, à nouveau, les gens ont envie de faire des travaux. Nous avons une clientèle fidèle, étrangère (notamment anglaise) et si on voit que l'immobilier bouge un peu, l'activité bâtiment suivra. On est loin de l'euphorie des années 1993 à 2006 qui ont été très favorables pour le bâtiment (surtout dans la restauration en pierres de demeures anciennes, notre activité principale). Aujourd'hui, les gens n'ont pas toujours de sécurité de l'emploi et les projets n'aboutissent pas en totalité (souvent coupés en tranches), même si les taux d'intérêt des banques sont bas. Nous avons actuellement une quinzaine de salariés mais pas assez de visibilité pour embaucher du personnel». François Lepetit ajoute : «Ce qui est un frein, ce sont les formalités pour embaucher : il faudrait simplifier, trop de complications administratives, et surtout revaloriser les métiers manuels pour attirer les jeunes. Pour cela, former des apprentis (nous en formons de moins en moins) qui seront demain les ouvriers qualifiés dont nous avons besoin». François Lepetit et son père Gilbert, qui l'accompagne encore, sont désormais installés dans leurs nouveaux locaux de la zone industrielle de Naudet : «Nous avons tout regroupé depuis janvier 2014 ; c'est beaucoup plus fonctionnel, nous avons tout sur place et nous perdons moins de temps».

Source La Dépêche

Yannick Ferronato et sa quinzaine de saisonniers sont en plein «boum» : chaque jour, ils ramassent 500 kg de fraises bios de Pergain Taillac. Pour celui qui a créé le magasin Biocoop à Auch, «à nous de garder l'équilibre entre qualité et quantité».

Avec ses petites lunettes noires, sa chemisette, ses chaussures de ville, Yannick Ferronato fait sans aucun doute tomber les clichés sur l'agriculteur biologique. Les chiffres sont d'ailleurs impressionnants : sur 3 hectares, à Pergain-Taillac, ce chef d'entreprise produit «entre 20 et 30 tonnes de fraises», selon les années. Ici, jusqu'à mi-juin et la fin du gros de la récolte, entre 15 et 20 salariés ramassent et empaquettent les fruits. Du bio… en quantité industrielle ?

«C'est vrai que l'enjeu, c'est de garder l'équilibre entre quantité et qualité, répond le producteur. De ne pas tomber dans les excès de l'agriculture conventionnelle, de produire, produire, sans trop se poser la question de la qualité. Mais en même temps, le marché est là, il faut pouvoir y répondre. Et puis, notre objectif, c'est que la bio ne soit pas élitiste. Qu'il n'y ait pas juste des fraises très gustatives mais que pas grand monde peut s'acheter. C'est pour ça qu'on se creuse la tête.»

Oui, au milieu de ces 90 000 pieds de gariguettes et autres cléry ou joly, celui qui s'est lancé dans le bio depuis plus de 15 ans parle aussi «marché», «consommateurs» ou encore «solidité de la fraise pour qu'elle puisse résister à l'expédition.»

Il ne «tape» pas…

L'exploitation participe d'ailleurs en ce moment à un test sur des fraises pour les confituriers. L'agriculteur ne s'en cache pas : «Je ne produis jamais sans savoir ce que je vais vendre».

Alors, notamment pour écouler sa production, Yannick et cinq autres associés ont créé en 2006 le magasin Biocoop à Auch. «Avec un vrai succès», se félicite l'entrepreneur. Qui en est convaincu : «L'agriculture de demain sera biologique». Une sorte de stratégie de la force tranquille : le mouvement est en route, essayons de l'accélérer sans le brusquer. «Je ne fais pas partie des producteurs bios qui tapent sur les agriculteurs conventionnels. On leur a demandé de produire beaucoup, à une certaine époque, ils l'ont fait. Aujourd'hui, si on leur demande de produire proprement, ils le feront.»

Ce d'autant plus que, assure M.Ferronato, «la bio, ça vaut le coup !» Il y a 3 ans, le Gersois a pris la présidence de la coopérative des Agriculteurs Bio du Sud-ouest. «Je peux vous dire que les agriculteurs en bio vivent décemment, y compris dans des productions comme le lait, par exemple…».

«L'année a bien commencé »

Ces temps-ci, pas moins de 500 kg de fraises bios sortent chaque jour de l'exploitation de Yannick Ferronato. «L'année a bien commencé, admet le chef d'entreprise. Ce n'est pas explosif en qualité, parce qu'il manque un peu de soleil, qui provoque de la montée en sucre et en arôme. Et puis il n'a pas fait très froid cet hiver, donc les pieds n'ont pas fait beaucoup de feuilles de végétaux. Donc on craignait qu'ils ne soient pas trop résistants, mais en fait, ça va bien ! Après, on craint les gros coups de chaud. Mais, pour le moment, tout se passe bien». Les quantités ne devraient toutefois pas «être énormes»… et donc les prix sont «plutôt élevés». Il faut dire, souligne le Gersois qu' «on n'est pas très nombreux en fraise bio. C'est un des fruits les plus sensibles aux attaques de parasites et aux maladies.» Pourtant, ici, «on s'en sort bien, mais il faut toujours être très prudent.» Quelle est donc la recette du succès ? «Je fais un engrais vert. Et puis la solution, ce sont toutes les ‘mauvaises herbes' qui font vivre toutes les faunes auxiliaires, qui sont donc pour nous des bonnes herbes. On travaille avec arbres et paysages pour amener de la biodiversité.»

Source La Dépêche

Ce jeudi 21 Avril, s’est déroulé un ECOnviviale à la Lomagne Gersoise  sur le  thème de  « Apprentissage : financement et réglementations ».

Le président de la Lomagne Gersoise, Jean Louis CASTELL, a accueilli une dizaine de chefs d’entreprises, venus échanger autour de l’apprentissage.
Alexis PHAM, directeur de l’Ecole des Métiers de Pavie, a présenté les opportunités que représente l’apprentissage, les modalités et les financements de l’Etat.
Apres de nombreux échanges sur cette thématique, Jean-Louis CASTELL, Président de la Lomagne Gersoise a souligné l’importance de la transmission des savoir-faire locaux, et estime, en l’occurrence que l’apprentissage est une opportunité dans un contexte de vieillissement de la population.
D’ailleurs les acteurs économiques peuvent retrouver la présentation d’Alexis Pham sur :

http://pole21.com/sites/default/files/Pr%C3%A9sentation%20apprentissage%20EDM%202016.pdf

 

Daniel Ligardes, l'un des gérants de Ligardes Bricoelec, répond à nos questions sur le contexte économique : «J'ai remarqué la progression des ventes des packs alarmes, en raison de la recrudescence des cambriolages. Globalement, nous avons beaucoup de travail ; notre seul véritable problème, c'est la marge. Le développement de nos activités génère le besoin de quatre embauches. Or, notre recherche, entamée plusieurs semaines, n'a pas permis de recevoir des candidatures adaptées, c'est-à-dire des personnes qualifiées. Mon entreprise a dû faire appel à deux chasseuses de têtes, ce qui induit un coût supplémentaire pour ma société. Ce qui nous incite à embaucher, c'est notre masse de travail et notre volonté de pérenniser l'entreprise : préparer un départ à la retraite par un contrat de génération et répondre à nos objectifs de réactivité, de services et de développement». Au sujet de la deuxième version de la loi Travail présentée par le Premier ministre Manuel Valls, Daniel Ligardes estime : «Il nous faudrait plus de souplesse : quand il y a du travail, on travaille ; quand il y en a moins, on travaille moins, bien sûr, en accord avec nos employés». Malgré ce contretemps lié aux difficultés d'embauches (que nombre de PME constatent), Ligardes prépare activement sa journée «portes ouvertes» spéciale piscines, le vendredi 15 avril.

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Dans la soirée du 11 mars, à la halle polyvalente de Lectoure, l'Association de commerçants, artisans et professions libérales de Lectoure (ACAL) a organisé un apéritif dînatoire festif et amical afin d'attaquer du bon pied la saison 2016. Une quarantaine de commerçants ont répondu à l'invitation, ce qui a permis de nombreux échanges. La nouvelle coprésidente de l'ACAL, Laëtitia Pachoud, a prononcé un discours attentivement suivi par l'assemblée et a annoncé les grandes lignes des animations de l'année 2016, à savoir les moments incontournables comme Pâques, la fête des Mères et celle des Pères, les marchés de nuit. L'ACAL a renouvelé son partenariat de communication avec la radio «Hit FM 32» et conserve ses autres partenaires : la mairie de Lectoure, la communauté de communes et, bien entendu, les commerçants adhérents de l'ACAL. Le nouveau bureau entend redynamiser le Lectourois et garder les gens dans notre ville de Lectoure, notamment grâce à une stratégie de communication quotidienne.

Lebureau : Laëtitia Pachoud et Philippe Joseph, coprésidents ; Nathalie Danflous, secrétaire ; Sylvie Aché, secrétaire adjointe ; Sylvie Couderc, trésorière ; Gaëlle Lascombes, trésorière adjointe.
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La sous-préfète de Condom, Marlène Germain ; le président de la communauté de communes, Jean-Louis Castell, et le président de la chambre de métiers, Guy Sorbadère, accompagnés de Charlette Boué, conseillère départementale, et Ronny Mazzoléni, conseiller régional, ont effectué, jeudi dernier, une visite chez les Taxis Lucien. Reprise depuis octobre 2015 par Lucien Bourguignon, l'entreprise propose un service personnalisé pour effectuer des transferts d'ordres privés ou professionnels. Recruté il y a deux ans en CDI par l'ancien chef d'entreprise, le jeune homme de 27 ans a indiqué que la reprise a été rapidement évoquée entre eux et qu'ils ont ainsi pris le temps nécessaire pour bien l'organiser.

«Dans le Gers, près de 30 % des chefs d'entreprise seront confrontés à une problématique de transmission-reprise dans les cinq ans à venir, et, souvent, un manque d'anticipation peut conduire à des difficultés», explique Marlène Germain. Une action consistant à encourager les transmissions-reprises a donc été considérée comme prioritaire par les partenaires du service public de l'emploi de Condom et la chambre de métiers et de l'artisanat.

Cette transmission exemplaire a permis d'illustrer la mobilisation des différents mécanismes d'aide dont le jeune chef d'entreprise a bénéficié : un prêt «initiative artisanale gersoise» de 18 000 € accordé par la chambre de métiers, une prochaine avance remboursable de la Lomagne gersoise pour accompagner le rachat d'une licence supplémentaire. L'activité se développe si bien que le jeune chef d'entreprise a déjà pu embaucher grâce aux aides à la création d'emploi prévues par le fonds de revitalisation Intermarché destiné à la zone Lomagne. Un coup de pouce précieux pour une zone qui en a besoin et pour un jeune homme plein de projets.
Source La Dépêche

Il est rare que les employeurs se retrouvent directement face aux chercheurs d'emploi et qu'ils soient présents avec plus de 200 propositions de travail. Dans ce contexte inhabituel avait lieu, hier, au centre culturel et sportif, la 2e édition du Forum de l'emploi. Pour l'occasion, la Lomagne gersoise, la ville, le CCAS et les services de l'emploi du Gers avaient invité les chefs d'entreprise et les décideurs de ce territoire à cette rencontre qui a permis aux demandeurs d'emploi d'entrer en contact avec les responsables d'entreprise ou de connaître des offres au niveau national.

Parmi les invités, on notait la présence de Marlène Germain, sous-préfète de Condom ; Raymond Vall, sénateur, maire de Fleurance ; Ronny Mazoléni, conseiller régional, le président de la chambre des métiers, les élus départementaux et les représentants des services de l'Etat. Le sénateur-maire s'est réjoui de cette manifestation qui a drainé près de 900 personnes sur un même site et une cinquantaine d'entreprises. Jean-Louis Castell, président de la CCLG, regrettait toutefois que des emplois proposés ne soient pas pourvus.
Source La Dépêche

La brasserie du Vaillant-Fourquet renaît à Miradoux. Fondée par deux jeunes Lillois en 2010, Claire et Laurent, cette toute petite brasserie artisanale s'est petit à petit, développée, s'est faite connaître des restaurateurs et des marchés de Lomagne.

Ses créateurs ayant d'autres projets de vie, trois jeunes entrepreneurs ont décidé de reprendre l'affaire, de la faire évoluer, grandir et prospérer. Nicolas Glévard, Yann Roumégoux et Sébastien Biasiolo sont les nouveaux dirigeants de la brasserie du Vaillant-Fourquet. Yann a quitté son précédent emploi pour venir se former durant plus de 8 mois auprès de Laurent au difficile mais passionnant métier de brasseur.

Tous les produits entrant dans la composition de la bière sont entièrement labellisés bio. Le malt venant précédemment d'Allemagne est produit maintenant vers Montauban par un agriculteur local et le houblon vient d'Alsace. Les grandes cuves métalliques sont en phase de fermentation et la fabrication de nouvelles cuves est à l'étude, ce qui permettrait ainsi d'accroître le volume de production, actuellement de 400 l, vers 1.000 l par semaine afin de largement diffuser ce produit par un réseau de distributeurs et grossistes. «C'est un vrai plaisir d'imaginer une recette, de la réaliser à partir d'ingrédients de qualité : malt en grain et houblon en cônes, pour enfin goûter la bière qui en découle et pouvoir apprécier le mariage des saveurs qui s'opère au cours de la fermentation. Nous aimons plus encore travailler nos matières premières : il existe toute une palette de malts différents aux noms évocateurs : caramel, biscuit, lchocolat, fumé, etc. C'est leur association dans différentes proportions qui donne son caractère à la bière. Les nombreuses variétés de houblon sont également mises à l'honneur dans nos recettes afin de donner à chaque bière un arôme marqué et différent.»

La brasserie du Vaillant-Fourquet propose un éventail de bières différentes, blondes, ambrées, rousses, blanches et noires. L'entreprise a, dernièrement, été distinguée comme entreprise locale dynamique et innovante par le Crédit Agricole.

Source La Dépêche

L'objectif avoué : lutter contre la désertification médicale qui frappe le département. Et la journée de mardi a été très chargée pour les internes des hôpitaux qui ont suivi une formation spéciale sur les risques chimiques et la radioactivité. L'occasion ensuite de visiter la maison de santé, l'EPSL, et de connaître Fleurance grâce à une projection vidéo.

Une quarantaine de futurs médecins, actuellement en stage à l'hôpital d'Auch ou chez des médecins généralistes dans le cadre de leur cursus universitaire, après avoir passé la journée à la caserne des pompiers, étaient invités à la maison de santé, accueillis par les docteurs Bellanger, Leydet et Charrière qui ont expliqué le fonctionnement et ont fait partager leur expérience. Le docteur Jean-Marc Castadère, président départemental des médecins urgentistes, leur a parlé de son métier : «Etre médecin en zone rurale n'est pas une corvée, c'est très enrichissant sur le plan humain.»

Bernard Gendre et Charlette Boué, conseillers départementaux, ont expliqué la partie financement de cet établissement moderne et spacieux, tout comme Ronny Guardia-Mazoléni, conseiller régional, pour la partie Région. Les internes ont ensuite échangé avec les médecins et ont pu se rendre compte de la complémentarité entre les établissements de santé qui se trouvent sur le même site, auxquels il faut ajouter les cabinets paramédicaux (infirmières, dentistes, kiné…).

C'est ensuite dans la salle du conseil municipal que le sénateur-maire Raymond Vall a présenté tous les atouts de Fleurance et du bassin de vie de la Lomagne gersoise, en présence du président de la CCLG Jean-Louis Castell, des chefs d'entreprise et des pharmaciens.

Serge Boyer (CPAM) a fait découvrir les aides apportées aux cadres qui viennent s'installer dans la région et à leurs conjoints (métier, logement, scolarité pour les enfants…).

En fin de journée, une interne s'est dite satisfaite de cette visite, espérant que ce genre de rencontre se généralise. En prenant conscience des avantages d'exercer en zone rurale, certains tenteront peut-être l'expérience, et c'est tant mieux.

Source La Dépêche

La Chambre d’Agriculture du Gers et la Commission des Marchés au Gras du Gers organisent une réunion d’information pour les producteurs de la filière avicole mardi 8 mars à 14h30 à Samatan

L’entreprise SOHE assainissement, hébergée à la Pépinière d’entreprises de Lomagne à Lectoure, vient de recevoir l’agrément ministériel pour son dispositif de traitement. Ce système d’assainissement individuel ou semi-collectif innovant, écologique et économique repose sur un principe de filtration des eaux usées par l’association étroite des lombriciens et des microorganismes.

L’entreprise SOHE,  composée de Jean Marc et Jean Michel HERNANDEZ, et d’Alain EGLEMME, précise que « cet agrément ministériel vient récompenser des années de recherche en collaboration avec le CSTB (Centre Scientifique et Technique du Bâtiment) de Nantes, qui a effectué l’ensemble des tests pour la validation du fonctionnement de ce dispositif ». Jean Marc HERNANDEZ rajoute que « plusieurs brevets ont été déposés afin de garantir l’exclusivité de la conception ».

Raymond VALL, Sénateur du Gers, et Jean-Louis CASTELL, Président de la Lomagne Gersoise, se réjouissent de cette nouvelle qui concrétise la forte détermination de cette entreprise et marque aussi le positionnement de la Lomagne Gersoise en un véritable territoire d’accueil, d’innovation et d’excellence économique.

Pour les dirigeants de SOHE, le choix de la Pépinière d’entreprises de Lomagne pour développer leur activité a été le détonateur pour la réussite de leur projet. En ce sens, Alain EGLEMME souligne l’accompagnement de la Lomagne Gersoise dans ce projet, et il remercie également Raymond VALL pour son soutien et son accompagnement de la demande auprès des ministères de « l’Écologie, du Développement Durable et de l’Énergie », et celui des « Affaires Sociales, de la Santé et des Droits des Femmes ».

La prochaine étape pour l’entreprise SOHE est la commercialisation de ce dispositif. Jean Marc HERNANDEZ, rajoute que « maintenant que nous avons l’agrément, nous allons passer à la vitesse supérieure en terme de commercialisation ». Il se félicite à ce titre du projet de création d’ateliers de production en extension de la pépinière d’entreprises qui leur permettra de développer leur activité sur le territoire de la Lomagne Gersoise. Pour tout renseignement auprès SOHE assainissement : 06-45-46-46-64 ou jmarc.hernandez@sohe-group.com

Contact développement économique : Olivier de Witte 05 62 29 52 42 – service-economie@lomagne-gersoise.com

 

La CAPEB et la Maison de l’Artisan ont réuni une vingtaine d’artisans gersois vendredi dernier dans les locaux de la Pépinière d’entreprises de Lomagne.

Guy SOBADERE, président de la CAPEB et de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat a souligné l’importance pour les entreprises de s’informer des nouvelles réglementations et des modifications 2016 des marchés privés dans le secteur de la Construction.

Le président de la Lomagne Gersoise, Jean-Louis CASTELL, a notamment rappelé le volume d’investissement important réalisé chaque année par la Lomagne Gersoise (dont actuellement les travaux de construction des ateliers de la Pépinière…) qui permet de donner de l’activité aux entreprises artisanales gersoises.

Dans le cadre de sa mission d’information des entreprises du bâtiment, Mme REY (chargée des affaires techniques) et M. GUINOISEAU (Secrétaire Général de la CAPEB) ont présenté les aides aux travaux (modifications 2016 issues de la loi de finance), ont fait un rappel sur les assurances et la TVA avant de conclure sur une présentation de deux chartes :

  • l’assainissement non collectif (partenariat CAPEB-CNATP-SPANC-Département),
  • les adaptations du logement au vieillissement de la population (partenariat CAPEB-CARSAT)

Les nombreux échanges qui ont suivi ont permis aux artisans présents de bénéficier de précieux éclairages sur les nouvelles règlementations.

Pour des renseignements complémentaires, contactez la Maison de l’Artisan du Gers au 05 62 05 80 20 – contact@upa32.fr ou le service économie de la Lomagne Gersoise au 05 62 29 52 40 – pepiniere@lomagne-gersoise.com

Les Fleurons de Lomagne recevaient, jeudi 4, la visite d'un groupe d'étudiants de Sud Management Entreprise, école basée sur le site de l'Agropole d'Estillac à Agen. Les élèves en formation d'enseignement supérieur en alternance (bac + 3) découvraient le site des Fleurons de Lomagne dans la zone industrielle.

Une entreprise familiale spécialisée dans l'élaboration de colis cadeaux et qui a ouvert 5 boutiques ainsi qu'un site internet de vente. Une quarantaine de salariés à l'année, qui devient une centaine en pleine saison de colisage. Le succès de l'entreprise repose entre autres sur la collaboration avec des producteurs de qualité et une offre régulièrement renouvelée.

Par petits groupes concurrents, les étudiants doivent faire une étude de gestion de projet qui touche à la stratégie de développement de l'entreprise. Ils vont monter un «business plan» en fouillant les tendances du marché. Le projet le plus créatif et le plus innovant sera récompensé. Régis Liot, directeur de l'entreprise, sera présent lorsque les étudiants présenteront leur projet.

Sud Management Entreprise forme des responsables du développement commercial et des responsables managers de la distribution. Ils étaient accompagnés de deux encadrants, responsables d'entreprises, et d'Éric Martinelli, responsable de l'alternance.

Source La dépêche du Midi

A l'initiative de la chambre de métiers et de l'artisanat du Gers avec le soutien du conseil départemental, le prix des artisans écoresponsables, dont la première édition a été lancée en 2015, est destiné à recenser et valoriser les actions en matière de développement durable menées par des entreprises artisanales du territoire gersois.

Le jury, composé de professionnels et d'établissements publics, a retenu 10 actions exemplaires dans le domaine environnemental (eau, énergie, réduction de déchets, qualité de l'air), sociétal ou social (santé, sécurité, solidarité, insertion) et économique (responsabilité, engagement, éthique) ayant un impact durable sur les clients, les salariés ou le territoire dont celle de la boulangerie «Le Petit Gascon» à Sainte-Mère.

L'initiative de M. et Mme Dumaine de transformer l'alimentation en énergie de leur fournil par une combustion utilisant des granules de bois a été ainsi reconnue par ce label.

Cet investissement intelligent et écologique leur a surtout permis de réduire de moitié leur facture énergétique et leurs émissions de CO2.

Bravo donc à cette heureuse initiative.

Source La Dépêche du Midi

Jeudi soir avait lieu l'inauguration d'une nouvelle agence immobilière à Lectoure : Sélection Habitat qui se situe au 84 ter, rue Nationale. Jean-Stéphane et Nav Vilain sont les responsables et les créateurs de cette agence qui fait partie d'un réseau immobilier spécialisé dans les maisons de caractère. Eux-mêmes sont basés au siège à Rodez. Il s'agit d'une agence franco-anglaise qui est à la recherche de jolis biens immobiliers et de nouveaux négociateurs pour rejoindre l'équipe. Nous leur souhaitons une bonne installation et beaucoup de réussite.

 

Source La dépêche du Midi

A l’initiative de la Chambre de Métiers et de l’Artisanat du Gers, le Prix des artisans écoresponsables, dont la première édition a été lancée en 2015, a valorisé des actions écoresponsables menées par des artisans du territoire gersois.

Le jury, composé de professionnels et d’établissements publics a retenu 10 actions exemplaires ayant un impact durable sur les clients, les salariés ou le territoire, dont celle de la boulangerie le petit Gascon à Sainte-Mère.

L’initiative de M. et Mme Dumaine de transformer l’alimentation en énergie de leur fournil en utilisant la combustion de granulés bois, a été ainsi reconnue par ce label.

Cet investissement leur a surtout permis de réduire de moitié leur facture énergétique et leurs émissions de CO².

Rendez-vous était donné, vendredi dernier, à tous les membres du Club Entreprendre en Gascogne pour la traditionnelle soirée de lancement de saison. C'est à Lectoure qu'une trentaine de membres se sont retrouvés pour assister à la réunion de bilan de l'année 2015 et procéder à l'élection de la nouvelle équipe, autour d'un apéritif gourmand. Une fois le nouveau conseil d'administration composé de 12 membres désigné, le nouveau bureau a été élu. Vincent Bloc, nouveau président, sera accompagné, tout au long de son mandat, par des femmes déjà connues pour leurs activités professionnelles : Corinne Mouran et Odile Schaap (secrétaire et secrétaire adjointe), Véronique de Stéfani et Véronique Priou (trésorière et trésorière adjointe). Après la réunion, la soirée s'est poursuivie par le premier dîner de l'année. Déjeuners, ateliers, visites de site, petits-déjeuners thématiques, conférence…, les grandes lignes du programme 2016 seront très vite connues, la première réunion du nouveau conseil d'administration étant prévue jeudi 4 février. Le président Vincent Bloc a posé d'ores et déjà l'objectif de renouveler l'offre d'activités et de redoubler d'efforts avec son équipe pour maintenir le club dans la dynamique engagée depuis plusieurs années. Renseignements sur  www.entreprendreengascogne.fr et sur sa page Facebook.
Source La dépêche du Midi

Dans la continuité du lancement du projet «Plamibio», la société Geosigweb, présidée par Laurent Clergue, nouvellement installée dans la ville, a procédé, jeudi à midi, au premier vol expérimental de drone, en partenariat avec la société Clever-Drone, basée également à Fleurance et qui est dirigée par Jean-Yves Dupin. L'objectif de ce vol et ses résultats de prises de vues vont s'intégrer dans un ensemble d'éléments d'analyses de la biodiversité animale et végétale de cet espace naturel (le sentier de la biodiversité qui se trouve le long du Gers derrière les stades), analyses combinant des missions d'identification et de comptage des espèces réalisées par le Pays Portes de Gascogne, des données météo, des observations satellites… L'objectif de ces travaux est de connaître parfaitement cette zone naturelle pour ensuite lancer des recherches de zones identiques sur de grands territoires depuis des satellites d'observations de la terre. Le temps de réponse sera de quelques heures sur une région géographique de la taille de Midi-Pyrénées-Languedoc-Roussillon. Il pourra ainsi fournir des éléments probants, aidant les réflexions et décisions d'aménagement du territoire. Dans cette démarche expérimentale sont d'ores et déjà associés : la société Clever-Drone, le Pays Portes de Gascogne, la mairie de Fleurance, la communauté de communes de la Lomagne gersoise, l'Ademe et l'Observatoire régional de la biodiversité. La liste des partenaires va continuer de grossir dans les prochains mois pour prendre en compte les activités des différents acteurs du territoire (économie, agriculture, chasse, pêche…). C'est dans le cadre de ce projet «Plamibio» et suite à la volonté du sénateur-maire de Fleurance d'approfondir les connaissances et les méthodologies d'analyses des écosystèmes en se basant sur la dynamique du sentier de la biodiversité que ce premier essai a eu lieu jeudi et qu'il a satisfait tous les intervenants.

Souce La Dépêche du Midi

Des sculptures en pierre blanche sont exposées le long de la RN 21, à hauteur de l'embranchement de la voie menant à la zone industrielle. Elles sont l'œuvre de deux artisans, Jean-Pierre Drevet et Arnaud Gauthier, maîtres tailleurs de pierre et artistes dans l'âme.

C'est par un pur hasard que tous deux sont venus à Fleurance installer leur atelier, Grain de Pierre. Ils ont découvert ce site en 2013, sur les conseils avisés du sénateur-maire qui a expliqué la politique économique de la ville, et ont été séduits par l'espace proposé, entre Fleurance et Lectoure, deux villes chargées d'histoire et de culture, et aussi d'un patrimoine riche en pierres de taille.

Jean-Pierre Drevet a découvert ce métier il y a peu de temps, lors d'un voyage en Italie, à Carrare, région de Toscane d'où partent les plus beaux marbres blancs d'Europe. C'est là, à 3 heures du matin (un hasard), qu'il rencontre une personne qui lui propose de lui faire visiter le site. C'était Franco Baratini, le propriétaire de la carrière «Michael Ange», qui lui a montré ces belles roches qui font, une fois travaillées, de beaux escaliers ou des sculptures des plus impressionnantes.

Son collègue Arnaud Gauthier a fait son apprentissage avec les Compagnons et a eu la chance de faire son service militaire à La Réunion, en qualité de formateur de tailleur de pierres. Son expérience professionnelle l'a conduit ensuite en Corrèze et dans le Bordelais. Son ouvrage le plus impressionnant est un kiosque en pierre comprenant huit colonnes de style ionique et une coupole du même matériau. Un travail colossal qui a duré des mois de travail et qui fait sa fierté.

«La pierre est un élément naturel qui permet d'exprimer une dynamique, des sentiments et des sensations avec douceur et force», explique Jean-Pierre, tout en montrant ses œuvres qui, un jour, orneront des sites culturels de notre territoire.

Petite confidence : Fleurance aura aussi une œuvre de ces deux artistes. Nommée «le Petit Prince regardant le firmament avec un télescope»… elle sera présentée lors d'un festival d'astronomie dans les années qui viennent.

Source La Dépêche du Midi

«Non, le redressement judiciaire n'est pas une fin !». C'est ce que clame haut et fort Olivier Gachet. L'intéressé est le patron d'une société d'auto-école fleurantine préparant à tous les permis de conduire ( VL, PL et super PL, FIMO et FCO).

Son histoire ? C'est l'histoire d'une entreprise française tout à fait classique qui a dû faire face à de très nombreux clients qui ont payé plus que tardivement, mettant ainsi en péril l'équilibre financier de l'entreprise. Notre chef d'entreprise fleurantin, dans son domaine, travaille avec des OPCA (organismes paritaires collecteurs de fonds de formation) qui traitent à 6 ou 8 mois, ce fait créant ainsi un trou de trésorerie dont découle un découvert bancaire important.

A ce sujet, l'organisme bancaire d'Olivier Gachet lui a proposé un plan de redressement… Mais très vite notre chef d'entreprise s'est rendu compte que les agios lui coûtaient entre 6 et 7 % et le plan de redressement imposé lui coûtait… 17%.

Olivier Gachet s'est alors retourné vers la pépinière d'entreprises où son histoire et ses problèmes ont retenu toute l'attention des responsables. «Des gens formidables qui comprennent l'humain et qui distillent de précieux conseils» dira l'intéressé. Ainsi, il lui a été conseillé de se placer en redressement judiciaire, cela gelant des dettes et permettant à l'entreprise de se refaire une trésorerie. L'entreprise continue de fonctionner normalement et le mandataire vérifie ce fonctionnement ( et les comptes ) tous les deux mois dans ce cas présent.

Olivier Gachet est satisfait : les clients arrivent en nombre, la trésorerie s'améliore, le fonctionnement de l'entreprise est validé par le tribunal. Dans des cas identiques, la seule voie qui peut sauver une entreprise est le redressement judiciaire. Il ne faut pas en avoir peur, loin de là». Notre chef d'entreprise remercie encore les structures locales qui lui permettent de poursuivre son activité.

Source La Dépêche du Midi

Jean-Luc Bernerd, qui exploitait la marque Lip depuis 10 ans, vient de la racheter à Jean-Claude Sensemat. Après une «belle année 2015», le patron dévoile ses appétits, notamment à l'export.

«J'aime dire ce que je fais et faire ce que je dis.» Jean-Luc Bernerd, patron de la manufacture générale horlogère (MGH), qui exploitait Lip depuis 10 ans, est devenu propriétaire de la marque il y a quelques jours. «Ce qui était prévu s'est réalisé, comme Jean-Claude Sensemat et moi-même nous y étions engagés, j'ai racheté Lip via ma société personnelle, JLB Brand», indique simplement M.Bernerd. Qui avoue : «C'est sûr, je suis content et fier, comme tout un chacun qui atteint ses objectifs». Ce changement aura-t-il des conséquences, positives ou négatives sur l'entreprise, ses 35 salariés à Lectoure ? «Non, aucun… ça ne change rien, répond le patron. Tout ce qui a été fait jusqu'à maintenant permet d'envisager sereinement l'avenir.» En effet, MGH a conclu une licence avec la société SMB, basée à Besançon. «C'est un partenaire idéal et il l'a bien montré !, s'exclame M.Bernerd. Les résultats de 2015 sont excellents pour SMB et pour Lip. SMB a trois ans d'avance sur les prévisions : il devait permettre de trouver, en un an, 100 nouveaux horlogers bijoutiers qui vendraient des Lip. On a en fait enregistré 300 ouvertures, ce qui permet d'avoir des ventes au-delà de nos espérances. Malheureusement, nous n'avons pas pu répondre à toutes les demandes… mais nous y travaillons.» Avec des embauches à la clé ? «On m'a dit que les mesures que vient d'annoncer F.Hollande sur l'emploi sont plutôt intéressantes, sourit M.Bernerd, donc on verra. Mais, pour Lip, les projets sont plutôt intéressants, il n'y aura pas de repli, on n'est pas dans l'attentisme.»

Une bonne nouvelle, donc, à contre-courant des résultats internationaux de l'horlogerie, qui sont, pour leur part, plutôt dans le rouge.

Direction Chine

L'une des cibles prioritaires de Lip, pour les années à venir, est l'Asie. «Au Japon, nous avons déjà 200 distributeurs mais nous avons du potentiel et nous sommes en cours de contrat, ce qui nous laisse envisager un chiffre d'affaires intéressant pour 2016», indique le directeur. Et puis il y a LE marché d'avenir qu'est la Chine. Il faut dire que Lip peut s'appuyer sur deux étapes essentielles qui viennent d'être franchies. D'abord, l'horlogerie française a ouvert le mois dernier un magasin à Shanghai «pour promouvoir le savoir-faire français»

Par ailleurs, souligne le nouveau propriétaire, «depuis deux ans, nous avons fait toutes les démarches douanières pour vendre en Chine. C'est long, mais nous venons d'obtenir le droit de vendre directement en Chine. On a mis du temps… mais c'est fait ! En horlogerie, nous savons être patients…»

Source la Dépêche du Midi

Depuis quelque temps, l'entreprise «Gaz-Cogne Service» est installée en zone artisanale du «Couloumé». Eric Rivière en est le gérant et propose à ses clients tous les services liés au gaz auquel il a associé du matériel comme du chauffage d'appoint, des parasols chauffants, des desherbeurs thermiques et aussi des planchas et les produits énergétiques qui vont avec. Cette jeune entreprise emploie deux chauffeurs et une secrétaire. Elle est ouverte tous les jours, de 9 heures à 12 heures et de 14 heures à 18 heures, le samedi, uniquement le matin.
Source la Dépêche du Midi

«Dans un contexte toujours concurrentiel entre les territoires, la Lomagne Gersoise doit faire face et relever pour les années à venir les enjeux qui lui permettront de conserver dynamisme et attractivité.» C'est la remarque faite par Jean-Louis Castell, président de la Communauté des communes, lors de la cérémonie des vœux de vendredi soir devant un parterre d'invités bien garni. Ce soir-là, il a accueilli le sénateur-maire Raymond Vall, Ronny Guardia-Mazzoleni, conseiller régional, les conseillers départementaux dont Xavier Ballenghien et Charlette Boué, les représentants des services publics, les élus et les représentants des autorités civiles militaires et religieuses.

«Nous devons faire mieux avec moins»

Le président a expliqué le sens du projet de territoire de la Lomagne Gersoise qui constitue la feuille de route autour de trois objectifs qui sont de développer les secteurs et filières de l'économie en faveur de l'emploi, d'améliorer l'attractivité du territoire par le développement de l'économie touristique et de structurer avec les communes une offre équilibrée de services et d'équipements à la population. Sur le premier point, il a précisé que «la Lomagne Gersoise a la chance de pouvoir s'appuyer sur un tissu économique dynamique largement tourné vers la production», mais aussi de pouvoir compter sur des décideurs économiques entreprenants et innovants. Il a salué une dizaine de chefs d'entreprise pour leur courage «d'oser, d'investir et de prendre des risques».

Jean-Louis Castell a parlé des travaux réalisés en 2015 et pour l'année à venir la création de 3 ateliers de production en extension de la pépinière d'entreprises et l'extension de la rénovation de l'éclairage public en ZI de Lectoure. «Il faudra développer un tourisme de proximité en s'appuyant sur les atouts du territoire et sur une stratégie de professionnalisation de l'offre touristique». Ce sujet, il l'a particulièrement développé avant de souhaiter à tous une année riche et prospère.

Source la Dépêche

Les élus de la Lomagne gersoise ont déposé hier une motion à la préfecture. Ils veulent mettre la pression à Intermarché, qui a fermé la base de Lectoure, mais n'a pas créé suffisamment d'emplois. Et font des propositions. Taper du poing sur la table… et faire des propositions. Les élus de la Lomagne gersoise ont remis hier au Préfet du Gers une motion du conseil communautaire rappelant les engagements d'Intermarché, qui vient de fermer sa base à Lectoure. «On se sent trahi par Intermarché, témoigne le président de la Communauté de communes, Jean-Louis Castell. À l'occasion du comité de suivi de la revitalisation du site, qui se tenait hier en préfecture, M.Castell assure : «Le Groupement des Mousquetaires s'était engagé à maintenir au moins 70 emplois à Lectoure. Avec l'arrivée du groupe Denjean, dont nous nous félicitons, 10 emplois seulement seront créés en début d'année, et une trentaine à terme. C'est insuffisant !»

Du coup, les élus mettent la pression pour que les Mousquetaires n'abandonnent pas le Gers. «Et nous remercions le Préfet et la sous-préfète qui savent rappeler Intermarché à ses engagements», déclare M.Castell.

Pour mettre un peu plus la pression sur le groupement de distribution, les élus présentent une nouvelle proposition. «Nous voulons faire référencer les entreprises et les produits du territoire sur la base Intermarché de Bressols, qui dessert plus de 160 magasins dans le Sud-ouest, détaille l'élu. Cela leur permettrait de vendre davantage, et donc d'embaucher. Mais, pour cela, Intermarché doit prendre l'engagement de les référencer.»

Quant à ceux qui estiment que cette initiative est tardive, M.Castell répond : «Pour nos emplois et le développement de nos territoires, il n'est jamais trop tard.»

Une première marche aurait été montée avec Ethiquable. L'entreprise de commerce équitable basée à Fleurance pourrait être l'une des premières à occuper les rayons d'Intermarché. «Après, conclut M.Castell, ce sera aux consommateurs d'acheter local.»

«Aider les PME locales»

«Il faut aider les PME locales à créer des emplois. Ce sera bien plus durable qu'avec les grands groupes…» Max Mateos, salarié depuis 17 ans à la base Intermarché de Lectoure soutient la proposition de la Communauté de communes… mais est plus circonspect sur la reprise de la base par Denjean Logistiques. «Ça va être du gros stockage, donc je crains que ça ne crée pas beaucoup d'emplois», déclare-t-il. Ce délégué syndical n'est pas encore licencié : sa mise au chômage doit être validée par l'inspection du travail. La nouvelle pourrait arriver comme un mauvais cadeau de Noël ...

Source la Dépêche

Le projet gersois de laboratoire d'initiative rurale à Fleurance a été retenu par la région Midi-Pyrénées au titre de son appel à projet «Grands projets pour la croissance et l'attractivité des territoires». Il bénéficie ainsi d'une aide régionale de 750.000 €, attribuée à l'occasion de la commission permanente réunie le lundi 16 novembre, sous la présidence de Martin Malvy, à l'hôtel de la région, à Toulouse.

Le projet présenté par la communauté de communes Lomagne gersoise (CCLG) consiste à réhabiliter et aménager plusieurs bâtiments situés au cœur du centre historique de Fleurance afin de renforcer l'attractivité économique et touristique du territoire. Ce projet se compose de trois volets : un incubateur, d'une capacité d'accueil de 8 entreprises, dédié aux activités d'écotourisme et de développement durable, un office de tourisme intercommunal doté d'une conciergerie touristique et d'un espace de promotion-commercialisation destiné à la mise en valeur des produits des entreprises du territoire, un centre de ressources composé d'un espace d'exposition et d'une salle de réalité virtuelle permettant de simuler la visite d'un bâtiment en temps réel. Cet immeuble, situé place de la République, entre le Café du Centre et la Maison de la presse, a été acheté par la ville lors de la séance du conseil municipal du lundi 28 septembre. Les élus, à l'unanimité, ont validé cette acquisition pour la somme de 85.000 € pour y réaliser ce projet touristique et patrimonial incluant un espace dédié à la mémoire de la famille Aboussouan. Camille Aboussouan fut ancien ambassadeur du Liban auprès de l'Unesco, avocat, diplomate, écrivain, bibliophile et traducteur libanais francophone. Celui-ci avait légué, en 2000, au Musée des Beaux-Arts d'Agen une exceptionnelle donation d'archéologie orientale d'environ 1.400 pièces provenant du Liban, de la Syrie et de l'ancienne Mésopotamie. Un souhait de cette famille est de voir revenir cette collection à Fleurance.

Vendredi soir, près de 320 personnes s'étaient réunies à la salle Eloi-Castaing pour écouter Olga Ciesco. Ce rendez-vous a rencontré un beau succès. Une semaine après les terribles attentats commis à Paris, Stéphanie Bloc, présidente du club, a souhaité, en préambule à la soirée, rendre hommage à l'ensemble des victimes et à leurs proches et a fait observer une minute de silence empreinte d'émotions, avant de placer cette rencontre sous le signe de la liberté. La liberté d'entreprendre, de penser, d'agir… Olga Ciesco, synergologue, expert en communication non verbale, est venue ensuite livrer une lecture ouverte de l'autre en décryptant les non-dits et le langage du corps pour apprendre à observer et décoder les gestes et les attitudes qui nous animent tous au quotidien et nous trahissent parfois. Posture globale, mobilité des mains, microdémangeaisons, etc. Au fil d'exemples concrets et de vidéos, Olga Ciesco a dévoilé, avec humour et simplicité, quelques clés pour mieux appréhender ses interlocuteurs. Chacun aura pu y retrouver un peu de son histoire personnelle et y puiser de précieux conseils. Le Club Entreprendre en Gascogne a remercié tous ses partenaires. Les personnes présentes à cette soirée ont participé activement à la chorégraphie finale qui fut un moment de partage et d'échanges. Un autre grand rendez-vous est programmé l'an prochain.

Source La Dépêche

La politique de développement internet Très Haut débit est une nécessité pour les entreprises qui utilisent les nouvelles technologies et qui veulent s'installer sur des territoires tel que le département du Gers où se décentraliser et continuer à pouvoir rester en contact permanent avec le reste de la planète. L'agence J'NOV "spécialisée dans la communication digitale et print" installée à Fleurance et Toulouse en est un exemple.

Dernièrement elle vient d'exporter son savoir-faire sur l'archipel des Caraïbes en créant le site internet de l'office du tourisme de Marie-Galante après une première expérience concluante voici quelques années avec la communauté de commune dont fair partie la ville. Si j'Nov est surtout présente dans le Sud Ouest, l'entreprise a quelques très gros clients en région parisienne comme ce groupement pharmaceutique dont elle gère les 600 sites, 

L'entreprise a été créé en 2002 et se situe à la zone industrielle de la ville: ." Nous créons depuis 14 ans des sites internet : vitrine et vente en ligne; ainsi que tout support de communication : logo, carte de visite, flyer, plaquette..."explique Jean-François Jouet, fondateur et gérant de l'entreprise fondée en 2002 et située à Fleurance, dans la zone Industrielle. Une entreprise qui ne craint pas la crise et qui prévoit en 2016 un agrandissement de ses locaux et un recrutement de personnel. 
  http://www.ot-mariegalante.com

Source Le Journal du Gers

La société Pacific West , hébergée à la pépinière d’entreprises de Lomagne depuis 2010 vient d’être couronnée par le label Saveur de l’Année 2016. Ce  label récompense des produits qualitatifs à la suite d’analyses sensorielles auprès d’un jury de consommateurs. Pacific West est primée pour ses deux produits phares : Tempura Classic  400g et Tempura Cabillaud 250g.

Pacific West composée de  6 salariés, est filiale d’un groupe malaisien; ce dernier fabriquant des produits de la mer élaborés surgelés et notamment le fameux  Tempura, cette enrobage léger  qui accompagne tous types de filets de poisson.  La société distribue ses produits vers le marché de la grande distribution en France et dans toute l’Europe.

Présent depuis 5 ans en Lomagne, l’entreprise internationale  investit à Fleurance, à travers la rénovation d’un bâtiment situé rue de la pépinière à Fleurance afin d’y localiser son siège social.  Les travaux qui se  termineront en juillet 2016, permettront de rénover un bâtiment emblématique de Fleurance. Stéphane Gely, directeur de la société Pacific West, précise que cette labélisation,  décernée par les consommateurs, vient récompenser la qualité des produits. Une fois encore l’excellence de la Lomagne Gersoise est à l’honneur.

Lors d'une journée dédiée aux Scop, jeudi dernier, visiteurs et invités ont pu découvrir la Scop Ethiquable, entreprise solidaire située à la zone industrielle à Fleurance. Rémi Roux, gérant élu de cette Scop et en même temps directeur commercial, par ailleurs président de l'Union régionale des Scop de Midi-Pyrénées, voulait «quelque chose qui ait un sens en plaçant l'homme et son travail au cœur des valeurs».

C'est ce qu'il a expliqué à une cinquantaine de personnes très intéressées par la présentation de l'entreprise et du commerce équitable. En effet, Ethiquable est une entreprise coopérative, autrement dit une Scop où les salariés détiennent le capital. «Depuis dix ans, nous agissons en faveur d'un commerce équitable exigeant et nous soutenons l'agriculture paysanne avec 49 coopératives de petits producteurs partenaires. Chacun de nos produits équitables et bio est issu d'un seul terroir, d'une seule organisation, avec laquelle nous avons identifié un projet de développement et d'autonomisation, explique Rémi Roux. Nous accompagnons sur le terrain les producteurs pour réaliser ces projets de commerce équitable.»

Source la dépêche

M. Régis LABADIE exerce une activité de tourneur, fraiseur et d’usinage de précision dans son atelier de La Romieu.
L’excellent bouche-à-oreille dont il bénéficie lui permet de travailler avec des professionnels de d’industrie et de la mécanique agricole.
De nombreux artisans de la Lomagne Gersoise font également appel à ses compétences, si précieuses sur notre territoire.
Il conçoit et façonne des pièces mécaniques sur-mesure pour les particuliers et les professionnels de tous secteurs.
USILAB 32 – 07 78 35 97 44

Ce vendredi 6 novembre s’est déroulé un petit déjeuner économique à la pépinière d’entreprises de Lomagne sur le thème du « financement participatif : une opportunité pour vos projets ».
Le président de la Lomagne Gersoise, Jean Louis CASTELL, a accueilli une trentaine de commerçants et chefs d’entreprises, venus échanger autour du financement participatif.
Christine Avril de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Gers, en charge de la plateforme de financement participatif Graine de Gers, a présenté les opportunités que représente ce nouveau moyen de financement qui est en fort développement ces dernières années.
En effet, c’est un moyen innovant pour financer son projet en échange d’un produit, d’un service,… Ce canal vient en complément du « financement classique » que sont l’apport personnel et le crédit bancaire.
Les propos de l’intervenante de la CCI ont été incarnés par le témoignage de 2 porteurs de projets du territoire ayant fait appel à ce moyen de financement.
Ainsi, Pauline Stark, créatrice de mode sur Fleurance, a pu récolter la somme nécessaire pour participer au salon du mariage à Toulouse qui se tiendra en janvier. Et Florian Duval, producteur de films à Marsolan, a également utilisé ce moyen pour boucler financièrement une production d’essai.
Vous pouvez retrouver la présentation sur ce thème sur www.pole21.com/petits-dejeuners.
Pour conclure, Jean-Louis CASTELL annonce que le prochain rendez-vous économique L’ECOnviviales se déroulera le 10 décembre à Fleurance à 19h15 avec pour thème « Notation des entreprises à la Banque de France : comprendre le fonctionnement ».

Ethiquable ouvrira ses portes jeudi 12 novembre pour la journée des SCOP et du commerce équitable.

Rémi Roux et son équipe vous proposent une visite de leur entreprise solidaire, suivie d’un repas au restaurant coopératif de Tournecoupe.

Renseignements et inscriptions au 05 62 06 05 06 et sur www.ethiquable.coop
Lire l’article de la Dépêche : www.ladepeche.fr/article/2015/11/04/2210265-journee-des-scop-et-du-commerce-ethiquable.html

Source La Dépêche

C’était la première ECOnviviale, nouveau format d’animation économique, qui s’est déroulée ce jeudi 22 octobre à destination des acteurs économiques de la Lomagne Gersoise avec pour thème « Cyber sécurité : sensibilisation à la protection des données ».
Le président de la Lomagne Gersoise, Jean Louis Castell a accueilli une trentaine de chefs d’entreprises, venus échanger autour de la cyber-sécurité et de la protection des données.
Le Major Crasnier, de la division analyse criminelle et investigations spécialisées de la Gendarmerie Nationale a présenté les nouveaux dangers et les moyens de protection liés aux cybers pirates autour d’un moment de convivialité.
Jean-Louis CASTELL rajoute aux propos de l’intervenant en insistant sur l’importance pour les entreprises de mettre en place une politique de sécurisation aux usages des nouvelles technologies qui sont croissante dans nos sociétés ultra connectées.
A cet effet, tous les acteurs économiques peuvent retrouver le guide des bonnes pratiques en matière de protection des données sur le site de pôle 21 (www.pole21.com )
Pour les prochains rendez-vous économiques, la Lomagne Gersoise proposera :

  • le 6 novembre Petit déjeuner ECO à 8h00 « Financement participatif pour financer vos projets » à la pépinière d’entreprises à Lectoure,
  • le 10 decembre l’ECOnviviale à 19h15 « Notation des entreprises à la banque de France : comprendre le fonctionnement » au siège de la Lomagne Gersoise à Fleurance

Le Président de la Lomagne Gersosie, Jean-Louis Castell, accompagné de l'ensemble des élus de la commission développement économique, et Pascal LAFONT, Directeur Général de l'entreprise "Les Vergers de Gascogne", ont signé ce mardi 20 octobre la convention d'attribution de la subvention allouée à cette entreprise.

L'entreprise "Les Vergers de Gascogne", située historiquement sur la commune de Montestruc-sur-Gers, va bientôt s'installer sur la zone industrielle de Fleurance. Cela fait maintenant un an que les services de la Lomagne gersoise accompagnent cette entreprise, en plein développement, pour lui permettre de trouver un terrain compatible pour accueillir ses nouveaux locaux.

Pascal LAFONT a ainsi fait le choix d'un terrain de 9.200m² sur le Biopôle de Fleurance pour y implanter son nouveau bâtiment, ainsi qu'un nouveau process de production afin de répondre au fort développement de son activité de conserverie qui réalise 2,2 millions de chiffre d'affaires, dont 30% à l'export. Il a souligné la rapidité avec laquelle il a pu obtenir le permis de construire de ce projet de 1,5 million d'euros qui doit lui permettre de doubler son chiffre d'affaires d'ici cinq ans et de recruter de nouveaux collaborateurs dans les mois qui arrivent.

Jean-Louis Castell a rappelé que cette subvention de 130 000 € attribuée par la Lomagne gersoise à l'entreprise permet de faire levier pour qu'elle puisse bénéficier des fonds auprès de la Région et de l'Europe et répond aux objectifs de ce dispositif d'aide pour favoriser l'investissement immobilier et encourager l'emploi. Comme le rappelle Jean-Louis Castell, « l'emploi reste notre priorité pour ce territoire dans un contexte local particulièrement touché actuellement».

Les laboratoires Mességué posaient vendredi 9 octobre dernier la première pierre de leur futur siège fleurantin, et par-delà, de leur futur développement, en présence du personnel et de responsables politiques et économiques. «Les locaux actuels étaient trop vieux, et impossibles à moderniser, explique la directrice générale, Bérénice Guyot. Avec l'appui de Philippe Ginestet, nous allons disposer d'un espace moderne, adapté à notre développement.» Sur le terrain aplani près du rond-point de Gamm' Vert, un bâtiment de 2 450 m2 va sortir de terre pour entrer en activité en juin 2016. Pour cimenter ces premiers parpaings de béton, truelles à la main, le sénateur maire Raymond Vall et le président de la CCI Michel Doligé, ravis de voir un fleuron de l'industrie cosmétique reprendre des couleurs. L'élu soulignait d'ailleurs la performance de la directrice, «qui a su remobiliser le personnel et convaincre Philippe Ginestet d'investir. Ce site est une très bonne chose pour le territoire, et un signal fort pour le dynamisme économique territorial». Ce bâtiment, situé en bordure de la RN21, constituera une véritable vitrine pour la marque. Un salon de démonstration de 100 m2 permettra d'exposer les produits, et de rendre hommage au créateur de la marque. «Nous organiserons également des événements, précise Bérénice Guyot. Ce site accueillera les bureaux, et surtout la logistique et le stockage, totalement repensés.» Un investissement de plusieurs millions d'euros pour Philippe Ginestet, propriétaire des murs, et pour les laboratoires Mességué, mais qui permettra à l'entreprise de faire aboutir ses projets à l'export. «Nous sommes très présents au Japon, mais en 2016, nous visons l'Europe du Nord, le Benelux, et le marché américain», assure, confiante, Bérénice Guyot. Qui ne cache pas son optimisme : «Nous avons un bel avenir pour les 5 années à venir, au minimum !»

Source : La dépêche du Midi

Castel & Fromaget vient d’être distingué pour sa réalisation de la Canopée au Forum des Halles à Paris.
Le 15 septembre dernier à Istanbul, le 1er Prix d'Excellence des ECCS Steel Design Awards 2015 dans la catégorie Centres Commerciaux a été décerné à l’entreprise fleurantine pour son chantier de la Canopée des Halles de Paris http://www.casteletfromaget.fr/canopee-forum-halles-paris
Cette récompense renforce encore un peu plus la reconnaissance du savoir-faire de la filière charpente métallique de la Lomagne Gersoise.
(photo : La Canopée des Halles à Paris - Castel & Fromaget)

Pôle 21, la marque économique de la Lomagne Gersoise

43 communes ont fait le choix de s’unir en Lomagne, dans le Gers pour créer la Communauté de Communes de la Lomagne Gersoise. En Septembre 2014, pour développer l’attractivité économique de ce territoire de 20 000 habitants et plus de 1100 entreprises, la Communauté de Communes décide de créer la marque économique intitulée « Pôle 21 ».

Olivier de Witte, responsable du développement économique de la Communauté de Communes, nous détaille la stratégie économique et d’attractivité mise en place.

Propos recueillis en septembre 2015.

http://www.marketing-territorial.org/2015/09/pole-21-la-marque-economique-de-la-lomagne-gersoise.html

Le dernier conseil communautaire de la Lomagne gersoise s'est déroulé à la salle des fêtes de Montestruc. La modification des statuts était la seule question à l'ordre jour.

En premier lieu, le président Jean-Louis Castell a proposé au conseil de se positionner sur l'adaptation des statuts aux contours des futures communautés de communes imposés par la loi NOTRe (Nouvelle Organisation Territoriale de la République) du 7 août 2015.

Après ces adaptations administratives, les conseillers communautaires ont surtout approuvé le transfert de trois nouvelles compétences qui pourront être assumées désormais par la Lomagne gersoise.

Tout d'abord : le tourisme, dont le transfert a abouti à un consensus grâce au travail de la commission présidée par Pierre-Luc Pellicer. A partir de 2016, la promotion des formidables richesses et qualités de ce territoire, autour du thermalisme, du bien-être, de la culture scientifique, du patrimoine, du tourisme agricole, seront mutualisées à l'échelle de la Lomagne gersoise pour donner plus d'ampleur et de résonance au travail des professionnels et leur permettre d'attirer de plus nombreux touristes.

Dans un contexte difficile pour le département du Gers, les différentes concertations menées par Émilie Dennig ont permis d'engager également le virage du scolaire en Lomagne gersoise. La communauté de communes sera chargée d'accompagner toutes les communes dans la réalisation d'un schéma des bâtiments scolaires et périscolaires, et d'en porter les investissements qui seront décidés sur chaque territoire de regroupement pédagogique.

Enfin, le conseil communautaire a également choisi de proposer que la politique locale du commerce puisse être animée à l'échelle de la communauté de communes. Sous l'impulsion de Suzanne Macabiau, cette décision permettra de poursuivre le travail entrepris par les communes de Fleurance et Lectoure, en lien avec les associations de commerçants,

Le président Jean-Louis Castell s'est réjoui de ces décisions et a félicité l'ensemble de ses collègues pour leur travail et engagement pour la défense des services publics sur le territoire communautaire.

Les Jardins de cocagne de Fleurance s'agrandissent en permanence et investissent également afin d'améliorer leurs méthodes de travail et leur production ensuite.

C'est ainsi, que, suite à un dossier monté par Bruno Mattel, directeur de la structure, le Crédit Agricole a répondu positivement à cette demande d'aide pour un investissement concernant l'achat d'un tracteur.

Samedi matin, Ludovic Le Boulch, directeur de l'agence de Fleurance - Saint-Clar, accompagné de Philippe Sénat et de quatre autres administrateurs, est venu remettre, au nom du Crédit Agricole un chèque de 1 700 € au titre de l'investissement.

Un apport fort apprécié par Bruno Mattel, qui a chaleureusement remercié le directeur et les administrateurs du Crédit Agricole tout en présentant sa performante structure que sont les Jardins de cocagne.

Cette année, l'Association pour la promotion du melon de Lectoure s'est scindée en deux afin de participer à deux animations phares : les marchés flottants du Sud-Ouest à Paris, et les Gasconnades à Lectoure dont c'était la toute première édition. La présidente Marie-Hélène Lagardère et sa fille Emilie sont parties à Paris avec une équipe de bénévoles et plusieurs tonnes de melons, mais aussi des tresses d'ail, avec l'aide de la municipalité. L'objectif étant, bien sûr, de faire découvrir et apprécier non seulement le melon de Lectoure et les produits de chez nous, mais aussi de donner un aperçu du bien vivre dans le Gers. L'association est invitée chaque année par le CDTL et son directeur José-Luis Pereira qui fête cette année les 20 ans du film d'Etienne Chatiliez «Le bonheur est dans le pré». Les départements du Gers, de Lot-et-Garonne et de Tarn-et-Garonne sont les organisateurs de ces journées qui attirent toujours beaucoup de monde. Les membres de l'Association pour la promotion du melon de Lectoure étaient à pied d'œuvre sur leur stand samedi, de 8 h 30 à 22 heures, «avec un énorme succès». Tailler, évider les melons et préparer de jolies assiettes, accueillir, discourir, vendre des melons… et la destination touristique Gers, et, bien sûr, Lectoure ! La manifestation attire toujours beaucoup de Parisiens, de touristes, mais aussi les Parisiens gascons tellement contents de retrouver la chaleur de chez eux.

Les animations reprennent pour les acteurs économiques de la Lomagne gersoise. Les petits-déjeuners économiques ont repris vendredi matin sur le thème de «la transition vers le e-commerce : saisir l'opportunité». Le président de la Lomagne gersoise, Jean-Louis Castell, a accueilli une trentaine de commerçants et chefs d'entreprises venus échanger sur la transition vers le e-commerce. Morgane Verglas et Catherine Maire, de la chambre de commerce et d'industrie du Gers, ont présenté les opportunités de ce canal de diffusion qui permet de développer l'activité commerciale, de faire face à la concurrence accrue par internet, et de s'adapter aux nouveaux modes de consommation. Jean-Louis Castell rajoute effectivement que la plus grande évasion commerciale se situe paradoxalement sur le lieu même de consommation, au domicile des consommateurs, devant leur écran d'ordinateur. Il a recommandé à l'assemblée la lecture du livre de Catherine Barba, «Le magasin n'est pas mort», véritable guide pour réussir sa transition numérique.

Pour les prochains rendez-vous économiques, la Lomagne gersoise innove avec le lancement de «L'ECOnviviales», le pendant des petits-déjeuners économiques, qui permettra aux entreprises d'échanger en fin de journée sur une thématique définie, toujours autour d'un moment de convivialité.

Programme des animations à venir :

Le 22 octobre, l'ECOnviviales, à 19 h 15, «Cyber-sécurité : sensibilisation à la protection des données», 

Le 6 novembre, petit déjeuner ECO, à 8 heures, «Financement participatif pour vos projets»,

Le 10 décembre, l'ECOnviviales, à 19 h 15, «Notation des entreprises à la banque de France : comprendre le fonctionnement».

Lundi soir, en mairie, le sénateur-maire Raymond Vall, le président de la communauté des communes (CCLG) Jean-Louis Castell et Laurent Clergue, directeur de la société Geosigweb de Toulouse, ont signé une convention autorisant cette entreprise à s'installer au dernier étage de la Maison des associations, anciens locaux de la CCLG qui se trouvent rue Gambetta, plus précisément au-dessus de l'actuel office de tourisme.

Laurent Clergue a expliqué, lors de cette miniréunion, que sa société Geosigweb a souhaité s'installer dans notre ville pour y développer son activité dans le domaine de l'intégration des technologies spatiales pour des applications d'aide à la décision destinée aux communes et aux communautés des communes. Ce choix est dû à une dynamique du Pays Portes de Gascogne, de la CCLG et de la ville de Fleurance qui, depuis 2007, souhaitent sur ces bases mettre à profit les compétences technologiques pour les expérimenter sur ces territoires avant de les étendre sur le plan national et, pourquoi pas, européen. En effet, précise le directeur, «depuis le 1er janvier 2015, nous œuvrons dans un consortium industriel avec le CNES, ATOS, l'IGN et six autres partenaires (projet SpaklinData) . Notre rôle est la définition et l'expérimentation de cas d'usages du spatial pour les collectivités locales (en particulier la cartographie). Cette activité va se développer sur un marché vierge à conquérir».

Le siège de cette société est à Toulouse, le site de Fleurance devra accueillir 2 à 3 emplois d'ingénieurs dans la première année de fonctionnement et devrait croître, toujours selon le directeur, pour atteindre 5 à 6 personnes dans trois ans.

Le développement du marché européen à la suite de ces trois premières années devrait générer une forte augmentation du besoin en personnel d'encadrement.

Cette société va donc s'installer rapidement dans ces locaux car la rentrée de septembre génère, chez elle une forte activité dans le domaine environnemental.

Noevus

En plus de produire des séries  d’animation pour les enfants, Florian DUVAL, basé à Marsolan,  produit le dernier court métrage de Samuel Yal : NOEVUS ; un  film d'animation expérimental hors norme.

Sa démarche personnelle est de permette à Samuel YAL de récolter 7 000€ afin de terminer la post-production de ce film. Pour ce faire, l’idée est venue de penser au financement participatif.

Nœvus est un film sur l’apparition de la forme, l’advenue d’un corps, l’éveil de la conscience, de son mouvement. Entre abstraction et figuration, le film se poursuit comme une métamorphose qui suit les évolutions de la matière céramique.

Pour plus d'informations et pour soutenir son projet https://fr.ulule.com/noevus/

Comme chaque année, l'ensemble des 60 salariés de la Scop Ethiquable se retrouve à Fleurance pour les Ateliers d'Eté de l'économie solidaire.

À cette occasion, la Scop (Société Coopérative) Fleurantine inaugure une fresque géante qui a été peinte sur le grand mur de l'entrepôt.

4 mètres de haut sur 50 mètres de long ! Cette peinture représente la vie des petits producteurs d'Amérique latine.

On se croirait devant un immense tableau d'un peintre Bolivien : un hommage à l'art naïf Équatorien et Haïtien.

Pourtant, c'est un fleurantin, Hugo Fadet qui a réalisé cette œuvre. Infographiste, Hugo avait déjà réalisé un Graff géant sur les murs de l'école Monge de Fleurance avec les élèves représentant l'astronomie. Il a été particulièrement sensibilisé à la cause solidaire de la Scop Ethiquable, et il a passé une grande partie de l'été à bomber à la peinture cet immense tableau mural, afin qu'il soit prêt à temps pour l'inauguration.

Les salariés de la Scop et les visiteurs sont très surpris de découvrir cette illustration, mais tout le monde est impressionné par la qualité de la réalisation d'Hugo.

La société coopérative Ethiquable est encore cette année en pleine croissance, avec 27 % de progression du chiffre d'affaires depuis le début de l'année.

Cinq nouveaux postes sont en cours de création d'ici la fin de l'année.

On peut admirer les autres réalisations d'Hugo Fadet sur son site internet : www.graphicocktail.com

A tous ceux qui aiment l'artisanat d'art français, participez à l'aventure d'une créatrice textile pour l'aider à faire connaitre son atelier.

Le projet développé est de faire connaitre son atelier et de participer à un Salon du Mariage au rayonnement important et primordial pour une implantation régionale : celui de Toulouse. Ainsi sur les 2000 €, 1700 € seront utilisés pour la location du stand de 4 m² (le plus petit) pour 3 jours et 300 € pour son aménagement et sa décoration.

Sa démarche personnelle et créative a aussi pour but de valoriser l'artisanat d'art local et la création moderne hors des grandes villes, donnant accès au gens à une prestation unique dans un cadre agréable, calme et où l'on prend le temps.

Pour plus d'informations et pour soutenir son projet (contreparties originales) : https://www.bulbintown.com/projects/pauline-starck-atelier/accueil

Le dernier conseil communautaire de la Lomagne Gersoise s'est déroulé à la salle des fêtes de Sempesserre.

Au cours de cette assemblée, les conseillers communautaires ont en particulier approuvé l'attribution d'une subvention d'aide à l'immobilier d'entreprises de 130 000 € à la SARL Les Vergers de Gascogne. Cette décision permet ainsi de débloquer des aides européennes et régionales de 260 000 € pour l'entreprise dans le cadre de son projet d'implantation sur la zone industrielle de Fleurance.

Toujours au titre du soutien aux acteurs économiques, le conseil communautaire a émis un avis favorable à la modification du PLU de Lectoure pour faciliter l'implantation d'un projet immobilier sur les anciens établissements Violan.

Les élus communautaires ont également approuvé la signature d'une convention avec l'État dans le cadre de la labellisation du Pays Portes de Gascogne «Territoire à Énergie Positive pour la Croissance Verte» qui permet de faire bénéficier la Lomagne Gersoise d'aides pour ses actions en matière de développement durable (véhicules électriques, étude d'une unité de méthanisation, rénovation de l'éclairage public en zones industrielles…).

Enfin, et en questions diverses, le président s'est attaché à informer les membres de l'assemblée des dispositions de la récente loi «NOTRe» (Nouvelle Organisation Territoriales de la République) qui viendront rapidement impacter le fonctionnement de la communauté de communes et de ses communes membres avec de nouvelles compétences. celles-ci seront bientôt dévolues obligatoirement à la Lomagne Gersoise (eau, assainissement, gestion des milieux aquatiques et prévention des inondations…). Dans cette perspective, il a souhaité que puissent aboutir rapidement les deux chantiers en cours concernant le tourisme et les bâtiments scolaires afin de faire face sereinement à ces futures échéances .

source : La Dépêche du Midi

Dernièrement, la Lomagne Gersoise présentait le film «Pôle 21» aux acteurs économiques du territoire, réalisé par Thierry Obadia et diffusé depuis le 1er juillet sur «pole21.com» et sur les réseaux à l'instar du site youtube.com. Il est depuis le début de l'été également disponible sur grand écran.

Ce film représente les entrepreneurs de «Pôle 21». Ils l'ont souhaité pour faire part de leur initiative, donner une image dynamique de notre territoire, partager les valeurs d'excellence, d'accueil et de bien vivre en Lomagne Gersoise.

En confiant sa réalisation à Thierry Obadia, réalisateur pour le cinéma, il s'agissait de donner une couleur originale à ce film et sortir d'une forme institutionnelle. Le résultat semble être à la hauteur des espérances.

Pour le partager avec le plus grand nombre, ce clip vidéo, qui dure le temps d'une bande-annonce, est diffusé depuis le début de l'été au cinéma Grand-Angle, à Fleurance, chaque soir de la saison touristique, avant le film.

Les intéressés vous invitent à partager ce film sur «Pôle 21» et à profiter de la programmation dans les salles de cinéma locales, tout au long de l'année.

Contact service économique : 05 62 29 52 40.

Le mercredi 22 juillet 2015 sur BFM TV, Gavin’s Clemente-Ruiz nous emmène à Fleurance, dans le Gers. Il nous fait découvrir les produits qui font la richesse de cette région, notamment le melon de Lectoure, les vins et l’ail. Fleurance est également réputée pour être la capitale de l’astronomie. Du 7 au 14 août, on pourra ainsi y retrouver le 25ème Festival de l’astronomie…

Voir la vidéo sur BFM TV

Entre tradition et innovation, le fondateur de «Glosek Gourmet» Michel Glosek est installé en zone industrielle depuis 2009 et s'est donné pour défi de mettre en conserves les meilleures spécialités et, au-delà, de créer de nouveaux classiques. Il réussit bien dans les nouveaux desserts longue conservation.

Michel Glosek est un cuisinier hors pair, largement titré et est également membre de l'Académie nationale de cuisine. Depuis deux ans, il a retiré de son catalogue toute une gamme de produits pour ne garder que les petits desserts individuels qui peuvent être conditionnés suivant les demandes, souvent en individuel et sont d'un rangement facile.

C'est ainsi que l'on trouve les «charlottes», le «risotto sucré», «les bavarois», le «carat de melon», «les cannelés à l'armagnac» qui sont de son invention, dans des verrines stérilisées pour les repas servis dans les avions de ligne d'affaires ou encore dans les plus grands hôtels français.

La restauration nomade : pour faire face aux demandes des salariés d'entreprise, la restauration rapide (dite nomade) a dû se mettre à leur portée et proposer à ceux qui mangent sur le pouce des produits innovants. Michel Glosek a bien compris cet appel. Il a mis au point la gamme desserts qui peut-être servie dans n'importe quel environnement (assis ou debout) ne demande pas de froid et la durée de conservation peut aller jusqu'à 2 ans. C'est ainsi que ces produits ont très vite trouvé preneurs auprès des sociétés de restauration mais aussi des spécialistes en cadeau d'entreprise qui font appel à ses services mais aussi à ses conseils.

Afin de développer cette activité commerciale, dans quelques jours, deux commerciaux vont être embauchés portant ainsi «Glosek Gourmet» à cinq salariés.

La Dépêche du Midi

Après le départ de la communauté de communes, que va devenir le local de la rue Gambetta ? Suite à la visite des locaux disponibles au dernier étage de la maison des associations, dans l'ancien local de la CCLG, il y a quelques jours, la Société Geosigweb a décidé de développer son activité spatiale sur notre territoire et de créer un bureau secondaire, souhaitant intégrer les lieux entre le 10 août et le 1er septembre. Un projet auquel le Pays Portes de Gascogne adhère.

Geosigweb souhaite spécialiser le site de Fleurance dans le domaine de l'intégration des technologies spatiales pour les applications d'aides à la décision, à destination des communes et des communautés de communes. En effet, le Pays, la ville et la CCLG portent depuis 2007 un dynamisme dans cet axe et souhaitent mettre à profit ces compétences technologiques pour les expérimenter sur ces territoires avant de les étendre au niveau national et européen.

Depuis le 1er janvier, cette société œuvre dans un consortium industriel avec le CNS, ATOS, l'IGN et six autres partenaires (projet spaklnData) dont le rôle est la définition et l'expérimentation de cas d'usages du spatial pour les collectivités locales. Elle va se développer sur un marché vierge à conquérir.

Ainsi le site de Fleurance accueillera deux ou trois emplois d'ingénieurs dans la première année de fonctionnement et devrait atteindre cinq ou six personnes dans trois ans. Le marché européen devrait, selon des statistiques, générer une forte augmentation du besoin en personnel d'encadrement.

La Dépèche

Qui aurait cru qu'un jour on puisse fabriquer de l'huile d'olive sur le territoire de la Lomagne gersoise. Le défi a été lancé par Antoine Llamas, au Moulin de Peyron à Gimbrède, où il a planté plus de 2 ha d'oliviers, et un autre à Lagarde-Firmacon.

L'Andalou raconte : «C'est de mon père et de mon grand-père que je détiens ce savoir-faire. Avant de venir en France, en 1963, ils habitaient à Espejo, près de Cordoue (Andalousie), où ils cultivaient une trentaine d'hectares d'oliviers, c'était leur principale activité. Ils m'ont tout expliqué, de la plantation (l'orientation des arbres est très importante) au ramassage des fruits, puis à l'extraction de l'huile. J'ai lancé le défi de faire la même chose ici, et, depuis 2000, tous les ans, je plante des oliviers trentenaires, et maintenant je commence à avoir des résultats.»

Une production de 500 à 600 l

Antoine Llamas a fait visiter son exploitation aux élus de la communauté de communes dont Jean-Louis Castell, président ; Xavier Ballenghein, conseiller départemental ; Suzanne Macabiau, maire de Miradoux, et Alain Dumeaux, maire de Gimbrède. Il leur a expliqué en détail chaque plant, la variété, le mélange des olives pour obtenir le meilleur goût et sa passion pour son métier, sachant qu'il faut au moins cinq ans pour avoir les premières olives. Puis un autre lieu tout aussi intéressant, la salle de fabrication. Là aussi, il explique le fonctionnement du pressoir dont les chromes brillent aux rayons de soleil, et la première pression à froid qui donne ce jus ambré, l'huile d'olive. La seconde pression ira dans la fabrication de savons.

Pour l'instant, la production se résume à 500 ou 600 l d'huile et est conditionnée en bouteilles (1 l, demi-litre, 125 cm3) que l'on peut trouver dans des épiceries fines ou dans son domaine. Avec l'aide de son fils, il prévoit dans l'avenir une extension de cette activité, d'autant qu'en Lomagne le climat semble idéal pour cette culture, même si parfois, fois en hiver, la température tombe à moins 12°.

La Dépêche du Midi

Pôle 21 a organisé, mercredi soir, la première soirée du développement économique. Cette rencontre, qui a vocation à devenir un rendez-vous annuel majeur du calendrier économique du territoire, a permis de présenter l'état d'avancement de la démarche et les priorités d'actions définies.

Avec plus de 130 acteurs économiques locaux présents, cette première édition du «Développement économique de Pôle 21» a fait le plein. Cette marque économique, espace collaboratif à destination des décideurs économiques, s'appuie sur une forte volonté politique partagée par l'ensemble des forces vives de la Lomagne gersoise qui a fait du développement économique et de l'emploi sa priorité. Jean-Louis Castell, président de la Lomagne gersoise, a remercié l'ensemble des acteurs économiques qui font le dynamisme et la vitalité du territoire communautaire et a particulièrement souhaité mettre en œuvre l'engagement bénévole de ceux qui s'impliquent auprès du tribunal de commerce, des prud'hommes ou du tout nouveau service de conseil et de prévention des difficultés des entreprises. Philippe Billerot, responsable de Fleurance Nature, qui pilote et anime le comité d'orientations de Pôle 21, a également informé les acteurs de ce territoire de l'avancée des travaux et a présenté les actions concrètes d'ores et déjà mises en place autour des 6 thèmes suivants : NTIC et infrastructures, recrutement et emploi, circuits courts, attractivité du territoire et tourisme, animation de la communauté des entrepreneurs, redynamisation des centres bourgs. La soirée s'est close par la diffusion du film promotionnel de Pôle 21, réalisé par Thierry Obadia et prochainement disponible sur www.pole21.com, qui met en valeur l'excellence du territoire et les initiatives locales. Jean-Louis Castell a ensuite invité tous les acteurs qui le souhaitent à rejoindre cette démarche en intégrant activement les groupes de réflexion initiés.

 

La Dépêche du Midi

La Lomagne Gersoise souhaite amplifier son intervention dans le cadre de sa compétence économique sur le volet artisanat en développant un partenariat innovant avec la chambre de métiers et de l'artisanat du Gers. Avec plus de 460 établissements artisanaux répartis sur les 43 communes de la Lomagne Gersoise et environ

1 000 emplois, l'artisanat est un moteur majeur de l'activité économique du territoire.

Jean-Louis Castell et Christian Olié ont signé une convention de partenariat mardi, au siège de la Lomagne Gersoise, à Fleurance.

5 axes de coopération

Ce partenariat innovant s'inscrit dans la politique de la Lomagne Gersoise qui fait du développement économique sa priorité. Pour la chambre de métiers, il correspond à une mobilisation de ses compétences en direction des entreprises artisanales du territoire.

Plusieurs missions d'appui et de développement seront menées sur le territoire autour de 5 axes de coopération qui sont : le soutien à la création, au développement et à la reprise d'entreprise. Accompagner les entreprises du territoire ayant des projets de développement et celles qui rencontrent des difficultés ; développer des actions écoresponsables, assurer la promotion des entreprises artisanales et des métiers notamment sur le volet apprentissage, favoriser l'accès au foncier et à l'immobilier d'entreprise.

Jean-Louis Castell et Christian Olié ont conclu en évoquant les difficultés que rencontrent de nombreux artisans dans une conjoncture économique compliquée. A ce titre, le développement et le maintien de l'artisanat local, dont les emplois sont non délocalisables, passent par une coopération accrue entre les services de la chambre de métiers et de l'artisanat du Gers et les services de la Lomagne Gersoise.

L'excellence artisanale sur les terres de Pôle 21 est un facteur supplémentaire de l'attractivité du territoire de la Lomagne Gersoise.

La Dépêche du Midi

Stéphane Clément, Maximilien Fray et Benjamin Noirot sont les gérants du restaurant golf de Fleurance. 
L’émission Rencontres à XV de dimanche 21 juin présentait leurs portraits.

Voir en replay sur https://www.youtube.com/watch?v=dWyY-_FRABg à la 19'06

Le président de la Lomagne gersoise, Jean-Louis Castell, soutient l'excellence des savoir-faire en Lomagne gersoise. Aussi, dans le cadre des visites d'entreprises du territoire de la Lomagne gersoise, le président et son service «développement économique» se sont rendus à Marsolan, chez Florian Duval, qui réalise des séries d'animation télé pour les enfants. Florian Duval, originaire de Paris, s'est installé en 2010 avec sa famille dans le Gers, dans le village de Marsolan, en pleine campagne, non loin de Lectoure. Il a créé en 2003 sa société, Double Mètre Animation, et a déjà produit deux séries d'animation : «Les devinettes de Reinette», 52 épisodes de trois minutes tout en pâte à modeler, et «Kiwi», une série ludo-pédagogique, coproduite avec Xbo Films. Sa sœur, Isabelle Duval, en est la créatrice. L'artisan-producteur, comme il aime se qualifier, et toute son équipe sont en train de réaliser le tournage de la saison 2 des «Kiwi», 52 nouveaux épisodes pour «France Télévision». Derrière l'apparente simplicité de ces animations de cinq minutes chacune, il y a un véritable travail d'orfèvre qui nécessite des mois de travail. Les studios sont installés à Tournefeuille et à Marsolan. Véritable touche-à-tout, Florian Duval cultive sans cesse une volonté forte de créer et fédérer de nouveaux projets de développement. Pour cela, il s'appuie toujours sur une production souple et efficace avec un souci constant de qualité. Jean-Louis Castell a souligné l'importance de mettre en valeur les pépites de Pôle 21, et plus généralement du Gers, qui portent bien haut les valeurs d'excellence et de réussite des territoires ruraux.

http://www.ladepeche.fr/article/2015/06/01/2115632-tele-les-devinettes-d...

La Dépêche du Midi

Pôle 21 lance le Service de conseil et de prévention aux difficultés des entreprises, un nouveau service pour les décideurs économiques.

Face aux difficultés du tissu productif et commercial, la Lomagne gersoise, dont la compétence première demeure le développement économique, cherche à développer des outils innovants pour répondre aux enjeux des difficultés des entreprises.

La création d'un Service de conseil et de prévention aux difficultés des entreprises répond à cet objectif et s'intègre naturellement dans les préconisations de la démarche Pôle 21.

Les difficultés font partie intégrante de la vie des entreprises. Ce nouveau service a donc pour objectif de démystifier la prévention en luttant contre la peur du juge, offrir un service gratuit de proximité qui répond à un besoin local, accompagner les chefs d'entreprise dans l'anticipation des difficultés, faire connaître les outils de prévention offerts par la loi.

Cet outil efficace et confidentiel est donc créé pour traiter le plus en amont possible les interrogations et difficultés des entreprises et limiter ainsi les procédures les plus radicales telles que les radiations, liquidations… et offrir un entretien anonyme à tout chef d'entreprise par la présence de spécialistes du droit des affaires et du pilotage d'une entreprise : avocats, experts du chiffre…

Ces rendez-vous, confidentiels et gratuits, auront lieu tous les derniers jeudis de chaque mois.

Pour prendre rendez-vous, un seul numéro, le 06 30 07 93 64.

Contact développement économique : Olivier de Witte, tél. 05 62 29 52 42, ou service-economie@lomagne-gersoise.com.

La Dépêche du Midi

Marlène GERMAIN, Sous-préfète de l’arrondissement de Condom, et Jean-Louis CASTELL, Président de la Lomagne Gersoise, partagent ensemble la volonté d’aller régulièrement à la rencontre des décideurs économiques pour prendre le pouls de l’économie locale.
Dans la continuité du lancement de POLE 21 en septembre dernier, ils ont ainsi pu parcourir le territoire de la Lomagne Gersoise mardi 21 avril dernier, à la rencontre de 5 entreprises, échangeant sur leurs projets, leurs besoins, leurs attentes, autour du thème de l’excellence « du produit du Gers, savoir-faire de Lomagne ».
Cette journée a commencé sur la commune de Montestruc avec la rencontre de Pascal LAFONT, dirigeant des « Vergers de Gascogne ». Cette conserverie d’excellence réalise 30% de son chiffre d’affaires à l’export. Ces produits, utilisés par de nombreux chefs étoilés, et que l’on retrouve dans les épiceries fines de l’hexagone, mais aussi dans toute l’Europe, au Japon… sont les ambassadeurs de l’excellence en Lomagne Gersoise. A cette occasion, Mme la Sous-préfète a souhaité encourager l’initiative engagé au sein de pole 21 pour développer et structurer des filières de production et de transformation courtes.
La visite s’est poursuivie auprès de l’entreprise « GHE » (Général Hydroponics Europe), située à Fleurance depuis le milieu des années 90. Cette entreprise, leader européen de l’hydroponie, est dirigée par William TEXIER et Noucetta KEHDI, et réalise 70% de son chiffre d’affaires à l’export. Elle utilise dans une approche qualitative une technologie qui associe la culture hydroponique et la culture biologique.
La matinée s’est conclue par une visite du « Golf de Fleurance », dont la reprise récente a pu bénéficier des dispositifs de la convention de revitalisation ITM-LAI. Les gérants sont également engagés dans des partenariats pour la valorisation des produits locaux et des richesses du territoire.
L’après-midi s’est poursuivie par la rencontre de l’entreprise « Sohé Assainissement », hébergée à la pépinière d’entreprises de Lomagne depuis mars 2015. Cette entreprise, qui arrive de l’agropole d’Agen, conçoit, développe et va prochainement commercialiser un nouveau système d’assainissement écologique des eaux usées à base de lombrics. Ce nouveau système révolutionnaire a obtenu les meilleures évaluations environnementales et se positionne comme numéro 1 national sur cette filière de traitement. Elle a pu également bénéficier des dispositions de la convention de revitalisation ITM-LAI.
Enfin, cette journée s’est conclue par la visite l’entreprise « Double mètre », installée à Marsolan et dirigée par Florian DUVAL. Cette société de production unique en Midi-Pyrénées est spécialisée dans le film d’animation et a déjà produit 2 séries d’animation « Les devinettes de Reinette » et « Kiwi » diffusées par France Télévision.
A travers ce dernier exemple, Jean-Louis CASTELL, Président de la Lomagne Gersoise a souligné l’importance de mettre en valeur les pépites de POLE 21, et plus généralement du Gers, qui portent bien haut les valeurs d’excellence et de réussite des territoires ruraux.

La Pépinière d'entreprises de la Lomagne gersoise a accueilli le Réseau Régional des Pépinières de Midi-Pyrénées (REZOPEP). Xavier Ballenghien, vice-président en charge du développement économique de l'emploi et de l'innovation, est revenu sur l'importance de ce réseau créée il y a plus de vingt ans, à l'initiative de la Région Midi-Pyrénées.

Le REZOPEP fédère aujourd'hui 21 pépinières d'entreprises réparties dans les huit départements de Midi-Pyrénées. Ce réseau professionnel définit un programme d'actions ayant pour objectifs d'accroître la notoriété des pépinières membres pour favoriser la détection de nouveaux projets et les échanges d'expériences entre membres afin d'être plus efficient dans l'accompagnement des porteurs de projets qui sont les créateurs de nouvelles activités.

La Pépinière d'entreprises de Lomagne, basée à Lectoure, sur la ZI La Couture, héberge neuf entreprises dans des domaines variés comme menuiserie, bureau d'études de charpentes métalliques, création graphique, représentant 23 salariés…

Xavier Ballenghien est revenu également sur le projet à venir d'ateliers de production pour compléter l'offre de la Pépinière. D'ici le début de l'année 2016, trois ateliers de 100 m² chacun verront le jour pour accueillir de nouvelles entreprises sur le territoire.

La journée s'est clôturée par des ateliers d'échanges d'expérience entre les différentes pépinières de Midi Pyrénées.

Contact développement économique : Olivier de Witte, tél. 05 62 29 52 42, service-economie@lomagne-gersoise.com

La Dépêche du Midi

La Communauté des communes de la Lomagne gersoise (CCLG) et le CCAS avaient décidé de mettre sur pied, et ce pour la première fois, à Fleurance, un forum de l'emploi, dans la salle Eloi-Castaing. 700 personnes sont venues pour cette rencontre avec les professionnels de l'emploi. Ces professionnels, au nombre d'une quarantaine, auxquels il faut ajouter la chambre des métiers, la chambre de l'agriculture ainsi que la chambre du commerce, recherchaient les profils les plus variés. Et tous, sans exception, à l'issue de la journée, se sont déclarés satisfaits et ont pourvu une grande partie des emplois recherchés. En ce qui concerne le territoire de la CCLG, 170 emplois étaient à pourvoir et Jean-Louis Castell, son président, ne cachait pas sa satisfaction quant à l'issue du résultat. Certaines entreprises ont même trouvé des profils qui les intéressaient alors qu'au départ, elles n'y songeaient même pas. Ces mêmes entreprises ont également été impressionnées par le «niveau» et le profil des demandeurs d'emploi. La tranche d'âge de ces derniers est très variable, mais la majorité se situe dans la tranche 35-55 ans. Nombre d'emplois, notamment saisonniers, ont trouvé preneurs chez les 18-25 ans. A Pôle Emploi, on ne cachait pas non plus sa satisfaction quant à l'engouement suscité par ce rendez-vous. Un certain bémol cependant : la mobilité peut rebuter certains demandeurs d'emploi. En effet, un emploi distant de 30 ou 40 kilomètres de son domicile, vu les moyens de transport et les charges en découlant, peut être rédhibitoire. Mais, au-delà de ces dernières considérations, Jean-Louis Castell et Benoît Garros ne cachaient pas leur satisfaction. A ce titre, le président de la CCLG fait dorénavant de ce forum de l'emploi un rendez-vous annuel.

La Dépêche du Midi

Le président de la Lomagne gersoise Jean-Louis Castell a accueilli une quarantaine de commerçants et chefs d'entreprise venus échanger sur le thème de l'accessibilité des commerces.

Frédéric Muhary, de la Direction départementale des territoires du Gers, a présenté les différentes obligations qui incombent aux commerçants afin de rendre leurs lieux de vente conformes à la législation sur l'accessibilité des personnes en situation de handicap depuis une loi de 2005 qui n'a encore que très partiellement été suivie.

La réunion a notamment permis d'expliquer ce qu'est l'ADAP, (Agenda d'accessibilité programmée), qui donne trois ans aux commerçants pour se mettre aux normes. Il s'agit d'un document à produire avant la fin septembre 2015, sous peine de risques de poursuites pénales, s'appuyant sur un diagnostic technique. Un dispositif qui reste encore abscons pour beaucoup d'entre eux.

Jean-Louis Castell a précisé à cet effet qu'il souhaitait que Rémi Rivière, en charge de l'animation commerciale à la Lomagne gersoise, puisse être à la disposition des commerçants pour les accompagner dans la rédaction de ces ADAP. Il a rappelé également que la CCI du Gers avait mis en place une offre de diagnostics «accessibilité» à des prix préférentiels.

Les riches échanges qui ont suivi ont permis aux commerçants d'avoir des éclairages précis sur leurs problématiques individuelles et pour les autres de recevoir des réponses concrètes et des conseils pratiques pour améliorer l'accessibilité de leur commerce. Les cas de dérogation ont été abordés, ainsi que les aides financières possibles.

Pour toute information complémentaire sur des problématiques commerciales et économiques, contacter le service économie de la communauté de communes de la Lomagne gersoise, Pépinière d'entreprises de Lomagne, ZI La Couture à Lectoure, tél. 05 62 29 52 40, ou pepiniere@lomagne-gersoise.com

La Dépêche du Midi => . Article du 04/04/2015 - La Dépêche

Le Pays Portes de Gascogne organise le premier colloque Cybersécurité et territoires le 10 avril prochain à l’espace culturel de Fleurance.
Le colloque abordera, sous la forme de 3 tables rondes animées par une quinzaine d’intervenants, les thèmes de la dématérialisation des données dans les services publics, des dispositifs de protection pour les entreprises et des spécificités de l’interconnexion en milieu rural.
Une conférence sur la culture numérique, les questions de sécurité collective et liberté individuelle, clôturera la journée.

Inscriptions auprès d’A Ciel Ouvert :

05 62 06 09 76, contact@fermedesetoiles.fr

Consultez le programme sur le site du Pays Portes de Gascogne vers la page du Pays dédiée : http://www.paysportesdegascogne.com/?q=actualites/le-pays-portes-de-gascogne-organise-le-premier-colloque-cybers%C3%A9curit%C3%A9-et-territoires

 

 

Face «aux difficultés ponctuelles» de la sarl Les Bleus de Pastel de Lectoure, Denise Lambert mise sur le crowdfunding. 10 000€ pour une bouffée d'oxygène

Denise Lambert qui tient seule la barre du Bleu de Pastel de Lectoure depuis le décès de son époux Henri en 2010, se dit confiante dans le devenir de l'entreprise au sein de laquelle ses deux enfants travaillent désormais. «Sans cette confiance, j'aurai tout arrêté. Mais comme je sais que c'est un mauvais cap à passer, on se retrousse tous les manches». Pour surmonter ces «difficultés ponctuelles», elle a sollicité le tribunal de commerce d'Auch pour lancer une procédure de sauvegarde et elle a recours au crowdfunding (*). Denise attend de ce financement participatif par internet, 10 000 € qui remettront de l'huile dans les rouages de la trésorerie. «Le Bleu Pastel de Lectoure est l'un des phares du tourisme gersois. 5 000 visiteurs passent ici chaque année, le Bleu fait parler du Gers et de Lectoure à travers de multiples reportages. Des grandes marques l'utilisent et des célébrités le vantent, c'est du. made in France par excellence. Pour nous permettre de continuer à travailler sur de nouveaux projets et d e transmettre notre passion du Pastel, nous voulons croire que la mobilisation sera suffisante pour constituer ce financement». Les difficultés ponctuelles ont pour origine affirme-t-elle, une pénurie de matière première. Alors que la demande «mondiale, européenne, française» de pigments va crescendo, les trois derniers printemps «beaucoup trop pluvieux», surtout en 2013, n'ont pas été favorables à la culture de l'isatis tinctoria, précieuse plante jaune dont les feuilles permettent la production de ces pigments d'un bleu sans pareil. Résultat : le Bleu de Lectoure a dû se contenter d'environ 600 kg de ce pigment dont une partie achetée à prix fort en Toscane alors qu'il lui en aurait fallu une tonne. Denise Lambert affirme que «la filière» travaille à mieux équilibrer la demande de matière première et l'offre. Deux agriculteurs gersois, l'un sur 25 hectares, l'autre sur 5, vont y contribuer ainsi que leurs confrères qui approvisionnent la coopérative de Saverdun en Ariège. Mais ça demande un certain temps pendant lequel l'entreprise lectouroise doit faire «le dos rond». Remis en valeur par le couple Lambert il y a 21 ans, le bleu de Pastel est plus demandé que jamais. Les Beaux-Arts, la décoration, l'industrie textile en redemandent. La Sarl les Bleus Pastel de Lectoure qui a le label EPV (entreprise du patrimoine vivant pour l'excellence des savoir-faire français) propose aussi sur internet et en boutique, des produits maison, à offrir ou à s'offrir. Tout pour croire en des jours meilleurs, si le crowfunding fonctionne comme espéré et si les printemps prochains font fleurir en quantité suffisante l'isatis tinctoria dans notre région.

(*) http ://www.indiegogo.com/projects/1156660/fbl

source : la Dépèche, 

http://www.ladepeche.fr/article/2015/03/04/2059888-lectoure-allez-le-ble...

Les deux marques unissent leur savoir et leur réseau pour développer leur notoriété respective. Une belle opération pour Lip la lectouroise.

Deux tranches de pastèque bien rouges, un visage de chaton et une tête de singe, les trois nouvelles montres de la marque gersoise Lip sont à l'effigie de Paul & Joe. Les deux marques unissent leur savoir et leur réseau pour développer leur notoriété respective. Une belle opération pour Lip la lectouroise, qui travaille également avec une autre marque de prêt-à-porter haut de gamme, Commune de Paris.

Cette technique commerciale s'appelle le cobranding, ou comarquage. Il s'agit d'une alliance de deux sociétés sur un produit ou un service. Le cobranding est un partenariat de marques entre deux ou plusieurs fournisseurs dans le cadre d'une opération commerciale. L'objectif est de combiner les forces de ces deux marques pour mettre des produits originaux sur le marché ou élargir la gamme de services ou de produits proposée. L'été dernier, Lip avait établi un cobranding avec le Comité départemental du tourisme pour sortir une montre 100 % gersoise, la So Panoramic.

Deux univers très proches

L'histoire d'un travail avec la marque française Paul & Joe est celle d'une rencontre de deux univers très proches. Créée en 1995 par une mère qui trouvait que la mode était trop fade pour ses deux garçons, Paul & Joe est aujourd'hui une marque reconnue et vendue dans le monde entier. Avec une trentaine de boutiques et des centaines de points de vente à l'international, la ligne principale femme défile dans le calendrier officiel de la Semaine de la mode parisienne depuis 1998, ses campagnes de publicité s'affichent dans les plus grands magazines de mode français et internationaux. Elle sort également une ligne Paul & Joe Sister, plus jeune mais également des cosmétiques, des lunettes, de l'art de la table et des collaborations multiples et variées.

Jean-Luc Bernerd, PDG de Manufacture Générale Horlogère (MGH), qui commercialise la marque Lip, raconte que les marques se sont rencontrées lors du Salon de l'accessoire de mode, à Paris. « Nous avons travaillé durant deux ans pour savoir s'il était intéressant d'œuvrer ensemble. » Pour le patron, le bénéfice pour Lip est triple : marier notre marque à une autre se situant sur le même créneau de qualité, unir deux savoir-faire et répondre à l'inspiration de Paul & Joe. En 2014, Lip a réalisé quatre séries de montres en cobranding.

Les trois montres sorties de l'imagination lectouroise se sont inspirées de ses modèles des années 1970 pour coller à l'esprit rétro chic de la marque de vêtements. « Nous avons repris leurs modèles iconiques et leur code couleur et graphique, explique Jean-Luc Bernerd. Nous avons mis un an pour développer ces modèles, car la technicité a évolué depuis les années 1970, les procédés ne sont pas les mêmes pour mettre de la couleur sur du plastique, par exemple. »

Les poignets les plus fashion du monde arboreront probablement l'une des trois montres créées dans le Gers, avec leurs couleurs très printanières.

La communauté de communes de la Lomagne gersoise a décidé en septembre 2014 une nouvelle modulation de la cotisation foncière des entreprises pour rendre ce prélèvement plus juste. Mise en place dans le cadre de la suppression de la taxe professionnelle, la cotisation foncière des entreprises pose en effet un problème d’équité fiscale entre petites et grandes entreprises. D’autres mesures d’équité fiscales sont envisagées par l’EPCI.
. Article du 23/02/2015 - Mairie Conseils

Ce mercredi 25 février, Gers Numérique organisait dans les locaux de la Lomagne Gersoise la réunion de lancement des travaux sur le réseau wifi en présence de Bernard Gendre, Président de Gers Numérique, Jean-Louis Castell, Président de la Lomagne Gersoise, Marie-Pierre Cusinato, déléguée de la Lomagne Gersoise à Gers Numérique, Alain Scudellaro, Vice-président en charge de l’aménagement numérique et Bruno Weinreich, Président de Nomotech.

Le déploiement du Très Haut Débit pour tous est devenu une priorité dans le Gers depuis que le Conseil Général a adopté le 1er Schéma Départemental d’Aménagement Numérique de Midi-Pyrénées.
Le déploiement de la fibre optique vers les villages les moins bien desservis ne souffre d’aucun contretemps et une nouvelle action est engagée en parallèle. Dans le département de France où l’habitat est le plus dispersé, plusieurs technologies seront mises en œuvre pour apporter plus de 8 Mégas à tous les Gersois au plus tard en 2017. Dans cet éventail technologique, Gers Numérique réaménagera les infrastructures Wifi déployées depuis 2007 par les communes ou les communautés de communes et qui ne répondent plus aux besoins actuels.
Un réseau mieux pensé à l’échelle départementale
Les communes gersoises en zone blanche internet avaient souvent fait le choix d’installer des équipements Wifi sur leur territoire. Conçu en fonction des capacités techniques de l’époque, ce réseau Wifi auquel plus de 2000 foyers gersois sont abonnés avait besoin d’une sérieuse mise à jour. 
C’est précisément la mission confiée par Gers Numérique à la société Nomotech qui vient de remporter le marché de cette montée en débit du réseau Wifi.
Ce nouveau réseau s’appuiera largement sur la fibre optique pour faire face au trafic des abonnés gersois et, pensé à l’échelle départementale, il évitera la multiplication des antennes qui avaient parfois le défaut de se brouiller entre elles.
Des débits rapidement multipliés par 10
Ces nouveaux équipements et cette nouvelle architecture du réseau permettront ainsi de proposer des débits allant jusqu’à 20 Mbit/s aux abonnés. Ceux-ci auront le choix entre plusieurs opérateurs : certains sont déjà présents dans le Gers et d’autres, nouveaux comme Ozone, viendront proposer de nouvelles formules. Certains seront même dédiés aux solutions offertes aux entreprises. La réunion de lancement des travaux qui avait lieu hier a justement permis de préparer les premiers chantiers qui offriront 20 Mégas, pour les premiers abonnés couverts, dès la fin avril. Très vite, chacun pourra savoir, grâce à un logiciel d’éligibilité en ligne, s’il est couvert par ce Wifi à 20 Mégas.
Ce n’est pas un hasard si cette réunion de lancement se tenait à Fleurance : c’est en Lomagne Gersoise que l’on compte le plus d’abonnés Wifi dans le Gers. 300 abonnés attendent avec impatience cette amélioration de leur débit qui leur sera proposée au plus vite et qui nécessitera de changer la box de leur domicile. 
Nomotech, le leader français des réseaux Wifi, s’installe dans le Gers
Nomotech qui vient de remporter le marché est bien connu des spécialistes du secteur : c’est même le leader français des réseaux Wifi. La solution mise en place par cette société (le « Wifi Max MiMo ») fait référence en la matière et a su convaincre Bernard Gendre, Président de Gers Numérique, pour qui une très nette amélioration du service était la première priorité.
Nomotech, dont le siège social est situé dans la Manche, n’était pas encore très présent dans le sud-ouest et pour assurer au Gers les meilleures garanties de service, l’entreprise a fait le choix de s’installer dans le département. En créant dans le Gers une antenne qui nécessitera des recrutements locaux, Nomotech illustre déjà les retombées locales en termes d’emplois des projets d’aménagement numérique portés par Gers Numérique.
. Article du 26/02/2015 - La Dépêche

Dans le cadre de la démarche d'animation du territoire économique Pôle 21, Jean-Louis Castell, président de la Lomagne gersoise, va régulièrement à la rencontre des décideurs économiques du territoire. Il y a quelques jours, il est allé échanger avec Pascal Naudin, de la société Essem Bio, basée au lieu-dit «La Revanche» à Lectoure. Cette entreprise, forte de 5 salariés, installée sur 38 ha de terre certifiée bio, est spécialisée dans les semences biologiques de légumes. Elle réalise un chiffre d'affaires avoisinant les 1,5 million d'euros et vend essentiellement à des grossistes, mais aussi à des particuliers à travers le développement d'un site de commerce en ligne.

Cette visite s'inscrit dans la volonté du Pôle 21 de développer sur la Lomagne gersoise une filière d'excellence dédiée aux plantes et au bien-être, qui regroupe déjà de nombreux acteurs de ce secteur tels les laboratoires Messegué, Fleurance Nature, Natur'envie, les Jardins de Coursiana… L'accompagnement de cette filière d'excellence est une priorité pour créer un levier supplémentaire pour un développement économique porteur d'emplois et d'activités.

Jean-Louis Castell se félicite d'ores et déjà de l'appropriation de la démarche Pôle 21 par les acteurs économiques et souhaite qu'elle puisse être encore plus créatrice de synergie et de mise en réseaux des entreprises.

 Article du 06/03/2015 - La Dépêche

 

Sylvain Pouchès est un homme heureux. Jeune dirigeant d'une jeune entreprise, Oralu, il vient de se voir décerner le prix «le Tooki d'honneur» par le Crédit Agricole Pyrénées-Gascogne. Cette récompense attribuée le 6 février est décernée à l'entreprise la plus remarquée, la plus dynamique du département d'action du Crédit Agricole Pyrénées-Gascogne. Ce prix est, en effet, valorisant vu qu'Oralu a à peine un an d'existence et cela traduit surtout le partenariat et la confiance que la banque a envers Oralu.

Rappelons que cette société est spécialisée dans la menuiserie aluminium, ainsi que la façade aluminium. Oralu est installée depuis février 2013 à la Pépinière d'entreprises de Lectoure. Après avoir passé 19 ans chez un acteur majeur de la façade au plan national, Sylvain Pouchès et son associé ont décidé de quitter leur ancienne entreprise pour s'installer à leur propre compte afin de revenir à une structure plus simplifiée, plus proche du client et du maître-d'oeuvre, induisant ainsi plus de réactivité par rapport aux grosses structures qui ont une inertie relativement lourde.

Concrètement, Oralu conçoit de la menuiserie et de la façade aluminium (façade vitrée des immeubles), de la menuiserie mixte (aluminium à l'extérieur et bois à l'intérieur), et tout ce qui va autour de la façade (stores, abris de soleil). Un bel exemple de réalisation au niveau local est le superbe bâtiment des Fleurons de Lomagne.

Les projets à venir sont très nombreux et notamment dans la capitale : 70 % du chiffre d'affaires est réalisé à Paris. Le carnet de commandes est à 15 mois, preuve irréfutable de la belle prestation de la société.

La Dépêche du Midi

 

http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/17/2050751-oralu-une-toute-jeune...

Jean-Louis Castell, président de la communauté de gersoise, et Michel Doligé, président de Gers Développement et de la CCI du Gers, se sont retrouvés le 9 février pour signer la nouvelle convention de partenariat qui lie la communauté de communes et l'association départementale. Favoriser le développement des entreprises, promouvoir l'accueil de nouvelles activités économiques, encourager l'innovation : tels sont les objectifs que la Lomagne gersoise et Gers Développement se fixent au sein de cette nouvelle convention de partenariat.

Ce partenariat innovant s'inscrit dans une ambition partagée pour faire du développement économique une priorité. Il s'inscrit dans un double objectif de mettre des moyens en commun, afin d'agir en concertation dans un contexte de réduction des budgets publics et de rendre plus efficace l'action locale. Cette convention renforce également l'image du territoire économique de la Lomagne gersoise qui s'est constitué autour de la marque «Pôle 21» pour devenir un territoire d'accueil et d'excellence. Ce partenariat s'articule autour de 3 axes principaux : la promotion commune de l'offre foncière du territoire, (la Lomagne gersoise se positionnant comme le principal acteur en charge des réponses aux entreprises du territoire sur les questions du foncier et de l'immobilier d'entreprises, Gers Développement faisant jouer son

réseau pour l'implantation d'entreprises extérieures) ; l'accompagnement des porteurs de projets innovants sur le territoire, réalisé conjointement par les techniciens des deux structures ; le développement de programmes de sensibilisation à destination des acteurs économiques.

Jean-Louis Castell, président de la Lomagne gersoise, a conclu cette signature en soulignant l'importance de la synergie et de la coopération avec la CCI du Gers pour apporter les réponses les plus adaptées aux décideurs économiques du territoire.

La Dépêche du Midi

http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/15/2049606-ensemble-pour-favoris...

Après son lancement fin 2014, le comité d'orientations de Pôle 21, qui regroupe la Lomagne Gersoise et les décideurs économiques, s'est réuni à nouveau le 6 février pour entrer dans sa phase opérationnelle avec le lancement de deux nouveaux services pour les entreprises du territoire : la Bourse de l'immobilier d'entreprise et la Bourse de l'emploi.

La Bourse de l'immobilier d'entreprise est un outil de mise en relation entre les offres proposées par les propriétaires de biens immobiliers, ou par les agences mandatées pour assurer la transaction, et les porteurs de projets désireux de s'implanter ou se développer sur le territoire.

Un nouvel outil

Vous êtes décideurs économiques et vous recherchez un local pour exercer votre activité, la Bourse de l'immobilier d'entreprise est là pour vous aider. Elle vous permettra de trouver, sur le territoire de la Lomagne Gersoise, des opportunités immobilières et foncières. Cet outil, gratuit et interactif, recense l'ensemble des locaux commerciaux, industriels, artisanaux, ainsi que les terrains nus disponibles et les fonds de commerce, proposés à la vente ou à la location sur le territoire. Disponible à partir du site internet de Pôle 21 (www.pole21.com rubrique s'implanter-Bourse de l'immobilier d'entreprise), cet outil permettra de répondre à l'ensemble des porteurs de projets en les fléchant vers les locaux les plus adaptés à leurs besoins.

Cette action vient compléter le panel de l'offre foncière déjà proposée par la Lomagne Gersoise en matière de zones d'activités et de pépinières.

La Bourse de l'emploi recense les offres d'emploi disponibles sur le territoire de la Lomagne Gersoise d'une durée supérieure à 6 mois. C'est un canal de diffusion pour les entreprises du territoire et une vitrine supplémentaire pour les demandeurs d'emploi.

Ce nouvel outil, disponible également sur le site de Pôle 21 (www.pole21.com rubrique Emploi), concrétise les partenariats développés par la Lomagne Gersoise avec les organismes qui accompagnent les demandeurs d'emploi et concourt à un développement économique cohérent avec la ressource en main-d'œuvre du territoire.

Contact : Olivier de Witte au 05 62 29 52 42, service-economie@lomagne-gersoise.com

http://www.ladepeche.fr/article/2015/02/11/2047420-pole-21-lance-deux-no...

 

Marlène GERMAIN, Sous-préfète de l’arrondissement de Condom, et Jean-Louis CASTELL, Président de la Lomagne Gersoise, ont convenu de prendre régulièrement date pour aller à la rencontre des décideurs économiques. Ce mercredi 21 janvier, ils ont ainsi pu parcourir le territoire de la Lomagne Gersoise à la rencontre de 3 entreprises ayant bénéficié récemment d’aides dans le cadre de la convention de revitalisation de la base Intermarché piloté par le Préfet.

Cette journée a commencé par la visite d’un fleuron économique de la Lomagne Gersoise, Fleurance Nature, qui emploie 54 salariés pour un chiffre d’affaires de 25 millions d’euros. Spécialiste de e-commerce de compléments alimentaires et cosmétiques, essentiellement bio, cette entreprise s’est engagée récemment dans la structuration d’une filière locale avec des plantes médicinales produites au Jardins de Cocagne de Fleurance. Madame la Sous-préfète a profité de cette présentation pour rappeler son attachement et son objectif pour promouvoir cette filière plantes et bien-être sur l’ensemble du territoire avec des perspectives économiques et touristiques autours du « Made in Gers ».
Cette journée s’est poursuivie par la visite de deux entreprises hébergées à la Pépinière d’entreprises de Lomagne, basée à Lectoure. Cet outil de développement économique, impulsé en 2009 par les élus de la communauté de communes accueille 10 entreprises actuellement avec en perspective la création d’ateliers de production pour le 2nd semestre 2015. 
« MPS, la compagnie à votre service », entreprise solidaire constituée en SCOP, propose à ses clients professionnels ou particuliers un service de nettoyage (vitrerie, espaces verts, bureaux,…). Cette entreprise a intégré la pépinière en 2014 et a bénéficié des aides ITM pour la création de 4 emplois. Frédérique BERNARD, l’une des gérantes, a précisé à Madame la Sous-préfète que cette aide a été déterminante pour la création d’emplois et le démarrage opérationnel de l’entreprise qui prévoit dés cette année l’embauche de 3 collaborateurs supplémentaires. 
Au cours de la visite de la société « ORALU », spécialisée dans l’étude et la fabrication de menuiseries et bardages aluminium, son gérant Sylvain POUCHES a également pu confirmer à Mme la Sous-préfète le bénéfice du prêt ITM pour le lancement de son activité qui bénéficie d’un carnet de commandes fourni, qui le verra sans doute recruter un nouveau collaborateur en 2015. 
A l’issue de ces visites, Jean-Louis CASTELL s’est félicité du dynamisme et de l’implication des décideurs économiques dans la démarche "POLE 21", lancée en fin d’année 2014, et qui doit permettre de définir ensemble les priorités nécessaires au développement de l’activité des entreprises dans un contexte économique très délicat.

. Article du 30/01/2015 - La Dépêche

Découvrez l'article de La Dépêche paru dans l'édition du 28 septembre 2014.

Spécialiste de la transformation des fruits et des légumes, les productions des Vergers de Gascogne sont utilisées par les plus grandes enseignes d’Épiceries Fines et de nombreux Chefs étoilés.

Les pêches blanches entières, issues d’une variété exclusive, sélectionnées une par une à maturité et pelées à la main, sont servies depuis plus de 60 ans par les restaurants, hôtels, traiteurs et pâtissiers les plus célèbres à travers le monde.

Complétant régulièrement leurs gammes de nouvelles créations, les Vergers de Gascogne élaborent aujourd’hui une large palette de recettes à base de fruits.
Depuis 2005, la Conserverie développe sous les marques Cap Bio et Potagers de Gascogne un assortiment important de légumes mijotés, préparés dans le même esprit de qualité.

Retrouvez ce choix exceptionnel de plus de 200 conserves de fruits ou de légumes, exclusivement élaborées dans leurs ateliers de Montestruc, au coeur du Gers en Gascogne, sur leur nouvelle E-boutique : www.laboutiquedevdg.fr

Vergers de Gascogne, Route de Préchac
32390 Montestruc sur Gers - France
05 62 62 27 08 - contact@laboutiquedevdg.fr
www.laboutiquedevdg.fr - www.facebook.com/VergersdeGascogne